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Rpg open
"L'avez vous oublié si facilement? Nous somme vous. Nous sommes la folie qui se cache en chacun de vous. Dans notre esprit animal, elle supplie d'être libérée. Nous sommes ce dont vous vous cachez chaque nuit dans vos lits. Nous sommes ce que vous reléguez au silence et à la paralysie lorsque vous dormez,et vous allez rejoindre ce paradis nocturne que nous ne pouvons refouler."
Welcome in the Lennox-House
MERCI de votre compréhension.
Concept:
Lennox, de son prénom Haniball, fut le plus grand meurtrier de tout les temps: un meurtrier sans victimes. Comment cela est-il possible? D'une façon aussi anormale que banale: l'homme d'une trentaine d'années s'était présenté au comissariat avec un bocal remplit de globes occulaires humains. Un parfait coupable, sauf que toutes les analyses effectuées permettairent juste d'affirmer qu'ils étaient humains, et qu'ils avaient étaient arrachés alors que la "victime" était toujours en vie, mais aucuns ADN ne ressortirent de la base de données, même lors d'un appel à temoin mondial. L'homme, malgré le peu de preuve qu'il avait contre lui, fût envoyé en prison, mais c'est de la que les choses sérieuses commençairent. Il devenu en quelques temps la pire terreure qui puisse exister, s'en prenant aux détenus pour faire ses expériences aussi horribles que morbides les unes que les autres. Les autorités réagirent immédiatement, le plaçant dans le plus dur des hôpitaux psychiatriques qu'il fut créer: le Grunge Cage. Mais ce fût un jeu d'enfant pour ce diable en personne de semer la zizanie au sein de celui ci. Fou? Non il était bien pire que ça, et il allait le prouver, faisant alors de cet endroit sa propriété. Comment avait-il fait? Même le pire crime commis contre l'humanité n'était rien à côté...
Mais qu'est-il devenu aujourd'hui? Personne ne le sait, certains disent qu'il s'est suicidé, d'autres qu'il s'est enfuit, ou bien qu'il s'est fait tuer. Mais la réputation de cet hôpital est bien restée intacte, même malgré toutes ces années qui sont passées.
La vie est un jeu: Seriez-vous prêt a la jouer? À vous de voir...
Règles:
- Premièrement, un minimum d'orthographe. Je ne suis surêment pas infaillible, mais je fais de mon mieux. Les "Kikoulols", je vous demande donc de passer votre chemin.
- Deuxièmement, le respect. J'exige (non je ne demande pas mais j'exige) avoir droit à un minimum de respect. Je ne suis pas ici afin de justifier ce que je fais ou rendre des comptes à quiconque.
- Troisièmement, le plagiat. TOUS les personnages ci-présents sont tirés de mon imagination et SEULEMENT de la mienne. Cela fait depuis pas mal de temps que je les joue et j'ai passer énormement de temps à chacunes de leurs biographies et à choisir les avatars en conséquent. Donc je vous interdis de vous les appropriés, ce serait comme si vous me volais une partie de moi.
- Quatrièmement, vous demandez le rp, vous le commencez. C'est une question de respect. Si je demande le rp, je le commence, alors si vous en voulez un avec moi, vous devez avoir déjà une idée pour le jeu que vous voulez faire, ce n'est pas grand chose je pense.
- Cinquième et dernièrement, mes personnages ne changeront jamais. JAMAIS. Non, Ezio ne pourra pas éprouver de sentiment avec une personne délicate et adorable, Non, Zorg restera un monstre sans jamais s'arrêter de torturer les gens pour son propre plaisir, et Non, Emett RESTERA GAY. Donc si vous voulez une histoire d'amour avec mes personnages et rien que des belles choses, quittez cette page, cet univers ne vous correspond guère.
Ezio Traash Wolf
LIBRE / COMPLET
Âge: 24 ans
Orientation: Hétérose.xuel
Troubles:
-Pulsion s.exuelle
-Addiction à la violence
-Sadisme sur développé.
Que dire de ce bellâtre vaniteux, égocentrique et narcissique? Tellement de chose, mais il serait plus raisonnable de commencer par le début. Ezio est issu d'une famille aisée, très aisée. Son père et sa mère étaient tous deux propriétaires de plusieurs chaînes d'hôtel prestigieux, ainsi que de nombreux casinos et de stations thermales. Il avait donc tout ce que les garçons de son âge pouvait rêver, mais l'argent ne fait pas le bonheur? Non, mais il y contribue. Pourris gâté, capricieux, Ezio était le genre d'enfant qu'on aurait envie d'encastrer dans un mur, ou de lui mettre une bonne raclée pour lui inculquer un peu d'humilité pour lui apprendre a vivre. Etant pourtant un élève extrêmement doué, pour ne pas dire le meilleur. Son intelligence était aussi immense que son narcissisme : Surdimensionné. La cause? La mégalomanie, oui, précoce mais réelle.
Il eu une enfance plutôt calme, bien rangée, même si ses parents étaient inexistants, enfin leur parents, a lui et a sa petite sœur de 3 ans de moins que lui, Jayna. Ils furent donc élevés avec les nourrisses, du moins jusqu'à qu'il atteigne l'âge de 12 ans, avant que son père ne fasse un AVC, l'amenant directement dans la tombe. Ezio ne fut pas si attristé que ça, mais qui aimait il plus que tout à part lui-même ? Sa mère dù alors revendre les parts de son mari, mais ne se doutait pas que les acheteurs, crapules de premières, ruinerait la famille jusqu'à son dernier sous, les faisant même expulsés de leur domicile. Étrange histoire, mais les trois derniers membres de la famille Traash Wolf était officiellement des sans domicile fixe. Comment pouvait on se retrouver du jour au lendemain dans un toit? Obligé d'arrêter l'école? Devant faire la manche ou voler pour pouvoir se nourrir? Non, Ezio était beaucoup trop bien pour ce style de vie pathétique. Il chercha alors quelques choses, n'importe quoi qui aurait pu les sauver de la, c'est de la qu'il fit la connaissance d'une demoiselle très connue: l'héroïne. Oui, la drogue effectivement. C'est mal effectivement, mais qui a dit qu'il ne payait guère?
