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Nous sommes deux à écrire cette fiction. :) Celle-ci n'a rien à voir avec le titre.
Fiction dans laquelle il y aura 2 personnages principale, leurs PDV seront alternés au cours des chapitres. (ex: chap. 1 perso n°1 / chap. 2 perso n°2 / chap. 3 perso n°1 / chap. 4 perso 2 ...)
Passons les présentations.
Alice: L'histoire du côté d'Alice est basé sur les souvenirs. C'est une ado issue d'une famille aisée qui retourne à Edimbourg où elle a passé 2 ans de son enfance. Elle retrouve des repères et des anciens amis. Elle aura aussi des flashs de souvenirs à certains moments. #Mathilde#
Tess: Pour Tess l'histoire est plus basé sur la perte. C'est une jeune fille qui a perdue d'abord son frère, Jens, puis sa mère à Londre. Elle persuadé que leurs morts ne sont pas un hasard et par peur d'être la suivante ou que son père soit le suivant elle fuit à Edimbourg. Elle entend aussi des voix. #Nina#
Bref...
!!! Les anciens chapitres se trouvent sur la dollz
"fiction-alice-tess" !!!
La poursuite du passé:
Le passé est une page à tourner et le futur une page à écrire.~
Twelfth Chapter~
Lost. Devastated. Sad. As...dead.
This is only a habit, nothing but a habit. Yes, the death has became a habit.
Tess Falefoy
01/12/13
Le ciel était gris.
Les nuages aussi. Peut-être même les torrents de pluie également, je n'y prêtais guère attention.
Ceux-ci suivies de coups de tonnerre ne me dérangèrent pas plus.
Des larmes...Enfin, mes larmes ruisselèrent le long le mes joues.
Mon père était mort et j'étais à son enterrement. N'étais-ce pas une raison valable de pleurer ? Je crois bien qu'une partie de moi est aussi morte avec lui.
Combien de jours s'étaient passés depuis cette effroyable nuit? Que s'était-il passé ensuite ? Je n'en sais trop rien. Qu'un seul et horrible souvenir me revient à la mémoire. Ce rêve si réel m'a tut pendant le restant du voyage. Je voulais y croire. Je voulais croire qu'il n'avait aucune signification. Qu'il n'était pas comme les deux précédents. Qu'il n'annonçait pas la mort de mon père.
Mais j'avais complètement tord.
Un coup de tonnerre retentit.
Une part de moi continuait à croire qu'il serait encore là à mon retour, à m'attendre avec son grand sourire devant le car, mais l'autre, majoritaire, savait que ce ne serait pas le cas. Que j'avais bel et bien raison. Qu'il ne m'attendrait pas devant le car. Mais qui viendrait me chercher ?
Personne ne se tenait devant le car, et mon professeur reçu un coup de téléphone. Le teint livide, il m'ordonna de rentrer chez moi. Les autorités attendaient devant l'immeuble, et je savais qu'ils étaient là pour moi, mais tant qu'ils ne seraient pas venus m'annoncer la triste nouvelle, je croyais encore au miracle. Ils parlèrent d'abord à quelques voisins inquiets puis se sont tous dirigés vers moi. Je sentais les regards de quesleques passants dans la rue retournés vers moi. Et je me rappelle encore de cette conversation avec effroi...
Après la nouvelle annoncée, je ne pus retenir mes larmes. Des larmes de tristesse. Des larmes de colère. On ne connaissait pas exactement la cause de sa mort, mais certains pensaient au suicide.
Seule moi savait la vérité. Mon père ne m'aurait jamais abandonnée, seule, avec comme seule arme pour me défendre, mon cœur encore pure. Ils sont venus le chercher. Qui ? Je ne le sais pas encore. Mais je sais maintenant que je suis la dernière, qu'ils viendront aussi pour moi. Et qu'ils me tueront, comme ils ont tués mon père. Quelle naïve suis-je, comment ai-je pu penser qu'on serait enfin tranquilles, dans ce nouveau appartement, dans cette nouvelle ville ? Pourquoi ai-je baissée ma garde, pourquoi suis-je partie ? Comment ai-je penser que j'aurai pu re-construire une vie ici ? Je n'aurai jamais dû le laisser seul. Je suis la seule responsable dans toute cette histoire. Ce n'est pas lui qui m'ait abandonné, c'est moi.
Nouveau coup de tonnerre.
