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La fin de la journée m'attire comme les yeux d'un portrait d'un musée. Ma jeunesse est un orage traversée par des soleils drolement lumineux. Ivre la nuit je deviens comme cet animal blesée, qui danse sans vouloir danser. Ivre la nuit je deviens comme ce petit nourrisson qui pleure, san vouloir penser. Je cours tout droit vers l'horizon qui disparait graduellement. Le temps qui passe autour de nous est un vaste rempli de petits miracles.
La grandeur du ciel de ce soir, enveloppe deux corps qui se séparent brutalement. Est-ce que ce sont les notres? Est-ce que ce sont les leurs? Ces mots s'abimeront le jour ou te le décideras, mais disparaitront avant que tu les déshydrates. Ces mots plairont davantage à la nuit qu'à la clarté. Sur la lumière de tes yeux, ils feront une apparté. On se dévoilait toutes nos failles inconsciemment, durant les moments les plus parfaits. Ces mot s'infliteront dans tes reves, comme une poussière dans tes yeux. Lorsque la fleur fane au vent, ses pétales ne peuvent pas danser seules. L'esprit occupé par ces destins qui se croisent mais qui se manquent toujours. La nuit de vient le grain de beauté de la nuit quand son ciel se met à noicir. O combien j'aimais te voir lire allongée pendant que j'étais ce ssoir ivre. Pnedant qu'on courait un champs de reves inéxaucés, je me suis mis à douter d'eux. Mais le poids de ces doutes s'est logé sous mes yeux.
Je contemplerais plus longuement le ciel d'ou nous regarde une étoile problablement déjà morte. Je t'empécherias d'étre offensée comme le soleil avan le soir avant la nuit qui part et qui se désamorce. Je traverserais la nuit précédente pour prolonger dans le matin de notre relation. Je soufflerais sur la bougie avant qu'elle ne dévoile le brutal vertige de nos passions. Je ferais de mes choix des sortes d'audacieuses exceptions. Je dormirais pendant des jours pour après ensuite pouvoir rester debout à pas d'heures. Mais si je travers le temps ce dont je raffolais perdra toute sa valeur. J'examinerais mieux ton sourire pour comprendre autrement l'histoire qui se cachait derrière. Je rajouerais nos adieux pour faire en sorte que cette scène ne soit pas la dernière. Je passerai une journée complète et ininterrompue derrière une fenétre à rechercher dans le regard fidèle et fou de certains passants des feux naitres.
Joanna c'est ce sourire aux lèvres, ces yeux qui pétillent et ces cheveux au vent - lorsqu'il y en a.
C'est sa voix si fragile lorsqu'elle prend la parole.
Joanna c'est un petit bout de vie. C'est peut-être bien la vie toute entière. Son visage exprimerait la joie, son corps la colère.
Joanna, c'est sa clope au bout des doigts - qui se consume - quand elle traine dans les cafés.
La nuit, si on tend bien l'oreille droite on peut l'entendre pleurer dans tout Paris. La journée si on tend la gauche on peut l'entendre rire à gorge déployer. Et mettre le sourire sur le visage des gens - triste pour la plus part. C'est comme si elle dessinait le bonheur enfouit au fond des cœurs, celui qui ne veut pas sortir.
C'est comme si les choses n'étaient plus ce qu'elles sont mais qu'elles étaient différentes.
Joanna c'est un paradoxe. Le plus beau qui soit, comme toi et moi.
Joanna c'est comme une chanson sans paroles, étrange, beau et merveilleux à la fois.
C'est comme l'orage, lumineux et explosif.
Et si vous avez peur de celui-ci vous ferriez bien de vous méfier d'elle.
Dans le cas contraire aussi - même si vous n'en avez pas peur - elle serait capable de vous-en faire en avoir.
Explosif, c'est ça le souci. Ou en tout cas l'un des soucis.
On pourrait comparer ceux-ci à un groupe d'amies inséparable, parce qu'au fond c'est ça les problèmes. Ils sont difficiles à séparer. À résoudre.
Joanna « c'est cette fille qui me dit que je compte pour elle et peu importe comment. »
Peu importe comment je suis. Ou de n'importe quelle façon, je compte pour elle dans le vague, dans le bordel.
Son visage était encadré par une chevelure brune et en pagaille. Elle était onctueusement claire et hachée. Dans ses prunelles reflétaient des éclats de noisette d'où paressait s'émaner une légère odeur de cannelle et d'artifices. Et je m'en détachais pas, je me suis laissée crever sous ces yeux de bronze, le temps d'agoniser et d'en revenir névrosée. Elle n'étais pas belle Juliette, elle était divine et exécrable, aussi inhumaine qu'irrésistible. Elle était un peu comme la nuit, elle hurlait mais personne ne l'entendait. Pourtant elle était aussi envahissante que l'obscurité, elle se raccrochait à mes tripes jusqu'à me faire vomir tendrement son nom. Elle était un peu blasée, au fond, elle avait un cœur de neige en miettes mais la conscience tranquille. Elle m'empoissonnait inconsciemment. Pourtant j'ai continué de lui courir après, j'ai fait d'elle un remède et je me droguais avec ses sourires de sucre et son parfum de vanille, quitte à repartir l'âme complètement défoncée. A vrai dire, elle étais merveilleuse dans son atrocité. J'aurais voulu la prendre par la main, l'emmener aussi loin que possible, là ou la vie ne s'achète pas.
Doucement je me suis penchée vers elle, et j'ai chuchoté qu'elle était le feu et la glace, et qu'elle aurait pu me haïr autant que je l'aurais aimé. Jamais j'en aurais voulu à un ange déchu d'être aussi humain. "Laisse-moi une chance Juliette. Et si demain tu me déteste encore, alors je t'aimerais assez pour nous deux."
(Roméo et Juliette)
j'me moque de l'amour à deux balles,ça sent les sentiments faux ,des paroles en l'air et des gestes que soient disant on ne contrôle pas.Quand cela vient vers vous,vous bouscule,vous frisonne,vous êtes perdu. Tu te dis merde,pourquoi ça vient vers moi,pourquoi ça me bouscule et ça me frisonne. Je me battrai pour pas que ça devient supportable,je me battrai pour pas que la jalousie s'installe dans nos cœurs défoncés.Et puis tu remarques que tu es le poison. La pétasse qui as tout foiré?Tu en chiale,tu deviens vide. Ce n'était qu'un mirage,une légende,une belle claque.Et puis tu remarque que tu étais qu'une simple innocente fille qui cherche égoïstement l'amour et tu deviens un détestable cauchemar.
J'aurai voulu savoir. Savoir toutes les choses qui nourrissent nos journées, j'aurai voulu connaître les gens. Ceux qui ne parlent plus, et ceux qui parlent encore. J'aurai aimé lire la vie, j'aurai voulu la vivre différemment, pas comme on l'entend, simplement comme un sifflement, celui qui dans un souffle léger s'en est déjà allé. Celui qui ne peut être saisi par n'importe qui. J'avais des choses à dire. J'avais des mots en trop. Il y avait toujours trop de pensée et pas assez explications.
Il y avait le soleil et la pluie, et il y avait moi. Il y avait des cartons, et il y avait toi. Un bout de papier chiffonné, une cigarette consumait, un sourire près à donner et des larmes toujours imagé.
Je t'ai souris, et tu m'as simplement regardé, mon regard suppliait le tien de vivre, mais tes yeux ne répondaient plus.
Alors j'ai pris mes affaires , j'ai tourné le dos à cette allée incessante où tu y étais maintenant le roi, mes talons frappant le béton à chaque seconde, tu me regardais partir sans bouger, sans pleurer, sans sourire, sans vie, sans humanité, mais où étais-tu passé ?
