Chère aboné(e)s je vous préviens que durant ce mois de mai je ne pense pas

pouvoir écrire la suite, pour la simple est bonne raison, que je dois faire un

grand projet en arts plastique, j'ai une réprésentation de ma pièce de théâtre

dans pas longtemps ainsi qu'un exposé et des devoirs. Merci de votre

compréhension ! :)

20 octobre, 2015

Aujourd'hui je commence enfin une nouvelle vie, loin de ces personnes, loin de cette vie horrible, vous savez ce que je déteste le plus au monde ? Ce sont ces personnes qui te demandent à longueur de journée si tout va bien, sachant pertinemment que la réponse leur est absolument égal. Un simple oui leur suffit alors qu'ils savent que c'est non, mais ils s'en foutent, il sont seulement là pour te rappeler chaque jour, chaque minute, que rien ne va, que ta vie est un véritable échec. Pourquoi faut-il que la vie soit horrible au personne qui le mérite le moins ? Mes parents sont morts il y a maintenant quatre mois, et j'ai ce vide en moi, cette impression que plus rien ne sera comme avant. Aujourd'hui je déménage, vivre à Londres, avec ma tante et mon oncle. Ils ont toujours voulut avoir des enfants, mais ils n'ont jamais réussie, je suppose qu'ils en auront enfin un, même si ce n'est pas dans les meilleures circonstances.

25 octobre, 2015

Je ne sais ce que je m'étais imaginer, peux être comme dans les films, que la nouvelle serait acceuillit, gentiment que beaucoup de personne lui parlerais, qu'il ou elle serait compatissant mais pas trop. C'est sur que ça c'est que dans les films. Je me sens horriblement seule, encore plus qu'avant c'est comme si je n'était qu'un fantôme. Je m'en fiche de me faire des amis extraordinaires, je n'en ai jamis eu, j'aimerais seulement enlever ce putain de sentiment atroce qu'est la solitude. Heureusement que j'ai des amis fidèle qui ne me laisseront jamais tomber, comme la musique ou encore la lecture. Même les profs se foutent royalement de moi, comme si j'étais dans ce lycée depuis des années. Alors un jour, je me suis mise au fond de la classe, j'ai pris les écouteurs, j'ai mis le son à fond et je me suis laisser bercer par la musique, ignorant le monde. Le prof m'a engueulé mais je l'ai ignorer, je crois avoir eu des heures de colles mais je m'en fous, une de plus ou de moins, ça ne changeras pas ma vie. Le soir en rentrant chez moi je me met sur le rebord de ma fenêtre je l'ouvre et je regarde les personnes passer dans la rue, écoutant en boucle Dream et Monster. J'habite dans un quartier riche, ma chambre est gigantesque et j'ai même une salle de bain privée, peux être une des seules chose qui me réjouissent ici. Mon oncle et ma tante sont super gentil, mais c'est pas la même chose j'ai l'impression de vivre avec des étrangers.

Aujourd'hui j'ai passé une journée horrible, les pestes ont décidé de s'en prendre à moi, trop facile je suis tout le temps seule, ce ne sont que des lâches. Elles ne m'ont pas lacher une seule seconde de la journée, traitant de mon physique de ma façon d'être, d'écouter des musiques de merde, a 14 heures j'en ai eu marre je me suis retourné et je leur est dit "Vous savez quoi je m'en contre fou de ce que vous pouvez bien pensez de moi, c'est pas des sales pestes qui vont changer ma vie". Je crois que ça ne leur a pas plus puisque la "peste n°1" m'a plaquer contre les casiers, alors je lui est foutu un coup de poing et je suis partit en courant, tout le monde nous a regarder j'ai vraiment pas hâte demain ça va être un enfer.

26 octobre, 2015 :

C'est bizarre.... Vraiment bizarre...Aujourd'hui elles n'ont rien fait, elle m'ont simplement ignoré. Je me dit qu'elle prépare un coup contre moi, elles ne peuvent pas passer outre, j'ai donner un coup de poing à leur "dominatrice"....je vais morflé, c'est sûr...mais quand ? A part que tout le monde me regardait de travers et parler dans mon dos, tout c'est bien passer. Un truc bizarre c'est passer dans le bus ce matin, un garçon m'a regarder pendant un moment et à fini par me dire "Bravo, elle a eu ce qu'elle méritait" Puis il est partit. Je crois que c'est bien une des seul personne qui a osé m'adresser la parole depuis mon arrivée dans ce lycée.

