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plume-assassine
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1
عارضة أزياء عالمية (rang 1)
Flash

Ouverte au RPG.
J'avoue que je débute donc je ne sais pas trop comment on fait etc.... Donc soyez indulgent.

Plume assassine

Son nom est Crystalle Sansnomdefamille.

Elle est agée de 16 ans.

Cheveux qui change de couleur naturellement.

Petite ils étaient blonds platines.

Ils sont passés à brun, auburn ou encore rose.

C'est ce qu'elle préfère chez elle, ses cheveux.

En ce moment ceux-ci sont longs et vert.

Elle a aussi des yeux bleu-gris, qui parfois paraissent blanc.

Et quelque-fois quand  elle est triste elle a un oeil noir.

Sa mère l'a abandonnée à sa naissance, son père est mort à ses cinqs ans.

Elle va de famille d'acueil en famille d'accueil. 

"I want to be courageous, but I can't."



Prologue :

"Dans la vie il y a deux possiblités, soit on est faible et on nous hais pour notre lacheté, soit on est fort et on nous jalouse pour notre courage"

-Non jamais je ne resterais!

Des cris, des pleures. Pas de bonheur dans cette petite maison. Il faisait froid. De nuit un manoir sombre, dans une forêt. 

La femme blonde vénitien mis un tee shirt dans une valise ouvrit la grande porte et avant de partir s'écria :

-J'en ai rien à battre de ton foutu argent. J'me casse j'veux pas revenir.

Et sur ces derniers mots elle s'enfonça dans la nuit sombre.


 

 

5 ans plus tard

La jeune fille aux cheveux auburns était réveillée. Toute de suite à son réveil elle est allée dans le grenier comme chaque matin. Ce jour-là elle avait vu quelque-chose d'anormal. Un truc qui brillait au fond du grenier. Une chose bizarre. Avant qu'elle ne puisse l'atteindre, elle entendit un cri, celui de son père, James. Elle dévala les escaliers en criant "papa". Alors qu'elle était agenouillée près de lui, son père lui dit dans un dernier souffle "Les roses sont rouges, les violettes sont bleues, les mots sont trompeurs, la vue aussi." Il ferma les yeus et lacha un dernier "je t'aime". Ce fut les derniers mots que la jeune fille entendit de lui. Ce fut la mort de son dernier parent.

Fin du prologue

 

 


 

Chapitre 1:

"Souffrir n'est rien car grandir est la plus grande souffrance"

Du long de ces 15 précédentes misérables années elle n'avait vécu de bonheur que pendant 5 ans. Et encore ce bonheur était ponctué de pleurnicherie incessante et de tristesse dut à l'absence de sa mère. Sa vie se résumait à cela. La veille de son seizième anniversaire elle venait d'être accueillie dans une nouvelle famille d'accueil. Elle était entrée dans ce château sans parler, sans rien dire. elle n'avait pas adressé un mot et avait à peine écouté les explications de la jeune femme qui se tenait devant elle.

Cette femme était d'apparence assez simple d'à peu près 36 ou 38 ans. Elle avait des yeux vert émeraudes et un regard perçant. Ses cheveux étaient platines. Elle avait aussi une fine bouche. Elle était vêtue d'une simple robe noire et d'un gilet fin de la même couleur Elle était plutôt maigre et avait des jambes très fines. C'était une femme magnifique et qui paraissait très heureuse.

Crystalle étudia d'un vif coup d'oeil l'intérieur de ce château. Les meubles étaient somptueux, ornés d'or et de gravure.

-Crystalle! tu m'écoutes?

-Hein? euh... Excusez-moi que disiez vous?

 -Je disais que mon fils ne tarderait pas à rentrer et qu'il se chargerait de te montrer ta chambre. Ah et aussi, je t'en pris ne me vouvoie pas, je déteste ça, ça me fait me sentir tellement vieille! dit-elle avec un sourire

-Très bien madame.

-Et ne m'appelle surtout pas madame non plus. Appelle moi plutôt... heu... Maman?

Les paroles de cette femme firent un choc à Crystalle. Aucune de toutes les familles qui l'avaient accueillie ne lui avait proposé de faire d'elle leur fille. Cette femme lui paraissait si différente.

-Enfin bref, je sais que demain tu auras seize ans, il te faut des amis potables si tu veux aller au lycée non? Alors il y aura une grande fête ici-même. Mon fils se charge de tout. Tout ce que tu auras à faire c'est... t'amuser?