Les autorités m'ont laissés jusqu'à l'enterrement de mon père pour quitter l'appartement et venir les rejoindre. Ils avaient tout prévu, mon admission dans un pensionnat, ma « rentrée en cours » et une psychologue dont les séances débuteront bientôt.
Peut-être même aussi la mort de mon père.
Je chassa cette pensée de mon esprit, tout en sachant, que, sur un coup de tête, elle reviendrait. Je ne voulais pas aller dans ce pensionnat. Il ne m'aidera sûrement pas pour le deuil. Mais me le rappellerai juste chaque jour, quand je me poserai la question : « Mais qu'est ce que je fais là ?! » .
Sans mon père, je me sens tellement vulnérable, en danger. Je suis revenue à zéro. A l'abandon. Devrais-je encore fuir ? Fuir une mort si certaine, si redoutable...Ou devrai-je plutôt l'affronter ? Ou en parler à quelqu'un ?
Les autorités me donnèrent également jusqu'à l'enterrement avant de retourner au lycée. J'avais eu deux semaines. Deux semaines sans humains, sans fantômes. Deux semaines que je brûlais les lettres d'avertissement du propriétaire. Et dans un an et demi, je serai majeur, je serai libre. Libre de sortir de ce pensionnat.
J'avais refusé de revoir Marc, même Alice. J'avais juste répondu à quelques uns de leurs mails. J'étais seule désormais...
Dernier coup de tonnerre.
* * *
Des black-birds tournoyaient dans le ciel. N'étais-ce pas le présage de la mort ? L'enterrement de Sam Falefoy fut bref et rapide : quelques pleurs, quelques fleurs, et juste les paroles très pieuses du prêtre. Je lui avais laissé une longue lettre, que j'avais glissé soigneusement dans la tombe pour qu'elle aussi soit conservée.
Je n'avais qu'un seul souhait. Qu'une requête. Qu'une exigence. Je veux qu'il vienne me dire au revoir. Qu'il me serre dans ses bras une dernière fois, et qu'il m'explique.
* * *
L'enterrement finit, je me rendis à l'appartement. Bien que je n'y fus pas restée longtemps, la vague impression que ce lieu me manquera me submergea.
En fermant ma dernière valise, je sentis les vibrations de mon téléphone dans ma poche. Je décrocha.
- « Allo ? »
- « Salut Tess, c'est moi. Ça va, l'enterrement s'est bien passé ? »
Je reconnus facilement la voix de Marc. Et bizarrement, sa façon de prononcer le mot « enterrement » me déclencha des frissons.
- « Salut Marc, ça me fais si plaisir que tu m'aies appelé ! ! Comment un enterrement peut bien se passer ? Il était aussi rapide que les deux derniers. »
Mon ton désinvolte de cette dernière phrase me choqua. Je regrettai aussitôt de l'avoir dite.
- « Je suis désolé, encore et encore une fois. Pourras-tu passer me voir, ce soir ou demain ? »
- « Je ne pense pas, non. Il me reste de nombreuses choses à ranger dans l'appartement et je rends les clés dans un heure. Et le pire dans tout ça, c'est que j'ai obligation de me rendre tout de suite à l'adresse du pensionnat. »
-« En parlant du pensionnat... Alice a eu un incident.
- « Quoi ?! »
- Ecoute Tess, elle va bien. Elle chahutait avec un autre élève devant le lycée et elle est tombée dans le lac. La glace s'est brisée sous l'impact et Alice s'en ai sortit avec une fracture au poignet et une hypothermie. Voilà la version des faits. Elle est internée à l'hôpital de Swordense et ne sortira pas avant ce soir. Je suis passée la voir. Pour lui faire de la compagnie, s'empressa-t-il d'ajouter.
- Elle a vraiment eu de la chance de s'en sortir... Merci Marc, j'essaierai de l'appeler ce soir.
- J'ai un message pour toi, dit mon ami d'un ton très animé, sous l'accord de son majordome, elle a réussit à te faire interner...chez elle ! Les autorités sont d'accord et t'appelleront sûrement bientôt pour te demander ton avis !
- J'y crois pas, je ne vais pas au pensionnat ! Je suis désolée, je n'arrive pas à paraître aussi contente que je le devrai, j'ai des millions de choses en tête et je n'ai pas encore digéré la mort de mon père.
- C'est normal, ce qui t'ai arrivée n'est pas facile, et justement, c'est pour ça que je veux qu'on se voie. Et même en dehors des cours, je veux réussir à te redonner le moral, le sourire, tel un vrai gentleman.
