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Actualités.
~Aucunes pour le moment.
~Les personnages (les plus importants) : Sonia Cosma, Agnès Cosma, Vladimir Josky & Adolphe Bisclavret (d'autres personnages arriveront par la suite).
Chapitre I .
L'histoire commence sous un ciel brumeux, le 23 septembre de cette année 1816. C'est ce jour là que Sonia Cosma, fille du dictateur Russe Hershel Cosma et d'Agnès Cosma pointa le bout de son nez. Il plut. Il plut des torrents pendant 6 jours sans aucunes interruptions pourtant tant désirées pas les Russes !
Sonia était traitée comme une princesse & à juste raisons, c'était quand même la fille du dictateur ! Les années passèrent mais à croire que ce jour était maudit il plut tous les 23 septembre. Sonia arriva à sa majorité, petite elle était connue pour sa beauté qui ne fit que s'accroître en grandissant. A 18 ans Sonia était resplandissante & mature. Hershel Cosma se dit qu'il pourrait facilement la marier. Il en parla à ses amis les plus proches & l'un d'eux expliqua que son fils pourrait parfaitement convenir à sa fille. Car même si Hershel Cosma voulait marier sa fille il en attendait pas moins que la perfection. C'est ainsi que Vladimir Josky fut présenté à Sonia Cosma, l'entente se faisait tranquillement mais surement. Ils se marièrent le 28 mai 1835 contrairement aux mariages de l'époque, eux,s'aimaient vraiment. A 22 ans Sonia tomba enceinte. Ce fut un échec & elle fit une fausse couche. Ils réessayèrent l'année suivante avec beaucoup d'espoir mais également de l'appréhension ce fut un nouvel échec !
Sans le vouloir l'année suivante, ils réussirent & Sonia mit au monde la plus belle des petites filles répondant au nom de Katarina née le 17 avril. Ils en furent ravis & ne purent contenir cette joie immense & gratifiante. Après tant d'échecs les voilà récompensés.
Chapitre II .
Un an après le malheur frappa sur cette famille pourtant malchanceuse, oh non pas encore une fausse couche cette fois-ci ce fut les parents de ce cher Vladimir. Ses parents étaient morts... après autopsie & une enquête plus qu'approfondies les policiers conclurent à un "bête" accident, une fuite de gaz ! Vladimir fit rapidement, même un peu trop, les 5 passages du deuil (Le déni, la colère, le marchandage, la dépression & pour finir l'acceptation). Malgré les passages rapides de l'un à l'autre,Vladimir était très affecté,mais il ne comprenait pas,il ne comprenait pas,ses parents se servaient exculsivement du gaz pour se chauffer or ce jour là il faisait ciel bleu. Il mit ses interrogations de côté pour se concentrer sur les deux seules femmes de sa vie Sonia & Katarina. Fils un.ique, il devait trouver du réconfort auprès de son travail & de sa famille. Être directeur de banque lui prenait beaucoup de temps & de l'énergie mais ca lui faisait oublier. Oublier, sa tristesse cachée derrière un sourire en voyant sa fille marcher pour la première fois. Cet acharnement à la tache eu des répercutions sur sa vie de couple. Sonia le trouvais trop absent & elle lui fit remarquer ce qu'il n'accepta pas & s'en suivit une violente dispu.te :
"Comment ca je passe trop de temps au travail ?! Explosa Vladimir
-Oui pendant que tu te tues à la tache pour ton travail, ta fille marche & parle de mieux en mieux mais tu ne peux pas le voir, tu n'es pas là ! Rétorqua Sonia
-Moi je ramène de l'argent à la maison & toi qu'est-ce que tu fais ?
-Moi ? Je t'attends comme une idiote sanglota Sonia
-Je suis désolé je n'avais pas vu que ca te touchais autant tu me pardonnes ? Demanda Vladimir
-Bien sûr que je te pardonne quelle question, je t'aime mon amour."
Les excuses faites ils décidèrent de confier Katarina aux parents de Sonia. Ils allèrent au meilleur restaurant de la capitale ils furent très bien recus grâce au statut haut placé de Sonia. Au fur & à mesure que la soirée avancait ils ré-apprenaient à partager des moments de complicité quelque peu oubliés ces derniers temps.
Ils récupérèrent Katarina le lendemain d'une excellente soirée. A 29 ans & 5 ans après la naissance de Katarina, Vladimir & Sonia tentèrent une nouvelle fois l'expérience du bébé. Cette expérience marcha du premier coup. Ils eurent des jumeaux, deux petits garcons répondant aux magnifiques prénoms d'Isidore & d'Emilien nés le 4 décembre. En parallèle de cette double naissance Vladimir décida d'engager un détective privé suite à la mort "accidentelle" de ses parents. Il était le seul à ne pas croire en cette mort. Mais il n'en parla pas à sa famille car si cette mort était véritablement accidentelle, il déshonorerait sa famille & ne se la pardonnerait jamais !
Chapitre III .
~ Carte d'idendité d'Adolphe Bisclavret
~Nom: BISCLAVRET
~Age: 30 ans
~Prénom: Adolphe
~Profession: Plombier & détective privé à ses heures perdues.
Aldophe Bisclavret était reconnu dans le milieu policier. Il avait une qualité qui lui vallait tous les louanges ; sa perspicacité n'avait aucune égale.
