"Désillusionnée avant l'âge, je dégueule sur la facilité des sentiments. Ce qu'on nomme l'amour n'est que l'alibi rassurant de l'union d'un pervers et d'une ***, que le voile rose qui couvre la face effrayante de l'inéluctable Solitude. Je me suis carapaçonnée de cynisme, mon coeur est châtré, je fuis l'affreuse Dépendance, la moquerie du Leurre universel ; Eros planque une faux dans son carquois. L'amour, c'est tout ce qu'on a trouvé pour aliéner la déprime post-coïtum, pour justifier la fornication, pour consolider l'orgasme. C'est la quintessence du Beau, du Bien, du Vrai, qui refaçonne votre sale gueule, qui sublime votre existence mesquine. Eh bien moi, je refuse. Je pratique et je prône l'hédonisme mondain, il m'épargne. Il m'épargne les euphories grotesques du premier ***, du premier coup de fil, écouter douze fois un simple message, prendre un café, un verre : les souvenirs d'enfance, les amis communs, les vacances sur la Côte, puis un dîner : les auteurs préférés, le mal de vivre, pourquoi sortir tous les soirs, la première nuit, suivie de beaucoup d'autres, ne plus rien avoir à se dire, *** pour combler les blancs, ne même plus avoir envie de ***, se détacher, rester ensemble quand même, s'engueuler, se réconcilier tout en sachant que c'est mort au fond, aller *** ailleurs, et puis plus rien. Souffrir ..."                                                       

Ok, et... Comment te dire qu'encore 6 mois après j'arrive pas à t'oublier? Comment te dire que cette histoire que nous avons vécu a eu plus d'importance qu'aucune autre n'en aura dans ma vie? Comment te dire que malgré le fait que pour toi je n'ai pas eu autant d'impact dans ta vie que toi tu en a eu dans la mienne, je persiste encore à penser à toi? Et voilà, le temps passe mais les souvenirs et les sentiments perdurent. Le pire du pire , c'est qu'avec le temps on oublie les crasses, on pardonne, notre rage s'efface , et on idéalise la personne et les moments vécus avec, comme si on aimait se faire du mal en provocant la nostalgie. La nostalgie de moments dont les souvenirs restant en sont parfaits. Parfait, comme les premiers rendez vous... En particulier LE premier rendez vous.. Jamais , je dis bien jamais , j'ai connu autant de bonheur. Pourtant on était pas ensemble mais à partir de ce moment , j'en était sûre et certaine... J'étais tombée dans ton piège. A partir de ce jour là, ce jour de septembre, mon cœur était prisonnier du tien. Quoi que je fasse, quoi que je dise, mes pensées t'étais toutes dédiées ... Autant te dire que dans tous les cas, à partir de cet instant, j'allais souffrir, je le sais. On s'attache pas à une personne , et on ne connait pas autant de bonheur sans qu'il y ait de conséquences. C'était Parfait comme le premier ***... Comme la première fois.. Comme les premiers Je t'aime ... Comme tous ces petits trucs qui ont fait que j'étais littéralement raide dingue de toi. Et puis un beau jour, je sais pas ce qui s'est passé, mais on s'est éloignés, je t'aimais encore comme une folle ! Je dirais mais que je t'aimais encore plus qu'avant... Parce qu'on se rend compte d'à qu'elle point on tien à une personne que lorsqu'on la perd.. Mais malgré mes pleurs, malgré le fait que j'avais besoin de toi pour vivre, pour être heureuse tous simplement... Malgré tous ça , je n'ai rien fait , je t'ai laissé partir , je t'ai regardé partir. J'étais spectateur de mon malheur, sans même prendre les choses en mains pour changer cela. J'aurais du arrêter de penser que c'était à toi de revenir. Car ce n'était pas à toi, c'était à moi de réaliser que tout le monde n'est pas à mes pieds éternellement , et qu'une fois dans ma vie je pouvais prendre les choses en main. Mais non. Non. Je suis restée enfermée... Enfermée sur moi moi, enfermée dans ma fierté. Bouffée par mes sentiments qui explosaient en moi. Et devant toi , je suis restée muéte , indifférente, j'ai tout gardé pour moi. Je t'ai fais croire que je ne ressentais plus rien , j'ai tout enfoui en moi , comme si je voulais que mon cœur arrête de s'exprimer. Et Lorsque tu m'a dis " Fais quelque chose, dis quelque chose " , je n'avais qu'une envie, c'était de crier au monde entier que j’étais folle de toi et te t'embrasser comme je ne l'avais jamais fais, mais au lieu de ça, je n'ai rien sur faire. Et à ce moment précis, lorsque je t'ai regardé dans les yeux et qu'aucun mot de ma bouche n'est sorti, que je suis restée sans bouger devant toi, j'ai compris que tout était finit, que j'avais gâché la dernière chance qu'il restait pour qu'on continue à être ensemble. Je peux te dire que j'ai jamais eu autant mal de ma vie, j'ai jamais ressenti autant de truc en moi que j'arrivais pas à extérioriser. Tu aurais du faire quelque chose toi aussi, tu savais très bien comment j'étais . Tu m'a regardée me détruire sans rien faire.J'ai trop sombré à cause de toi, j'ai trop souffert. Tellement que j'ai cru mourir tellement ça me faisais mal de te perdre.                                      