Au bout de quelques mois, l'argent se mit à couler a flot. Ils purent racheter une maison encore plus luxueuse que l'ancienne, et la mère des deux enfants investit dans une entreprise qui explosa la bourse en seulement un an et demi. Le garçon devenu un adolescent n'avait pas était des derniers afin de goûter un peu le fruit de son business, augmentant au fur et à mesure les doses de cette drogue qui le rendait si riche. Au bout de quelques temps, son comportement changea radicalement, il devenu de plus en plus violent, insensible, comme... Inhumain, détaché de tout remord ou de compassion, jouissant du malheur des autres et encore plus heureux d'en être la cause. Jayna, assez proche de son frère, s'inquiéta rapidement de son comportement, surtout quand elle trouva les cadavres de souris éventrées avec chacun des organe accrochés à une toile de tableau et des oiseaux pendus comme il se faisait au moyen âge. Leur mère ne vit rien, trouvait toujours de bonne excuse à celui ci. "Il a sa crise d'adolescence, c'est un garçon imaginatif, il tente de nouvelles expériences..." Nombreuses étaient elles, mais aucune n'était réellement valables.
A l'anniversaire de ses 17 ans, leur mère partit pour un voyage d'affaires a l'autre bout du pays, laissant alors les deux adolescents seuls. C'était le moment de faire une super fête selon Ezio, qui pourrait en même temps continuer son petit commerce qu'il effectuait déjà depuis 5 ans. La soirée commença, 10, puis 15, puis 20 invités arrivaient, avant que celle ci ne finisse par avoir 250 personnes dans la maison. C'était... L'orgie, l'orgie totale. Entre partie de jambes en l'air par ci et distribution d'héroïne par la, l'ambiance tapait à son plein. Seulement, Ezio surprit une scène... Plutôt mouvementée. Sa sœur et son meilleur ami qui commençait les préliminaires. Quoi? Pourquoi? Comment? Sans gêne, il rentra dans la pièce avant de mettre une magnifique gifle à la jeune fille avant de coller un poing sur le visage de son ancien meilleur ami. Après une petite bagarre, Ezio jeta le jeune homme dehors complètement nu avant de s'enfermait à clef dans la chambre avec sa sœur, bien décidé à avoir des explications digne de ce nom. Mais cela ne se passa pas vraiment comme prévu. Jayna se mit alors à insulter son frère avant de lui lancer tout ce qu'elle trouvait sous sa main, bien loin de pouvoir déstabiliser le jeune homme. Folle de rage, celle-ci lui fit alors des révélations qui extermina l'ego de celui ci, le mettant dans une colère que personne ne pourrait osé imaginer. "Mais tu crois quoi? C'est pas étonnant qu'avec un taré de fils, notre père ait passé l'arme à gauche! T'es qu'un monstre, et t'ira pourrir en enfer sale merde!"
Personne, personne ne pouvait lui parler sur ce ton. Mais pour qui elle se prenait? Pour une diva? Ce n'était qu'une pu.te, et il allait lui prouver. Ezio attrapa sa sœur par les cheveux avant de la frapper aussi fort qu'il pouvait. Elle voulait jouer? Elle allait jouer, et jusqu’au bout en plus. Elle allait regretter d'être venue au monde. Il la balança ensuite sur le lit avant de l'attacher aux barreaux, puis se mit à rire comme jamais, un rire sadique et machiavélique, aussi sombre que ses pensées, comme sortit du diable en personne. Jayna hurla, elle cria et supplia son frère d'arrêter, mais il était loin d'avoir fini son petit jeu. Excédé par ses cris, il lui arracha son t shirt avant de lui enfoncer dans la bouche. Jayna le regarda avec horreur? Il n'avait pas... Il ne pouvait pas le faire?!
Et pourtant si, durant des heures et des heures, Ezio abusa de sa propre sœur, tel un monstre. Ce n'est qu'au petit matin qu'il la laissa là, écœurante et dévergondée dans ces draps remplis de larmes, de sueur, de sécréments corporels avant de disparaître, sachant pertinemment ou il allait se retrouver: Dans un asile. Comment est-il arrivé la? C'est une autre histoire, mais ne lui faites jamais confiance...
... Ou serez-vous assez joueur
pour risquer votre vie?
Krystal Burton Knight
LIBRE / COMPLET
Âge: 22ans
Orientation: Bise.xuelle
Troubles:
-Terreurs nocturnes
-Agoraphobie
-Automutilation
-Pulsions meurtrières
-TS
Krystal? Précieuse? Les apparences sont parfois trompeuses... Angélique? Démoniaque? Sage ou diabolique? Une jeune femme au personne ne connait, ou bien pas comme il faudrait...