Il me dit ça d'un ton tellement taquin que j'en souris presque. Comme Alice, Marc me manquait, et pas qu'un peu!
- Je te laisse, Tess. A cause de moi, tu vas rater l'appel des autorités !
- Je te promets qu'on se voit bientôt. Marc ? Merci d'être là pour moi, vraiment.
Je raccrocha. En effet, je reçus leur coup de téléphone cinq minutes après. Et voilà, j'habite désormais chez Alice Cooper, jusqu'à ma majorité.
Allumant soudainement l'ordinateur encore branché, je consulta rapidement ma boite mail.
J'avais reçu un mail, d'une adresse inconnu, datant de mon retour à Édimbourg, mais que je n'avais pas vu lors de ma dernière co.nnexion. Il ne comportait qu'une simple phrase, écrite en anglais. Une si petite phrase, une si petite question, mais qui me perturbait et me faisait si peur...
« Do you want to ship the Past? »
« Es-tu prête à réinv.enter le passé ? »
Je ne sais toujours pas pourquoi j'avais répondu à ce message, mais ma réponse fut rapide et certaine : « Oui. » Bien sûr que j'aimerai changer le passé. Mon passé.
* * *
Le propriétaire venait d'arriver. Il fit une rapide constatation des lieux et me rendit la caution. Il me parla beaucoup et me déclara ses condoléances. Il descendit les escaliers en premier. Je devais le suivre, pour quitter enfin définitivement cette immeuble mais je ne le pouvais pas. Durant tout cet entretien, quel que chose m'avait perturbé. Ou plutôt quelqu'un.
Je sentais une présence. Je ne la voyais pas. Mais elle me hantait. Je ne saurais identifier laquelle, mais je la connaissait. Et même très bien.
Mais ce moment, je ne souhaitais qu'une seule et importante personne.
Alors, d'une toute petite voix, d'une voix enfantine, je risquais :
- Papa ? #Nina
Thirteenth Chapter :
Bonus:
The day and the night
PDV de Kieran
Janvier 2008
Aujourd'hui il neige.
Aujourd'hui papa est partit.
Aujourd'hui j'ai vu maman pleurer pour la première fois.
Aujourd'hui Alvin à changé d'école.
Et pour la première fois aujourd'hui Tyler ma crié dessus...
J'aimerais revenir dans le temps pour retrouver mon papa, comme ça maman ne pleurera plus et je pourrais jouer avec Tyler et Alvin dans la neige.
PDV de Tyler
Mars 2008
Maman ne sort plus de sa chambre, nous avons dépensé le peu d'argent que papa nous avait laissé pour nous nourrir, nous n'avons plus rien.
Il y a quelques jours j'ai désincris Kieran de son club de basket, on ne pouvait plus payer, je crois qu'il ne me pardonnera jamais, il ne m'a pas adressé la parole depuis. On a beau avoir 1 an et demi de différence, il est resté un enfant, après tout il a seulement 11 ans.
J'ai commencé à travailler comme apprentit chez le boucher et le garagiste, à côté je fais jardinier et babysitter, je ne vais plus à mon collège. Je dois nourrir ma famille.
* * *
( Alice )
Les jours s'enchaînaient, Tess avait emménagée chez moi et s'entendait étrangement bien avec mon frère, elle était passé me voir à l'hôpital avant que je n'en sorte. D'ailleurs je n'avait toujours pas eu l'occasion de remercier le garçon qui m'a sortit de là, certe il m'a broyé le bras au self et c'est un peu de sa faute si je suis tombé dans le lac gelée mais il a plongé dans ce lac. Sans ça je serais morte.
Bref, pour en revenir à mes nouveaux colocataires, on est un peu serrés dans mon petit studio, Tess dort dans ma chambre sur un lit qu'Andrew a installé (un peu obligé par moi) et Andrew dort sur le canapé.
D'ailleurs, Tess dort justement à côté de moi, c'est une vrai marmotte, elle ne se lève que quant on l'appelle à manger. Je pense qu'elle se remet doucement de la mort de son père, elle ne le montre pas mais elle est toujours en état de choque.
Mon regard fit le tour de la pièce et se stoppa sur mon ordinateur portable. Je partie faire un tour sur mes mails. Je virais le pubs jusqu'à ce que un message attire mon attention. Je l'ouvris, une phrase s'afficha. Juste une.
"Are you ready to make the past re-appear?"
"Es-tu prète à faire ressurgir le passé?"