-Euh je suis désolée de vou.. euh... de te décevoir, mais je déteste les fêtes, c'est un trop plein de personnes ivres et en manque de... vous savez quoi!

-Tu verras tout se passera très bien.

Sur ces derniers mots, elle laissa la jeune fille toute seule. Celle-ci partit visiter  le rez-de-chaussée. Elle alla dans une pièce qui lui semblait être un salon. Il y avait dans cette pièce un canapé rouge et or et deux fauteuils de la même couleur. En face de ceux-ci un feu brûlait dans une cheminée. Deux étagères emplient de toutes sortes de livres encadraient la cheminée. Enfin pour compléter cette pièce plutôt chaleureuse on trouvait une table devant le canapé.

-Tu n'as pas le droit d'être ici, enfin pas avant d'avoir découvert ta chambre! 

C'était une voix d'adolescent. Crystalle se retourna alors pour toiser son interlocuteur. Cette vue lui fit un choc.

Le garçon paraissait avoir le même âge qu'elle. Il avait des cheveux noir ébènes et des yeux bleus transperçants. Ce bleu était impressionnant. Il vous donnait l'impression qu'une fois que vous l'aviez vu, vous chaviriez et qu'il vous retenait dans un océan de sentiment multiples, chacun les plus inexplicable les uns que les autres. Outre ses yeux bleus, le jeune homme avait un air charismatique qui vous attirait à lui. Le sourire qu'il abordait vous donnait envie de tomber dans les pommes. Il avait tout les traits de la définition de l'homme parfait selon Crystalle.

-heu... hum... je...

-Aller, suis-moi. Je vais te montrer ta chambre. Dit-il en riant.

Le jeune homme commença à partir et Crystalle s'empressa de le suivre.

-Elle est au premier étage. Donc il faut monter les escaliers. m'enfin je pense que tu l'avait compris.

Les escaliers étaient très grands et un grand tapis rouge étaitposé dessus. Aprèes les avoir monté, le jeune homme conduit la jeune fille dans un couloir plus ou moins grand avec beaucoup de portes de chaque côté.

-Ma chambre est située à côté de la tienne. Nous devrons sûrement partagé ensemble la salle de bain. Cela te pose un problème?

-Non. Pas du tout.

-Tiens voici ta chambre.

Crystalle restait figée devant devant la porte de sa chambre. Elle était en bois et plaine de gravure. Il s'y trouvait un lion qui se tenait droit et rugissant. C'était l'une des plus belles choses qu'elle avait put voir.

-Tu peux l'ouvrir tu sais?

-Hein? Heu quoi?

-Ta porte, tu peux l'ouvrir, pour rentrer dans ta chambre se sera un peu plus simple non?

-Hahaha tu es très drôle tu sais?Dit crystalle sarcastique.

Finalement elle ouvrit la porte de cette chambre. Celle-ci était encore plus belle que la porte. Il y avait une cheminée qui ressemblait fortement à celle de l'étage du dessous. Le lit était double, et la housse de couverture était d'un noir sombre mais qui semblait être éclairant. Posée sur le mur gauche, on trouvait une étagère portant une multitude de livre. Juste à côté il y avait une fenêtre qui menait au jardin arrière. Il était magnifique lui aussi. Plus beau que tous les jardins qu' elle n'avait jamais vu.. Finalement elle s'allongea doucement sur le lit. 

-Il faut te trouver une robe pour ta fête.

-Je ne veux pas aller à cette fête.

-Tu iras quand même. Je te laisse t'installer. rejoins moi au salon dans dix minutes. Dépêche-toi!

-Attends! c'est quoi ton prénom?!

-James, je m'appelle James.

Il partit, laissant Crystalle, bouche bée, dans sa chambre. Ce garçon avait le même nom que son père. Elle s'assit sur son lit, et se mit à sangloter dans ses mains. Tout au long de sa vie, elle avait appris, à rester forte quoi qu'il lui en coûte. Mais c'en était trop pour elle. Elle resta à pleurer jusqu'à ce qu'elle entende la voix de James, venant du rez de chaussée. Elle s'empressa de sécher ses larmes et s'élança dans les escaliers. 

Elle trouva le garçon au pied des escaliers. Il avait dans sa main une carte bleue.

-Il faut aller acheter ta robe.

-Et si je n'allais pas à la fête. Pas besoin de robe non? Pas d'argent à dépenser.

La jeune fille fit un grand sourire et se retourna, remontant les escaliers, afin de regagner sa chambre. Elle déposa sa main sur la rambarde en marbre et monta les marches en essayant de rester digne. Il ne pouvait pas la traîner à une fête sous prétexte qu'elle allait avoir seize ans. 