Il demanda les habitudes des parents, leur adresse, leur travail... & pour finir une photo. Au mot "photo" Vladimir eu la gorge serrée, le ventre qui se nouait, les yeux qui lui piquaient & les larmes coulèrent dans la plus grande discrétion & de plus en plus bruyamment il ne pouvait plus s'arrêter au contraire.
Adolphe Bisclavret fit d'abord jouer ses connaissances dans la police mais tout le monde lui répondit qu'il n'y avait eu qu'un accident de gaz qui avait entrainé un incendie & qu'on avait pas vraiment trouvé d'indices. Alors il demanda comment avait-il su qu'ils étaient morts à cause de cette fuite ? Ces connaissances répondirent qu'il y avait quand même eu une autopsie faite dans les règles de l'art. Pour Adoplhe Bisclavret ce n'était pas grand chose mais c'était déjà un bon début, il donna un rendez-vous à Vladimir dans un petit restaurant.
"Mr Josky, j'ai fait jouer mes connaissances & ils m'ont tous affirmé la même chose alors à mon tour je peux vous affirmer que vos parents sont bien morts à cause de cette fuite de gaz expliqua Adolphe Bisclavret
-Mr Bisclavret avec tout le respect que je vous dois cette théorie est impossible. En effet mes parents n'utilisaient le gaz que pour se chauffer & je vous dit & vous répète qu'il faisait beau très beau ce jour là !! répondit Vladimir Josky qui commencait à être énervé
-Mon cher, je sais que cette mort vous attriste au plus haut point, mais... il n'eut pas le temps de finir que tout de suite Vladimir lui répondit brutalement
-Mais quoi ?! Mer.de à la fin ; Ce n'est pas possible !! Rentrez-vous ca dans la tête." & il partit.
Les gens du restaurant étaient très étonnés qu'on puisse associer autant de colère & de vulgarité dans une seule & même phrase. Après le départ précipité de Vladimir s'en fut au tour d'Adolphe Bisclavret de partir. En rentrant chez lui, Vladimir était en toujours autant en colère cette théorie ne lui plaisait pas mais alors pas du tout !
Chapitre IV .
De retour chez lui il se prit les pieds dans une petite voiture des jumeaux... Son sang ne fit qu'un tour & il s'énerva... La colère monta rapidement. Vladimir cria. Cria tellement fort que toute la maisonée entendit & toutes les maisons avoisinnant également ! Les voisins crurent à un meutre et accoururent, pani.qués, ils sonnèrent à la porte. Vladimir ouvrit d'un coup sec & les voisins eurent un pas de recul ; pas à cause de la surprise mais à cause de la tête de ce dernier rougie par la colère. Vladimir était énervé par les révélations "inacceptables" (de ces propres mots) de Mr Bisclavret, il ne le payait pas pour raconter des inepties mais pour découvrir la vérité ce qui est complétement différent !
"Mon poussin qu'est-ce qui se passe en ce moment ? demanda, interloquée, Sonia
-Sonia, tu sais quoi ? interrogea Vladimir
-Non, Vlad' rajouta Sonia
-Tais-toi répondit Vladimir
-Ah oui ? Et toi, tu sais quoi ? Tu prends tes affaires & tu sors, je ne veux plus te voir !" dit Sonia, en restant très calme mais avec de la dureté dans la voix. Vladimir comprit & ne posa pas de question. Il prit deux-trois affaires et partit.
Sonia ne reconnaissait plus Vladimir depuis quelques temps, elle vit qu'il avait laissé son agenda sur le buffet. Elle le prit & l'ouvrit tomba sur la page du jour & vit "Rdv avec A.B". Qui était cet "A.B" ou cette. Sonia fut envahie de doutes concernant la sincérité de son mari. Tout s'éclairait, la distance, la fatigue, le travail. Pour elle c'était clair son mari avait une maîtresse. Elle continua de feuilleter l'agenda sans rien trouver. En le refermant elle fit tomber un bout de papier où était griffoné un numéro. Sur ce feuillet était écrit "Adolphe Bisclavret 0517384866" & si le A.B était ce monsieur. La curiosité l'emporta & elle téléphona. " *messagerie* Bonjour vous êtes bien sur la messagerie d'Adolphe Bisclavret détective privé, je ne suis pas disponible pour le moment mais vous pouvez laisser un message & je vous rappellerai" Elle décida de ne pas laisser de message, elle rappellerait à un autre moment. Néanmoins une partie de l'histoire restait à découvrir, pourquoi un détective, privé avec ca...Sonia avait déjà un plan en tête, & elle allait le mettre à exécution dans très peu de temps...
Chapitre V .
→ *Pdv Sonia* (C'est elle qui va parler)
Bien sûr que oui j'ai peur, j'ai peur de ce monsieur, peur qu'il m'apprenne des chose que je n'aurai jamais dû savoir. Cette histoire me perturbe, mais il faut que je sache. Je prends les enfants & je les emmène chez mes parents.
*Toc-toc, c'est Agnès qui ouvrit*
"Ma fille quel charmant plaisir de vous voir, que me vaut l'honneur de cette visite ?
-Ma chère mère je viens ici pour vous demander un service
-Quel est ce service ?
-Pouvez-vous garder les enfants ? Il faut que je m'occupe d'une petite affaire. Je vous les confie également pour dormir.
-Bien entendu, mais où est Vladimir ?
-Il est, euh... Je m'en vais au revoir ma mère, passez le bonjour à père.
