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surnaturel-fiction has 0 goodness points.

surnaturel-fiction
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عارضة أزياء عالمية (rang 1)
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Bienvenue chez surnaturel-fiction.

 Répertorié(e) chez Bibli-fictions


Comme vous devez le deviner, je fais un fiction, pas une fiction réaliste mais une fiction sur les loups-garou. Un sujet qui m'inspire beaucoup suite à de nombreux ouvrages que j'ai lue. En tout cas je vous conseilles le livre "Femme de l'autre monde" de kelley Armstrong. C'était vraiment génial et pourtant je n'aime pas lire de gros bouquins, j'utilise quelques prénoms du livre car je les trouve beau, désolé.^^' 

J'écris une autre fiction sur fiction-normal qui est une fiction "réaliste".

Vous êtes de plus en plus nombreuses à vous abonnez. Merci beaucoup !

 

Merci beaucoups pour vos mp ou vos commentaires super agréable à propos de ma fiction, ça me va droit au coeur. ♥

Absente pendant un certain temps. La suite sera commencée le 19/12.

J'espère que vous apprécierez.(:

 

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C'est simple, je vous ajoutes juste dans mes amis. Vous pouvez faire de même si vous le voulez. L'abonnement consiste à ce que je vous préviennes quand un nouveau chapitre sortira.

Résumé : 

6 ans que je vis avec cette affreuse souffrance. Muter chaque semaine pour ne pas se retrouver louve au travail. C'est assez iron.ique comme situation quand on y pense. Ce que je redoutais le plus c'est de ne plus être humaine, beaucoups de loups-garou renoncent à leurs humanité en tuant des humains. La meute me l'interdisait, donc je me contente de lapins, de cerfs et autres animals. Pourquoi il a fallut que je survive à cette morsure ? De nombreuses attaques ont eu lieu sur des humains, qui es à l'origine de sa ?

 

Chapitre 1


- La nuit approche, me dis-je.


Je pris mon sac et sortis de la maison en vitesse sans que Clay et les autres ne me vois. Je me dirigeai vers la forêt comme chaque semaine pour muté. L'épreuve la plus douloureuse du monde. Je continuai à marcher dans la forêt m'éloignant de la maison pour pouvoir être tranquille. Quand j'étais assez loin, je me mis derrière une petit fourré, j'enlevai mes habits que je repliai soigneusement. Je me mis à genoux et commençais la mutation. Mes jambes se rétrécirent et des poils apparaissèrent de plus en plus. L'os de ma jambe droite se cassait, je lâchai un cri de douleur. Je suai tellement que beaucoups de gouttes tombaient sur le sol. Je continuai à me concentrer pour pouvoir la finir au plus vite. Plusieurs os se brisèrent et enfin, la douleur cessait. Je me relevais et humais l'air. J'étais maintenant louve, ma vision était différente, je voyais du vert très clair, du violet et d'autres. Au moins en louve, ma vision était aussi clair que le jour pendant la nuit, côté pratique. Je me mis à courir, les branches me giclaient à la figure mais ça ne me faisait pas mal vu que ma fourrure est assez épaisse. Je m'arrêtais et me couchais à terre, je humais l'air  de nouveau et je sentis un lapin qui n'était pas loin. J'avançais doucement pour ne pas me faire remarquer, je me cachais dans les broussailles et je le vis qui était assis en train de manger. Désolé panpan, mais j'ai faim. Je reculais pour prendre de l'élan, je calculais la distance puis je sautais mais quelques chose me percutait pendant mon saut et je retombais sur le flanc. Je me relevais et regardais autour de moi. Génial, moi qui voulais être tranquille. Clay se trouvait en face de moi mais il n'était pas en loup, il était sous f.orme  humaine. Je lui lançais un regard mauvais. Il se mit à rigoler aussitôt, c'est génial d'être prise au sérieux.


- Alors on va se balader toute seule ? lançait t-il avec un rictus.


