Vie, c'est tout ce qu'il disait. Vie, tu verras demain est toujours plus beau que la veille. Ses mots ont aidé beaucoup de personne à retrouver leurs Nord. Un but dans la vie. Le courage. L'amour. Il aidait toujours, sans jamais rien demander en retour. Plus on y réfléchissait, plus on pouvait voir. On peut voir que ces mots qu'ils disaient n'étés pas seulement pour les autres. Ils se les disaient tous les jours. Un mantra qu'ils ne lachaient pas. Et chaque soir, c'était le néant. Il s'y plongeait, se brisant de plus en plus. Son coeur de verre ne supportait pas la dureté de la vie. Il s'est finalement brisé un soir, pour ne plus jamais se recoller. Vie. Vie tu verras demain est toujours plus beau. Pourtant, ce jours où il s'est brisé n'a jamais put être considéré comme plus beau que celui de la veille. Puisque la veille il était encore là, et que ce jour là, il n'était plus.

Trouvez plus belle conféssion que celle là : 

https://www.youtube.com/watch?v=4fXxiXgsRP0

RP

Nom : Noguro

Prénom : Tsukiko

Âge : 22 ans

Groupe : Exorciste

Type : Equipement.

Innocence : Un fil plus résistant que celui d'une arachnide relié à une lame.

 Signe particulier :  La corne sur ces mains, et les pansements qui les recouvrent presque continuellement.

Aime : Les repas épicés, coudre,  sa famille, voyager et surtout, elle, cette personne qui c'est fait tués par les akumas...

Déteste : Les Akumas, le chocolat, en fait tout ce qui est sucré, mettre des robes, la congrégation.

 __________________________

Caractère : 

 Qui je suis ? Qu'est-ce donc ce "moi" que tant de personnes recherchent. Selon moi, je suis une personne plutôt extravertie. Riant aux blagues les plus nulles comme au meilleur. Faisant moi-même des blagues pourries. On pourrait dire que dans un groupe de personnes, je serais le petit rigolo, le marrant, le clown. On peut dire que mes actions sont faites pour faire rire. Mais, on peut également dire que cela est une sorte de façade. Beaucoup de personnes réagissent différemment lors de la perte d'un être chères. J'ai choisi d'ignorer cela, de faire comme ci tout cela n'était jamais arrivé. En fait, j'essaie de faire ainsi. J'essaie d'oublier son existence, mais je me réveille tous les matins en pensant à cette personne. Je m'endors tous les soirs en voyant son sourire étincelant. Et toutes les nuits, je rêve d'elle. En fait, je ris pour m'empêcher de sombrer.

Bien entendu, cela n'est pas la seule chose qui me caractérise. Non, loin de là. Je suis également une grande rêveuse. J'ai appris à aimer lire. J'aime également laisser mon regard dérivé dans le lointain. À remarquer la plus infime des choses et à imaginer des choses futiles. Il est vrai que lorsque l'on doit trouver le petit-fils qui n'est pas à sa place, ou bien observer comment poussent les plantes, on finit par faire attention au détail.

En fait, je pense être une de ces personnes qui fait passer son travail avant tout le reste. J'aime travailler avec mes mains. On en retire une certaine satisfaction lorsque le boulot accomplit, on peut voir les résultats.

Histoire : 

 Je désirais plus que tout que ceci soit un rêve. Je désirais plus que tout me réveiller de ce cauchemar. Je désirais plus que tout, que mon mensonge n'ait pas apporté sa mort. Et je désirais plus que tout que le Faiseur d'Akuma vienne prendre ma vie en échange de la sienne. La tragédie et l'âme étaient bien présente, il ne restait plus que la mécani-que. Mais même mon sacrifice n'aurait servit à rien. Car c'était... Oui... C'était la personne la plus pure, le plus gentil et celle que j'aimais plus que tout au monde. Mais elle était là, inanimé dans mes bras en cet instant tragique. Mes larmes ne coulaient pas. Qu'aurait valu des larmes pour me faire pardonner de ce meurtre ? Son sang coulait sur moi, entachant mes habits et créant une flaque de sang. Mes pensées brouillaient se souvenait aux promesses faites qui ne pourront être tenues. Nous nous étions tant promis. Nous nous étions promis de voyager, d'explorer la mer et la terre. De fouler terre, sable, pierre, herbe de tant de lieux. De naviguer plus de mers qu'il n'y en avait. Nous nous étions promis fidélité, même après la mort. Nous nous étions promis... Nous nous étions promis toutes ces choses. Nous ne parlions plus à la première personne du singulier, mais, à celle du pluriel lorsque nous étions ensemble. Mais, ce "nous" aurait mieux valut ne jamais existé. Tout comme ce premier regard qui nous à relié. Ni même ce tout premier sourire.