Tu veux que je te dises ce que j'étais avant ? Avant toi, j'étais une jeune fille avec des principes, innaccessible. Je ne voulais pas donner mon coeur à n'importe qui . J'attendais d'etre amoureuse, vraiment. De ressentir des choses que je n'avais jamais ressenties ! J'attendais l'amour, le vrai. J'étais heureuse, joueuse, insouciante. Et puis je t'ai donné mon coeur, à toi. TU étais la mauvaise personne, mais mon coeur t'avais choisi. C'est avec toi que j'ai découvert ce que c'était l'amour qui fait mal. Tu m'a beaucoup appris. Tu avais une fille bien entre tes doigts. Tu es partie en laissant derriére toi une trainée. Une fille qui avait perdue tous pruncipes, qui avait oublié ce c'était  qu 'être une fille bien. Tu m'a changée, à jamais. Maintenant, je suis une pxte. Tu as fais de moi une pxte.                                                 

Et tu reviens... Tu reviens avec ta bouche en e de coeur, avec ton humour, ton charme, ta façon d'être qui ma rendue complétement folle de toi dès le premier jour. Tu reviens, tu te pointe et tu me fais oublier toutes les crasses, tous les coup de px te, les critiques , les rumeurs. Tu reviens et tu m'ipnotise, me rend aveugle, me fait perdre toute lucidité et réduit à néans tous ce que j'avais réussi à construire pour t'oublier. Tu reviens et tu reprends mon coeur, encore... Une nouvelle fois. Je suis une proie beaucoup trop facile, je le sais. Tu es ma faille, ma faiblesse. Tu peux jouer de moi, me faire du mal , te fouttre de ma gueule et malgré tous ça, en un regard, je trouverai encore la force de t'aimer encore. Tu peux faire tous ce que tu veux de moi et tu le sais pertinament, tu en joue.J'me sens comme emprisonné e de mon amour pour toi. Des sentiments qui me bouffent, me montent et me font planer... Des sentiments qui me font perdre la raison, la notion du temps  .. Tu sais, quand je suis avec toi plus rien n'a d'importances, plus rien n'extiste autout... Je ne vois que toi, toi et toi. En fait, tu me manque  en tout temps... Je suis bien qu'avec toi et notre complicité.. Il ne me manque rien en ta compagnie car tu suffit à mon bonheur. Nos moments ont été les meilleurs de ma vie tu sais...  Car ils ont été sincére, plein d'émotions , et à vrai dire, avec toi je me sens vivante.. J'me sens exister ! J'me sens heureuse. Parce que j'ai ce que je désire le plus au monde. C'est bizarre, mais que ce soit dans 1 mois ou dans 1 an, je suis sure que je'aurai encore des sentiments pour toi, parce que j'ai l'impression qu'on a pas vécu tous ce qu'on avait à vivre tu vois? On a encore plus de beau moments qui nous attendent et qu'on aura surement pas la chance de vivre à cause de ta fierté et surtout de la mienne. J'aimerais que tu prennes conscience de tous ce que je pense de toi.. Ca te ferrait surement peur, certen mais tu aurais la vraie version contrairement à celle que j'te montre ...