Je continuai à le regarder de travers qui voulait dire : "Laisse moi tranquille pour une fois". Je partis en trottinant tout en l'ignorant, il commençait à me suivre mais je me mis à courir et là, loup contre humain, c'est le loup qui gagne à la course. Je me retournai à plusieurs reprises pour vérifier si il me suivait toujours mais non. Je ne sentais pas non plus son odeur donc il a dut repartir, tant mieux. Je fis demi-tour pour aller dans la même broussaille où j'avais laissée mes affaires et pour faire la mutation inverse, afin de redevenir humaine. Une fois arriver, je baissai mes pattes avant et me concentrai. La mutation de se sens était largement plus facile, je ne sentai presque rien. 10 minutes après, j'étais redevenue humaine, je me r'habillai et me dirigeai vers la maison. Clay m'attendait devant le portail, un vrai chien de garde celui là. Ma relation avec Clay était... compliquer. Je ne sors pas avec lui mais depuis que je suis louve ce n'est plus pareil, je ne le vois plus pareil. Je tiens beaucoups à Clay mais j'arrive pas à savoir ce que je ressens pour lui, comme je disai c'est compliquer. Je marchai en sa direction.


- Pourquoi tu ne m'as pas dit que t'aller courir ? me dit-il.


- Parce que je ne voulais pas que tu m'accompagnes.


- Je te dérange à se point ? rigola t-il.


- C'est pas ça, mais j'ai besoin de respirer tu vois, tu me colles déjà h24. J'ai le droit de sortir sans toi.


- Je te suis pour te protéger, chérie.


- Il y a aucune menace dehors ! Tu le sais très bien et puis je sais me défendre, fais moi confiance un peu. 


Je rentrai à la maison et claquai la porte. Je l'entendis souffler puis ces pas s'éloignèrent de la maison. Oui, les loups-garou ont une super ouïe, là aussi c'est un côté pratique. Mais si je devais choisir entre être humaine ou loup-garou, je choisirai humaine sans réfléchir. Les humains peuvent se créer une vie, avoir une maison avec une famille, avoir un mari des enfants, aller au travail, sans se préoccuper des mutations et autres. Comme je l'es envie. J'aurai pu avoir la vie que j'ai toujours voulu avoir mais on m'avait mordu. Comme le mot loup-garou l'indique c'est 99% d'hommes, je suis la seule femme louve. Les loups-garou essayent souvent de me draguer ou autre car je représentai un trophée pour eux, et puis pour la reproduction personne ne savait qu'est-ce qui sortirai. Un loup-garou mais encore un peu humain ou pleinement loup-garou ? Je n'ai pas envie de le savoir à vrai dire. Je n'ai jamais songer aux enfants, si j'en voulais ou non, ou si je voulais en avoir, la possibilité avec un humain serait vraiment bizarre car je devrai emmener l'enfant dès sa naissance et le père ne serait pas très content à mon avis. Je devrai l'emmener car à 20 ans il aurait sa première mutation. Alexandre (l'Alpha)m'avait dit qu'il fallait l'habituer dès sa naissance à être avec des personnes comme lui, le préparer à ce qui aller lui arrivait à ces 20 ans. Dans "ma" Meute il n'y a pas d'enfant ou pas encore, mais je crois que mes frères de Meute ne sont pas près à être papa ou les autres ont déjà un enfant qui à plus de 20 ans alors pour eux, plus de soucis. On doit se reproduire pour maintenir l'espèce en vie, mais Alex ne nous oblige pas, il dit qu'on a le temps... Je partis en direction de la cuisine vu que, Clay a fait fuire ma proie, merci Clay vraiment. Dans la cuisine, il y avait Samuel, c'est aussi un loup-garou, de toute façon il n'y a pas d'humain dans notre maison. Samuel fait un bon mètre 87, il a tout le temps les cheveux en bataille et il les a d'un brun foncé, il est aussi musclé mais c'est normal vu que en tant que loup-garou on es tous en f.orme physiquement. J'adore ces yeux, ils sont verts foncés, d'ailleurs je crois que je lui dis à chaque fois que je le vois. Quand je lui disai, il rigolait et me complimentai après, mais c'est pas ce que je lui demander. Enfin, Clay n'aime pas du tout que je complimente d'autres personnes, il est très possessif et très jaloux, malheureusement. J'ouvris le frigo et sortis une assiette de viandes que je posai ensuite sur la table.

 

- Tes pas partie courir ? me questionna Samuel.


- Si, pourquoi ?


- D'habitude quand tu vas courir, tu manges, non ?


- J'ai faillit mais quelqu'un à tout gâcher, ronchonnai-je.