Rien ne lui échappe. Ni même toi, ni même moi. Mais peut-être que les malheurs ne parleraient plus d'eux même si nous arrêtions de leur répondre ?
C'est fou. C'est fou comme la vie peut retirer et ajouter, comme la vie peut offrir et reprendre. C'est fou de sentir à chaque instant l’infériorité qu'elle cherche à nous prouver, mais sans jamais nous détruire complètement. On dirait qu'elle préfère nous laisser ce travail.
Sale pantin.
J'aurai voulu savoir, mais au moment où je sentais mes erreurs glisser le long de mon cou, l'allé avait disparu, et toi, tu veillais désormais sur les cieux, sans jamais y détourner les yeux.
Oui, j'aurai tout voulu connaître à une période, pourquoi la mort, pourquoi partons-nous, et quand revenons-nous. L’ignorance rongeait mon esprit mieux que le temps, et plus aisément qu'un couteau.
Et c'est là que je compris, au milieu des pluies de ce monde, à côté des bonheurs mérités, que rien ne se sait, tout se suppose.
J'ai l'âge de réaliser mes vœux,de m'amuser, d'être libre, d'aimer et de détester qui je veux , de penser à mon avenir sans avoir peur,de fumer,boire,de me mettre en danger sans soucis des conséquences,de faire,dire ou de penser sans soucier des personnes autour de moi. J'ai l'âge de la découverte de moi-même et des autres,l'âge de nouvelles expériences. L'âge de l'inquiétude et du dépassements de peur. Un âge de passion et d'amour. L'âge des pleurs et des rires. L'âge ou je suis reine de ma propre vie.
De quoi brûle-t-on d'envie ? De liberté.
Mon âme s'enflamme, subitement, sans aucune vague d'émotions à l'horizon, ni naufrage de sentiments. Je veux juste écrire sans réfléchir, sans m'arrêter et être aussi ivre que le bateau de Rimbaud.
Les mots sont la vie. La liberté, le monde. Emporte-moi dans les flots de la joie, je bois l'eau de la vie.
La brise de vent caresse nos cheveux de la même délicatesse que les doigts de cette si jolie épine qui nous écorche vif.
Des méandres au creux de ses reins qui t'embarquent bien trop loin.
Que c'est bon quand tu n'as peur de rien, et que tu la tiens férocement de tes deux mains.
Ne la laisse pas filer de tes ***s, elle est là, au bord du précipice, contre la commissure de tes lèvres, prête à bondir de la falaise…
Et un jour une solitude rencontre une autre solitude et c'est le chaos
On sait tous que deux bombes à côté font des dégâts plus gros
J'ai fini par l'appeler sur son téléphone, il a répondu au bout de la deuxième sonnerie. J'ai soufflé un petit “salut”, apeuré, sans défense, timide, brisé. Il a répondu “c'est qui ?”. Alors j'ai dit “tu vois, je t'avais dit, je suis quelqu'un que l'on oublie”.
Et alors j'ai raccroché.
Il n'a jamais rappelé.
Je suis un paradoxe. Je suis fainéante, pourtant je suis ambitieuse. Je dis que je m'en fiche, alors que pas du tout… Je demande de l'attention, mais lorsque l'on m'en donne je la rejette. Je suis une conflictuelle contradiction.
Vous deux, ça n'aurait jamais dû fonctionner. Tu étais rêveuse, dans les vapes, tu trouvais que tous les philosophes avaient un charme, que tous les auteurs racontaient leur histoire. Tu pensais que tous les mots t'étaient destinés, qu'il n'y avait pas assez de livres dans ce monde et qu'il n'y avait pas assez de vies pour en lire. Lui, c'était tout le contraire : il était beaucoup trop réaliste. Quand tu émettais une hypothèse, tes yeux brillaient, et sans le vouloir, lui, ils brisaient tes rêves, tes espoirs et soudain, la lumière qui éclairait tes beaux yeux s'éteignait. Il était bavard, il était fumeur; toi tu étais plutôt du genre à écouter et boire. Tu écoutais les autres parce que tu pensais qu'on apprenait plus de choses en se taisant car quand on parle, on redit ce que l'on sait. Fumer ne lui apporter rien de bon, ça détruisait ses poumons et tu n'avais pas besoin de lire des documents scientifiques pour le savoir. Boire n'était pas bon pour ta santé non plus mais l'ivresse te permettait d'oublier ou justement, te rappeler des choses que tu avais complétement zappé. Quelques fois, ça te faisait du bien. Quelques fois, ça te brisait en mille morceaux mais t'en souriais, tu disais vouloir vivre et ressentir toutes les émotions possibles sur cette Terre car la vie ne se résume qu'au bonheur et à la souffrance. Vous deux, ça n'aurait jamais dû fonctionner. Vous n'auriez pas dû vous rencontrer. Tu pensais que c'était le destin, il pensait que c'était le hasard. Tu te battais pour vous, il ne faisait pas le moindre effort. Vous étiez différents, opposés, incompréhensibles.
Vous deux, ça n'aurait jamais dû fonctionner.
Et pourtant…
"On ferme les yeux quand on s'embrasse, rêve, pleure et imagine. Parce que les plus belles choses de ce monde sont invisibles."
Une beauté aussi hautaine que la sienne inspirait la distance respectueuse. Jamais je n'aurais pu imaginer qu'il existerait un individu assez téméraire pour oser l'approcher. Ainsi, cet amour me faisait connaitre des souffrances variées mais dont la jalousie demeurait exclue.
"Ton cœur est un cactus hérissé de sourire. Tu n'aimes personne. Tu n'as pas d'émotions. Les nuages survolent ton cœur mais ne s'impriment pas. Tu ne sais plus quoi rechercher pour te faire trembler. Il te faut des orages, des ouragans pour que tu éprouves une petite, une toute petite émotion. Tu en deviens dangereux. Dangereux pour toi. Prends garde, tu vas finir par te fracasser."
J'ai plus envie d'avoir peur. D'avoir peur de tomber amoureuse,d’être avec qui je veux,d’être tout simplement libre. J'ai envie de goûter à tes délicieuses paroles, que je m’abandonne à tes actions inappropriées à la situation. J'ai envie de t'offrir mon corps, mon cœur, mon âme. J'ai envie que tu m'aimes, j'ai envie de t'aimer mais j'ai bien peur de t'aimer déjà. J'ai envie mais la peur prend toujours le dessus. Seras-tu la dissimuler?
j'ai juste envie de m'évader, partir ailleurs, aller à la rencontre de l'impossible avec toi. J'ai juste envie d’être libre, de m'amuser avec toi, avec lui, avec nous ou vous. J'ai envie que quelqu'un me libère.
Qui pourra m'offrir ça?
Parce qu'il y a des gens qui jouent avec les sentiments et d'autres qui subissent leurs propres sentiments instables. Il y a ceux qui ont trop dans les sentiments, et ceux qui ont n'ont pas. Il y a ceux qui veulent être rapide et ceux qui veulent prendre leur temps. L'amour est compliqué et c'est pour ça qu'elle vaut d’être vécu, de se battre pour elle. Rien n'est plus que de voir, sentir, parler, rêve, respirer de la personne qu'on aime.
"Surtout ne sort pas avec lui, c'est un vrai connard."
Ses paroles entrèrent et sortirent de sa tête à la seconde qui suit. Cet interdit qu'elle prit un malin plaisir à déficeler. Un amour censuré respirant la liberté d'agir comme bon lui semble. C'était dans sa nature d’être attiré par un danger qui allait la détruire si elle rester si naïve. Avec un peu des chances elle croyait dur comme fer que son côté gamin allait disparaître, comme la tromperie, la jalousie et son côté possessif. Mais hélas, c'était un océan infini entre elle et lui. Elle devenait maladive de lui, lui déchirant son cœur de plus en plus fort pour lui faire comprendre la souffrance qu'elle éprouver. Mais à chaque fois elle revenait vers lui.