28 octobre, 2015 :

J'avais raison, j'avais raison... A la pause de midi après que j'ai manger, elle m'ont bombarder de bombe remplit de peinture. Très sympatique. Je me suis immédiatement réfugier dans les toilettes, après mettre rincer au plus vite le visage et la peinture que j'avais sur ma peau et dans mes cheveux avant que ça ne sèche. C'est en me retournant que je me suis rendu compte que les toilettes étaient en travaux. En gros, je devais absolument pas être ici. J'imagine que ces andouilles doivent bien rigoler. Je me retournai et vit un gigantesque mirroir, tellement grand qu'il prenait pratiquement tout la longueur et la largeur du mur. Des rires venaient de dehors je me retournai pour voir si personne n'entrait. Je me re-retournai face au mirroir, et c'est la que je le vit, cette ombre noir, ne possédant aucun visage, le problème c'est qu'il n'y avait personne derrière moi comme si cette personne était un fantôme ou encore qu'il venait du mirroir. Une deuxième personne apparut lentement dans le mirroir, je me rapprocha lentement et discrètement jusqu'a n'être qu'à quelques centimètre, face à cette étrange ombre. J'approchai ma main pour toucher cette étrange glace, quand tout à coup la main de cette personne sortit du mirroir et m'attrapa avec violence le poignet. J'essayai de toute mes force de me dégager mais c'était impossible. J'essayai de reculer mais il m'entrainait de plus en plus vers le miroir, puis ma main entra, puis mon bras, suivit de tout mon corps.

28 octobre, 2015 :

C'est comme traversé un fantôme,...pas que j'en ai déjà traverser un mais j'imagine, un peu comme dans Harry Potter, vous voyez ? Je m'égard revenons à nos moutons. Après avoir traversé le miroir, je me trouva dans une petite ruelle sombre, au début, je cru que ce n'était que la ruelle, mais non, tout était en noir est blanc, même mes cheveux d'un blond patine était devenu légèrement blanc et mes habits, noir. C'était comme être dans un monde parallèle, toute les personnes étaient identiques, noir et sans visage. Il marchait tous à la même vitesse et tous dans la même direction. Les immeubles étaient eux aussi identiques. Je fonçai vers un dès immeuble les plus proche et j'essayai d'ouvrir mais c'était fermé à double tour, ainsi que les deux autres que j'ai essayé. Je retournai proche de la ruelle ou j'étais prête à partir, mais c'est à ceux moment-là qu'une personne m'interpella :

- Tu as été choisie, tu as été choisie, tu as été choisie, tu as été choisie.

A chaque fois qu'il me parlait il avançait d'un pas et moi je reculais. Au bout d'un moment j'avais tellement reculé que je retournai dans le monde réel, repassant par ce miroir. Sachant que je reculais, je tomba sur le fesse, d'ailleurs, ça fait super mal. Je regardai ma montre, sachant que pour moi j'y suis resté minimum 30 minutes, les cours ont dut recommencé et je n'avais aucune excuse valable, enfin surtout possible pour mon retard. Mais il n'y avait seulement 1 minutes qui s'était écoulé comme si le temps c'était arrêtait durant mon absence.  Je sortis des toilettes et je tombai, pour la seconde fois dans la journée. Les pestes venait de me faire un croche-pattes et tout le monde autour de moi rigolait. Encore une super journée.

28 octobre, 2015, le soir :

En rentrant chez moi, je pris ma place habituel, assise sur le rebord de ma fenêtre, seulement cette fois-ci, impossible de me concentrer sur la musique, je repensais encore à ce monde, et à cette homme, qui m'avait parlé..c'est tellement étrange, et puis choisie, par qui et pour faire quoi ? Je me levai d'un bond, fonçant dans ma salle de bain, observant et scrutant le miroir, et si...le miroir de mon lycée n'était pas le seul passage de ce monde, et si j'ai été choisie, normalement je peux accéder à ce monde quand je veux et où je veux, non ? J'avais beau pensé, super fort à y accéder, rien ne se passa. Alors désespéré je pris une douche et me mettai en pyjama dans ma chambre, puis songeuse, je repris mes écouteurs et je m'asseyai sur le rebord de ma fenêtre. J'aimais observer les passants, connaitre quelque détails de leur vie, de toute façon je n'ai rien d'autre d'extraordinaire à faire. Ce n'est qu'au bout de quelques minutes que je le remarqua, l'homme dans le bus assis sur le rebord de sa fenêtre à lui et m'observant. Je retirai mes écouteurs et lui dit :

- ça fait longtemps que tu m'observes ?

Il rigola lentement avant de me dire :

- Juste un conseil quand tu te changes reste loin de ta fenêtre il pourrait y avoir quelques regards indiscret !

- Sale PERVERS ! Connard !

Je referma ma fenêtre, alors qu'il rigolait comme un imbécile. Et je suis allait me coucher. 

29 octobre, 2015 :

Je suis heureuse d'être en week-end, je serais enfin tranquille, loin de ce foutu lycée, seul problème mon voisin aussi est en week-end et j'ai bien l'impression que comme moi il ne quittera pas sa chambre. Sachant que je serais observé durant ces 2 jours de repos je partis dans ma salle de bain pour me préparer un minimum histoire de ressembler à quelque chose. Je me lavai le visage tranquillement lorsqu'en relevant la tête, il était là. L'homme sans visage qui m'avait attiré dans ce miroir au lycée et il m'observait, quoique c'est un peu bizarre de dire qu'il m'observait puisqu'il n'a pas de yeux, enfin bref..Cette fois-ci j'avais enfin d'y retourner alors il n'a pas eu à me forcer, j'y entrai moi même. Cette fois-ci je n'essayai pas d'entrer dans les immeuble je me mêla à la foule et j'avançai dans la même direction qu'eux espérant trouvé quelque chose au bout. Peux être une explication, ne serais-ce qu'un indice. Mais je fus arrêter avant, par quelque chose qui s'écrasa avec force sur ma tête, une batte de baseball peux être. 