- Donc Clayton ta suivis pourtant je lui es dit de ne pas te suivre, rigola-t-il.


- Clay ne suit que ces propres ordreset ceux de Alexandre et des fois les miens, mais pas trop non plus.


Il continuait à rigoler et on se mit à manger. Manger quelques chose déjà mort ça enlève tout le goût de la viande. Chasser, cette sensation de contrôle, de pouvoirs, c'est aussi très e.xcitant. Tout les loup-garou prennent beaucoups de plaisir à chasser, c'est pour cela que beaucoups chassent les "humains" car les humains sont parfaits dans le rôle, on ressent leurs peurs, ils courents, se retournent pour essayer de nous voir, tombent, tout ce que j'aimerai que fasse un lapin ou un cerf. Mais le lapin lui, on ne ressent pas sa peur ou très peu et il a souvent pas le temps de se rendre compte qu'on es là, dommage. Quand j'eue finis d'engloutir mon assiette, je me levai et me dirigea vers l'évier pour la nettoyer. Je sentis des bras autour de ma taille, je me retournai et vis Clay avec un petit sourire pervers. Il m'embrassait le cou.


- Clayton enlève toute suite sa de tes pensées. 


- Aller, comme au bon vieux temps, on s'amusait bien.


- Comme tu l'as dit, c'était avant. 


- Même pour moi tu veux pas...? 


- Non, grognai-je.


- Clay la dernière fois que tu l'as énerver, tu t'es retrouver par terre, gloussa Samuel.


Clay se mit à grognait et me lâchait ensuite de son entreinte. Il se dirigeait vers le réfrigérateur et pris lui aussi une assiette de viandes. Je filai dans ma chambre. Elle était assez neutre, les murs étaient d'un beige clair, j'avais un lit double et une jolie coiffeuse. Je m'habilla en vitesse avec un haut blanc simple,un jean clair,un gilet gris,et des baskets blanches.Je pris mon téléphone et descendai dans le salon. Alex y était, il était assis en train de boire son café. Quand il entendit mes pas, il se retournait.


- Où vas-tu ? demanda t-il.


- Je sors.


- Oui, mais où ?


- Roh. Je vais au café du coin.


- Ta pas déjà déjeuner ?


- Si, mais c'est pour m'inf.ormer, comme d'habitude, que je sors, dis-je en soupirant.


- Rentre pas trop tard.


Je lui fis oui de la tête et je partis de la maison. Je montai dans ma pauvre petite clio, et partis vers le café. Il me fallut que quelques minutes pour arriver, le café était nommé "Chez Monsieur K". Oui, c'est un nom assez bizarre mais bon les cafés sont très bon là bas même si je n'y vais pas pour en prendre un. Je rentrai et me dirigeai vers le contoir, personne ne rentre sans manger ou prendre un café, sinon ça peu paraître "louche".


- Bonjour, je vais prendre un café et un donut au chocolat s'il vous plait, dis-je au serveur.


Il sortit une assiette puis mis le donut dedans. Il se retourna et fis le café.


- Ca fera 6.60€.


Il posait ensuite mon café à côté de l'assiette, je réglai puis je la pris et me dirigeai vers une table près de la fenêtre. Il y avait pas mal de monde, d'habitude il y a presque personne à 10h00. Je pris une gorgée de mon café et croquai ensuite dans mon donut. Je me mis donc à écouter se que disai les autres clients. Ceux qui était à la table du fond, parlait des impots qui avaient augmenter, le couple qui était la table derrière moi, eux, parlait de leurs enfants. Aucun ne parlait de meurtres ou d'attaques d'animals, tant mieux ! Aucun cabot en ville. Les cabots sont les loup-garou qui ne sont pas dans la Meute car eux, ils aiment manger les humains, ce qui es interdit pour les membres de le Meute. Pour nous, les cabots attirent que des ennuies car quand ils tuent un humain, il le laisse là où ils l'ont tué, ils ne le cachent pas. Ils en sont plutôt fière. Donc quand il y en a un dans la ville, nous le tuons ou le chassons, c'est la règle. Je finis de boire mon café quand je vus au loin le pot de colle, vous devinez donc : Clayton. Qu'est-ce qu'il fou là ? Il peut vraiment pas me laisser tranquille celui-là. Donc comme une parfaite gamine, je pris mes affaires et je me dirigeai vite dans les toilettes. Là, il viendrait pas. Je l'entendis entrer dans le café. Bon bas, je suis bloquée maintenant. A moins que... Il me restait la fenêtre des toilettes pour sortir, pas très élégant mais efficace. Je montai sur l'évier et passai par la fenêtre. Je remis en place mon tee-shirt puis me retournai.