Une vie paisible et sans embuche, sans valeur, sans surprise: voilà ce qui attendait la petite fille alors qu'elle ne venait a peine de montrer le bout de son nez. Que voulez vous? On ne peux choisir son destin lorsqu'on est la fille de l'immense Tom Burton. Non, pas Tim Burton, Tom, le milliardaire avide et cupide a souhait. Mais une chose que l'on ne pouvais pas lui reprocher, c'était l'amour qu'il portait a sa fille qui n'avait que quelques heures, contrairement a la mère de la petite qui la comparait a l'incarnation de l'erreur humaine. Un père aimant et une mère distante, voir mechante, voilà avec qui grandit la petite Krystal. Son enfance fut des plus heureuse, naturellement, ne dit on pas que l'argent fait le bonheur? Cette philosophie convenait pourtant bien au mode de vie de la petite fille. Pourrit gâtée, capricieuse, susceptible et peste, voilà a peut près tous les mots pouvant qualifier cette petite fille a l'air tellement angélique. Mais tout son petit monde s'écroula quand sa genetrice, enfin sa mère, lui apprit, toute heureuse, qu'elle attendait un second enfant, une fille encore une fois Krystal avait alors 7ans. La petite fille ignora alors completement sa mère, et encore plus le futur enfant qu'elle haïssait déjà. Comment? Comment pouvait-on lui imposer ça? C'était elle la petite fille, la seule, comment pouvait-on lui imposer... Une soeur? Lorsque Que le nouveau né vit le jour, son père venu la voir seul, Krystal refusant de sortir de ma voiture en se mettant a hurler et a s'arracher les cheveux. Comment s'appelait cet intrus? Élisa? Un nom qu'elle detestait tout autant. Et comme toujours, son père l'amena faire les boutiques de jouets et de vêtements haut de gamme pour que sa petite fille soit de nouveau "heureuse".
C'est environ deux semaines après que sa mère et sa soi-disant soeur rentraient au domicile familial, non sans le regard haineux de la petite fille pour sa soeur. Mais elle ne s'attendait pas à un renversement de situation tel que celui ci. Après lui avoir voler sa "mère", voilà qu'elle lui prenait son... Père? S'en était trop pour la petite fille, s'enfermant complètement dans sa bulle. Elle commença alors à avoir des terreurs nocturnes, se mettant subitement à hurler au milieu de la nuit en soutenant que quelqu'un l'épier par la fenêtre, ou bien qu'on lui voulait du mal, que l'on essayer de la faire taire à jamais.
Cela dura environ six mois, et sa mère ne la supportait littéralement plus, ne manquant pas ses occasions pour la rejeter ou bien la dévaloriser pour les beaux yeux d'Élisa. Que s'est-il passé? Que s'est-il passer dans la tête de Krystal pour essayer de tuer sa petite soeur en pleine nuit? C'est sa mère qui la découvrir au dessus du landeau de sa soeur en train de l'étouffer avec un petit oreiller d'une de ses poupées. La femme hurla de rage et la gifla de toutes ses forces, faisant faldinguer Krystal qui n'avait que 8 ans à l'autre bout de le pièce. C'est à son père que Krystal dù la vie, qui arriva juste a temps avant que ça mère ne lui fracasse le crâne avec une lampe de chevet. Le couple, qui n'était déjà pas très stable, explosa complètement. Sa mère partit avec Élisa et Tom resta avec sa fille, Krystal.
Mais quelque chose c'était brisé, rien n'était comme avant, mit à par les tonnes de cadeaux qu'il continuait encore et toujours a lui acheter. Il n'avait plus la même attention, il était toujours occupé à faire quelques chose de plus important. Oui, il l'aimait, enfin, c'est ce que lui disait, mais était-ce vraiment la vérité? Vers l'âge de 12ans, elle apprit que sa mère l'avait renier, et disait que c'était la pire chose que la vie lui avait apporter. La petite fille alors pré-adolescente pleura toute les larmes de son corps, son univers n'était alors qu'illusions et mensonges? Elle fit alors sa première tentative de suicide avec le rasoir de son père, mais elle n'avait pas prévu que la douleur serait aussi intense. Son père accouru alors a son cri et l'amena directement au urgence, avant de ma faire suivre par un psy.
Mais pourtant, rien de son geste n'avait ensuite changer quelques chose au comportement de son père, soi disant de plus en plus occupé dans son travail. Une poupée, un jouet, voilà ce qu'était a présent Krystal. "Sois belle et tais toi." Comment être plus précis? Une famille portée sur l'apparence, sur les '' on dit'' et sur l'argent. La petite fille devenue alors une belle jeune femme, faisant tourner la tête a plus d'un garçons. Bimbo? Sûrement, mais quel amusement d'avoir autant de garçon a ses pieds juste en ayant 14ans? Mais le soir, le rasoir dessinait de long traits régulier dans sa chair... Qu'est ce que ça pouvait bien leur *** de toute manière? Et ***! Oui, elle était belle, elle était sociable et souriante, mais elle tomba de haut, même de très haut lorsque son regard croisa celui d'Anthony.
Anthony ? Ah oui, le beau garçon populaire qui avait fait sa rentrée dans la classe a Krystal... Elle ressentit ce que jamais elle n'avait ressentit auparavant: de l'Amour, avec un grand A. Mais ce fut également le premier à ne pas succomber si facilement a son charme, il était tellement... Intrigant. Mais au boit d'un an, elle pût enfin gouter au goût de ses lèvres, un goût qu'elle gardera a jamais gravé dans sa mémoire. Mamgres leurs jeune âge, ils s'installèrent ensemble lorsqu'ils eu respectivement 18ans. Un amour, passionnel naquit dans la jeune femme, elle se sentait enfin heureuse, enfin aimée, enfin quelqu'un. Mais même malgré les absences répétées et les mensonges de celui ci, c'est avec un grand oui qu'elle accepta sa demande en mariage. Tout semblait parfait, sa vie était enfin parfaite et bientôt elle serait une a celle d'Anthony pour l'éternité... Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants?