A mon réveil j'étais dans ma salle de bain allonger sur le sol. En me relevant j'avais un mal de crâne horrible, comme si j'avais fait la fête toute la nuit. Je retourna dans ma chambre, me frotant le front. Je manquais d'air j'avais l'impression d'étouffer, j'ouvrit la fenêtre et je me laissai tomber sur mon lit. J'entendais mon imbécile de voisin rigolait bêtement, j'espère qu'il n'a pas cru que comme une andouille j'étais tomber dans ma salle de bain..Oh et puis je m'en fou de lui il est bête et sûrement un de ces mecs populaires débile qui se croivent tout permis. Au bout d'un moment le mal de tête était un peu partit alors je me levai et marchai dans toute ma chambre tournant en rond, essayant de me rappeller quoique ce soit de ce qui m'était arrivé. Pour me rafraichir les idées je partis me doucher. En sortant de la douche ce n'est qu'à ce moment là que je remarquai le tatouage, qui se situé au dessus de ma poitrine, c'était un logo abstrait impossible à décrire, comme si c'était un moyen de montrer que je faisait parti de ces gens, dans cet autre monde. Un peu effrayé je me mis en pyjama le plus vite possible, un pyjama au col assez haut pour que personne ne puisse le voir. Puis je sortis de la salle de bain et je m'asseyai sur le rebord de ma fenêtre. Le voisin était toujours la et il tapait énergiquement sur son clavier d'ordinateur. J'étais pratiquement allongé sur le rebord quand le tatouage me brûla horriblement je me redressa d'un bond et j'observa le tatouage qui était devenu rouge, comme si on me le brûlait au fer rouge. J'appuya sur ce tatouage et je mis ma tête entre mes genous essayant de supporter cette douleur affreuse, elle s'intensiffiait de plus en plus et je souffrais tellement. Je me leva d'un bond, trop rapidement, la dernière chose que je vu fut mon voisin un peu effrayé et déconcerté de ce qui m'arrivait, avant que je ne tombe dans les pommes.

29 octobre, 2015 :

A mon réveil ma tante et mon oncle était autour de moi et me regardaient intensemment. Ils m'avaient mis en PLS (position latéral de sécurité). D'après eux sans mon voisin il n'aurait jamais su que j'étais tombé dans les pommes. ça faisait 20 minutes que j'était là, ils ont eut très peur mais sont contents que j'aille bien. Pour expliquer mon malaise je leurs est fait croire que je m'étais cogné la tête dans la salle de bain et il m'ont cru. Je suis descendu manger un morceau et je suis remonté. La voix de mon voisin m'interpella :

- Je sais que tu ne t'es pas cogné la tête, pourquoi leur mentir, que leur caches-tu ? dit-il pars sa fenêtre.

- Ferme la et mêle toi de tes affaires, ça ne te regarde absolument pas !

- N'empêche sans moi t...

- Sans toi quoi ? le coupais-je énervé. Mon oncle et ma tant ne serais pas intervenu ? Ouaww tu m'as sauver la vie ! dis-je iro***ment. Tu sais quoi tu me saoûls, j'en ai marre des gens comme toi, populaire et qui se croivent tout permis !

- Qu'est-ce qui te fait crois que je suis populaire ? Ce n'est pas moi qui t'es dit que cette peste méritait ce que tu lui avais-fait ?

- Tu peux avoir eut un rancune avec elle ou alors elle t'as plaquée alors tu ne la supporte plus ! Et puis un mec beau et musclé ne peux être que populaire !

- Non crois moi je ne suis jamais sortis avec cette imbécile, et je vois que je ne suis pas le seul à mâter par la fenêtre ! Et puis c'est sur même toi tu l'admet que je suis beau ! dit-il en rigolant

- Et prétentieux en plus ?!

Il rigola un moment puis, je finis par l'ignorer et puis fermer la fenêtre. J'ai passé un très long moment à essayer de comprendre pourquoi j'avais ce tatouage et pourquoi m'avait-il autant brûler, cette personne était-elle apparut dans mon miroir exprès pour que je me fasse piéger et qu'on me tatoue cette, "chose". Mais dans quel but ? Pourquoi moi ? Et si je n'étais pas la seul, si d'autre personne qui habite ici ou ailleurs avait était piéger par un miroir dans leur lycée ou chez eux, mais encore une fois quand quel but ? Y retourner me faisait peur, même si je refusais, il trouverait toujours un moyen de me faire entré dans un fichu miroir.