- Tu m'évites ? 


Je sursauta et vis Clayton en face de moi.


- C'est malin, tu m'as fait sursauter.


- Ta pas répondu à ma question, tu m'évites ?


- Oui je t'évite.


- Pourquoi ?


- Tu m'énerves à me coller, tchao.


Je lui tournai les talons et me dirigeai vers le devant du café pour récupérer ma voiture. Biensûre, Clay me suivait, comme d'habitude.


- J'ai pas fini, grogna t-il.


- Moi j'en es fini alors lâche moi un peu.


Je me dépêchai de monter dans ma voiture et vérouillai les portes. Il tirait sur la poignée de la porte passager pour rentrer mais elle ne s'ouvrit pas. Il me regardait avec un regard mauvais quand il eut compris que j'avais vérouillée les portes. Naturellement, je lui souris et enclenchai le moteur. Puis je partis en le narguant. Je me rendis vers un petit parc, il n'y avait personne. Enfin tranquille ! Je garai ma voiture et sortis. Je me dirigeai vers le milieu du parc car il y avait des bancs et une jolie fontaine. Je m'assied donc sur un de ces bancs qui était en face de la fontaine. Je sortis un livre "Demain" de Musso. Le calme, tout se que je cherchai. Pas un chat, pas de bruits de voitures, que le chant des oiseaux. Puis se calme fut rompu par des bruits de pas. Je parie que c'est Clay qui me suit encore. Qu'elle tête de mule celui-là ! En plus, je l'es énervée tout à l'heure alors je ne pense pas qu'il va être de bonne companie. Je commençai à me retourner pour "affronter Clay" mais se n'était pas lui. C'était un homme assez grand, qui portait des lunettes de soleil, un tailleur noir et un pantalon en coton blanc qui veut dire bourgeoisie. Il avait les cheveux bruns et une mèche qui tombait sur son visage. Il s'avança vers moi avec un grand sourire.


- Hayley Richardson ? demanda t-il.


- Vous... Vous me connaissez ?


- Biensûre ! Comment ne pas connaître la seule femme loup-garou ?


Je me figea ne savant plus quoi répondre. Je cligna des yeux en essayant de comprendre.


- Je comprend que vous n'êtes pas habituer à cette approche. Je m'appelle Nathan Crawford, continua t-il.


- Que me vaux cette visite ? réussi-je enfin à dire.


- Vous, bien entendu.


- Moi ?


- Oui. Vous en doutez ? Enfin, comme vous le savez, vous êtes la seule femme loup-garou. Personne ne sait se que donne l'union d'une femme et d'un homme loup-garou, pour le savoir il faut donc...essayer. Avant que vous ne refusiez, réfléchissai. Si vous me suivez, on ne fera rien à votre Meute.


- Je ne suis pas à vendre.


- Savez-vous combien sommes nous avant de dire non à une si belle offre ? ( je ne répondis pas.) Nous sommes une dizaine, votre Meute n'ai que... 6 loup-garou non? Vous etes donc inférieur et aussi plus faible. Si vous me suivez, votre Meute reste en vie. C'est un beau marché, non ? Avant que vous donnez votre réponse, réfléchissez bien. Je vous laisses jusqu'a demain après-midi. On se donne rendez-vous ici à 17h00. N'en parler pas à votre Meute sinon le marché ne tiendra plus.


- Aucun marché n'a encore été fait, répondis-je.


- Oui, mais vous m'avez comprise. Ne jouer pas à se jeu là Mlle Richardson, vous y perderez. Bonne fin de journée.


Il partit avant que je puisse répondre. Que faire ? Ce n'est peut-être que du bluff... Si ça ne l'était pas, est-ce que je devais risquer la sécurité de la Meute ? J'aimerai tellement en parler à quelqu'un... Je ne peux pas, il m'a assez prévenu à se sujet là. Si j'acceptai, je me donnai totalement à lui et je donnai aussi  ma dignité. Je ne peux pas accepter ! Je ne sais vraiment pas quoi faire. Je restai sur le banc pendant 1 heure à réfléchir à son marché. Je devrais peut-être...