-D'a-d'accord, mais pour Vlad...
-Au revoir"
Je partis, je savais très bien que si je restais je devrai lui expliquer & ce n'était pas le moment. De toutes facons elle n'aurait pas compris. Je regarde une horloge il est déjà 13h18 il faut que je me dépêche, je commence à courir je sais que ca ne se fait pas pour une femme de mon rang mais je n'ai pas le choix. Je cours, je cours de plus en plus rapidement pour arriver devant l'adresse. J'ouvre la porte & je rentre. Je monte toutes les marches deux par deux, mais avec cette fichue robe je ne peux aller plus vite, bon tant pis je m'en rachèterai une. Je la craque puis l'arrache. Il ne me reste que celle d'en dessous. Pitié que je ne croise pas des amis de mes parents. Enfin je peux aller plus vite, maintenant je monte les marches trois par trois. J'arrive devant une nouvelle porte que j'ouvre je vois un nom sur la porte c'est celui que je cherchais. Je toque un "Entrez" se fait entendre du bureau, ni une ni deux je rentre.
"Oui ? C'est pour quoi ?"
Un homme magnifique se tient assis devant moi, des yeux tellement clairs que je me noierai dedans. Il est beau, il est beau. Bon un peu de tenue, mais il est beau, n'oublions pas que je suis mariée, mais il est... Stop ! Je décide de quand même prononcer quelques mots.
"Hein ? Oui excusez-moi, vous êtes bien Mr Bisclavret ?
-Mais tout à fait Mademoiselle
-Je me présente Sonia Cosma mariée Josky. Enchantée.
-Vous, vous êtes la fille du dictateur ?
-Ah, oui, tout à fait, j'avais oublié de le préciser
-Vous permettez ? *lui fait un bai.se-main* Enchanté également Mademoiselle
-Trêve de politesse je suis ici pour une raison particulière, vous avez l'obligation de tout me révéler, en omettant aucun détail.
-Sur quel sujet ?
-Mon mari, Vladimir Josky..., je suis là dans le plus grand secret & je sais que vous êtes tenu au secret professionnel mais j'ai besoin de savoir, je ne sais plus ce qu'il se passe &, &...
Je fondis en larmes, je n'en pouvais plus c'était trop horrible. Mr Bisclavret ne dit rien il s'approcha de moi, je sentais son souffle chaud dans mon cou, il m'aida à me relever. Quel gentleman !
"Venez Mademoiselle, asseyez vous. Je vais tout vous expliquer." *Eclipse de la conversation pour plus de suspense*
"Voilà
-Je, oh mon dieu c'est assez... Surprenant ! Je vais devoir y aller, me le permettez vous ?
-Mais bien entendu Mademoiselle, à bientôt, j'espère."
Et il me refit un bai.se-main, je partis avant de rougir comme une tomate. Il fallait que je retrouve Vladimir, je décidais avant de faire quoi que ce soit, de retourner à la maison pour me changer. Je ne pouvais absolument pas me balader avec cette "robe".
Chapitre VI .
J'arrive à la maison & je vois un message cloué à la porte. "Mon amour, retrouve moi au restaurant "четы ре пряности" {Les quatre épices} A tout à l'heure j'espère. Je t'aime, Vlad' " Pourquoi voulait-il que j'aille là-bas ? J'y réfléchirai sur la route, je décide d'ouvrir la porte & de monter. Là haut j'opte pour une robe assez simple mais très belle. Je redescends ferme la porte & part. Sur la route je me pose mille questions, mais je suis tellement heureuse de le retrouver. J'arrive au restaurant "четы ре пряности" & je vois Vlad' sur une table. Je cours vers lui, & l'enlace tellement fort que je ne suis même pas sûre qu'il peut encore respirer, je reste comme ca cinq bonnes minutes. Il m'avait tellement manqué.
"Mon amour je suis tellement heureuse de te revoir, tu m'as tellement manqué. Je, je...
-Nous n'avons pas le temps pour ce genre de choses, je dois te dire quelque chose de très important à te dire je vais te demander de ne pas m'interrompre.
-Pardon ? On ne s'est pas parlés depuis notre dernière disp.ute mais Monsieur refuse de me témoigner un minimum d'affection & après ca tu veux que je me taise. Je ne suis pas d'accord, c'est beaucoup trop facile. Si tu veux jouer on va jouer, on se revoît quand Monsieur pourra m'accorder son temps qui est si précieux."
Certes je le dit avec un ton plus dédaigneux que je ne le pensais mais je voulais qu'il comprenne, je commencais à partir. Il fit ce que je voulais qu'il fasse il me rattrapa la main, me retourna. Ses lèvres n'étaient plus qu'à quelques centimètres des miennes & il m'embrassa.
"Tu peux m'écouter maintenant ? Je suis allé voir le notaire de mes parents, mon père avait une fortune cachée qui pourrait faire beaucoup d'envieux. Mes parents étant morts j'ai hérité de cette fortune, personne je dis bien personne ne doit être au courant. Tu as bien compris ?
-Oui, oui personne. Viens à la maison, qu'on mette cette fâcheuse histoire au clair !!
-Je ne peux pas, je ne veux prendre aucun risque. Je vais aller dans un hôtel, je te ferai parvenir un autre message ne t'inquiète pas. Je dois y aller maintenant, je t'aime."
Il partit très rapidement & monta dans un taxi qui arrivait à vive allure.