"La France incarne tout ce que les fanatiques religieux du monde détestent : la joie de vivre par une myriade de petites choses : le parfum d'une tasse de café et des croissants le matin, de belles femmes en robe souriant librement dans la rue, l'odeur du pain chaud, une bouteille de vin que l'on partage entre amis, quelques gouttes de parfum, les enfants qui jouent dans les jardins du Luxembourg, le droit de ne croire en aucun dieu, de se moquer des calories, de flirter, fumer et apprécier le *** hors mariage, de prendre des vacances, de lire n'importe quel livre, d'aller à l'école gratuitement, jouer, rire, se dis***r, se moquer des prelats comme des politiciens, de ne pas se soucier de la vie après la mort. Aucun pays sur terre n'a de meilleure définition de la vie que les Français".
Naissance : Tu n’es conscient de rien, tu es là tout petit à regarder les autres heureux que tu sois là. C’est la partie où tes parents sont heureux et que leur seul problème est de s’occuper de toi.
Enfance : Tu ne sais rien de la vie, tu joue, tu ris, tu t’amuse. A l’école ton seul problème est de bien travailler pour avoir une bonne note.
Ton cœur est rempli d’amour.
Innocent et pure tu dis ce que tu pense, tu pose des questions sur le monde que les adultes trouvent des difficultés à y répondre. Tu te réveille le matin pour voir les dessins animés, à qu’après avoir finit tu prends ton vélo pour faire le tour du cartier.
Adolescence : La partie ou les mots ne s’achèvent jamais pour décrire ce que l’on ressent. Quand ça commence c’est surtout par un non.
L’amour, la haine, l’amitié, la trahison, la joie, les pleures tous commencent à faire surface…
La partie ou ont commet les plus grandes erreurs de notre vie, la partie ou ont se sent faible face au monde la partie ou personne ne vous crois, ou vous on parait fou. Il y a trois catégorie de personnalité dans cette période, premièrement ceux qui ont un petit cerveau et qui ne peuvent pas aller plus loin à part de vivre à la normal ; chercher la popularité par tout moyens, avoir beaucoup de copains ou de copine, mentir pour se crée ne vie, être hypocrite pour connaitre beaucoup de monde. La deuxième c'est les rêveur, les poètes autrement dit ceux qui observe le monde qui les entourent et le sentent et ce genre a souvent du mal à vivre à cause de la première catégorie qui l’étouffent de jour en jour. La dernière catégorie est celle des non vivant tout simplement.
« Vous avez toutes l'air d'escaladeuses de braguettes, c'est pas comme ça que tu auras une rue à ton nom, fourre toi ça dans l'ardoise, ma grande. Toi aujourd'hui tu peux tout être, t'as tout les droits. Chef d'entreprise, épicière, artiste, astronaute pourquoi pas. Qui est-ce qui a dit que tu pouvais pas viser les étoiles ?
Alors tu sais quoi, désormais les poupées, les souris, les gonzesses, les cailles, les morues, les donzelles, les bourgeoises, les pisseuses, les grues, les dindes, les bécasses, les punaises, les poules, les cocottes, les bobonnes, les mémères, les bibiches, les rombières, les bougresses, les gourdes, les garces, les traînées, les marie couche toi là, les sainte nitouche, les potiches, les godiches, les cruches, les pimbêches, les cagoles, les emmerdeuses, les gamines, les midinettes, les blondasses, les ***fiasses, les pétasses et les ***s, on relève le museau et on se fait appeler madame. »
Le chagrin est comme un océan : profond, sombre et si vaste qu'il peut nous engloutir. La tristesse est comme un voleur dans la nuit : silencieux, incontrôlable et très souvent injuste.
Je suis moi-même un jeu dont les hommes ne connaissent pas les règles de jeu. Il y a celles qui disparaissent et d'autres qui se crée aux files du temps, aux files des expériences mauvaises ou bonnes. Je serai la première à y jouer et la dernière à y mettre fin. Car c'est une forme de faiblesse laisser l'adversaire nous battre. J'accepte tout car ne rien acceptez-nous laisserai dans notre routine ennuyante ou dans notre solitude . Chacun de nous représente le bien et le mal mais dans un moment de notre vie, l'un prend le dessus sur l'autre. Je vis dans un monde qui n'a plus trop de morale, après toute la vie n'est qu'un jeu. À nous de rendre notre existence excitante et légendaire.
A mesure que les années s’écoulaient et qu’elle avait davantage l’expérience de la vie, elle était de plus en plus étonnée de la myopie des gens qui cherchent ici, sur terre, les jouissances et le bonheur, qui peinent, souffrent, luttent, se font du mal les uns aux autres pour atteindre cet impossible, ce fantomatique et impur bonheur.
«Enfance volée, adolescence brisée, jeunesse engagée».
-Dis-moi à quoi tu penses? je te sens lointaine ces temps-ci.
-Je pense à ces mecs, ces revenants qui viennent encore une fois dans ma vie, une deuxième fois dans ma foutue vie.
-C'est bien, ça veut dire que tu n'étais pas que de passage dans leur vie.
-Non, là est tout le problème. Ils reviennent comme une fleur, et moi je ne suis pas comme toi, je ne peux pas les envier chier .Non, je m'ouvre à eux encore une fois comme si je m'en foutais de ma propre confiance, tu vois? je ne crois pas aux secondes chances et pourtant ils reviennent, ils reviennent tous. Comme si j'avais quelque chose de spécial ou que j'étais que leur deuxième choix après avoir était larguer.
-Ils ont chacun leurs propres raisons de revenir vers toi.
-Bordel, mais qu'est-ce qu'ils me veulent, ils ne sont jamais clair et après ils disent que c'est nous qui sommes compliqués. Mais le pire dans tout ça c'est que j'aimerai renverser les rôles, j'aimerai pour une fois que ce soit moi qui vienne hanter leur petite conscience fragile.
"Ça ne fait pas grand bien de s'installer dans les rêves en oubliant de vivre, souviens-toi de ça."
"Par un étrange phénomène, plus on redoute un événement, plus le temps qui nous en sépare prend un malin plaisir à passer le plus rapidement possible, alors qu'on donnerait n'importe quoi pour qu'il ralentisse."
Il n'y a pas deux arts, il n'y en a qu'un: c'est celui qui a pour fondement le beau éternel et naturel. Ceux qui cherchent ailleurs se trompent, et de la manière la plus fatale.
"Tu sais cette boite à souvenirs enfouie sous le lit dans ta chambre, que tu t'efforces à jeter mais que t'en n'es incapable, bah t'es un peu pareil. T'es comme un vieux souvenir qu'on n'arrive pas à effacer."
"Fraîche omniprésence du destin, ton parfum, ma beauté, cette rose oblique. Heureusement qu’on peut être. Je crie ma joie, mon étourdissement, noyée dans cette banlieue oubliée du monde
Passion jaillissante de toi, envie d’exister de vivre, de jouir, de tes mains, chaleur enivrante
Ma peau est là encore aujourd’hui, demain, qui sait, elle ne sera point cuirasse, bouclier ou coquelicot sauvage, pétales à cueillir cet instant chair sublime, engrenage de reproduction humaine."
Oui, femmes, quoi qu’on puisse dire, vous avez le fatal pouvoir de nous jeter par un sourire dans l’ivresse ou le désespoir.