 

Chapitre 2 [en cours]

 


Je décidai finalement de rentrer à la maison. Je ne savais absolument pas comment réagir. Je vais sûrement rentrer, la tête baissé. Si je fais ça, Clay ou quelqu'un d'autres remarquerai qu'il y a quelques chose qui me tracasse, mais je n'ai pas le droit de leurs en parler et Nathan a été très clair à se sujet. Si je me pointai pas au rendez-vous de demain, qu'est-ce qu'il fera ? Attend. C'est impossible qu'il y es ces "sbires" autour de notre maison car on les aurait sentis et puis nous nous baladons souvent dans la forêt. Il n'y a personne. Dès que je serai rentrer je fouillerai la forêt, après on verra. Je quittai donc le parc et me dirigeai vers ma voiture, je montai dedans et rentrai à la maison. Une fois arrivait, je la gara et sortis discrétement. 


- Tant à mis du temps pour aller prendre un café, dit une voix.


- Ethan ! Ca fait tellement longtemps ! 


Je fonça sur lui et lui fis un calin. Il m'avait tellement manquer. Il était grand, les cheveux blond foncé et les yeux noisette. Il était partit pendant des mois pour aller régler un problème de cabots qui voulait dévoiler notre nature aux humains. Je pense qu'il l'es a tuer. Oui c'est comme ça, la survie avant tout.


- Alexandre m'a dit se matin que tu étais partit chercher des infos et que tu n'étais pas revenu depuis. Tout le monde était inquiet Hayley, dit-il en fronçant les sourcils.


- Désolé, après le café...(Je pris unelongue inspiration.) Je suis allée me promener dans le parc et je me suis endormie.


- Tu tes endormie ? Tu dors pas la nuit ? lança t-il avec un petit rire.


- Si mais être au calme comme ça... Ca ma emportée. 


- D'accord.(Il sourit.) Tu viens, il t'attendait pour que je fasse mon rapport.


Il me pris la main et m'emmena à l'intérieur. Oui j'étais contente qu'il soit rentrer, mais ce n'était pas le moment. Maintenant, sa vie aussi est en danger. Toutes leurs vies sont entre mes mains. Je m'arrêta un court instant, réfléchissant comment je pourrai gâcher leurs vies... Si je partais, je savais que Clayton ferai tout pour me retrouver. Ethan s'arrêtait et me fixait, il commençait à froncer les sourcils puis il me dit:


- Hayley...?


Je sortis de mes pensées et le regarda.


- Heu...Oui ?


- Ca va ?


Il commençait à s'inquiéter, je devais trouver une excuse et lui mentir, encore. Je n'aime pas du tout cette situation car je suis impuissante. Je ne peux pas faire se que je veux. C'est leurs vies ou la mienne. Bon sang ! J'en es marre ! Je sentai les larmes qui commençaient à monter, Ethan ne devait pas voir sa. Je lâcha sa main brusquement, je rentrai dans la maison et me dépêchai de monter dans ma chambre. Je l'entendai qui crier mon nom,  je ne me retournai pas. Je vérouillai ma porte même si je sais que si il voulait il pouvait l'ouvrir tranquille, mais il le ferait pas car il comprend mon intimité. Je restai allonger sur mon lit une vingtaine de minutes puis je décidai enfin à descendre.

Ma réaction était débile de monter dans ma chambre en courant. Comment bien se faire remarquer en une étape, bravo Hayley. Qu'est-ce que vous voulez, c'est sa l'inconvénient d'être blonde. Maintenant je vais devoir affronter toute la Meute et vais être sûrement obliger de leurs mentir. Je n'arrivai juste pas à mentir à Alexandre. Il sait très bien comment je fonctionne, il sait quand je mens, je suis donc fichu. Enfin, ils sont fichus. Je suis censée leurs dire quoi ? "Salut les gars, aufaite il y a quelqu'un qui va vous tuez si je ne les suis pas. Aller, bonne journée !" Ça sonnait faux. Le mensonge était plus approprié. Je descendai les marchés et vis toute la Meute qui était autour de la table du salon. Tiens, ça va être ma fête... Rien de plus gênant devoir des gens te fixaient. Une fois dans le salon, je restai là, sans bouger, ni parler. Si je parlai, je savais que je dirai une co.nnerie. Maxime, le "second" de Alexandre me regardait encore plus mal que les autres. Avec ces cheveux noirs, ces yeux noirs aussi et sa peau un petit peu pâle, c'est flippant. Malgré qu'il soit le plus petit de la Meute, il est le plus "dangereux" je dirai. Il décidait donc de rompre le silence.