→*PDV Vladimir* (C'est lui qui va parler)
Oui j'avais quitté rapidement le restaurant, mais je ne voulais pas mettre Sonia en danger, j'avais peur pour elle & pour les enfants. Je savais très bien qu'elle les avait confié à Agnès & Hershel. Tant qu'ils sont là-bas il n'y a aucun risque, la maison des Cosma est mieux gardée que la banque de Russie. Pour Sonia c'était une autre affaire, même si je trouvais un lieu où elle serait en sécurité, elle n'y resterait pas. L'instinct rebelle, ce que j'aime chez elle. Mais je ne devais prendre aucun risque. Je vois mon hôtel au bout de la rue je remercie le conducteur & descend du taxi. Je marche rapidement & lance des regards furtifs de droite à gauche. Je me sens suivi, je décide alors de faire tout un détour pour ne pas prendre de risque. Il est plus de 22h lorsque je me décide enfin à retourner à mon hôtel, je monte jusque ma chambre & je ferme tous les verrous à 3 tours. Je commence à somnoler & quelqu'un toque à ma porte, je n'attends personne c'est bizarre, je vais voir à l'oeillet. Ah c'est bon je le reconnais c'est...
Chapitre VII .
→ *Pdv Sonia* (C'est elle qui va parler)
Je voulais le voir, le sentir près de moi, lui parler, être avec lui quoi ! Je remarque alors qu'il est très tard, je décide d'aller me coucher & je réfléchirai à tout ca demain. Lorsque je me réveille je vois qu'il est 8h, je suis contente d'avoir pu passer une bonne nuit. Je descends pour déjeuner mais les larmes me montent aux yeux quand je vois cette vaste cuisine occupée par moi seule. Je me resaisis mais remonte dans ma chambre car je n'ai plus faim. Je décide de m'habiller avec une belle robe prune & blanche que je trouve très jolie. Je m'apprête à aller me coiffer mais quelqu'un sonne à la porte je vais ouvrir c'est un messager* il me dit que Mr Bisclavret souhaiterait s'entretenir avec moi pour 10h ! Je le remercie & lui demande de dire à Mr Bisclavret que je serai bien au rendez-vous. Je ferme la porte & remonte là-haut dans la salle de bain, je me coiffe avec de jolis noeuds, je trouve que le résultat rend très bien. Il est 8h30 j'ai encore 1h15 à tuer avant de rejoindre Mr Bisclavret, je prends un livre, m'assied sur le fauteuil & j'entame ma lecture.
→*Pdv ****
Je vais finir par le tuer cet en.foiré, il va mourir. Il ne dit rien ne lâche pas un mot malgré la torture. Je ne sais pas comment je vais faire, allez j'y retourne.
"Alors sale co.nnard t'as réfléchi à ma petite proposition ?
-Allez vous faire voir !"
Il m'énerve je lui colle une claque qui laisse une jolie petite marque sur sa joue. Malgré tout je réhitère ma question.
"Où t'as mis ton héritage ? Je te conseille de répondre !
- Hum, dans votre cul ?
-Tu me prends pour un con ? Très bien à tes risques & périls !"
Un petit rictus de sadisme se dessine sur mon visage, je lui prends la main gauche & lui coupe l'auriculaire, je l'entends hurler !
"Je te l'avais bien dit tu ne gagneras pas à ce petit jeu avec moi
-Vous n'êtes qu'un, qu'un salo.pard !"
→*Pdv Sonia* (C'est elle qui va parler)
La sonnette vient de retentir je me lève de mon fauteuil & vais ouvrir la porte pour la deuxième fois. C'est un messager qui me donne juste un colis je n'ai le temps de rien lui demander que tout de suite il repart. Tant pis ! Je pose délicatement le colis l'ouvre & pousse un cri d'effroi. Dans le colis se trouve un, un... doigt accompagné d'une lettre disant ceci "Que tu sois la fille du dictateur ou non je tiens ton petit chéri en otage, voici son auriculaire. Prends ca comme une preuve. Je te recontacterai & ca n'est pas la peine de prévenir la police." J'avais très peur pour Vladimir & c'est qui ce type ? Je vois qu'il est 9h55 je suis très en retard pour mon rendez-vous je décide de me dépêcher !
Chapitre VIII .
→*Pdv Mr Bisclavret* (C'est lui qui va parler)
Il est 9h55 & elle n'est toujours pas là. J'aurai dû m'y attendre comment une femme de sa classe & de son rang voudrait accorder de son temps qui est si précieux à un petit détective si misérable comme moi. Je veux la revoir, je veux revoir sa beauté qui m'avait frappé au visage la première fois que l'on s'étaient vus. Elle a un visage angélique, un corps d'une perfection sans faille & une classe qui ne connaît aucune égale. Alors que j'énumerais toutes les qualités de cette femme elle se planta devant moi. Elle est encore plus belle que dans mes souvenirs elle est... je ne trouve pas de mots ! Un "Mr Bisclavret" me tira de mes rêves.
"Mr Bisclavret ?
-Oui excusez-moi, vous disiez ?
-Je m'excusais de mon retard !
-Non non absolument pas je vous en prie asseyez-vous"
Je lui fit un bai.se-main & je remarqua qu'elle tenait un colis dans ses magnifiques mains.