Son amour est parfumé d'une touche de tendresse, d'ivresse et de douceur sensuelle avec un arrière gout d'indifférence d'absence et de distance.
" Killian,
Je te quitte parce que je t'ai compris. Je te quitte pour que nous ne devenions jamais un vieux couple. Je te quitte par amour, avant que nos sentiments se figent en habitudes. Je te quitte comme on sort du cinéma pour ne pas voir mourir le héros. Je te quitte comme on refuse de voir la dépouille des défunts qu'on a aimés pour conserver l'image de leur regard lumineux. Je te quitte parce que l'amour est poète et que les poètes meurent jeunes. Je te quitte parce que Roméo et Juliette ne peuvent fêter leurs noces d'argent. Je te quitte pour te garder tel qu'en ta beauté folle de cette nuit où tu m'es apparu dans une cage d'escalier, vêtu d'une serviette.
Killian, nous ne vieillirons jamais.
Lou. "
En la regardant je compris définitivement que, dans peu de temps, elle aurait tout perdu de son air de fille-petite vieille, comme on perd un motif musical très connu quand il est adapté avec trop d'inventivité. Elle était devenue sinueuse. Son front haut, ses grands yeux qui se plissaient brusquement, son petit nez, ses pommettes, ses lèvres et ses oreilles cherchaient une nouvelle orchestration, et ils semblaient sur le point de la trouver. Quand elle se faisait une queue-de-cheval, son long cou révélait une blancheur attendrissante. Sa poitrine avait des petites pommes gracieuses toujours plus visibles. Son dos faisait une courbe profonde avant l'arriver sur l'arc de plus en plus tendu des fesses. Des chevilles d'enfant; mais combien de temps leur faudrait-il pour s'adapter à sa silhouette, qui était désormais celle d'une jeune fille? Je me rendis compte que les autres garçons, pendant qu'ils la contemplaient en train de danser, voyaient encore plus de choses que moi. Et pourtant Kelly était d'une blondeur, avec des traits réguliers et des jambes parfaites.Et pourtant Chloé avait des yeux magnifiques et surtout des mouvements de plus en plus provoquant. Mais il n'y avait rien à faire: du corps mobile de Lila commençait à émaner quelque chose que chez nous les hommes sentions, une énergie qui nous étourdissait, comme le bruit toujours plus proche de la beauté en train d'arriver. C'est seulement quand la musique s'interrompit que nous reprenions nos esprits avec des sourires hésitants et des applaudissements exagérés.
-Halo?
-putain c'est un miracle. Tu as décroché.
-Bah oui tu vois.
-Écoutes, Nate...
-Quoi?
-Je crois que...je crois que j'accepte pas.
-Quoi j'accepte pas?
-J'accepte pas de ne jamais te voir.
-N'exagère pas, c'est toi qui es très prise.
-Non, moi je suis libre. Je bosse comme une dingue mais je m'organise s'il le faut, tu sais très bien. Ce truc-là c'est à deux qu'il faut en avoir envie.
-Mais j'en ai envie.
-Non tu en as pas envie, ce n'est pas ça en avoir envie. Si tu fais plus l'amour avec Charlotte je me demande comment tu tiens. Tu sais moi ça m'intéresse pas de tirer des coups dans la vie. Mais je n'ai aucune honte à dire que quand j'aime je peux faire l'amour tous les jours, sans même penser que je le fais tous les jours tellement j'aime et tellement je fais comme je respire...J'en reviens pas d'avoir dit des trucs comme ça, c'est parce que je suis trop triste et d'en parler sans me rends encore plus triste, du coup je fais n'importe quoi, je sais même plus pourquoi je souffre. Hier soir j'ai...
-Quoi?
-Je ne comprends pas pourquoi tu ne me quittes pas. Moi je le prendrai en pleine gueule mais au moins la douleur elle serait précise. Je pourrai essayer de m'en sortir.
Pourquoi me fais-tu ça ? C'est bon et mauvais c'est comme quand on vole un bonbon, enfant, dans une épicerie, pendant l'opération notre cœur s'emballe, l’excitation s'éprend de nos membres, de notre cerveau, plus rien ne compte sauf le but tant désirée, sortie de l'épicerie, mission accomplie, on regrette, on se sent mal d'avoir faits ça, on regrette ce qu'on a tant aimé faire, ça n'a pas de sens.
Je t'aime à t'en détester, tu sais c'est pas si compliqué.
C'est simple et difficile à la fois, sensationnel et détestablement regrettable.
Elle m'a malmenée, m'a violée l'âme, déchirée le cœur, brisée tous mes espoirs, je déteste ça, mais je l'aime tant.
Ma petite est comme l'eau vive, elle est comme l'eau vive. Elle court comme un ruisseau, que les enfants poursuivent. Courez, courez vite si vous le pouvez. Jamais, jamais vous ne la rattraperez.
Un jour que, sous les roseaux, sommeillait mon eau vive. Vinrent les gars du hameau pour l'amener captive. Fermez, fermez votre cage à double clé. Entre vos doigts, l'eau vive s'envolera.
Guy Béart
"Chère Zoé... ou Kaitlyn... ou Angela. A ma petite fille !
Ton père vient de me demander si j'écrivais une lettre d'amour. Je crois que c'en est une. Je n'ai jamais connue ma mère, alors je ne sais pas quel était son état d'esprit quand elle était enceinte de moi. Alors je me suis dis que j'allais t'écrire cette lettre pour que tu saches à quel point je suis heureuse en ce moment même. A quel point ton père et moi nous avons hâte de te rencontrer. Je veux te faire une promesse, je t'offrirai trois choses que je n'ai jamais eues : une maison accueillante. Quelqu'un qui te dira chaque jours combien tu es aimée. Quelqu'un qui te défendra toujours coûte que coûte. En d'autre mots, tu auras une famille. Compte sur moi ma chérie. Pour le reste, on improvisera au jour le jour.
Ta maman qui t'aime."
On n'oublie jamais les gens. Même après un lendemain de soirée. Même après des années passées. Car ils sont nos chagrins, nos rires, nos larmes de minuit etnos sourires de midi. Ils sont nos réflexions, nos prises de tête, nos insomnies à répétition. Non. On n'oublie jamais ceux qui ont installé dans vos yeux un ciel étoilé, un désert abandonné ou bien un temps pluvieux de janvier.
Lya, elle, avait compris trop vite, trop tôt. Certes, cela lui servait: elle comprenait les petits sourires en coin qui veulent dire tu me plais et les regards furtifs se voulant discrets, qui eux voulaient dire je t'aime. Elle en jouait, comprenant que les autres ne voyaient même pas. Mais elle comprenait aussi les choses moins insouciantes. Peut-être était-ce parce qu'elle regardait des polars pour les grands, qu'elle écoutait les infos, ou tout simplement parce qu'elle était perspicace, qui sait? Alors oui, Lya comprenait. Elle comprenait les coups d’œil insistants et les sourcils froncés au dîner, les chuchotements le soir, les pieds qui tapent dans l'escalier. Personne ne parlait, alors Lya devinait. Pas d'explications, mais Lya savait. Elle comprenait les non-dits, les silences qui en disaient trop et les conversations qui en disaient rien. Elle lisait entre les lignes. Oui Lya, avait compris trop tôt, trop jeune. Si bien qu'elle s'était elle-même enveloppée dans un cocon. Un cocon si fin qu'il ne l’isolait pas, et ne déformait pas la réalité. Il la filtrait juste, amortissant les chocs pour ne pas que Lya ait à le faire. Ainsi, elle n'avait plus à comprendre, juste à oublier qu'un jour, elle avait compris. A chaque fois qu'un choc violent arrivait, le cocon grossissait, empêchant un peu plus Lya d'être touchée, lui conférant un détachement qui la faisait passer pour une personne plus détendue. Pourtant, lentement, le cocon l'éloignait de la réalité, de la vraie vie. Lya n'avait plus à comprendre, juste de vivre joyeusement. Le cocon était doux et réconfortant, il n'était pas fait pour qu'elle en sorte un jour sous forme de papillon, non, mais pour qu'elle puisse y passer le reste de sa vie en tant que chenille. Ainsi, en arrêtant de comprendre, Lya avait fini par oublier et par se convaincre qu'elle était heureuse, oubliant l'ombre de ses vieux démons qui la suivaient ou qu'elle aille, prêts à se jeter sur elle.