- Qu'est ce qu'il y a encore ? Ta fais une c.onnerie, c'est sa ? Me questionna t-il.


- Non, répondis-je calmement.


Il me lançait un regard qui montrait qu'il me croyait pas. Encore un qui sait quand je mens, merde alors. Je regardais Clay, il etait inquiet. Au moins un qui se soucis de moi et non de la bêtise que j'ai pu faire. Je me pinçai la lèvre, c'était un de mes tics quand je suis inquiète ou que j'ai peur. Les 3/4 de la Meute le savaient très bien. Ils continuaient à me fixer, ils attendaient une explication. Vu que personne n'avait l'intention de partir, je décidai de sortir. Je les regardai tous une dernière fois et je partis vers la forêt. J'entendais des pas derrière moi, il devait s'agir de Clayton. Je continuai de marcher dans m'arrêter une seule fois ni me retourner. Cette fois si, je m'enfichai que Clay me suit car lui, il ne me jugerait pas si je lui disai rien. Je m'arrêtai et m'assis sur une souche d'arbre. Clayton c'était aussi arrêter. 


- Tu veux en parler ? me dit-il.


C'est maintenant qu'il faut que j'inv.ente un beau mensonge. Je baissai la tête et réflechissai. Aller, un truc crédible. Hum... C'est plus difficile que se que je pensai. Ah, sayez, je sais.


-  Demain après-midi je vais aller chez ma mère et je vais y rester quelque temps.


- Combien de temps ? me questionna t-il.


- Je sais pas, peut-être un mois...


- 1 mois ?! 


Je passai ma main dans mes cheveux. C'est dure de lui mentir, il me regardait avec ces beaux yeux bleu, inquiet.


- Ou peut-être plus...


- Tu vas faire comment pour muter dans une grande ville hein ?


- Il doit bien avoir un parc.


- Hum. D'accord, je t'accompagne alors.


- Euh... Tu peux pas, je vais vivre chez ma mère, dis-je.


- Je me trouverai un hôtel pas loin.


- Tu peux pas, bon sang ! lui criai-je.


Je mis mes mains sur mes yeux et les remontai ensuite juqu'à mes cheveux.


- Désolé, mais tu peux vraiment pas venir...


Je me levai.


- Il faut qu'on rentre, lui dis-je.


Il restait sans bouger, me regardant. Il fronçait les sourcils en essayant de comprendre ma réponse. Il ouvrit la bouche comme pour parler, mais rien ne sortit. Puis on rentrait, en se tenant la main. Bien que dès fois il m'énerve, je l'aime énornément. On marchait encore, je me rappelai pas que j'avais marcher autant à l'aller. J'étais trop "ailleurs" pour m'inquiéter des kilomètres. Quand j'étais avec Clay, tout mes problèmes disparaissaient, comme si ils n'avaient jamais existés. J'étais tellement bien...Je posai ma tête sur son épaule gauche et fermais les yeux. On était bientôt arrivés, malheuresement. Tout les problèmes allait ressurgir. Je devrais repenser au marché de Mr Crawford. Je vais être obligé d'accepter. Je ne pouvais pas gâcher le bonheur de Clay et de mes autres frères de Meute. Le mensonge que j'avais dit était plutôt crédible, Clay m'avait crue. Dans quelques mois, il va remarqué que je reviendrai jamais et à se moment là, il va tout faire pour me retrouver et il se ferait tuer si il venait à ma "rescousse". Faudrait que je le prévienne, une fois qu'on serait assez loin. Je ne veux pas le voir débarquer et se faire tuer sous mes yeux. Je ne peux pas vivre en sachant qu'il est mort de ma faute ou qu'il soit mort tout court. Au loin, on commençait à voir la maison. Clay s'arrêtait et me regardait. J'ouvrai les yeux et enlevai ma tête de son épaule.