Dommage que vous croyez encore à ces stupides contes de fée. Le jour J était juste le jour le plus beau de son existante. Que demander de plus que d'unir sa vie à celle de l'homme de sa vie? Elle attendit alors en dessous du porche ornée de roses rouges son futur époux, sa robe et son bouquet en main, elle attendit, et attendit... Jusqu'à que son univers s'écroule, que le sol s'éventre sous ses pieds, jusqu'à qu'elle développe une agoraphobie, qu'elle se mit a courir pour aller s'enfermer dans sa chambre et pleurer toute les larmes de son corps, de briser les miroirs dont elle détestait le reflets, et taillader sa peau jusqu'à en perdre tellement de sang que sa robe devenu aussi rouge que les roses du porche. Elle perdit connaissance puis se réveilla quelques jours après a l'hôpital. "Encore un peu et vous seriez morte madame!" Madame? Gardez mademoiselle, je ne suis pas mariée, et... Mais pourquoi était-ce aussi difficile de mourir dans ce monde si cruel? Elle n'en pouvait plus.. Elle était terrorisée lorsqu'elle mettait un pied dehors, tout cet espace... Et ces gens qui la regardaient.. Elle avait simplement envie de leur ouvrir la gorge et les voir nager dans leur sang, ces êtres tellement insignifiants... La jeune femme resta donc cloîtrée chez elle, gérant de Chea elle l'entreprise que son père lui avait léguer à son décès.
Malgré tout ce qu'elle avit pût faire a sa soeur, Élisa venait régulièrement voir Krystal, même si celle-ci ne la supportait pas, esprit de famille dirons nous. Mais une visite fut alors sa dernière.. Celle de sa soeur et de.. Anthony, oui oui, son ex fiancé qui l'avait laisser en plan le jour de leur mariage. Krystal explosa intérieurement, quelque chose de brisa définitivement en elle, peut-être son humanité? Mais c'est mine de rien qu'elles les acceuillit et leur proposa de rester dormir à son domicile. Une fois la nuit tombée, tout le monde s'était endormit après une grosse journée. Mais que vous ai-je dis juste avant? Ne vous méfier pas des apparences. Krystal monta doucement dans la chambre du couple puis s'assit à côté de sa soeur en lui murmurant à l'oreille "Voilà ce que je te destinais depuis ta naissance, sal.ope." avant de lui tirer une balle entre les deux yeux. Anthony se réveilla alors en sursaut, couvert de sang et le pistolet collé sur la tempe, regardant Krystal avec terreur en l'insultant de folle. Mais elle s'en fichait royalement, elle lui tira une balle dans chaque genoux pour l'empêcher de fuir, puis une dans chaque bras avant de finir par l'attacher au lit. Il hurla de douleur, de terreur et d'effroi, devant cette femme qui n'était qu'un monstre, mais se tut quand il fit ces étranges taches au sol, ainsi que son briquet. Il n'eu même pas le temps de relever la tête qu'elle lâcha le briquet avant de se défenestrer.
Voilà, en un instant, toute sa vie partit en fumée, observant le manoir de l'horreur et de la honte brûler, l'amour qui l'avait brisée en train de brûler vif au milieu des flammes. Après qu'elle fut prise en charge par une équipe médicale, elle fut directement internée dans l'hôpital psy, mais... Qui avait mit le feu au manoir? Personne ne le savait, juste une jeune femme jouant avec un briquet vide...
...Méfiez vous de l'eau qui dort...
Zorg Laance Skull's
LIBRE / COMPLET
Âge: 26 ans
Orientation: Inconnue
Troubles:
-Psychopathe
-Ex-nécrophile
-Pulsions violentes-meurtrières
-Léger début de paranoïa
Biographie:
Zorg est pour ainsi dire... Le mal incarné, le diable en personne. Si vous êtes des personnes à penser que chacun des êtres vivants a une part de bonté, Zorg est alors la preuve vivante comme quoi cette idée stupide est totalement erronée. Mais débutons les présentations de ce personnage merveilleusement morbide...
Zorg est un jeune homme froid, distant et manipulateur. Il n'a pas de famille, enfin pas de vivante. Doté d'un caractère asocial, il n'a jamais vraiment était intégré dans notre société, mais tout cela n'est pas sans raison...
C'est durant un jour de Mai que sa mère eut pour dernier effort sa venue au monde. Ses dernières volontés furent que si l'enfant était un garçon, celui-ci porterait le nom de son grand-père, et que le père du petit n'ait absolument pas sa garde. Mais malheureusement, seulement une de ses volonté fut respectée, et bien évidemment la plus facile. L'enfant se nomma alors Rob Mac'Duckman, mais confié à son père. Celui-ci s'avérait être un avocat véreux, celui qui innocentait les meurtriers, les violeurs ou les autres crapules dans ce genre grâce aux larges pots de vin qu'il fournissait aux juges ainsi qu'au jury avant la sentence, tous aussi corrompus les uns que les autres. Il est vrai qu'il vivait aisément, mais à quel prix? Un prix que le jeune homme haïssait du plus profond de son âme. Seulement, son avenir était déjà tout tracé à peine sa pauvre mère avait rendu son dernier souffle de vie: Il allait reprendre la succession du cabinet de son père comme le voulait la tradition des Mac'Duckman.
Son enfance ne fut pas des plus heureuses qui soit: il n'avait pas le droit d'aller à l'école, pour "ne pas être en contact avec des gens sans valeur" comme le disait son "père", se qualifiant lui-même de " maillon fort de cette chaîne alimentaire". Il eut donc un précepteur pour chaque matière, se devant d'exceller dans chacune d'entre elles pour ne pas noircir ce blason doré que la famille portait depuis des générations.