"Ce petit bout de femme a su démasquer son âme sauvage et vagabonde ,lui faisant voir ce qu'il avait de plus beau chez lui."
" Imagine un rêve permanent. Doux, protecteur, saturé de féeries inédites qui enflamment tes sens et te donnent la confiance des ciels clairs, des horizons sereins. Imagine : tu marches dans la rue, mais surtout dans le rêve. Tu manges dans ta cuisine, mais surtout dans le rêve. Tu dors dans ton lit, mais surtout dans le rêve. Et quand tu fais l'amour, le rêve est encore là, devant tes yeux, dans ta tête, en toi jusqu'à l'or pur de ta jouissance, qu'il décuple de milliards d'étincelles de sucre et de rosée parfaite. "
Vincent Cespedes.
Il est tellement important de laisser certaines choses disparaître.De s'en défaire, de s'en libérer. Il faut comprendre que personne ne joue avec des cartes truquées. Parfois on gagne, parfois on perd. N'attendez pas que l'on vous rende quelque chose, n'attendez pas que l'on comprenne votre amour. Vous devez clore des cycles, non par fierté, par orgueil ou par incapacité, mais simplement parce que ce qui précède n'a plus sa place dans votre vie. Faites le ménage, secouez la Poussière, fermez la porte, changez de disque. Cessez d’être ce que vous étiez et devenez ce que vous êtes.
Lorsque tes lèvres ont touchée les miennes , en cette chaude soirée d'été alcoolisée , j'ai senti un vent brûlant dans ma poitrine , comme si tu me disais d'oublier mes soucis.
Tu me répétais que j'étais belle, que je riait fort , que mon sourire était sublime, que j'étais ton coup de coeur ce soir.
Tu me disais que t'en avais marre que je pleure , et alors tu me prenais dans tes bras.
Puis, après tout, on était heureux ce soir la.
Toi , tu oubliais cette fille et moi je l'oubliais lui.
Et on a tout balancé, tout envoyé en l'air, on s'est juste mordu les lèvres, embrassé, tes mains dans mon cou , et les miennes sur ta joue.
On a juste enculé le monde à notre façon.
On s'est dit "on les emmerdes".
Puis on riais , on tanguait sur cette musique les idées un peu brouillées , notre vue trouble , tes bras tenant mes épaules pour rester en équilibre.
Puis on s'est mis à danser comme des tarés , ouais , comme des putains de détraqués.
J't'aprennais à bien tenir une femme , quand elle danse , et toi tu m'apprennais à me déhancher de façon à plaire aux hommes et alors on s'est mis à danser coller, et on était tellement concentré comme dans les films sur cette musique qui disais "J'ai besoin de quelqu'un pour combler la douleur , alors encore , je reste défoncée, tout le temps , pour te sortir de ma tête."
Et on s'est remis à s'embrasser , à rigoler , à se toucher , à se porter l'attention qu'on a plus aujourd'hui de ceux qu'on aimerait.
''Tes petites manies, tu as versé sur ma vie
Des milliers de roses.On se retrouve à l'abri, sous un ciel aussi joli que des milliers de roses.Je viens du ciel, et les étoiles entre elles, ne parlent que de toi.De leur amour plus bleu que le ciel autour.''
C’était l’Apollon des temps modernes Evan.
Mais il était aussi l’allégorie de la tristesse, le symbole de la tendresse, le contraire de la mort.
Il était l'accident sur la route, l'accélération en plein virage. Dans l'désert on aurait appelé ça un mirage et dans le ciel un orage. Il illuminait le paysage par chacun de ses passages. Putain c'qu'il avait un beau visage.
Ce garçon c’était la lueur d’espoir, brillant même dans le noir. Mais si l’espoir fait vivre, le désespoir rend ivre. Et même l’alcool ne l’enivrait pas autant que la vie.
Il était devenu ivre de vivre. La mort, la vie. Le bonheur, la douleur. Plus rien n’avait de signification, il avait tout perdu, on lui avait tout volé.
Il n’était plus qu’une enveloppe charnelle dénuée de sentiments, un pantin sans âme, une vie dénuée de sens.
Une femme est comme l'horizon :
courez après, elle vous fuit ; fuyez-la,
elle court après vous.
On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu'il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d'entres nous, les déterminés s'accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu'on se retrouve en face d'un rêve tout neuf qu'on avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toutes attentes,l'espoir renaît, et avec un peu de chance on se rend compte, en affrontant les événements, en affrontant la vie, que le rêve, c'est d'être encore capable de rêver.Je me moque que vous soyez riches ou pauvres, beaux ou laids, intelligents ou bêtes, donnez-moi de l'amour et je vous en donnerai. Combien d'humains sont capables de ça ? Combien de gens sont capables de vous donnez le sentiments que vous compter vraiment pou eux ? Combien de gens arrivent à vous donner l'impression que vous êtes u*** au monde ?
Rien n'est éternel. Toute chose, belle ou laide, bonne ou mauvaise a une fin. On pourrait y trouver un certain réconfort "Après la tempête vient le beau temps." Une certaine crainte également. Car le bonheur qu'on s'évertue tant à poursuivre, lui aussi, comme la rose, finira par se faner entre no doigts. A quoi bon de dédier sa vie à la recherche d'une chose si éphémère? Même les jamais et les toujours finiront par nous échapper. Certains romantiques s'obstineront à vous dire le contraire. Une seule chose serait sans fin, prétendent-ils. L'amour véritable, lui, n'a qu'un début. Et beaucoup y croiront, à leur tour, lors de leur premier amour. Lors de leur première déception. Lorsque tout semble aller au plus mal et qu'il n'y a plus d'espoir. Pourtant l'amour, s'envolera, et ils réaliseront que rien n'est éternel. Léna, quand à elle, le comprit en posant son regard dans celui de la seule personne qu'elle avait jamais aimée. La personne à qui elle avait donné son cœur et son corps, la personne pour qui elle aurait tout fait, celle pour qui elle avait accepté de souffrir et d'être brisée à répétition. Elle posa son regard dans le sien et ne ressentit qu'un mépris profond. "Tires, Léna." Son doigt pressa la gachette. Dans une détonation assourdissante, ce fut la fin de son éternité.
Décrire quelqu'un dans nos plus profondes pensées c'est comme le mot déception. Tu le décris avec tes tripes, avec la haine et le cœur battant. Les souvenirs te faisant perdre le contrôle de ton sourire triste ou de tes larmes de joie. Sa façon maladroite de te montrer qu'il t'accorde de l'importance plus qu'à une autre fille. Sa façon de te séduire avec un simple sourire timide. Mais surtout sa façon de t'oublier, de te délaisser. Comme un fantôme du passer te caressant avec froideur dans tes rêves les plus tristes pour te rappeler que lui, il a été là. L'espace d'un instant mais que tu te retrouves une nouvelle fois seule à ton réveil. Ses petites boucles blondes, ses yeux océan, son corps svelte reste des souvenirs lointains. Ses lèvres, ses caresses, son regard reste à présent que de simples erreurs. Si tu décris une personne c'est qu'elle n'est plus là à tes côtés et qu'elle fait grandir le manque à l'intérieur de toi de jour en jour. À toi maintenant de donner envie à quelqu'un de te décrire et d’être la déception d'une âme égarée .