Beaucoup de choses ont changées, non, trop de choses ont changées. Je savais que ce jour allait arriver,  ce jour où je prends conscience et où j'ai absolue certitude que non , tu n'es pas un mec bien. Tu n'es qu'un crevard, un chien, un hypocrite, un gamin,un loveur, un obssédé .  Bref, je ne regrette rien de tous ce qui s'est passé, mais tu n'es pour moi qu'une décéption, une fois de plus. Je savais que ce jour allait arriver... Tu sais, ce jour où j'allais obtenir ma vengeance et l'a keaffer... Te reprendre et te jetter, t'observer rager dans ton plus sombre intérieur. Jouer, profiter, m'amuser, prendre mon air supérieur devant tes yeux, te fouttre à la gueulx mon pxtain de fichu bonheur dont tu n'es pas l'auteur. Te montrer que  sans toi la vie est meilleur, que tu n'étais qu'un détail et qu'une personne parmis tant d'autre. Te prouver que tu ne représentais plus qu'un jouet, un objet s e xuel, un homme que j'ai à disposition et que je remplace en claquant des doigts. Désormais tu n'es qu'un corps, tu n'es plus un coeur. Bizarrement je ressens encore de la rage quand je repense à toi, mais plus de sentiments affectif. J'ai juste une ultime jouissance en repensant à ce moment dans ma tête. Te rendre la monnaie de  ta piéce à été tous simplement révélateur. Révélateur d'une pointe d'esprit mesquin  et manipulateur caché au plus profond de moi. Je n'apelle pas ça de la méchanceté gratuite mais plutot la conséquence de tes actes. Dorénavant tu sauras qu'une femme blessée n'oublie jamais. Que les blessures les plus profondes resteront gravées  au plus profond de nos coeurs, et que quoi que l'ont fasse, quoi que l'on dise, au plus profond de nous, nous n'attendons que le bon moment pour attaquer et mordre.



Bref, cette prise de conscience je l'a dois à vous. Vous, qui avez contribuez à ma rennaissance, qui avez lutter contre mon laisser aller sans même vous en rendre compte. J'la dois à toi, perfection au masculin qui es rentré dans ma vie et qui a su raviver la flamme que j'avais perdue ! Ce n'est pas la flamme de l'amour du coeur , mais la flamme de l'amour de la beauté. Vous savez, ce petit coté superficiel que j'avais perdu...  Tu as su attirer mes yeux avant mon coeur, certes, mais seul le temps nous dira si ta beauté intérieur égalera celle de  ta beauté extérieur... J'essaie de ne plus me poser de question et de ne pas réflechir. J'ai décider de vivre au jour le jour avec toi... Je n'espére plus rien ! tu sais, le principal c'est que je suis bien ! C'est grace à toi, j'ai l'impression d'intéresser à quelqu'un à qui j'ai envie de faire de l'effet. J'ai l'impression d'avoir ce que je veux! Et cette idée me réconforte beaucoup. Disons que j'avais besoin de ça. J'avais besoin de toi.





J'enchaine, je les enchaine. J'accumule, je les accumule. On oublie l'un avec l'autre, au oublie l'autre avec l'un. Je suis en pleine mutatation, de la petite fille au grand coeur, je passe de la bxtach sans seniments. dépourvus de tout opinion sur l'amour. Car ce n'est plus le coeur que l'ont rempli mais le désir , c'est l'affection, les ressentis, les sentiments, mais pas l'amour. Tout faire pour ne plus s'attacher. Penser comme eux , agir comme eux , réagir comme eux. Telle est ma devise dorénavant.