→*Pdv Sonia* (C'est elle qui va parler)
Quelle classe à toutes épreuves. J'en suis bouche bée. Je vois qu'il regarde mon colis avec insistance. Je le lui tends avec un regard qui veut tout dire. Il l'ouvre et se retient d'hurler. Il m'attrape par le bras & m'emmène dans son bureau qui se trouve à quelques kilomètres d'ici.
→*Pdv ****
C'est bon j'ai envoyé le colis à sa femme. J'espère que ca sera un électro-choc pour lui. Il a perdu un doigt mais ca ne le dérange pas plus que ca. Je vais retourner le voir qu'on discute un peu.
"Le colis a été envoyé !
-Pourquoi vous faites tout ca ? Vous faites parti de la police mais pourquoi ?
-Haha voilà quelque chose d'intelligent qui sort de ta bouche ! Laisse moi réfléchir"
Il a raison je suis le policier chargé de l'enquête sur la mort de ses parents, en fait je suis un meurtrier & je suis recherché dans beaucoup de pays sauf ici, en Russie. J'ai tué ses parents, enfin sa mère & j'ai harcelé son père pour savoir où était ce foutu héritage il n'a rien voulu me dire & il s'est lui même donné la mort. J'ai maquillé tout ca en simple accident & tout le monde y a cru.
NOUVEAU PERSO' : Richard Snikis, meurtrier recherché partout sauf en Russie où il ex.erce le métier de policier.
→ *Pdv Mr Bisclavret* (C'est lui qui va parler)
Je cours lui tenant la main, je cours, on court. Plus le choix, plus de choix. Dans cette boîte il y avait, un, un doigt ? Le doigt de qui ? Pourquoi elle avait ca dans ses mains ? Notre cadence ralentit je me retourne & je vois Mademoiselle Cosma s'effondrer par terre ! J'ai le temps de la rattraper avec que sa tête n'heurte le sol. Je décide de la porter jusqu'à mon bureau. Une fois arrivés à la porte de mon bureau, je la franchis sans aucunes difficultés ! Je la pose sur un divan, je referme doucement la porte j'ai quelques trucs à régler ! Je suis persuadé de savoir où se trouve son mari, le problème étant que ca risque d'être dangereux, très dangereux. Je décide de prendre un taxi pour me rendre à l'endroit où se trouve une usine désaffectée l'endroit rêvé pour cacher quelqu'un ! Je savais que je n'aurai jamais dû lui faire confiance !
Flash-back d'il y a quelques mois /!
Richard pourquoi es-tu recherché partout ? A cette question il ne m'avait répondu que vaguement stipulant que c'était des erreurs judiciaires ou ce genre de choses. Je le croyais après tout c'était mon ami, tout avait basculé à la venue d'un client étrange. Il croyait que ses parents avaient été assassinés, il ne croyait pas la police. Je ne voyais pas ce que je pouvais apporter de plus mais j'avais tout de même accepté, il me proposait une somme d'argent colossale, que, je ne pouvais refuser. Bien entendu j'avais demandé à Richard, il confortait son jugement ca n'était pas un meutre c'était un simple accident. Après plusieurs jours d'intense rélexion une femme était venue me voir elle était si belle. Elle voulait se renseigner sur son mari qui se trouvait être mon client, je ne savais quoi lui dire pour la rassurer alors je liu ai simplement dit la vérité. C'est alors qu'elle s'était effondrée par terre, pleurant à chaudes larmes puis elle s'était vite resaisie & était partie ! Oui, j'en avais encore parlé à Richard comment aurai-je pu savoir ce qu'étaient vraiment ses intentions ?
Flash-back d'il y a quelques mois /!
Chapitre IX .
Je connais la planque de ce pourri, j'vais purement & simplement lui éclater la tête ! Il le fait souffrir, il la fait souffrir, il ME fait souffrir ! Il est armé je ne le suis pas, qu'importe j'me battrai avec mes mains s'il le faut ! La colère a pris la place de la peur ! Je suis arrivé à sa planque je paye & me bars de ce taxi ! Je défonce la porte à la volée & j'hurle :
"T'es où connard ?!
-Adolphe je désespérais de te voir, je t'attends depuis un certain temps tu sais. Tu as mis beaucoup de temps à venir, je te surestime je crois, tu n'es pas si malin que ca il me le dit avec ce sourire narquois qui me fait enrager !
-Ta gueule, la rapidité de mon poing l'a surpris & l'a touché. Bizarement je n'y éprouve aucune satisfaction
-Hahahaha tu es tellement... prévisible, je savais que tu viendrais c'est pourquoi j'ai déplacé ton "ami" à qui il manque un doigt mais tu dois déjà le savoir. Sa vie est entre bonnes mains, la tienne c'est une autre affaire." Mais quel enfoiré !
Il se jette sur moi je l'évite de justesse, il se trouve maintenant derrière moi & je sais que ca n'est pas une bonne chose pour moi. Ces quelques mots prononcés je me prends un coup d'une violence indescr.iptible dans la tête. Si je montre que je souffre je suis foutu il faut que je fasse bonne figure quand même ! Je serre les dents & les poings ! Intérieurement je suis crispé par la douleur de ce coup.
"Alors pauvre petit coeur on a bobo à la tê-tête ?" Il explosa d'un rire sarcastique, cet homme est vraiment une ordure !