C'était juste une stupide pub, dans quelques secondes il me redirigera surement vers un site de voyance.
...
Rien, cette phrase restait affichée et commençait à m'obsédé.
C'est juste une pub...
Je devrais la jeter...
Oui je devrais...
Pourtant je ne le fis pas.
Je tapis à toute vitesse un message.
"Qui êtes-vous?"
L'expéditeur me répondit de suite.
"Des réponses."
"Je n'ai pas besoin de réponses."
"Ah oui Alice? Alors dis-moi pourquoi ton frère est revenu après des années de silence? Ou pourquoi as-tu ces visions. N'ai pas peur je vais t'éclairer quand l'heure sera venue."
Je quittais immédiatement.
Jamais de ma vie je ne m'étais sentie aussi perdu.
***
La semaine s'écoula plus ou moins rapidement, rien de spécial n'était arriver et le jeudi finit par arriver, en arrivant au Lycée on nous annonça une grande nouvelle, un concour de chant allait avoir lieu dans 2 mois, tout le monde semblait exité, je lançai imédiatement un regard à Tess qui, j'avais crus comprendre, chantait et jouait du piano. Bizarrement elle n'avait pas l'air si emballé.
La journée passa vite et je profitais du retour jusqu'à la maison pour aborder le sujet.
-Tu vas t'inscrire?
-Où?
-A ton avis.
-Non...
-Pourquoi? Tu ne chantes pas?
-Si mais... J'ai jamais eu très confiance en moi, j'ai peur de la réaction des gens et de la scène.
-Tu t'inquiète trop.
Elle me fit un sourire moqueur.
-Et c'est l'hyper timide qui dit ça?
Je lui rendit son sourire.
-Dit Alice pourquoi tu es si réservé? Je veux dire, maintenant que je te connais un peu mieux tu es plutôt bavarde.
-Euh... Et bien je ne sais pas trop...
Elle ne dit rien pendant quelques secondes et finit par reprendre.
-Au faite, les travaux géneraux commence demain. Je suis encore désolé pour ce qui est arrivé.
-Non ce n'est pas de ta faute, je ne t'en veux pas.
Nous continuâmes de parler de tout et de rien jusqu'à la maison, elle rentra la première. Une légère brise me semblant presque iréel souleva une mèche de mes cheveux. Instinctivement je me retournai, sur le trottoir d'en face ce tenait un garçon. Il devait avoir à peu près l'âge de mon frère, une carrure moyenne, des cheveux châtain clair et des yeux verts m'étant familier. Oui vraiment, il me rappelait quelqu'un avec ses pomettes sayantes et ses yeux rieurs.
-Qu'est-ce que tu fais Alice? Tu viens?
Je tournais vers Tess qui me regardait les sourcils froncés.
-Oui j'arrive.
Je rentrais en jetant un dernier regarde en arrière.
Le garçon avait disparut.
Je sombrais
Je devais être agée de 5 ans. J'était avec Nonna (NDA: Nonna veut dire grand-mère en italien, Alice a des origine italienne du côté de sa mère.) et Andrew. C'était les vacances et comme d'habitude je les passait chez ma grand-mère. Ca reste mes plus beau souvenirs d'enfance, Nonna était vraiment très aimante avec Andy et moi et nous étions bien plus proche d'elle que de nos parents. Elle vivait très modestement dans une petite ferme où elle élevait des lapins.
Mon moment préféré de la journée était quand on se rendait au petit marché.
Pourquoi est-ce que ce n'est pas comme ça avec papa et maman? Quand j'avais demandé ça à Nonna elle m'avait dit que l'argent était le pire des vices, je lui avais alors demandé ce que cela voulait dire elle m'a simplement répondu que je comprendrais en grandissant et je lui avait dit en faisant la moue que je ne voulais pas grandir que je voulais rester ici avec elle et Andrew pour toujours.
Elle avait soupiré et eu l'air soudainement très nostalgique, ce fut la première et la dernière fois que Nonna me parut aussi vieille.
Andrew avait disparu et nous commençions à nous inquiéter. Finalement quelques mètres plus j'aperçut sa touffe brune, il rigolait avec un autre petit garçon châtain aux yeux verts. Nonna appela Andrew qui fit un signe de la main à son ami et revint vers nous. Mon frère réussissait toujours facilement à se faire des amis. Le petit garçon retourna sa famille composé des parents, de lui et d'une petite fille devait être sa soeur, ils paraissaient tous tellement heureux qu'un nouveau sentiment germa en moi la jalousie.