Quand il atteignit l'âge de 16 ans, il quitta l'école d'avocats prestigieuse que son père lui payait, déclenchant alors la plus noire des colères de celui-ci : Il le renia, purement et simplement. "Un homme sans valeurs ni avenir ne peux pas être mon fils, simplement le bâtard d'une chienne." Ce fut les derniers mots qu'il entendu de celui-ci avant qu'il ne le mette à la rue, complètement livré à lui-même.
Détruit? Traumatisé? Effondré? Nullement, le jeune homme s'en fichait éperdument, n'ayant jamais considéré cette ordure comme son père, mais plus comme un intrus ou un démon avide et cupide. Il enchaîna les petits boulots, puis passa ensuite à de petites escroqueries. Rien de très méchant, mais il en voulait plus, toujours plus. Jusqu'au jour où il décida qu'il obtiendrai ce qu'il voulait, quitte a torturer, violer ou tuer, il se fichait complètement de ces "êtres inférieurs", il était Dieu, il avait droit de vie ou de mort sur chacun des êtres vivants sur cette Terre.
Psychopathe? Oui, il devenu ainsi. Il aimait le mal, la violence et le désespoir des gens qu'il jubilait à torturer, à regarder souffrir et hurler de douleur plus son plus grand plaisir, totalement inhumain.
Devenu leader d'un petit gang de crapules, complètement horrifiés par lui, le jeune homme finis par prendre le contrôle d'un des quartiers des plus mal famé de Los Angeles. Comment, bain de sang et propagande de terreur, telles étaient les signature de ce monstre. Rob Mac'Duckman? Non, celui-ci était trop faible, ce petit garçon peureux et sans défense était officiellement mort, laissant alors place à Zorg Laance Skull's.
Oui, un monstre égalant Satan-même, complètement fou à lier. Tueur, manipulateur, sadique, il ne se contentait pas de torturer et de mutiler ses victimes, il abusait également d'elles quand elles avaient rendu leur dernier souffle. D'ailleurs, c'est après chacun de ses meurtres que le jeune homme se faisait un tatouage.
Nécrophilie, un fantasme des plus écœurant, mais personne n'osait faire quelques chose... Jusqu'à l'arrivée de cet homme.
Zorg, aussi monstrueux qu'a son habitude, terrorisait la population alentours, pour faire le tour de sa "propriété". Mais en rentrant chez lui qu'il eu la surprise de sa vie: un homme attendait, assis dans son canapé.
Un homme? Quoi de plus banal? Mais ce n'était pas n'importe qui: cet homme n'était personne d'autre que son père, enfin, son connard de géniteur qui l'avais lâchement mit a la porte. Pris de violents sentiments de haine et de rage, il saisit celui-ci par le col avant de le plaquer violemment contre le mur. L'homme ne comprit pas de suite ce qu'il se passait, il n'avait d'ailleurs même reconnu son propre fils. Mais c'est en le regardant dans les yeux qu'il le reconnu enfin: évidement, son " petit" avait eu les yeux à sa défunte mère.
"R... Rob? C'e... C'est bi-ien to-oi..?"
Ces quelques mots de cet homme,complètement terrorisé, furent comme une décharge électrique pour le jeune homme. Il le jeta au sol avant de prendre sa tête entre ses mains et de se mettre à hurler, ses ongles se plantant dans son crâne. Comment?! Comment pouvait-il se présenter ainsi?! Après tout ce qu'il avait du subir a cause de cette pourriture!? Zorg, les yeux remplis d'une folie pire que celle a laquelle Satan lui-même pouvait prétendre, saisit une barre de fer et se mit à frapper et à massacrer cet homme qui hurlait par tout les saints. Même après que ses hurlements se turent, il frappa, encore et encore, jusqu'à que le corps devant lui ne fut que la bouillie humaine. Il lâcha enfin la barre ensanglantée, puis regarda quelques instants les restes de son passé définitivement réduite a néant. Complètement vidé de tout, inhumain comme jamais, il arrosa la pièce d'essence avant de sortir, jetant sa cigarette dedans que son "royaume des horreurs" brûle devant lui. On pouvais entendre les cris, les pleurs et les hurlements de désespoir que poussait ses marionnettes. Mais qu'importe, cela ne le touchait guère. C'est donc couvert du sang de son propre père, une autre cigarette entre ses lèvres qu'il partit. Où ? Lui même ne le savait pas, comme le fait que toute les autorités étaient a sa recherche. C'est lors d'une nuit, lorsqu'il avait trouvé refuge dans une maison après avoir exterminé tout ces occupants, qu'il reçu une balle en pleine poitrine. Boum, le noir total.
C'est trois mois après qu'il se réveilla, enchaîné sur un lit d'hôpital, complètement seul dans une pièce de haute protection. Il avait fait son entrée chez Lennox House, enfin.
Mais un patient comme lui était utile... Oui, même très utile...Tellement utile qu'il devenu en charge de la salle de torture, laissant alors place a sa folie la plus monstrueuse...
...Qui sera sa prochaine victime?
Blake Lord Wolf
LIBRE / COMPLET
Âge: 21 ans
Orientation: Bise.xuelle
Troubles:
-Trouble dissociatif de l'identité
-Crise de folie
-Dépression
-TS
-Auto-mutilation
Liens: Joshua Mac'Peterson (Protecteur)
Blake, Blake, Blake... Oui, c'est une fille. Étrange non? Les parents de celle cie souhaitaient avoir un garçon, mais ils avaient encore une fois une fille. Le père avait donc décidé de lui donné le prénom qu'il avait choisit même s'il s'avérerait que c'était masculin. Voici comment bien commencer une vie alors que l'on à seulement quelques heures: être le fruit d'une profonde déception. La petite Blake naquit avec trois mois d'avance.