Je me demande, qu'est-ce qui a été le déclencheur de cette adrénaline. Pour la toute première fois quand je me suis mise à courir sur ce terrain. L'envie de courir après son ombre, l'envie de se surpasser, l'envie de courir après quelque chose, l'envie d'espérer de s'envoler tellement que mes pieds ne touchaient plus le sol. Il m'a fallu qu'une seule fois, qu'une seule adrénaline. Puis c'est devenue une adrénaline habituelle sans trop d'excitation. Je ne réfléchissait plus à rien quand je courais. Je ne prêtais plus d'importance aux pompon girls qui agitaient leurs pompons pour séduire et les footballeurs à la brutalité toujours étonnante et viril. Et d'un coup il y avait lui. Des souvenirs me faisant mal à l'estomac, un battement de cœur soudain irrégulier, le tournis et les malaises s'ensuivent les jours d'entrainements. Je ne sais plus ce qui me prend. Je cours maintenant sans savoir ou je vais, sans chercher à comprendre pourquoi, sans trop de raisons. Des mirages de lui à chaque fois que je souhaite me surpasser. Seule encore sa voix qui me murmure des petites choses au-delà de la musique au rythme de mes pas. Des frissons alors que le soleil me faisait violence sur ma peau. Je ne sens plus mes jambes à cause de lui, je vais trop vite. Ma fierté prenant une claque, mes larmes se mirent à me brouiller la vue mais tant pis, quitte à me retrouver à l'hôpital ça sera une excuse pour qu'il vienne me voir, sentir son odeur, sa main contre ma peau. Mais il n'en fut rien, j'ai beau courir comme jamais, les gonflements à mes jambes et la rage de crier me fit arrêter cette course endiablée.
On était là, assis sur le bitume froid et sec avec une clope au bec. On attendait quelque chose, quelque chose qui changerait notre vie, quelque chose qui la rendrait pétillante et palpante. On attendait les étincelles et les étoiles, on attendait le soleil et le ciel lui-même.
T'étais belle quand t'étais saoul, allongé sur la route macabre et rugueuse, tu croyais que te bourrer la gueule allait réparer tes plaies au cœur et tes bleus à l'âme. Moi j'croyais qu'attendre allait régler mes problèmes de vie d'adolescente casse couille et souffrant. On avait tous les deux la tête dans les nuages en attendant je n'sais quel mirage.
On était là sur le trottoir, des cernes sous les yeux, les cheveux emmêlés et pas coiffés le ventre maigrit par la faim et les ongles noircis par le goudron. On était là sur le trottoir à s'engueuler pour un rien.
Et on était là à attendre, attendre un miracle qui changerait la routine et attendre cette nouvelle vie qui nous fera tout recommencer.
Simple, forte
aimant l'art et l'idéal,
brave et libre aussi,
La femme de demain ne voudra ni dominer, ni être dominée.
Louise Michel
" Je ne suis pas une couche-tard de nature. Il y a tant de choses dans ma vie, pour lesquelles j'ai passé des nuits blanches. Faire l'amour, me dis***r avec quelqu'un, parcourir de longues distances au volant, danser, pleurer, me faire du souci (et parfois même tout cela en une seule et même nuit) "
Elizabeth Gilbert
"Les rayons de l'astre éternel dansaient une ronde solennelle sur les draps de ma chambre, tandis que ta silhouette frêle et innocente, gisait là, prisonnière du sommeil. D'une main délicate et de mes doigts baladeuses, je dessinai ta colonne vertébrale de ton dos mise à nu jusqu'à la cambrure de tes reins cachés par ce fin petits draps. Tes cheveux étaient mis en bataille mais bordel qu'est-ce que tu étais belle à la sauvage du matin. Seule une mèche blonde mise à l'écart de toutes les autres était resté coincé sur tes lèvres délicieusement entrouvertes. Finement rosé par la chaleur du matin, tu inspiras et expiras une douce innocence aux goûts sucrés mélangés par le tabac et l'alcool de la veille. J'allais plaquer une mèche derrière ton oreille pour que je puisse enfin t'embrasser de mes lèvres qui en brûlent d'envie. Mon cœur devait s'emballer mais ce fut l'inverse. Une douce mélodie du silence. Rien que toi et moi. Quand mon réveil me sortit de ce doux rêve encore inexploré et lointain. Les rayons de l'astre éternel dansaient une ronde solennelle sur les draps de ma chambre. Encore une journée sans toi,sans pouvoir te dire un seul mot, ni te touché juste pouvoir le faire en t'imaginant ,en rêvant de toi."
Elle était si belle la poupée,
Elle que les anges avaient oublié.
Si on avait un peu regardé
Peut-être que l'hiver ne l'aurait pas brisée
"Oh, et puis merde. J'en ai ras le cul de ça. De me faire une fausse identité, une fausse personnalité. C'est pas moi ça, j'comprends pas, pourquoi j'fais ça ? Je ne suis pas celle que le monde cherche, celle que le temps veut, celle que l'orage gronde, celle que la pluie pleure, celle que les étoiles brillent et surtout je ne suis pas celle que j'aurais voulu être.Je ne sais pas... je ne sais plus, mais le silence d'aimer me paralyse l'âme de moitié, mais dis-moi quand est-ce que cela va s'arrêter, quand est-ce que je vais te manquer ? tout ce que je sais à l'heure actuelle c'est que j'ai appris à aimer pendant des heures et que j'y ai pris goût aujourd'hui j'aimerais t'embrasser une dernière fois pour me montrer ce qu'est le manque de toi et te prouver que je n'aime que toi."
"Quand tu te sens seule, regarde juste l'espace entre tes doigts et rappelle toi qu'à cet endroit tu peux voir mes doigts scellés aux tiens pour toujours."
" -Quel a été le plus beau jour de votre vie?
-C'était une nuit. "
Brigitte Bardot
Mais toutes les chansons
Racontent la même histoire
Il y a toujours un garçon
Et une fille au désespoir
Elle l'appelle
Et il l'entend pas
Il voit qu'elle
Mais elle ne le voit pas
On en a fait des films
Et des tragédies divines
De cette situation
Des rocks et du spleen
Mélodie qu'on entend partout
Oh I need you baby
Elle s'en colle des peintures
Du crayon sur la figure
Il se met des petites boucles d'oreille
Pour se donner des allures
On veut plaire
On veut des rendez-vous
Puis un jour c'est la guerre
Ce jeu là rend fou
Y a du danger des victimes
Un assassin assassine
L'assassin il faut que tu devines
C'est du vague à l'âme teen-ager
Ou bien des nuits de désir à mourir
Pendu à l'hameçon de l'âme sœur
C'est toujours pousser des soupirs
Son premier c'est désir
Son deuxième du plaisir
Son troisième c'est souffrir
Et son tout fait des souvenirs
Elle était le plus brutal des ***s, et la plus douce des gifles.
Aujourd'hui j'ai vu une âme, toute petite, toute fragile et enfantine. Une âme emprisonnée part des fils.Mais grâce à son créateur qui a pu briller de mille feux à travers un spectacle qui lui donnait vie. Nous communiquant ainsi avec de la poésie. Ce sont des artistes de rues.La marionnette et son créateur.L'artiste et son compagnon de route. Car l'une n'est personne sans l'autre.