J'observais ces beaux yeux bruns fixant videment le ciel. Il reflétait ce passé partagé. Ce futur mort. Avant de la rencontrer, ma vie était identique à toutes celles des autres. Je riais avec mes parents aimants. J'étais doué de mes mains, et recousais les habits que mon petit frère déchiré. Souvent, j'en fabriqué moi-même. J'aimais travailler dans cette boutique, et je l'ai aimé encore plus lorsqu'elle a franchi le seuil de la boutique. À partir de ce moment, nos destins se sont liés d'un fil rouge qui ne pouvait être détaché. Même pas par la mort. Elle m'avait souri, en entrant. Elle était venue pour faire réparer sa robe. Contrairement à moi, ce n'était pas le genre de personne doué de ces mains. Elle ne savait ni coudre, ni cuisiner, ni même nettoyer sa maison. Elle avait, à mainte reprise, essayé de faire la cuisine. Toutes ses tentatives se soldaient par de cuisants échecs. À chaque fois, je devais nettoyer derrière elle. Elle manquait de confiance en elle pour tout ce qui devait être fait à la main. Mais malgré cela, elle savait mieux écrire que quiconque. Ses livres, ses histoires étaient magnifiques. À la fois sensible et d'un certain style pronnonçait. Elle avait été instruite, contrairement à moi. C'était une savante d'une grande sensibilité. Ses longs doigts fins dansaient sur le piano, glissaient sur la harpe. Cette magnificence qu'elle exhalait me fascinait autant qu'elle me rendait folle.

Un jour, sans vraiment y prendre gare, j'avais fini par intégrer la congrégation de l'ombre. Mon Innocence s'était révélé être un fil aussi résistant que celui que tissaient les araignées. Selon elle, il me correspondait bien. Et selon elle, elle ne me laisserait pas combattre ces monstres seuls. Elle qui était si gentille, incapable de haine ; les maudissait toujours lorsque l'on revenait à la Congrégation pour notre rapport et que j'étais blessé. Alors j'avais commencé à m'entraîner plus. Devenir plus forte. Pouvoir la protéger, c'était là, mes seuls buts.

Alors qu'elle était là inerte, des cadavres d'Akuma nous entourant, je regrettais ce premier regard, ce premier sourire ainsi que les promesses que l'on ne pourra jamais tenir. Lui promettre de la protéger qu'elle que soit ma vie avait été un triste mensonge. C'était elle qui m'avait protégé de tout. C'était elle qui m'avait soigné autant par ces mots que ces gestes. Elle avait dit oui pour quitter notre pays, quitter sa famille. Elle avait accepté de venir à cette branche de la congrégation avec moi, pour moi. Elle avait tant concédé, alors que je l'avais tant trahi. Je lui avais juré de la protéger, de la faire vivre comme une reine, qu'elle n'aurait à s'inquiéter de rien. Au lieu de ça, l'inquiétude était toujours peinte sur son visage.

Aujourd'hui, je ne vis que par envie de démonter des Akumas. Ils ont pris cette personne, la plus chère à mes yeux. La congrégation, les missions, c'est ce qui compose ma vie désormais. Une vie sans réel bute. Car, lorsque l'on doit se battre, c'est pour protéger quelque chose. Mais aujourd'hui, je ne me bats pour plus rien. Seulement pour me battre. Tout cela n'a plus aucun sens...