Énorme non? Pas vraiment en connaissant les circonstances, après avoir dégringoler les escaliers du troisième étage, le travail ne pouvait que commencer au risque de faire mourir le nourrisson, mais cela n'aurait pas était une mauvaise chose en soit. La petite fille passa donc sa première année à l'hôpital. D'ailleur, c'est qu'elle apprit à marcher, entre les blouses blanches. C'est à deux ans et demi qu'elle regagna le domicile familial avec sa mère.
Son arrivée ne fut pas des plus fanfaronantes, sa grande soeur la regarda à peine avant de retourner dans sa chambre et son père n'était même pas la, bien trop occupé à vanter les mérites de sa fille aînée. Même sa propre mère pas des plus comblée de sa venue au monde, c'est donc dans ce malaise sentimental que Blake fut élevée.
On ne comprend pas pourquoi papa est toujours en colère, pourquoi papa fait mal à maman, pourquoi maman pleure, pourquoi notre grande soeur nous enferme dans le coffre à jouets en disant ne faire pas de bruit. Pourtant la petite fille ne perdait jamais le sourire, sauf le jour où elle dit son premier mot "papa". Celui ci, fou de colère, la saisit violemment par le bras en hurlant: "Tu n'es pas ma fille, sale bâtard! Un résidu de fausse couche!" Sa mère la saisit avant que celui ci ne commette l'irréparable.Oui, à trois ans, elle as dit son premier mot. Problèmes psychologiques? Surement, mais de ce jour, elle ne dit plus ce mot "maudit".
Après l'incident, l'assistante sociale escortée de la police débarquement chez eux avant d'amener les fille en famille d'accueil et le père de celles cie en prison. Blake et Tania durent donc placée à 3 et 8 ans respectivement. Ce fut surement les meilleures années, les plus belles de sa vie. Plus de peur, plus de crainte, plus de hurlements ni de pleurs, la petite fille coûtait enfin au véritable bonheur, pur et simple.
Mais route à une fin n'est ce pas? Sa mère, à présent seule, récupération leur garde quand Blake eu 8ans. Mais même si la vie était un peu plus difficile, elle n'était pas malheureuse. Le plus dur était cette fuite perpétuelle, une fuite pour question menteur ne leur mette pas la main dessus. Sa mère semblait faire de son mieux, mais une fois qu'elle eurent toutes les trois trouver leurs sérénités, elle laissa les deux filles complètement à l'abandon. Tania, déjà légèrement bipolaire devenait de plus en plus hystérique. Elle commença à ramener des lors une multitude de ses conquêtes masculines au domaine familial même.
Leur mère ne disait rien et puis de toute manière, rare était les fois ou elle rentrait à la maison. Le défilé d'homme dura quelques années avant que seulement un ne vienne quasiment tout les jours chez elles. Blake avait 10 ans. Il semblait gentil, il semblait patient, calme et tellement intentionné, alors pourquoi s'en prenait de plus en plus souvent à elles pour des raison complètement insensées? Les apparences sont trompeuses. Cette agressivité cachait en réalité une femme battue, mais depuis combien de temps?
Non, la petite fille ne pouvais pas accepter que la seule personne qui daigne s'occuper d'elle puisse finir dans les griffes d'un tel rapace. Cest donc malgré son jeune âge qu'elle se rebella contre "le monstre" qu'elle avait surnomé. Mais celui ci bien évidemment ne fit qu'une bouchée d'elle, l'envoyant à l'hôpital avec "simplement" une jambe brisée.
La réaction de Tania? Insensible, c'est le moins qu'on puisse dire. Pas une fois où elle est aller la voir, ou même prendre de ses nouvelles. Peut être qu'elle aimait le fait de se faire taper que la gueule, enfin c'était la conclusion qu'avait faite Blake. L'hôpital n'était pas si mal, on y mangeait bien, les infirmières étaient plutôt sympas et puis elle avait l'habitude des blouses blanches à force. Elle y resta donc au calme durant quelques mois avant de, officiellement repartir chez elle.
En réalité, le fillette décida d'aller vivre dehors, cela valait mieux que de retourner dans la maison des horreurs. Elle se débroullait plutôt bien à son âge, enfin comme à son habitude. Elle y resta jusqu'à qu'un jour elle fit la rencontre de sa vie: celle d'un garçon qu'elle croyait être l'homme de sa vie.
Mais que savait elle à l'amour, à seulement 13 ans? Rien, absolument rien, elle se laissa tomber raide dingue d'un garçon ayant l'âge à sa soeur qu'elle connaissait à peine. "Et ils vécurent heureux jusqu'à la fin des temps sous les ponts dans leur villa faite de cartons et de chariot jusqu'à la fin des temps"? Perdu, décidément vous n'êtes pas très calés en contes de fée.
Complètement accro à ce garçon, celui ne ne manqua pas de la manipuler telle une poupée de chiffon. Il lui appris à mentir et à voler, jouer de son charme pour finir à ses fins, sans vendre son corps tout de même. Mais longtemps dura la comédie, seulement la fin fut des pires scénarios dramatiques que même Shakespeare n'aurais jamais imaginer. C'était le 14 février, le jour de la saint valentin, jour dédié à cupidon, à l'amour et au couple. Elle ne se doutait pas de la scène qu'elle allait voir: sa soeur et son boy-friend se disp.utaient violemment, lui à genoux, avant que celle cie lui en retourne une paire avant de partir d'ou elle était venue.