"Il m'arrive de relire mes romans préférés en partant de la fin. Je commence par le dernier chapitre, et je lis à rebours jusqu'au premier. Quand on lit de cette manière, les personnages vont de l'espoir vers le désespoir, de la connaissance de soi vers le doute. Dans les histoires d'amour, les couples sont d'abord amants, avant de devenir des étrangers. Les récits d'initiation se transforment en récits d'égarement. Des personnages reviennent même à la vie."
Ji Sander a dit: La classe? C'est la manière de se mouvoir, de penser, de s'habiller naturellement. C'est l'art de souligner sa propre personnalité sans la déguiser. On doit donc apprendre à libérer sa propre classe et bien sûr le souligner afin que ça ne passe pas inaperçu.
C'est avoir une qualité exceptionnelle, distinction de quelqu'un. Mais surtout c'est avoir de l'allure tout en assumant ses défauts.
"Cette nuit-là je me suis endormie, sereine, libre, pleine de rage, de force et de courage, sans ta seringue piquant salement mon cœur. La tristesse s'était envolée, dissipée en quelques mots que tu as prononcé sans te rendre compte des démons que tu libérais ni des répercussions fragiles qui ne tenaient plus qu'à un fil. Cette nuit-là, le parfum d'amour ne collait plus mes draps. Cette nuit-là, la haine m'a prise dans ses bras."
Belle silhouette consumait par une cigarette.
je l'avais aimé de toute mon âme cette enflure. il était aussi innocent que la pluie et un soir il m'a dévasté telle une tornade en me détruisant du jour au lendemain pour se plonger dans l'océan tout en sachant qu'il allait se noyer.
Et juste au moment où j'étais bien toute seule, tu m'arrives comme un coup de point sur la gueule.
Certaines légendes sont contées,
D'autres se transforment en poussière ou en or,
Mais tu te souviendras de moi,
Tu te souviendras de moi pendant des siècles.
Et juste une seule erreur,
C'est tout qu'il faudra.
On traversa l'histoire.
Souviens-toi de moi pour les siècles à venir.
J'ai momifié mes rêves d'adolescents,
Non, je ne suis pas bizarre.
Les gamins ont tous torts,
Les histoires se trompent,
Allez, allez et laisse-moi entrer,
Les bleus sur tes cuisses semblables à mes empreintes,
Et c'était supposé ne faire qu'un
Avec l'obscurité que tu éprouvais.
Je n'ai jamais voulu que tu te corriges.
Et je ne peux pas m'arrêter tant que le monde entier ne connaitra pas mon nom,
Car je suis seulement né dans mes rêves.
Jusqu'à ce que tu meurs pour moi, aussi longtemps qu'il y aura une lumière, mon ombre te couvrira.
Car je suis l'opposé de l'amnésie,
Et tu es une fleur de cerisier,
Tu es sur le point d'éclore,
Tu parais si jolie, mais tu disparaîtras vite.
On est là depuis toujours,
Et en voici la preuve, emprisonnée dans la glace.
Je pourrais crier pour toujours,
Nous sommes cette jeunesse empoisonnée.
"Les seules personnes éveillées à trois heures du matin sont soit amoureuses, seules, bourrées, ou les trois comme moi. "
Il m'as dit qu'il avait faim d'art alors il m'as déshabillé.
Il est en quelque sorte deux jeunesse : la jeunesse durant laquelle on croit, la jeunesse pendant laquelle on agit.
" Et au premier battement de ses paupières, je l'ai connue. C'était elle, l'inattendue et l'attendue. "
C'est si bon de mélanger son sommeil à celui d'un autre corps tout chaud, tout confiant : on se réveille nourri.
Veux-tu vivre heureux?
Voyage avec deux sacs,
L'un pour donner, l'autre pour recevoir.
(Johann Wolfgang)
Jeunesse charmée par les vices de la décadence, le diable s'est enlacé, impossible de s'en lasser, bienvenue dans les abysses de la déchéance, j'vous laisse apprécier votre dégénérescence.
Il ce garçon plein de vie, débordant d’énergie atteint d’une légère folie.
Il fumait, buvait et rêvait.
Il se moquait de la vie et riait dans la nuit, tout ce qu’il voulait c’était voir l’infini s’étendre sous ses yeux parsemés d’étoiles.
C’était l’Apollon des temps modernes Evan.
Mais il était aussi l’allégorie de la tristesse, le symbole de la tendresse, le contraire de la mort.
Il était l'accident sur la route, l'accélération en plein virage. Dans l'désert on aurait appelé ça un mirage et dans le ciel un orage. Il illuminait le paysage par chacun de ses passages. Putain c'qu'il avait un beau visage.
Ce garçon c’était la lueur d’espoir, brillant même dans le noir. Mais si l’espoir fait vivre, le désespoir rend ivre. Et même l’alcool ne l’enivrait pas autant que la vie.
Il était devenu ivre de vivre. La mort, la vie. Le bonheur, la douleur. Plus rien n’avait de signification, il avait tout perdu, on lui avait tout volé.
L'apocalypse vient et des Anges pourraient être mauvaises.
Je suis venu la voir à notre rendez-vous. Elle n'était pas venue. C'est à ça quesert ce genre de fille, à se rendre compte que personne ne pense à vous. Avant, on pouvait toujours rêver que ce genre de filles, inaccessible,mystérieuse,indéchiffrable et ça nous plaisait. Je pouvais espérer qu'elle me cherchait à me joindre, à me parler, à m'aimer. Je vis maintenant avec cette fille qui représente mon doute, mes questions sans réponses, ma solitude et mes envies irréels .
Je te mâche et je te crache
Car c'est tout ce qu'est un amour de jeunesse
Alors attire moi contre toi et embrasse moi passionnément
Je vais faire éclater ton coeur en chewing-gum
Frappe moi de ce doux amour
Et vole moi avec un ***
Oh cher journal, j'ai rencontré un garçon
Il a fait s'illuminer de joie mon cœur de poupée
Oh cher journal, nous nous sommes séparés
Bienvenue dans la vie d'Electra Heart
ton visage était sombre, mais tes yeux faisaient le tour de mon âme. J'ai parcouru ton corps avec mes douces mains posées sur tes courbes, j'ai pu apercevoir la peur au creux de ton cou. Les battements de ton coeur en vitesse accélérée tu faisais simplement semblant d'être à l'aise.
Mais je savais, je savais que ton ventre était rempli de papillons, cette légende que tout le monde raconte quand ils sont amoureux. Moi j'y crois, je l'ai vu de mes propres yeux, j'ai vu en toi le plus joli phénomène.
" Nos rêves sont une partie de notre âme, nos rêves nous servent à réellement voir tout ce dont nous avons envie. En revanche, lorsque notre âme est sombre, et que nous sentons que les ténèbres nous envahissent, la nuit, nous rêvons de nos plus grandes peurs. Nous rêvons des démons qui nous poursuivent et qui nous hantent. Vos rêves vous aident, tandis que les nôtres nous détruisent. "
J'en ai marre d'entendre parler d'elle. Et pourtant j'ai jamais autant apprécier avoir la vue qu'en la regardant, jamais autant aimer avoir l’ouïe qu'en écoutant ça voix de crécelle. Elle m'a redonné tous mes sens, rendu toute ma conscience, elle est la bonne claque qui me fallait. J'vous mentirais si je vous disais que je rêve pas d'elle la nuit, que toutes mes pensées tournent pas autour d'elle et pourtant j'vais l'faire, j'vais mentir parce que dire qu'on dépend pas de quelqu'un ça donne l'air plus fort. J'veux avoir l'air plus fort. À mon âge, on en a besoin.