"Dorénavant" pour moi ça veut dire : tant que tout est bien et tant qu'ils sont à mes pieds. Mais un jour, tu te retrouves seul, face à ton échec. tu te rends compte que jouer, mettre de coté l'amour, l'affection, les sentiments, ça fais mal. C'est se rendre qu'on qu'au final tu t'étais attachéé comme une cxnne mais que tu t'en est rendue compte que lorsque la personne est loin de toi. Et avec toi... J'ai merdé ! Impossible de te cerner . Je ne te comprends pas, je ne sais pas qui tu es . Je ne veux plus continuer , je veux m'arreter là avant que les dégat ne prennent de l'empleur au fur et à mesure du temps. Moi je veux rester accompagnée de ma solitude et être bien. M'auto-suffire à mon bonheur. J'aimerais avoir l'esprit vide. J'aimerais faire taire mes pensées, ma vision des choses. J'aimerais arreter d'attendre, de souffrir. J'veux oublier.




































pxtain de vie de mxrde
Non ! Je sais même pas quoi dire, quoi écrire. Je sais même pas quoi en penser. Je sais juste que ce pxtain de truc m'a bien fouttue mal ! J'ai l'impression d'avoir  tout gaché tu vois? J'étais comme dans un cauchemard. Comme si j'étais pas vraiment avec toi. Comme si la personne que je voyais c'était pas quoi. Comme si ce que je faisais je ne le faisais pas. Comme si  ce que je pensais je ne le pensais pas. Je ne ressentais rien. J'étais rien, je ne représentais rien. J'étais là, comme une cxnne à coté de toi en train de galérer à essayer de comprendre ce que tu disais , car trop loin pour réfléchir. J'me faisais honte à moi même d'être dans cet état. Plus jamais. Je sais même pas si je dois t'envoyer un sms ou attendre le tient. Je sais pas si je dois en rire ou en avoir honte, crever l'apset ou fermer ma gxeule?! En tout cas, le choix est déjà fais.Je ne POURRAI pas fermer ma gxeule! Je suis déjà assez mal comme ça ! Je galére à ne pas t'écrire et lorsque j'enisage le fait de t'envoyer un sms je me demande  quoi t'écrire et je ne trouve pas. Alors voilà, je sais pas ! Pis il faut que ça tombe le week là. Le week end où je suis le plus à fleur de peau et le plus ***tible. Le week end où il faut le moins me parler d'amour et encore encore moins me parler de DECEPTION AMOUREUSE. Bref, je reste dans ma déprime.


au pire ça s'arrêtra là pis voilà , j'arrêterai de me prendre la tête unitilement pour des choses qui sont au final inutiles car elles n'aboutissent pas. J'en viens à  me dire que le probléme vient de moi. Je retrouve les mêmes comportements en chacun d'entre vous , à chaque fois, je me demandes d'où vient le probléme mais je ne trouve pas. Je pense qu'aux yeux des gars je suis la meuf qui peut plaire physiquement mais qui casse les cxille à un moment donné. C'est tout. J'suis la meuf d'une nuit, rien de plus.




Et voilà aprés tous mes efforts, aprés toutes ces allusions, ces moments apssés avec des autres... Avec toutes ces distractions... J'me rends compte que malgré tous ce superflux, tu es resté ma priorité dans ma vie. Mon but était de te faire mal, de te détruire , de te faire souffrir et je suis la première à savoir que je l'aurais fais sans hésiter si jamais j'aurais eue cette occasion qui c'était présentée à moi. Je te jure que je t'aurais fais souffrir autant que je t'aime. Je te déteste , je te hais putxin. Quand est ce que je pourrai envisagé une relation avec un mec sans la vivre en fonction de toi? Sans agir en fonction de toi. J'en ai marre de tous ça ! Dépendre de toi. Tous dépend de toi... J'ai l'impression de tout controler mais la vérité c'est que je ne controle rien.