C'est ce jour la, exactement ce jour la que sa petite vie se "termina". Fou de haine et de rage, il sortit un pistolet qu'il braqua sur elle, puis lui avoua la vérité en hurlant: ce n'était rien pour lui, un bouche trou, une simple p.ute pour remplacer sa soeur. Mais il retourna l'arme vers lui avant de se la mettre dans la bouche et d'appuyer sur la détente, faisant apparaître un gésaire de cervelle partout autour d'elle. Elle resta posterée pendant que les gens s'agglutinait sur la scène, prévenant les secours.
Ce jour la, elle avait tout perdu, mais elle avait trouver une chose: cette petite voix dans sa tête. Elle était présente, tellement présente qu'elle l'appella Kim. Kim n'était pas très gentille, elle l'obligeait à prendre cette lame et à se la planter dans les veine, elle l'obligeait à bouffer ses doigts jusqu'au sang, à faire plein de chose de mal. Même qu'un jour, elle l'obligea à se jeter d'un pont avec une pierre autour du cou. Blake ne doit la vie qu'au pompier en civil qui n'a pas hésité à plonger pour lui sauver la vie.
Gamine, 15 ans, Blake entra donc dans le monde des murs en coton en compagnie de la méchante Kim. Mais Kim était toujours aussi méchante, elle ne voulait pas qu'elle parle à quelqu'un d'autre, que quelqu'un l'approche ou qu'elle dorment dans la même chambre que une autre personne. Mais parfois, Kim se taisait, c'était durant ses crises de folie, laissant retentir ses hurlements et ses tambourinements sur les murs jusqu'à que ses mains soient totalement en sang.
Alors peut être que le gentil docteur pourrait l'aider? Mais Blake se rendit aussitôt compte qu'elle avait, encore une fois, était trop naïve, finissant par cobayes de Joshua. Mais il était le seul à être gentil avec elle, ou bien... Il faisait semblant? Semblant comme tout les autres avaient fais avant lui? Oui, Kim avait surement raison.
Mais surement du à une erreur de calcul du médecin, la jeune femme alors âgée de 17 ans fit une violente réaction aux expériences, évacuée d'urgence par hélicoptère. Ses reins n'avaient pas supporter, n'avait plus supportaient. Elle fut placée sous dialise en attendant qu'un donneur puisse lui sauver la vie, mais plus le temps passait, plus la jeune femme se mourrait. Et puis, comme par magie, une paire de reins apparuapparues au moment où elle commençait à lâcher prise. Par quel miracle? Demandez à son médecin, seul lui le sait.. Depuis lors, Joshua devenu tel le protecteur, ou l'ange gardien de Blake, avec une question en suspend...
... Être ou ne pas être?
Emett Co.nnel O'Skins
LIBRE / COMPLET
(Eliott: Droite / Emett: Gauche)
Âge: 22 ans
Orientation: Gay
Troubles:
-Cannibalisme
-Troubles de guerre
-Folie à deux (avec son frère)
Liens: Eliott Co.nnel O'Skins (Frère jumeau)
Il est grand, il est beau, il est fort, et surtout, il est gay. Un beau gosse pareil, Quel gâchis se disent les demoiselles, mais cet apollon est un gay qui ne s'assume pas. Monsieur Co.nnel O'Skins de prénom Emett àtoujours était le grand favoris, que ce soit en famille, entre amis ou même auprès des jeunes femmes, au détriment de son frère jumeau, Eliott. Pourtant soudés comme les doigts d'une seule main , les deux frères étaient en constante rivalité : Qui est le plus beau, qui est le plus fort ou le plus intelligent ? Cela amusait beaucoup leurs parents, en particulier leur père, qui adorait faire remarquer a Eliott les nombreux avantages qu'avait son frère.
Mais parlons plus précisément d'Emett.
Emett est un bel homme de 22 ans, vaniteux et narcissique à souhait, qui adore plaire ainsi que briser les cœurs qui fleurissent entre ses mains. Ancien légionnaire, cet expérience de seulement 3 ans l'a changé du tout au tout. Fils à papa, il se fichait royalement de ses études, se préoccupant plus de sa petite personne que de quelqu'un d'autre, si ce n'était son frère. Oui, les jeunes gens avait une relations intense et fusionnelle, plus que la normale a vrai dire. Emett ne supportait pas que l'on touche a son frère, autant physiquement que sentimentalement. Jaloux ? C'était probable, mais Emett s'avouait gay était tout bonnement impossible. Celui-ci n’arrêtait pas de collectionner les conquêtes féminines, histoire de dissiper les soupçons qui régnaient sur son orientation se.xuelle. Mais il ne resta pas longtemps dans son établissement scolaire, beaucoup trop dissipé au goût du principal. Son père fut fou de rage lorsqu'il reçu la lettre de renvois de son fils. Comment ? Comment un membre de cette famille aussi noble pouvait en arriver jusqu'ici ? S'en était beaucoup trop pour lui, qui rangea le fils « prodigue » dans la même catégorie que son frère. Il ne restait alors qu'une solution selon le patriarche : l'armée.
