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bonjour,
je m'appele Emily je suis un vampire, je me nourit de sang et j'aime jouer avec mes victimes avant se leur asspirer le sang jusqu'a la derniére goute de liquide ecarlate qui me maintien en vie... si je puis dire.
Une nuit de pleine lune, dans une maisonnette abandonnée, des cris hystériques et furieux se faisaient entendre. A l'intérieur de la minuscule maison, une femme était en train d'accoucher sous le regard mortifié de son mari. La femme, qui se prénommait Helen, ne cessait de pousser d'effroyables cris. Andrew, son mari, regardait le spectacle sanglant, ses membres paralysés par la peur et par les hurlements de sa femme.
La sorcière du village était venue rendre visite à Helen, quelques heures plus tôt. Elle avait proféré une énigme, que nul seul – mis à part elle – ne pouvait comprendre. Pourtant, la magicienne avait vu juste. En cette terrible nuit de novembre 1789, une femme donnerait la vie à une enfant maudite et en mourrait. Helen avait renvoyé la sorcière et elle s'était affairée, comme à son habitude, à préparer le déjeuner.
Mais ce ne fut qu'aux trois coups de cloches, de l'après-midi qu'Helen sentit les contractions. Au début insignifiants, les spasmes étaient devenus de plus en plus nombreux et approchés, obligeant la femme à s'allonger sur son lit et lui arrachant des hurlements de douleur. A ce moment-là, Andrew n'avait plus réagit. Malgré que son épouse souffre, l'homme assistait au spectacle, impuissant.
Ce ne fut qu'après une vingtaine d'heures plus tard, qu'un cri de bébé déchira le silence, qui sévissait dans la maisonnée. Les halètements d'Helen commencèrent à s'estomper jusqu'à ce qu'ils se meurent dans un dernier souffle de vie. Son époux vint couper le cordon ombilical avant de déposer le bébé, à la peau rougeâtre et nue, sur la poitrine de la jeune femme.
« Chérie ? » murmura l'homme, en s'approchant de son épouse.
Il n'avait pas sentit le corps de sa femme exulter ou inspirer de l'air, lorsqu'il avait posé l'enfant sur sa poitrine. Il fallut un certain temps avant que le jeune homme n'assimile la nouvelle. Des larmes secouèrent le corps maigre de l'homme. Son épouse avait toujours les yeux ouverts et le contemplait, de ses yeux vides. Sa longue robe blanche était tâchée et barbouillait d'un liquide rougeâtre.
Andrew enleva le nouveau né de la poitrine de la défunte. Il enveloppa l'enfant dans un drap blanc et le déposa sur la table en chêne, qui trônait au milieu de la pièce. L'homme souleva sa femme, sa tête retombant lamentablement en arrière, et il parcourut le kilomètre, qui le séparait du village, dans la neige et le froid mordant de ce début de journée de fin du mois de novembre. Andrew déposa Helen sur le parvis de l'église, du sang tachant sa chemise. Aucune personne ne le vit déposer son épouse et l'embrasser une dernière fois.
Lorsqu'il revint chez lui, Andrew regarda son enfant. Ses grands yeux noirs pétillaient de vie. Ses petites mains ne cessaient de se tendre vers son père.
« Je vais t'appeler Emily, mon enfant », chuchota l'homme.
Il souleva son enfant, qui éclata de rire, et la fit voltiger dans les airs.
Une quinzaine d'années était passée depuis la mort d'Helen. Emily était une jeune fille très belle. Comme beaucoup de ses compagnes de jeux, elle avait de nombreux prétendants. Ses grands yeux noir charbon étaient toujours à l'affût d'un simple mouvement. Ses cheveux noir de jais volaient tout le temps dans l'air frais. La jeune fille haïssait d'emprisonner sa chevelure dans des coiffures abracadabrantes et savamment difficiles à reproduire.
Tout comme Elisabeth, l'une de ses compagnes de jeux, Emily s'amusait avec les hommes. Elle les considérait comme des compagnons ou des amis, lorsqu'elle les connaissait bien mieux. Son meilleur ami, Edward, avait changé depuis qu'ils étaient entrés dans l'adolescence. Comme tous les hommes, le jeune homme était tombé amoureux de sa meilleure amie. Il avait tenté à plusieurs reprises de faire la cour à Emily. Mais cette dernière l'avait toujours rabroué.
Assise sur la branche d'un arbre centenaire, la jeune fille lisait un roman. En bas, assis dans l'herbe , Edward récitait un poème.
« Edward, cessez de réciter cette sorte de poèmes, je vous prie » déclara l'adolescente, en lui souriant.
Le jeune homme lui rendit son sourire. Emily jeta son livre à terre avant de descendre de son arbre. Edward l'aida à descendre et tous les deux partirent chez le jeune homme. Comme à leur habitude, le couple – bien qu'il n'en soit pas un à proprement parler – se tenait par la main. Il ne leur fallut que dix minutes pour atteindre une petite bourgade anglaise. L'adolescent vivait dans une petite boutique que ses parents tenaient depuis plusieurs années. Le rez-de-chaussée était composé de la boutique et de l'atelier où les hommes reproduisaient des bottes à longueur de journée. Au premier étage, les femmes entreposaient toutes les sortes de cuir.