- Qu'est-ce qu'il y a ? lui demandai-je.

 

- Tout à l'heure, est-ce que tu étais sincère ?

 

Je redoutai cette question. Déjà que j'ai eu du mal à lui mentir une fois mais alors une deuxième fois, c'est encore pire ! Bon, calme toi Hayley, tu vas y arriver. Tu fais ça pour sa sécurité.

 

- Je... euh... Oui, bafouillai-je.

 

- Tu mens Hayley.

 

Merde. Je fais quoi ? Sérieusement. A part tout lui dire, je vois pas. Encore un autre qui sait quand je mens, génial. Trois sur six loup-garou de la Meute savent quand je mens. C'est pas gagner. Personne est dans la forêt de toute façon, je l'aurai sentie sinon. Alors, pourquoi ne pas lui dire ? Une partie au fond de moi me dit de ne pas le faire car je pourrai risquer sa vie en le mettant au courant. Non tu ne peux pas lui dire ! C'est la vie de la Meute que tu mettrais en danger si tu disais tout à Clayton. Je baissai la tête. Il me regardait toujours, avec ses mains il relevait ma tête. Ses mains étaient sur mes joues, il me regardait ensuite droit dans les yeux.

 

- Dis moi se qui va pas, tu peux tout me dire.

 

- Je ne peux pas, Clay ! Sinon je te l'aurai dit.

 

- Qu'est-ce qui t'en empêche ?

 

- Si je te le dis, beaucoup de vies seront en danger alors je ne peux pas. S'il te plait, n'insiste pas.

 

- Comment sa des vies seront en danger ? Là Hayley tu es obligé de tout me raconter.

 

- Non...(je repoussai ses mains qui étaient sur mon visage.) Non.

 

Je remarchai en direction de la maison. Son air inquiet était de nouveau là. Je me mis à courir pour je ne sais qu'elle raison. J'étais maintenant en face de la maison. J'ouvris la porte brusquement et me dirigeai vers les escaliers. Je me retournai quand j'étais presque en haut et vis des cheveux bruns apparaitrent de la porte c'était Clay. Apparemment il n'avait pas courru pour me suivre, il avait dut continuer à marcher tranquillement. J'arrivai à la porte de ma chambre, je l'ouvris, entrai et vérouillai la porte. Je me déshabillai ensuite pour me mettre en "pyjama". Un short en molleton et un tee shirt basic blanc. Je me réfugiai ensuite dans ma lit, sous la couette et fermai les yeux. Le sommeil ne venait pas. J'attendai, toujours dans la même position. Quelqu'un toqua à ma porte. Roh, je vais être obliger de me lever... J'ai fais exactement pareil que tout à l'heure, j'étais partie en courant dans ma chambre, le truc qui éveille bien les soupçons. A mon avis, Clayton ne doit plus trop croire à mon mensonge. Il faut que je parte. J'entendis la voix de Clay et de Alexandre à la porte. Je n'avais plus beaucoup de temps. Je sortis un sac qui était sous mon lit, ouvris la commode et pris tout mes tee-shirts, jeans, chaussettes et sous-vêtements. Je me dirigea vers mon petit bureau en bois, et pris un bout de papier qui était à côté de mon ordinateur et écrivis quelques mots à l'intention de la Meute. Je me dirigeai ensuite vers ma fenêtre. J'étais au premier étage donc ce n'était pas très haut et au pire j'étais un loup-garou. Je pourrai même sauter du 5ème étage, je n'aurai rien de casser. Je sauta de la fenêtre et atteris lourdement sur le sol. La porte de ma chambre s'ouvris brusquement. Ils m'appellaient. Je courus vers ma voiture , ouvris la porte côté conducteur, lança mon sac sur le siège de derrière et enclenchai le moteur. Je jeta un coup d'oeil dans le rétroviseur et appuya sur l'accélérateur. Je vais où maintenant ? Il doit bien avoir un hôtel à Brulington. Je devais rester dans le coin car demain je dois être au parc à 14h. Oui j'avais pris ma décision. J'allais partir avec les cabots. Je n'ai pas d'autres choix. Au loin, je vis une pancarte qui indiquait qu'il y avait un hôtel dans 2km. Enfin ! 

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