Voyant que je les regardait la petite fille se tourna vers moi.
Son visage était flou, quelque chose me disait que je devais voir sa figure mais plus j'essayais plus tout devenais trouble.
Je revenais au réel.
C'était les rares moments heureux de ma vies, les moments isolées, loin des négociations et des voyages...
C'était mon paradis...
Je me pensais invincible...
Je la pensais invincible...
J'avais tort...
Ce paradis à éclaté 8 ans après...
Lorsqu'elle est morte...
Nonna...
***
Nous voilà vendredi soir. Nous sommes 6 aux travaux généraux, moi, Tess, Marc, le binome chelou de Marc, il y a égalment, à ma plus grande surprise, Tyler et le garçon avec qui Tyler s'enguelait au self, celui qui m'a broyé le bras, celui à cause de qui j'étais tombé dans le lac... mais aussi celui qui avait plongé. Je lui devait la vie.
On nous expliqua que nous auront à chaque fois un nombre de classes différentes à laver et que nous partirions une fois qu'elles seront propre.
Aujourd'hui nous en avions trois, la 822, 828 et 814. Une seuls tout les six Marc prit la parole.
-Bien, on cas faire ça par deux. Tyler et Kieran vous vous mettez ensemble puisque vous êtes frère?
Il disais ça en direction du garçon que je devais remercier. Alors il s'appelait Kieran et était le frère de Tyler, c'est vrai qu'ils se ressemblaient beaucoup.
-Non.
S'était Kieran qui avait répondu, il avait dit ça sur un ton el qui laissait penser que la question ne se posait même pas. Marc sembla un peu déstabilisé.
-Euh... alors ça te va d'aller avec Loïc?
Il haussa les épaules comme réponse. Ca doit être le jour des nouvelles, le binome chelou de Marc s'appelle alors Loïc?
-Bien vous n'avez qu'à vous occuper de la 822.
Ils partirent et se tourna vers moi en souriant.
-Alice ça ne te dérange pas de te mettre avec Tyler?
Je lui rendit un peu timidement son sourire.
-Comme tu veux.
-Alors vous vous occuperez de la 828.
Je partis avec Tyler en direction de la salle. Je ne savais pas trop quoi lui dire alors je lui demandai au hasard maladroitement.
-Euh... Pourquoi est-ce que tu es là toi?
Il sourit légerment en continuant de regarder droit devant lui.
-J'ai trop séché les cours. J'imagine que tu es là à cause de vos prouesses à toi et Tess?
Je me mis instentanément à rougir.
-Oui...
Nouveau blanc.
-Hum... Je ne t'ai toujours pas remercié.
-Pour quoi?
-Le... le soir où je me suis... coupé le poignet sur mon toit...
Il fronça les sourcils.
-Ce n'est pas moi qui t'ai trouvé.
-Mais... Ta mère ma dit que...
-C'était mon frère.
-Oh... hum... je...
Je ne me suis jamais sentit aussi gené. En voyant ma tête, il se mit à rire.
-Pourquoi tu es toujours comme ça avec les gens? Aussi... stressé?
Décidement ils s'étaient tous passé le mot... Je répondit en faisant la moue
-Je sais pas...
Il se remit à rire.
-Arrête de te moquer de moi!
Ce qui ne fit que emplifier son rire et après quelques secondes je me mit à rire avec lui. On était deux mongoles qui riait aux éclats sans aucune raison...
-Hum... hum... Excusez-moi de vous déranger mais on a tous finit à part vous.
S'était Kieran, il se tenait dans l'encadrement de la porte et nous regardait les bras croisés.
-On a terminé.
Tyler sortit sans un regard à son frère. Kieran me regarda une seconde puis s'appreta à suivre son frère.
-Attend!
Il se retourna et leva un sourcil.
-Mmmh?
C'était le moment ou jamais.
-Euh... je... je... Merci pour les soir sur mon toit et quand je suis tombée dans le lac...
Il haussa les épaules et partit me laissant seule dans la classe 828.
***
Tess ne m'avait pas attendu et je me retrouvais à rentrer seule. Alors assit sur un banc je le revu, le garçon aux yeux verts. J'hésitais longuement et finis par prendre mon courage à deux mains.
-Mmmh... Excuse-moi, est-ce qu'on se connait.
Il leva les yeux amusé vers moi et dit.
-Non, je ne pense pas qu'on est été présenté Alice...
...Mon nom est Jens.
* * *
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