Les adolescents pénétrèrent dans la petite boutique, faisant retentir la petite clochette disposée au dessus de la porte. Le père d'Edward se présenta, tout sourire, dans la boutique. Lorsqu'il vit que ce n'était que son fils et l'une de ses innombrables conquêtes d'une nuit – car il considérait qu'Emily n'était pas une amie mais n'était ni plus ni moins qu'une fille de joie – l'homme retourna à l'arrière de la boutique. Edward laissa échapper un petit rire avant de se tourner vers son amie.
Cette dernière commençait à s'éloigner de l'adolescent. Avant d'ouvrir la porte, elle fit un petit signe de la main et elle s'enfuyait dans les rues, devenues sombres, de la petite bourgade. Alors qu'elle traversait une petite ruelle noire, un homme s'approcha d'elle. Ce dernier l'accosta et lui demanda de l'aide. Mais en bonne jeune fille qui se respecte, Emily ne lui adressa aucune parole et elle continua son chemin. L'homme la retint par le poignet. Son dos frappa violemment le mur de pierre. La jeune fille plongea son regard noir dans le regard bleu électrique de son interlocuteur. Ce dernier avait des canines bien trop proéminentes pour qu'il soit un être humain. Emily inspira et attendit patiemment.
L'homme approcha ses lèvres du cou blanc de sa pauvre victime avant de lui aspirer tout son sang et de lui insuffler des gorgés de poisons. Emily gémit et elle s'accrocha au cou du vampire.
« Tu es devenue un vampire, jeune Emily. A présent, tu seras mon élève. Ne t'inquiète pas, je veillerais sur toi » murmura l'homme, avant de l'embrasser plus tendrement, sur les lèvres.
La jeune fille hocha la tête, affirmative aux paroles de son nouveau maître. Ce dernier lui apprit beaucoup de choses sur leurs statuts de nobles dans la société anglaise.
Au fur et à mesure des années et des leçons, Emily voyait son père et ses amis vieillir tandis qu'elle n'avait pris aucune année. Elle avait une beauté plus fulgurante que lorsqu'elle était humaine. Ses grands yeux noirs ressortaient beaucoup sur sa peau blanche de vampire. Ses cheveux noirs lui donnaient une allure hautaine et noble.
Les années passèrent langoureusement. Emily connut beaucoup de personnes. Mais elle ne tomba nullement amoureuse d'hommes qu'elle croisait. Elle leur faisait l'amour, juste pour qu'elle puisse s'abreuver de leur liquide vital.
A présent, elle était devenue l'une des maîtresses du clan du plus grand maître des vampires anglais, Charles. Ce dernier l'avait choisit pour sa beauté, le don de séduction dont elle était dotée mais aussi de son sens du combat et du sang.
Emily n'était pas comme ses compatriotes. Certains déchiquetaient leurs victimes, les défiguraient et leur aspiraient leur sang jusqu'à leur dernière goutte.
Emily jouait avec sa nourriture, comme un chat joue avec une souris. Elle les chassait pendant plusieurs mois et lorsqu'elle mettait la main dessus, elle les laissait s'échapper. Ce jeu pouvait durer pendant une multitude de semaines.
Mais aujourd'hui, Emily n'avait pas le temps de s'amuser. Charles lui avait demandé de lui ramener un homme dont elle ne connaissait que l'odeur et le prénom. Assise sur la rambarde de sécurité d'un immeuble anglais, le vampire épiait les alentours. Ses sens développés ne cessaient de l'interpeller de ci et de là. Celui qu'elle cherchait ne devait pas se trouver ici, à Londres.
Le feulement de l'un de ses compagnons l'interpella. Emily tourna la tête et regarda Enrique s'approcher d'elle.
« Qu'y a-t-il ? » lança-t-elle.
« Le maître te demande. Cette garce de Sélène a retrouvé la trace de ton homme. »
La jeune femme ouvrit la bouche mais la referma aussitôt. Cela devait être impossible. Edward avait disparut de la surface de la terre depuis plusieurs dizaines d'années auparavant.
« Il est devenu misanthrope » fit Enrique.
Emily n'écouta plus le jeune vampire. Elle se leva et elle sauta dans le vide. La foule, qui l'entourait, ne fit nullement attention à elle. La jeune femme avançait avec rapidité et dextérité au milieu de tout ce monde.
En arrivant au manoir, qui se trouvait à Nottingham, Emily poussa les portes en cerisier si violemment que les corbeaux s'envolèrent. Les vitres vibrèrent sous le choc tandis que les lustres s'entrechoquaient.
« Il faudra que tu apprennes à faire attention, Emily » lança un homme, qui descendait les escaliers en marbre.
Toute une procession le suivait. Sélène était à la gauche de Charles et elle montrait l'emprise qu'elle avait sur leur maître en posant sa main sur l'épaule de l'homme.