En réalité, le dernier anniversaire qu'elle avait fêté avait été la veille de la mort de son père alors, bon sang, à quoi bon? Et puis s'il s'avérait qu'elle passait un bon moment, tout viendrait encore une fois tout gaché. Car cela se passait comme ça avec elle. Cela se passait toujours comme ça. Elle était heureuse une demi seconde et lorsque cette seconde se finissait, tout dégringolait une nouvelle fois. Elle ne voulait plus de bonheur, car son bonheur lui arrachait tout le temps des larmes ensuite. Autant rester placide, sans émotion, parce-que ça faisait beaucoup moins mal que lorsqu'on tombait et que malgrés l'impression que notre coeur se déchirait encore, que nos côtes avaient transpercés nos poumons et que l'u*** brindille d'espoir brûlait devant nos yeux, on se relevait et on faisait tout pour trouver comment survivre. Sauf que Crystalle ne voulait pas voir une nouvelle brindille d'espoir se consumer et ne voulait pas non plus avoir l'impression que ses côtes lui transperçaient les poumons. Non elle ne voulait pas que son coeur se déchire encore une fois. Elle ne voulait pas tomber dans un de ses gouffres dans lesquels elle était tombée un millier car elle n'avait pas fait attention. Alors quoi d'autre qu'éviter le bonheur, pour que le malheur ne puisse plus vous saisir? 

Ce fut James qui tira Crystalle de ses réflexions. Il avait attrapé son bras et obligé à se retourner alors qu'elle atteignait bientôt l'entrée de sa chambre.Elle s'était retournée, une lueur de fureur dans le regard.

-Allez, viens. Promis si finalement tu ne supportes pas la fête je te laisserais retourner dans ta chambre mais viens avec moi je t'en supplie. Ce serait trop bête de ne pas fêter ton anniversaire tu ne penses pas. Et puis qui sait? Tu pourrais rencontrer quelqu'un.

-Je ne suis pas ce genre de fille.

-De quoi?

-Je ne suis pas le genre de fille à se pavaner en robe de soirée, enchaînant les mecs et à les plaquer dès qu'elle à tester leur misérables per ances ***uelles. Je ne suis pas ce genre de fille qui vont tellement aux fêtes que lorsqu'elles en ratent une, elles seraient prêtes à en pleurer et... 

-Oh! oh Crystalle, je n'ai jamais dit que tu étais ce genre de pétasse.

-Je ne veux pas devenir ce genre de pétasse! sanglota-t'elle.

Une seconde et demi passa entre le moment où elle dit ça et celui où elle cracha au jeune homme:

-D'ailleurs je ne sais même pas pourquoi je te confie ça, je te connais à peine.

Une lueur de colère brilla dans les yeux de la jeune fille. Elle fit les deux pas qui la séparait de sa chambre, ouvrit la porte, la ferma en la claquant, tourna la clé dans le verrou, se laissa tomber dans derrière la porte et laissa échapper un énorme sanglot.

Elle l'entendit toquer à la porte.

-Crystalle, quand tu te sentiras mieux, rejoins-moi dans le petit salon, celui où je t'ai trouvé. Viens, pour que je te fasse au moins visiter la maison. Et... hum... je sais très bien que tu ne deviendras pas une de ces pétasses.

Non mais pour qui se prenait-il? La prenait-il vraiment pour ce genre de pimbêche? Bien sûr que non, il l'avait lui-même dit. Il devait déjà la détester avec ses sautes d'hurmeur. Mais qu'y pouvait-elle si elle était lunatique? C'est vrai quoi, ce n'était pas une décision de sa part. Qui décidait d'être lunatique? Peut-être était-elle juste folle. Non, elle avait la certitude d'être folle. Une folle à lier, bonne à l'asile. Pourquoi était-elle dans des familles d'accueil? Sa place aurait dût être dans un hôpital psychiatrique.

Elle resta assise pendant une dizaine de minutes au sol, appuyée contre la porte. Puis dans un suprême élan de motivation, elle se leva pour... Ranger sa valise. Une fois ses maigres affaires mises dans le grand placard, elle se dirigea vers sa porte et partit dans le petit salon. James était sur le canapé, un livre entre les doigts. Crystalle prononça son prénom, et il tourna la tête, un grand sourire scotché sur les lèvres.

-Ne t'emballe pas, je veux juste savoir où est quoi dans ce géant manoir...

-Il y a un début à tout n'est-ce pas?



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