"Crois-moi c'est loin d'être fini"
Il a son rictus de sadisme qui se dessine peu à peu ! Je sais ce qui va m'arriver, je vais sûrement en mourir. J'aurai tout fait pour Elle. L'amour rend aveugle, oui, mais, l'amour n'efface pas la douleur. Richard me relève & me colle une gifle, je retombe par terre. Je recois un nouveau coup au pied cette fois au niveau de ma cage thoracique, j'ai du mal à respirer, je suffoque. Je sais que ca lui plait de me voir dans cet état si... pitoyable. Il recommence à rire qu'est-ce que je déteste son rire. Il me relève à nouveau, me colle contre un mur, Richard écrase ma gorge avec un des ses bras pendant que l'autre m'enlève ma chemise. Après il prend une barre faite de tôle & commence à me frapper avec au ventre puis vers ma tête. Je sais qu'il apprécie m'infliger ces douleurs, je ne sais pas trop pourquoi, sûrement à cause de son enfance, son père qui le battait & le dévalorisait sans cesse. Je déteste jouer sur les sentiments des autres ou sur leur malheur, mais je vois le visage de Sonia, son visage que je veux à nouveau observer dans les moindres détails !
"Richard, Richard... tu n'es pas obligé de reproduire l'ex.emple de ton père...
-Tu ne connais pas mon père, tu ne me connais pas je t'interdis de parler de lui
-C'est vrai je ne le connais pas... mais je ne trouve pas normal qu'il est profité de ta faiblesse enfantine
-Je ne suis pas faible d'accord ? Je suis fort, très fort !
-Pourquoi tu te voiles la face de cette facon ? Ca ne sert à rien, peut-être que finalement il avait raison, tu n'es qu'un bon à rien...!
-Tais-toi ! Stop !"
Il lâcha prise & il partit. Je ne suis pas fier de moi, loin de là ! Je sais qu'il reviendra ca n'est qu'une affaire de temps...
→ *Pdv Sonia* (C'est elle qui va parler)
Je me réveille doucement dans le bureau de Mr Bisclavret. Il n'est pas là, je ne sais pas où il est ! Je m'inquiète malgré moi, cet homme est d'une importance capitale à mes yeux. Je décide d'aller me balader pour me chager les idées & aller chez moi. Arrivée, je regarde le courrier je vois une lettre de ma mère, elle me demande d'aller chez eux. J'y vais, je rentre mon père n'est pas là je me fait accueillir par ma mère.
"Ma chérie je suis contente de te voir
-Moi aussi Mère, enchantée de cette visite...
-Ecoute le pays n'est plus sûr un meurtrier est recherché ici je ne peux rester. Ton père m'a demandée de te rassembler avec Vlad', que tu n'as appramment pas emmené avec toi, & vos enfants pour quitter le pays avec moi. Lui doit faire face à ses obligations de dictateur, il reste ici.
-Mère avec tout le respect que je vous dois Vladimir & moi ne laisseront pas Père ici il en est hors de question ! Prenez les enfants & allez-y
-Je sais que je ne peux te raisonner mais es-tu sûre de ta décision ?
-Oui, absolument sûre."
Nous nous embrassons & je repars je n'aime pas les aux revoirs ca me déchire le coeur ! Je décide de retourner au bureau de Mr Bisclavret. Je marche assez rapidement, j'arrive, je monte les étages & j'attends. Après une heure je...
Chapitre X .
Après une heure je vois la porte s'entrouvrir laissant apparaître quelqu'un... De loin je distingue une silhouette masculine. La peur me paralyse, je décide malgré tout de m'approcher. Je m'approche & le choc est total, c'est Mr Bisclavret qui est en face de moi. Il est couvert de bleus, d'hématomes, il saigne, je vois à ses yeux qu'il souffre...!
→*Pdv Mr Bisclavret* (C'est lui qui va parler)
"Sonia, je suis désolé je ne voulais pas que vous puissiez me voir dans cet état...
-Que s'est il passé, qu'avez-vous ?!"
J'ai le choix je peux mentir ou lui dire la vérité. Le gentleman qu'elle pense que je suis dirait la vérité mais je ne suis pas cette personne... le problème étant que mentir ne fait pas partie de ce que j'aime faire. Alors je vais lui dire la vérité.
"Ce qu'il s'est passé *j'ai voulu sauver la vie de votre mari mais c'était son ravisseur qui était là alors je me suis fait tabassé & j'ai failli en crever* à vrai dire pas grand chose, je ramenais un peu d'argent à la banque & puis il y a eu des personnes mal intentionnées, je n'ai pas voulu me laisser faire & voilà !"
Je n'ai pas réussi à lui dire la vérité, je me décois moi même.
→*Pdv Sonia* (C'est elle qui va parler)
J'ai eu peur, j'ai cru que c'était beaucoup plus grave. Je m'approche de lui & lui dépose un bai.ser sur la joue. Je sais pas pourquoi mais j'ai eu envie.Je lui prends la main & l'emmène dans son cabinet-toilette. J'entreprends de le soigner...
→ *PDV Vladimir* (C'est lui qui va parler)
Peu à peu j'ouvre les yeux, j'essaie de m'habituer à l'obscurité. Je distingue assez mal ce qui m'entoure. Je peux reconnaître une vieille imprimerie je crois. Il y a des restes de machine, un peu partout & moi je suis attaché en plein milieu comme un con. Je n'ai pas prévu de lui dire où était l'héritage, je préfère crever ! C'est ce qui risque d'arriver que je lui dise ou non d'ailleurs. M'en fous de ce qui arrivera, cet héritage est un emmerdement pour ma famille & ce depuis des générations. Pour autant je ne peux lui révéler où il est, je ne sais ce qu'il va faire de cet argent, je ne peux pas courir un tel risque. Je remarque alors que mes liens ne sont pas forcément très bien attahés...Je suis sûr qu'en forcant un peu, ca se détachera. Ah mais je crois que...