« Est-ce vrai que Edward est vivant ? » demanda-t-elle, en ne faisant nullement attention à la réplique de son maître.
« Il est vrai qu'il est vivant. Comme a dû te le dire Enrique, il est devenu misanthrope.
- Mais cela est impossible.
- Comme tu le vois, non. Mais passons sur ce sujet. L'homme que je t'ai demandé de chercher s'appelle Roméo. Il vit à Paris pour l'instant. Il fait ses études de droit dans une université de Paris. Retrouve-le et tue-le » commanda Charles.
Emily s'inclina devant son maître. Elle partit dans sa chambre et elle demanda à un serviteur de lui faire préparer sa voiture. Au bout d'une quinzaine de minutes, elle sortait du manoir et elle grimpait dans sa voiture. Le lendemain matin, elle s'endormait dans une cabine du ferry, qui faisait la navette entre la France et l'Angleterre.
Dans la même journée, elle arriva à Paris. Grâce à Charles, son appartement avait été préparé à l'avance. Elle ouvrit le portail du garage et elle rangea sa voiture à son emplacement habituel. Lorsqu'elle sortit de sa voiture, elle extrayait ses bagages et elle remonta dans la rue.
« Bien le bonjour, Mademoiselle Cullen » fit le portier lorsqu'elle passa devant sa guérite.
La jeune femme le dédaigna, comme à son habitude. Emily monta dans son appartement luxueux et elle défit ses bagages. Le temps pressait et elle le savait. Elle passa sa soirée dans les bars, à la recherche de ce dénommé Roméo. Alors qu'elle entamait, pour la quatrième fois de la soirée, un verre de whisky, elle vit un jeune homme – certainement étudiant – entrer dans le café. Il vint s'asseoir à quelques chaises d'elle et il commanda un café. Emily se leva et vint s'asseoir à côté du jeune homme qui sirotait son breuvage.
« Bonsoir » fit-elle, d'un ton aguicheur.
Le jeune homme se tourna vers elle et la regarda.
« Salut.
- Ça va ?
- Très bien et toi ?
- Très bien aussi.
- Qu'est ce qu'une jeune fille comme toi fait dans un bar mal famé ?
- Elle prend un dernier verre avant de rentrer chez elle. Au fait, je m'appelle Emily.
- Enchanté de faire ta connaissance, Emily. Je m'appelle Roméo. »
Les deux jeunes gens bavardèrent longuement. Ils finirent leur nuit, chacun de leur côté. Lorsqu'Emily entra chez elle, elle se sentit aussi légère qu'une plume. Serait-ce cela être amoureuse ? Elle s'endormit avec le visage de Roméo en tête. Le lendemain matin, elle se reprit en main et elle n'oublia pas sa mission.
Elle retrouva Roméo pour le déjeuner. Ils échangèrent leurs adresses ainsi que leur numéro de téléphone. Ils se retrouvèrent plusieurs fois dans des petits restaurants, italiens ou japonais, à causer de leurs vies respectives. Lorsqu'il se sentit en confiance avec Emily, il lui demanda de sortir avec elle. Cette dernière ne refusa pas. Ils passèrent leur première nuit ensemble, un jour de décembre. Mais Emily n'oubliait pas la lourde charge qu'elle devait faire.
« Roméo, est-ce que tu m'aimes ? » demanda-t-elle, un jour d'avril.
Ce dernier lui avait répondu qu'il l'aimait plus que tout. Et par un malheureux hasard, elle lui déballa tout. Le jeune homme prit peur. Il desserra son étreinte jusqu'à ce qu'il la laisse tomber sur le banc.
« Tu es folle, c'est ça ? Tu es folle ! » hurla Roméo avant de partir.
La jeune femme pleura tout son soûl. Elle l'aimait mais elle avait une mission à accomplir. Quelques minutes plus tard, elle avait rattrapé son amant. Dans une petite ruelle noire, elle croqua sa peau couleur pêche. Emily s'abreuva goulument du sang de son amant. Elle le laissa tomber, entre les poubelles, et elle s'en alla.
En revenant à Londres, elle fit son compte-rendu. Charles la félicita et, pour cela, il lui donna plusieurs mois de vacances. Emily hocha la tête. Elle monta dans sa chambre et elle prit le Magnum qu'elle avait toujours dans le tiroir fermé de son secrétaire.
Elle sortit de sa chambre et elle courut jusqu'à la Tamise. Emily regarda une dernière fois Londres. Elle actionna son doigt sur la gâchette. Une balle lui transperça la tempe droite et fit dégouliner beaucoup de sang. Le choc produit, elle perdit l'équilibre et elle tomba dans l'eau.
Son corps ne fut jamais retrouvé bien que Charles et la communauté des vampires furent avertis. La jeune femme retrouva son premier amour, Roméo.
moi:
soeure: rock-emo-neko
frere vampire: vampire-mec320 je t'adore mon frere
meilleur amie vampire:
fille vampire: titicat90210
couzine: erime
niece mi vampire mi ange: perle-en-argent
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