J'suis dégoutée, déboussolée, sonnée, perdue ... éperdument amoureuse. Comme avant. Comme il y a 1 an. J'ai l'impression qu'il n y a eue strictement aucune évolution. Je suis toujours la même fille cxnne et extrêmement naïve qui me noie dans les paroles du seul être qui me dis avoir réellement envie d'être avec moi. Tu sais, ces mots tu les as déjà prononcés une première fois. Tu m’as déjà fait n'improbable promesses... Des promesses que tu n'as pas tenues. Tu m'avais dit que tu prendrais soin de moi. Mais tu pas détruite, comme jamais qql1 n'a réussi à me mettre à terre auparavant. Tu m’as achevée, démolie et tu m’as laissée m'étouffer dans ce pxtain de gouffre qui m'auto détruisais.


Je n’aime pas ta gxeule, ta façon de parler, ta façon de chanter, ta façon de me regarder. Je n’aime pas ton sourire, ton rire, tes manières, ta personnalité, ta mentalité. Je n’aime pas ce que tu as fait, ce que tu fais et ce que tu ferras, et je déteste le peu de truc que t'as réussir à accomplir dans ta vie. Je n’aime pas ta façon de marcher, de danser et j'aime encore moins ton parfum qui me fais penser à toi à chaque fois que jle sens. Je n’aime pas ton prénom, ta couleur de couleur et ton lit qui à supporter toutes les pwtasses de la ville. En fait t'es rien, t'es pas intelligent, t'es égocentrique, superficiel, manipulateur, menteur.  Je te déteste, toi et tes souvenirs ainsi que toutes les meufs que je hais également à cause de toi. Le seul truc bien dans ta vie, c'est moi. Aujourd’hui, je me rends compte que toutes ses imperfections me mènent malgré tous vers toi. Je mène une lutte perpétuelle contre mon amour refoulé pour toi.

Comment pouvons-nous savoir ce que nous voulons alors que nous ne savons même pas qui nous sommes ?

                Une identité. Une personnalité. Etre quelqu’un.
Nous décrire. Une de ion ? Quelle de ion ?
Je dirais que je ne suis rien et tout à la fois.
Une fille, une jeune femme, une gamine ou quelqu’un tout simplement ?

                Une chose est sûre c’est que je suis perdue. Perdue dans un océan de questions sans réponses, de rêves irréalisables étant donné que je n’ai plus aucune ambition.
Une confiance en soi et une joie de vivre envolée. Un quotidien répétitif dans lequel je ne semble trouver plus aucun intérêt.  Une vie qui bascule du jour au lendemain.
                J’ai toujours été cette fille équilibrée dans sa tête avec une opinion forgée, un esprit vif et intact. Pas cette fille complétement seule et pommée qui  se demande sans cesse si elle est devenue folle. Je crois que j’ai besoin de quelqu’un. Pour savoir que je suis là, que j’existe. Pour me sentir VIVANTE tout simplement. J’ai besoin que quelqu‘un me remarque et vois que je ne vais pas bien.  Besoin d’être importante pour une personne sur cette terre au moins.

Je te perds… Tu t’éloignes de plus en plus de moi. Peut-être qu’un jour je pourrai te regarder dans les yeux et ne plus rien ressentir. Peut-être que je pourrai être totalement indifférente à ton charme (inexistant). Peut-être que je serai délivrée de cet amour qui me tiens prisonnière de nos souvenirs.

Je te vois vivre ta vie, et je me sens plus spectatrice qu’autre chose. Je fais semblant d’avancer, de passer à autre chose, d’évoluer. Mais tout ça est faux. La vérité c’est que je vis en fonction de toi. Mes actes sont faits en fonction de toi. Et que le jour où tu ne seras plus là, je n’aurais plus aucune raison de faire telle ou telles chose.
Peu à peu, quand je te sens partir de moi, c’est ce qui se passe… Un manque de motivation. Je fais les choses machinalement sans aucune raison valable. Je me laisse couler petit à petit parce que je me sens seule. Je me sens mise à l’écart. Je me sens importante pour personne.