→*Pdv Mr Bisclavret* (C'est lui qui va parler)
J'ai eu le droit à un bai.ser, de sa part. Elle m'a embrassé. J'éprouve un bonheur que je ne peux décrire je me sens au paradis. Je sens au fond de moi que c'est l'amour de ma vie, malgré le fait qu'il ne soit pas partagé. Elle ne voit rien, elle ne voit pas que quelqu'un l'aime juste là. A côté d'elle. Elle le saura, mais je ne la forcera pas à m'aimer. Jamais. En ce moment même elle me soigne, ses délicates mains sont sur ma peau légèrement irritée.
"Je ne vous fait pas trop mal ?
-Non c'est bon c'est parfait. Vous savez vous n'êtes pas obligée. Je peux le faire moi-même.
-Je sais, mais c'est le moins que je puisse faire. Voilà c'est fini.
-Merci quand-même."
→*Pdv Sonia* (C'est elle qui va parler)
Je change de pièce, je dois ranger le matériel que j'ai utilisé pour le soigner. Il réussit à me faire oublier la tristesse que je peux ressentir vis-à-vis de Vlad'. J'ai l'impression de ressentir des choses plus qu'amicales pour Adolphe. Mais qu'est-ce qui me prend de penser à ça ?! Je suis mariée tout de même, mariée à un homme qui est peut-être mort, un homme que je ne suis même plus sûre d'aimer. Une sensation chaude & agréable me sort de cette réflexion qui est pesante. Je ne me retourne pas, je sais qui se tient derrière moi. "J'ai envie de t'embrasser" ces quelques mots me firent l'effet d'une bombe. Je me retourne, brusquement & je l'embrasse...
Chapitre XI .
→*Pdv Sonia* (C'est elle qui va parler)
Je me retourne, brusquement & je l'embrasse... Je ne regrette pas, il embrasse divinement bien. Vladimir ne m'avait jamais procuré ca. Beaucoup de sensations m'ont envahie, je ne saurais dire ce que c'était, mais c'était agréable. Je sais que c'est mal, je le sais mais la passion était là & le fait que c'est interdit m'en rend encore plus dingue de, ca.
→*PDV Vladimir* (C'est lui qui va parler)
Ah mais je crois que les liens se détachent. Il a beau être flic les noeuds c'est pas trop son fort à cet idiot. Pendant ma captivité j'ai beaucoup réfléchi à ma relation avec Sonia, ce n'est pas la femme de ma vie, je l'aime, c'est a mère de mes enfants. Pour autant, je pense avoir fait le tour avec elle, on est pas mariés depuis longtemps, mais c'est une situation "planplan". Je m'en veux, je vais forcément lui faire du mal. Les liens se détachent tant bien que mal, je peux bouger mes poigntes endoloris par une captivité pesnate. J'ai mal à la main, effectivement ma main ne ressemble plus à rien, je n'ai pas eu de soins pour mon doigt. Je me dépêche de détacher mes liens des pieds, ils m'oppressent ! Je me fait craquer les pieds, je les sens ils sont bien là, c'est réjouissant. Je peux même me lever, je le fais. Je peux même marcher, je le fais. Je peux même trottiner, je le fais. Je peux même courir, je le fais. Je cours, de plus en plus vite, la porte de sortie n'est plus qu'à une poignée de mètres. Le bruit d'une détonation se fait entendre, j'ai à peine le temps de me retourner qu'une balle me traverse de part en part.
→*Pdv Richard Snikis* (C'est lui qui va parler)
Je m'approche de lui & lui susurre à l'oreille "Surprise connard !"
J'aime lui faire du mal c'est satisfaisant, un sentiment de puissance incontrôlable. J'ai un pied sur sa plaie, il souffre ; j'adore ca ! C'est très cerntainement sadique mais pour autant je ne me sens pas coupable. J'ai plus besoin de lui autant qu'il crève, de toute facon avec la balle que je lui ai mise il va forcément crever. Je ne suis plus à un meutre près, je ne crois pas après être un monstre d'égoïsme l'achever serait la meilleure des solutions pour lui.
"Tuez-moi, s'il vous plaît..." il m'implore, celui qui m'insultait m'implore. Haha tel est pris qui croyait prendre.
"Le problème c'est que je ne sais toujours pas où le trésort est & ca vois-tu, ca ne me plaît pas mais alors pas du tout, pzut-être que ta femme le saurait mieux que toi. Elle est sûrement beaucoup plus coopérative avec un couteau sous la gorge, ou mieux avec une bombe autour de la taille. Après tout tu la connais mieux que moi, tu vas pouvoir m'aider.
-Ne la touchez pas, je vais tout vous dire. Le trésor est caché sous le... haaaaaa
-Oui ? Vladimir, il est où ton putain de trésor ? J'te parle, oh ! Il est où ?"
Non, ce n'est pas possible, ce con est mort ! Bon j'ai pu qu'à trouver Sonia...!
Chapitre XII .
