Te souviens-tu de moi, belle et sombre inconnu ?
Je suis une ombre éteinte, ô funeste madone !
Te souviens-tu du sang caressant mon corps nu ?
Des larmes et des cris, c’est tout ce que je donne.
Te souviens-tu de moi, triste et noir inconnu ?
Je ne suis qu’une voix, ô terrible matrone !
Je ne suis qu’un reflet insolent et ténu…
Une dague d’argent…mon amour, ça t’étonne ?
Mon rire retentit aux tréfonds de ton être,
Je ne suis qu’un regard sous un masque de soie,
Je suis morte de froid, et tu trembles peut-être.
Dans mon cœur est gravée une tendre blessure,
Je ne suis qu’un chasseur se prenant pour la proie…
Tu ne te souviens pas ? Je n’en suis pas si sûre.
MON AMOUR ,MON PARJURE
MOI yann je suis a toi je te le jure
je t'aime
voila un autre :
Amour rime avec destruction ?
Elle représente tout. Tu l'aimes comme un fou,
Ce n'est pas un mythe. Elle est plus que sympathique,
Tu lui dis, tu lui prouves. De bijoux tu la couvres,
Ce n'est pas que de l'amour. Il y a tellement de choses autour,
Un sentiment indéfinissable. Des souvenirs mémorables,
Des mots forts qui resteront gravés. Des sourires partagés,
Des repas, des soirées. Des après-midi, des journées,
Tu as pensé à elle depuis que tu l'as rencontrée c'est ainsi,
Elle a chamboulée ta vie. A modifiée ta perception de l'avenir,
Elle est à toi, elle t'est liée. La seule, l'u***, Ton être aimé...
Tu le sais au fond. Tu es loin d'être un démon,
Mais tout est trop difficile. La violence est plus facile,
Une dis*** inutile. Des cris et des insultes, Tu perds le fil,
Tu renfermes la haine en dedans. La cadenasse bien fortement,
Tu redoutes le jour où, tout sortira et avec ça les coups,
« Reste calme ne t'énerve pas ». Sans arrêt tu le dis et espères que ça marchera,
Mais tu es fait comme ça. Un besoin d'extérioriser tu ressentiras,
C'est dans la colère et les pleurs. Ton pouvoir sur elle et sa ferveur,
Un coup puis un autre. Contre le mur puis à terre ce ne sera pas ta faute,
Coup de pied et de poing. Ses cris et ses appels à l'aide n'y feront rien,
Tu es parti cette haine enfin tu l'as sortie. A ses dépends tu la détruis,
Tu ne contrôleras plus rien sûrement. Tu te délivres du mal en faisant couler son sang,
Un autre prendra possession de ton esprit. Lentement tu ruineras sa vie,
Tu t'en foutras sur le moment. Tu te libères, lui fais payer, c'est ce que tu ressens,
Les remords ne feront leurs apparitions que plus tard. Quand ses yeux se cerneront de noir,
La tristesse ne viendra jamais. Même pas l'état dans lequel tu vas la laisser,
Bleus points de suture et bandages. Feront maintenant partie du paysage...
Elle représente tout. Tu l'aimes comme un fou,
Ce n'est pas un mythe. Elle est plus que sympathique,
Tu lui dis, tu lui prouves. De bijoux tu la couvres,
Ce n'est pas que de l'amour. Il y a tellement de choses autour,
Un sentiment indéfinissable. Des souvenirs mémorables,
Des mots forts qui resteront gravés. Des sourires partagés,
Des repas, des soirées. Des après-midi, des journées,
Tu as pensé à elle depuis, que tu l'as rencontrée c'est ainsi,
Elle a chamboulé ta vie, a modifié ta perception de l'avenir,
Elle est à toi, elle t'est liée. La seule, l'u***, Ton être aimé...
un autre poeme :De belles ailes en coton résident sur ton dos
Un coton doux mais résistant comme la pierre
Blanches, chaleureuses, et ....éphémères
Tu trouves pas que sa les décrit bien ces mots ?
De magnifiques boules de neige sur tes omoplates
Elles sont l'image même de TES tourments
Tu souris, tu vies tout en marchant lentement ...
Au fond, c'est si important pour toi qu'on te rejette ?
De somptueux buvards installé derrière toi
Tu deviens obscur..., l'encre de chine s'estompe
Par tes membres mutants qui les trompent ...
C'est la dernier fois, qu'on voit se blanc de soie...
De majestueux démons devenu noir
Ton teint est si blanc désormais, tu es si terne ....
Elles t'ont pris ton existence malsaine
Ce soir de pleine lune, sur un simple trottoir ...
D'imposantes craintes te manipule comme un enfant
Un sourire crispé, des cris, des larmes venant de ton coeur
Tu es une pauvre fleur fanée qui, lentement, meurt
Les rôles sont échangé, rien n'est plus comme avant...
De royale dragon t'entraîne dans leurs délires
La fureur, la mort ou du moins son désire t'encercle
Ces sentiments sont étranges, ils t'obsèdent, ils t'étranglent
Tu meurt sous leur rire de chimères mortes dans le désastres ...
un autre poeme bizzard il est de mon frere:
*** EPOUX VAMP' ***
Aurore lève-toi par les dieux et les saints,
que la lumière du jour brûle chacun des siens
Horreurs de la nuit,
ombre tapis Se cache au fond de quelques caveaux maudits
L'heure du festin avance et lorsque la nuit, commence et arrache le jour,
se lèvent les légions aux ténèbreux atours.
Un HOMME parmi eux, ange de mort,
une nuit entre en ma demeure, encore.
J'ouvre, la guide, l'éclair.
IL est bEAU et terrifiante.
Ses mains,
ses yeux,
sa bouche tentante.
Ses yeux me fixent et j'ai envi, dE LUI, ses yeux, son corps, une nuit.
Ces yeux...
IL dépose ses mains sur mon ventre brûlant,
le froid de ses ongles m'écorchant la chair de mes bras,
le sang à mes tempes bat mais ces yeux ne me quittent pas.
Mon dieu,
j'ai froid,
rapproche toi. J'ai besoin de ses yeux à présent, qu'IL me donne son corps,
je lui donne mon sang
Reste auprès de moi dIEUX,
tes yeux...
...ne me quittent pas,
je le veux
Je n'y vois plus à présent.
Au fond de mon âme ces yeux fixement.
Je lE sent s'approcher de mon corps déchiré et ses lèvres s'entrouvrent par ma mort attirées.
Ses crocs
IL rapproche et déchire ma peau.
Ses yeux sont beaux lorsqu'IL lape le sang chaud Coule de mes veines,
sans elle le frisson de la vie n'est qu'abandon.
J'ai perdu mon dieu désespoir. mais surtout j'ai perdu ses yeux,
il fait noir.
Impossible horreur...croire,
impossible aurore.. voir
JE T'AIME