Toi qui étais ma seule raison de sourire… Ma seule raison de me lever le matin… Je suis là, à attendre quelque chose. Je suis dépourvue de tous repères. Je pense être encore amoureuse de toi pour la simple et bonne raison que la vie c’est les sentiments. Je ne ressens rien d’autre pour personne. Je me raccroche donc à ce souvenir  désespérément mais ce n’est pas quelqu’un comme toi qu’il me faut. Tu ne me comprends pas, tu ne m’écoutes pas, tu n’étais pas là. Tu ne me connaissais pas. Moi je te connais parce que je te regardais, je te portais de l’attention, je buvais tes paroles, tes gestes, tes attentions… Je « t’étudiais » en quelques sortes. C’est pourquoi je peux te dire que tu es quelqu’un d’égocentrique. Tu es impulsif, renfermé sur toi-même, tu aimes la simplicité, tu manques de répartie, tu voudrais tout diriger, tout contrôler, tu changes les gens, tu les rends à ton nivaux.

 Tu es tous ce qu’il ne me faut pas… Il me faut quelqu’un qui croit en mois, qui me pousse vers le haut… Qui m’aide à me sentir bien, à me sentir mieux. Quelqu’un qui m’aime à ma juste valeur et qui découvre ce qu’il y a au plus profond en moi, qui aime cette personnalité et qui l’a développé. Quelqu’un avec qui je me sens bien, avec qui je me sens moi. Je veux le regarder dans les yeux et comprendre que c’est lui. Etre heureuse et savoir que cet sensation est le bonheur. JE veux ressentir l’amour comme je ne l’ai jamais ressenti. Je veux me sentir planer, arrêter de réfléchir quelques secondes et vivre la vie pleinement.

Je te perds… Tu t’éloignes de plus en plus de moi. Peut-être qu’un jour je pourrai te regarder dans les yeux et ne plus rien ressentir. Peut-être que je pourrai être totalement indifférente à ton charme (inexistant). Peut-être que je serai délivrée de cet amour qui me tiens prisonnière de nos souvenirs.

Je te vois vivre ta vie, et je me sens plus spectatrice qu’autre chose. Je fais semblant d’avancer, de passer à autre chose, d’évoluer. Mais tout ça est faux. La vérité c’est que je vis en fonction de toi. Mes actes sont faits en fonction de toi. Et que le jour où tu ne seras plus là, je n’aurais plus aucune raison de faire telle ou telles chose.
Peu à peu, quand je te sens partir de moi, c’est ce qui se passe… Un manque de motivation. Je fais les choses machinalement sans aucune raison valable. Je me laisse couler petit à petit parce que je me sens seule. Je me sens mise à l’écart. Je me sens importante pour personne.

Toi qui étais ma seule raison de sourire… Ma seule raison de me lever le matin… Je suis là, à attendre quelque chose. Je suis dépourvue de tous repères. Je pense être encore amoureuse de toi pour la simple et bonne raison que la vie c’est les sentiments. Je ne ressens rien d’autre pour personne. Je me raccroche donc à ce souvenir  désespérément mais ce n’est pas quelqu’un comme toi qu’il me faut. Tu ne me comprends pas, tu ne m’écoutes pas, tu n’étais pas là. Tu ne me connaissais pas. Moi je te connais parce que je te regardais, je te portais de l’attention, je buvais tes paroles, tes gestes, tes attentions… Je « t’étudiais » en quelques sortes. C’est pourquoi je peux te dire que tu es quelqu’un d’égocentrique. Tu es impulsif, renfermé sur toi-même, tu aimes la simplicité, tu manques de répartie, tu voudrais tout diriger, tout contrôler, tu changes les gens, tu les rends à ton nivaux.

 Tu es tous ce qu’il ne me faut pas… Il me faut quelqu’un qui croit en mois, qui me pousse vers le haut… Qui m’aide à me sentir bien, à me sentir mieux. Quelqu’un qui m’aime à ma juste valeur et qui découvre ce qu’il y a au plus profond en moi, qui aime cette personnalité et qui l’a développé. Quelqu’un avec qui je me sens bien, avec qui je me sens moi. Je veux le regarder dans les yeux et comprendre que c’est lui. Etre heureuse et savoir que cet sensation est le bonheur. JE veux ressentir l’amour comme je ne l’ai jamais ressenti. Je veux me sentir planer, arrêter de réfléchir quelques secondes et vivre la vie pleinement.