→*Pdv Richard Snikis* (C'est lui qui va parler)
J'vais la choper cette salöpe, elle va payer ppur son mari & tous les autres que j'ai tué pour trouver le trésor. J'en ai pas tué beaucoup trois ou quatre pas plus, ils le méritaient... Hein Papa ? Ils le méritaient ? Je fais ca pour continuer ce que tu as essayé de faire, exterminer la famille Josky ! Papa est-ce que tu as honte de moi ? Tu ne me répondras pas, je le sais, tu me manques tu sais. Elle doit encore traîner avec Adolphe, il sait se cacher, il va réussir à la protéger. Je ne vais pas le laisser faire, il ne peut pas tout prévoir & à ce moment j'attaquerais !
→*Pdv Mr Bisclavret* (C'est lui qui va parler)
J'essaie de dormir, je tourne & me retourne. Je regarde l'heure, il est minuit. L'histoire avec Sonia me rend malade, elle m'a sûrement embrassé par défaut, sans vraiment faire attention. Elle a un mari... ce n'est pas le seul problème, la seule entrave, j'ai voula la protéger ce qui a impliqué un mensonge. Je vais lui parler de ce qui c'est réellement passé l'autre jour, j'ai menti, j'ai menti à la femme que j'aime. Elle n'aura plus jamais confiance en moi après ca ! Je me dégoute, ce mensonge m'obsède. J'ai des couilles, faut que les porte. Faut que j'assume ce mensonge. Il est quelle heure maintenant ? Seulement minuit et demi, le temps ne passe vraiment pas vite. Dans ma table de chevet est caché un carnet, sur ce carnet j'amasse des införmations sur Richard, j'veux le faire tomber. C'est loin d'être mon seul objectif, je souhaite aussi retrouver Vladimir Josky. Elle aura de la fierté pour moi, ce n'est pas de l'amour mais c'est un sentiment postif. Je ne sais pas dans quel ordre le faire deux choix. Choix numéro un ; je lui dit tout, elle me déteste, je retrouve son mari & elle m'apprécie de nouveau. Choix numéro deux ; je retrouve son mari, elle m'adore encore plus qu'avant, je lui dit tout & elle me détste. La solution une est de loin la mieux, je ne veux pas lui mentir éternellement et puis je voulais la protéger avant tout.
Je l'ai appelée, je lui ai demandé de me rejoindre dans mon bureau dès qu'elle le pouvait, & elle m'a promis qu'elle viendrait! Je suis en tgrain de me préparer je veux être le plus beau possible à ses yeux. Beau costume, beau noeud de papillon, les cheveux brossés & les chassures cirées. J'angoisse. Je reçois un appel, c'est ma secrétaire, une personne demande à rentrer dans mon bureau. C'est elle; son parfum passe par le combiné...
→*Pdv Neutre* (C'est moi qui vais parler)
Une robe bleue, clair. Des cheveux bruns, détachés, laissés au naturel. Un brin de maquillage, léger. Des chaussures à talons, huit centimètres. Une silhouette plutôt fine, cinquante-neuf kilos. Une petite taille, sans talons, un mètre cinquante-sept peut-être cinquante-huit. Des sentiments, ressemblant à de la joie mêlée à de l'amour. Peut-être un peu de désïr, seule elle le sait. Ces quelques mots décrivent Sonia dans le bureau de Mr Bisclavret. Quize heures cinquante-cinq affichait l'horloge au dessus du buffet. Un silence régnait dans la salle, percé par le seul bruit de la trotteuse de l'horloge. Un geste de la main accompagné d'un "asseyez-vous" firent plaisir à Sonia qui commencait à se sentir mal à l'aise.
"Je vais devoir vous annoncer quelque chose, ne me coupez pas s'il vous plaît. Il y a quelques semaines je me suis fait battre, vous avez d'ailleurs eu l'amabilité de m'aider à me soigner. Non je n'avais pas la rectte de l'agence sur moi & non ce n'était pas des petits jeunes. Je me suis rendu dans un entrepôt je connais le ravisseur de votre mari, je pensais les trouver tous les deux. Là-bas il y était, pas votre mari. J'ai préféré vous mentir je regrette, honnêtement. J'ai failli y rester mais penser à vous m'a sauvé. Je, je.. suis désolé.
-Mais...
[*Messager (dans mon histoire) c'est la personne qui transmet les messages de personnes pour d'autres personnes]
Pour les abonné(e)s c'est très simple il suffit de me demander par com ou mp même si je préfère mp car je supprime mes coms. Ensuite il vous suffit de mettre la bannière ou la phrase, une fois cette chose faite & que j'ai validé, je vous mets un +2 & le tour est joué :) (J'mets pas forcément mes abonné(e)s en ami mais ne vous inquiétez pas vous êtes répertoriés sur un de mes cahiers :P)
L'histoire commence sous un ciel brumeux, le 23 septembre de cette année 1816. C'est ce jour là que Sonia Cosma, fille du dictateur Russe Hershel Cosma et d'Agnès Cosma pointa le bout de son nez. Il plut. Il plut des torrents pendant 6 jours sans aucunes interruptions pourtant tant désirées pas les Russes !
Voilà le début de ma fiction que je t'invite à venir lire. Tu pourras même t'abonner si elle te plaît & si jamais ce n'est pas le cas ce que je pourrai modifier pour qu'elle plaise.
#Iroise22 & oui je sais la pub c'est très mal :3
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