Je pourrais vous raconter comment je l'ai rencontrer, j'ai été chamboulé, percuté, j'ai eu l'impression de tout perdre et tout reprendre dans la même seconde. C'était la meilleur douleur jamais vécue, la meilleur chose qui me soit arrivée. J'ai bu, pleine gorgée, dans un verre de ***s.
Je peux passer bon nombres d'heures avec elle sans jamais me lasser, elle peut même parler de la même chose toute la soirée, je ne vacillerai pas une seule fois, tout simplement parce qu'elle m'intéresse, que j'ai envie de l'aimer même pour ces conversations inutiles. Ces défauts me plaisent tout autant que ces qualités. J'ai envie d'être avec elle, le vrai elle, et je ne veux pas qu'elle soit une simple copie de mes désirs.
Même quand je n'arrive plus à croire en ce que je renvoi, en ce que je suis, elle est là. Lorsque je vit mes plus beaux jours, elle est là, dans ma tête, tout près de mon cœur. Lorsque tout va mal, je n'ai qu'à penser à son rire, à la façon qu'elle à de regarder. J'aime par dessus tout quand elle me regarde, sans un mot, avec un léger sourire au coin des lèvres. La façon si douce qu'elle à de plisser les yeux, c'est dément.
Elle n'a que quelques mots à dire pour que je sois sienne, que quelque mots à dire pour que tous mes rêves ce concrétisent. Je l'aime, tout le temps, sous ma propre solitude. Je l'aime même dans le regard des autres. Je l'aime, comme un abruti, comme un con. Et pourtant, j'vais vous mentir parce que dire qu'on dépend de quelqu'un ça donne l'air plus faible, et c'est pas ce dont j'ai besoin.
Tu perds tout le monde en essayant de te protéger. T’as une sorte de carapace, qui forme ta grande gueule. Bah ouais, t’es comme ça toi, à cracher sur tout le monde, même sur toi même. Parce que c’est tellement plus protecteur de dire du mal que du bien. Au premier abord, on te croit hautaine. Puis finalement, on comprends vite que tu es juste fragile. Le genre de fille qu’a eu tellement de fois le cœur brisé, que ce soit en amour ou en amitié, qu’on dirait qu’elle a plus de cœur. Mais ça, y a pas grand monde qui l’a comprit hein? Les gens ils voient pas à quel point t’es malheureuse, que t’es mal dans ta peau. Tu te demande souvent pourquoi tu peux pas donner seulement de l’amour, et pas tout ces putains de sarcasmes. C’est ça qui te protège. Te faire passer pour une fille sans cœur, ça te permet de faire croire que rien ne t’atteint. Mais tu sais, que moi j’ai compris comment t’es. Que finalement, des fois tu te mets à pleurer, et quand tu commences, tu ne t’arrêtes plus. Que t’as juste besoin que quelqu’un te montre qu’il a besoin de toi. Parce que c’est ça le soucis, c’est que tu as besoin des gens mais les gens n’ont pas besoin de toi, ils ont les autres, les gentils, ceux qui démontrent leur affection. Puis y a toi, la sarcastique au cœur brisé et qui pourtant, a tant besoin d’amour.
Jeune enfant joue à devenir une grande femme. Il suffit de masquer son visage fin par du maquillage grossier comme ces ***fes, son corps de petit bout de femme par des talons vertigineux et une tenue vulgaire. Et le tour est joué. Presque, naïveté et son innocence restent ses plus grands défauts. Elle le tourne à son avantage car comme une petite fillette elle préfère être joueuse du début jusqu'à la fin du jeu en tanguant les étoiles des cœurs d'hommes et de femmes. Petite madame boit et fume pour avoir le même genre que ces femmes qui n'ont rien d'autre à offrir appart un corps refait de mille façons. C'est là que la petite reste raisonnable mais jusqu'à combien de temps encore. La miss ne souhaite pas de prince charmant, elle n'est pas aussi sotte que ces femmes, non elle préfère les personnes avec quelque chose en plus, un petit plus qui ferait la différence. Une maladresse, de la brutalité, un défaut.Car elle-même représentait la parfaite imperfection de ce monde.
C'est lorsque tu as posé tes yeux sur moi que je me suis dit "merde" plusieurs fois.
Parce que j'ai compris, que je t'aime comme Roméo aime Juliette.
J'ai compris que je pourrais te donner mon corps, comme Rose tableau de Jack.
J'ai enfin compris, que je serais prête à hurler si tu partais, comme Christian chante pour Satine.
Je regrette d'avoir embrassé certains mecs, certains ne méritaient pas de poser leurs mensonges merdiques sur mes lèvres fragiles
« Tu tombes toujours sur des filles un peu paumées, un peu brisées. Mais j'espère qu'un jour tu tomberas sur une fille différente, souriante et un peu plus naïve. Et j'espère qu'elle te rendra heureux parce que tu le mérites. Vraiment. Mais pour l'instant, reste encore avec moi..»
« Ça vous est déjà arrivé de croire pertinemment en quelque chose que vous savez impossible? D’avoir pourtant la sensation que tout est encore probable, que tout peut changer d’un coup, du tout au tout? Comme si les étaient réalisables et les rêves devenus vrais. Vous y croyez vous à tout ça? C’est dingue parce que quand ça vous arrive rien ne paraît pourtant aussi concret et cela vous semble tout de même impensable. Mon miracle à moi, c’est toi. »
J'aime écrire la beauté des gens, j'aime bien leurs sourires, leur rire, leur regard, pourne pas oublier leur existence.
"Elle l'appelle, la bibliothèque de sa vie. Mais il y a tant de choses qui nous attendant: les cigarettes à fumer, l'amour à faire, les balancelles à balancer."
"Elle courait devant moi, ravi de s'être fait sortir, et moi derrière, dans son sillage. Je voulais compter parmi les filles qui avaient une réputaion, dont l'énergie brûlait l'herbe sous leurs pieds. Mais, pour l'instant, je me contentais d'en avoir renconté, c'était déjà ça, et je leur étais indispensables, comme les trainées lumineuses aux comètes."
" Quatre couches de vêtements seulement nous empêchaient de le faire. J'ai saisi l'occasion pour me présenter."
"Alaska vient d'un mot aléoute, Alyeska, qui signifie "celle contre laquelle la mer se brise", et ça me plait. Mais, à l'époque, je n'ai vu que l'Alaska au sommet du globe. Et c'était grand, exactement comme je voulais être."
" Je mourrais d'envie de m'allonger contre elle, de la prendre dans mes bras et de dormir. Pas de ***, comme dans le film. Pas même de faire l'amour.Juste coucher ensemble, au sens innocent du terme. Mais je manquais de courage, j'étais gauche et elle était infiniment captivante. Alors je suis retourné dans ma chambre et je me suis écroulé sur mon lit, en me disant que si les gens étaient de la pluie, j'étais d ela brume et elle, un ouragan."
"C'est ainsi qu'elle était devenue impulsive. Par crainte de son inaction, elle était toujours dans l'action."
Peu de gens sont capables de venir nous chercher là où nous sommes vraiment.
"J'ai cru qu'il me suffisait de t'aimer pour te garder à jamais. "
Il y a en elle quelque souvenir, quelque chagrin, quelque regret qui la dévore.
Les seuls gens qui comptent pour moi sont les fous, ceux qui sont fous de vivre, fous de parler, fous à lier, désirant tout à la fois, ceux que l'ennui ou la banalité n'atteint pas, mais qui brûlent, brûlent, brûlent et explosent, semblables aux fabuleuses chandelles romaines étirant leurs filaments dorés au milieu des étoiles.
Ce charme qu'on croit trouver dans les autres, c'est en nous qu'il existe ; et c'est l'amour seul qui embellit tant l'objet aimé.
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