L'armée de terre ? L'armée ? Ou bien la Marine ? Non, non, rien de cela, la seule solution était la légion étrangère. Fils, petit-fils et arrières-petits-fils de légionnaire, il fallait que la tradition de cet engagement perdure dans la famille. Il déscolarisa donc Eliott, contre le grès de celui-ci, avant de les envoyer tous deux la bas. Mais ils ne s'attendaient pas a vivre des choses aussi atroces. Ils furent mis dans la même section d'office, autant avantageux que difficile, surtout pour Eliott qui ne surpassait pas son frère aîné. Emett était comme a son habitude dans son élément, étagement. Il inspirait le respect, et la crainte, sûrement aux quelques mâchoires qu'il avait fracturer a cœur joie. Les premiers mois se passèrent donc dans une «facilité» plutôt déconcertante, jouant de son image de marque pour faire effectuer les travaux les plus compliqués au autres, en particulier a son frère, qui accepter dans dire un mot. Mais cela ne dura qu'un temps, avant que leur unité ne furent envoyée en mission d'infiltration dans un village perdu au milieu de la forêt amazonienne pour faire une reconnaissance sur les camps d'ennemis qui en avaient pris possession. Les deux frères furent donc ensemble pour leur première mission. Une simple mission de routine disait les chefs de mission, mais cette mission allait être beaucoup plus atroce que tout ce qu'il aurait pu imaginer...
Alors qu'ils venaient juste d'être parachutés au dessus de leur cible, ils furent pris dans une fusillade alors qu'il étaient encore dans les airs. Plusieurs de leurs camarades périrent sous leurs yeux, encore accrochés a leurs parachutes. Emett, voulant à tout prix rester en vie, essaya une solution suicide, sous le regard interrogateur de son frère. Il inspira un bon coup avant de braquer la toile qui le soutenait pour enfin se décrocher de celle-ci. Par chance ou par on se sait quel miracle, le jeune homme atterrit dans une brousse dense, qui amortit un maximum sa chute, malgré qu'il ne se casse le poignet sur le coup. Mais il se releva rapidement avant de se mettre en quête de potentiels survivants. Sur un groupe de 45 hommes, Emett en retrouva 4 vivants, mais il découvrit avec horreur que son frère n'en faisait pas partie, et malgré ses efforts pour retrouver le corps de celui-ci, ses recherches demeurèrent vaine. Il du donc se résoudre a les abandonner pour ne pas que les derniers camarades qu'il avait ne périssent eux aussi comme les autres. Durant environ 5 jours, le petit groupes avança en territoire ennemis en se dissimulant avec Mère Nature, prenant la vie d'ennemies beaucoup trop imprudents pour tomber entre leur mains avant qu'ils n'arrivent tous saint et sauf dans le village qui était leur cible. Mais ils ne s'attendait absolument pas à voir que qu'il découvrir. Une ville fantôme, un tas de cendres, des corps à perde de vue et une désolation mortelle. Que s'était-il passé ? Les cadavres de leurs cibles recouvraient ceux des femmes et des enfants qui vivaient la bas, et même de certains de leurs camarades qui étaient arrivés là avant. Mais... Comment un tel carnage avait put arrivé ? Et surtout qui avait put bien faire ça ? Emett, qui avait prit la tête de cette petite unité, avait décidé d'abandonner cette mission déjà effectuée a leur dépend et de partir a la recherche de potentiels survivants avant de retourner a la base. Ils se divisèrent en groupes 2 groupes de 2 pour avoir plus de chances a les retrouver, communicant avec des talkies-walkies volés au cadavres du village. Emett et son binôme commencèrent donc leur recherches sans grandes avancés. Durant 3 jours, ils fouillèrent des kilomètres de forêt sans trouver un traître indice de possible survivant.
C'est alors qu'ils décidèrent de clorent leurs recherches que le deuxième groupe communiqua une info pour le moins surprenante : Il avait retrouvé Eliott. Comment un tel prodige avait-il put se réaliser? Emett partit donc les rejoindre, imposant une marche sans repos ni répit a son camarade. Il fallait qu'il voit ça de ses yeux. Mais il était loin de s'imaginer dans quel état était son frère... Il était complètement vidé de toute humanité, les yeux perdus dans une chose invisible, comme si on avait arraché son âme. Mais cela n'était pas trop facile ? Après tout ce qu'ils avaient vu ? Tout ce qu'il avaient subi ? Autant moralement que physiquement ? Mais malheureusement, ses soupçons se confirmèrent aussitôt qu'il avait rejoint son frère. Les trois hommes qui avaient réussit à survivre jusque l'a furent fusillés par des assaillants, laissant alors Emett seul. Une embuscade, son frère n'était donc en réalité que l’appât ? C'est trop tard que le jeune homme se rendit compte de cette grotesque mascarade. Il n'y avait jamais eu de quelconque ennemie, ou de guerre ou de quoique ce soit. Ils n'avaient pas était choisis au hasard, tous, les 45, avaient bien méticuleusement étaient choisis par leur chefs de corps, en définitivement... Ils avaient tous étaient lancés dans une mission suicide à leurs dépends. Mais ils purent de chance s'échapper par la grotte où Eliott avait était enfermé. Les deux frères restèrent deux jours a marcher dans cette antre qui semblaient sans fin, fugitifs, traqués par les leurs. Eliott était toujours dans cet état de transe, complètement en dehors de cette abominable vérité, pendant que son frère se démenait pour sauver leurs vies. Pour lui il n'y avait plus de solution, ils étaient commandés à crever comme de vulgaires parias. Mais son frère sortit de son état végétatif, complètement transformé, comme si l'instinct animal avait fusionné avec son esprit militaire. Eliott était devenu une véritable machine, prêt a tuer pour sortir de cet enfer. Oui, il était devenu fou, et ce fut au tour d'Emett de contracter ce trouble: le trouble de guerre. Mais ils durent se convertir au cannibalisme pour survivre.
C'est après trois mois de recherche que les autorités retrouvairent les deux frères, mais plus que jamais déc.onctés de tout sens de la réalité. Ils furent donc rapatrié dans leurs pays avant d'être internés...
...La loi du plus fort?
Ou la loi du plus faible?
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