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Read all the com'z

ahriche has 10 goodness points.

ahriche
مستوى
69
Lawyer
Flash

~~~~~~~Toute copie de mes textes est interdite.~~~~~~~~~

 

[♥~Ahriche~ ]

Ecrire c'est crier en silence, j'aime écrire, j'ai besoin d'écrire. 

Je suis née la nuit, et sincèrement, je comprend pourquoi.

Y a des jours où on aurait aimé ne jamais se réveiller.

Si je n'rêve pas, je meurs.  Parce que la vie elle te tue, elle te fait mal, lentement et avec le sourire.

♣_____________________________________

 

Max Richter, John Lennon, Coeur de pirate, codplay, G.O.T, London Grammar, Ludovico Einaudi.

 merci pour toutes ces beautés de la musique que vous avez crée.

" Il y'a des pays, où les gens au creux des lits font des rêves...

Ici nous vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève."

-

FlyDivenireMonday

Piano piano.

 A mes yeux, la musique est la 8ème merveille du monde. Je ne suis pas la seule à avoir besoin d'elle pour vivre.

La terre est ronde, et la terre tourne. Comme un morceau qu'on écoute en boucle.

La terre est ronde, et la terre tourne. Comme nos tête à tous.

...Hum. ...

Certains disent que dieu, c'est l'amour.

 


♣_____________________________________ 

 Toujours besoin de se sentir en concurrence, de se sentir "différent" mais d'entrer un peu dans la masse en même temps. Réflechissez, changez de discour " Je suis différente, moi je suis pas une faux-c.ul...blabla". mer.de ! Quelle génération pourrie, je suis tellement dégoutée.

 Bande de co.ns.

♣_____________________________________ 

 << Je me suis retrouvé vivant dans la baraque, épuisé, essouflé, la tête vide, ayant à peine réussi à penser qu'il me fallait fuir tant j'avais été contraint de rester aux aguets pour sauver ma vie. J'avais vue les haut barbelés, et au-delà un fossé remplie encore de barbelés et une autre barrière de barbelés et un chemin de ronde et un espace plat de plusieurs mètres fermé lui aussi, par des barbelés. Des miradors, tous les deux cents mètres, surveillaient ce mur de fer infranchissable. Par-là, la fuite était impossible.

 Il restait la fuite par la mort. Cette nuit-là encore, dans la baraque, des hommes se sont pendus. Quand j'ai entendue pour la troisième fois un homme tirer la caisse qui allait lui servir à mourir, j'ai bondi, le prenant aux épaules, le secouant:

- Mais c'est notre mort qu'ils veulent.

 Je criai d'une voix sourde:

 -Si nous mourons tous, nous, comment ferons-nous ?

-Faire quoi ? Crever de leurs mains ?

 Et il m'a poussé. Je suis allé m'allonger, écoutant cet insupportable bruit de caisse qui se renverse et le choc du corps qui se tend et ce râle. Puis c'était le silence. Se suicider était une révolte, mais celle des vaincus. Il faut vivre, Miétek. Vivre pour crier, dire, se venger. Pour que les tiens revivent par toi.

Et le matin ce fu l'appel, à nouveau. Le discour de Lalka: " Vous êtes moins que les chiens et moins que la terre, vous êtes la vermine." Et nous courbions la tête. Ils nous avaient arraché les nôtres, ils nous forçaient à les pousser sur le quai, à leur enlever les vêtements, parfois nous croisions un regard pareil à celui de nôtre mère et nous détournions les yeux: n'étions-nous pas vraiment une vermine, comme le disait Lalka ?

 Et j'ai recommencé à courir, la tête rentrée dans les épaules: si nous acceptions de mourir Lalka avait raison. Donc Martin, tu vas vivre. J'ai couru et le temps s'est effacé. Combien de jours ? Combien de trains ? Tout ces visages, hommes, femmes, enfants, leurs gestes de noyés, le biscuit avalé et qui arrache la gorge mais remplit l'estomac. Les tas de vêtements. Et, chaque soirs, ces quelques heures où je me répétais:" Il faut fuir ." Ces luttes dans la nuit pour empêcher les suicides et puis au matin un homme que j'avais empêché de mourir qui partait, entre deus Ukrainiens, pour le Lazaret. (...)

 Et la nuit venait, la vague de désespoir qui montait avec la faim et l'épuisement, leurs visages qui surgissaient, mère dont j'avais aperçu dans la colonne les cheveux gris, mes frères. Et je n'avais rien pu pour eux, pour toi,  Rivka . Et la vague m'entrainait et il fallait lutter contre elle, contre ceux qui allaient, entrainés par son courant, vers la mort volontaire.

 Je me battais contre cette vague noire qui emporte la raison et je n'avais qu'un moyen, répéter ces mots: vivre, vivre au nom de tous les miens, vivre pour me venger et pour dire au monde Treblinka c'est la mort.>>

 Au nom de tout les miens, p.143-144, Martin Gray.

Cet homme est mon héro, cet homme est un héro. Parce qu'il n'a jamais eu de chance dans sa vie, et qu'il à tout perdu, jusqu'au bout. Pourtant, il ne s'est jamais mit à genoux. Il vit, encore, et toujours.

Au nom de tout les siens.

♣_____________________________________ 

J'ai vue. J'ai réflechie. J'ai compris. J'ai grandie.

 Je crois que ça se passait au cinéma, en tout cas l'éclairage était faible et je pouvais distinguer quelques têtes qui dépassaient de sièges devant moi.

Un garçon souriant me prenait dans ses bras, j'avais l'impression qu'on venait de rire ensemble, j'ignore pour quelle raison, on oublie beaucoup de passages dans ses rêves.

 Et...comment vous e.xpliquer à quel point j'étais bien, il  me serrait contre lui et je faisait de même, pausant ma tête sur son épaule musclée. Vraiment, il me tenait chaud et j'avais ce sentiment de sérénité...comme si ma place avait toujours été là.

 Je ressentait ces milliards de papillons dans mon ventre, ses frissons, et je craignais qu'il me lâche, comme s'il allait disparaitre à jamais.

 Et il m'a lâché. Le garçon ne m'a plus adressé un regard, il a entouré les épaules d'une autres filles en plaisantant déjà avec elle.

 Alors j'ai sentie ma respiration se figer, ce déchirement silencieux et douloureux, je le regardait sans comprendre pourquoi je me retrouvais soudainement si seule.

 Mon dieu, je l'aime à la folie, je donnerais déjà ma vie pour lui. C'est l'homme de ma vie, non ?

Je commençais à réaliser qu'il m'avait complètement oublié, que rien n'avait compté pour lui, alors que pour moi...je crois que je l'aimais comme une folle.

 Et c'est au moment où mon coeur se brise en mille morceaux que je me réveille, alors je le cherche un peu partout, la sensation de ses bras autour de moi toujours présente. Je le cherche déséspérement. Mais je suis seule dans mon grand lit, il n'y a personne.

 J'ai envie de pleurer, tellement fort...de hurler parce qu'il me manque déjà...mais il est si loin !  Je referme mes yeux dans l'espoir de retourner dans ce rêve, de le revoir encore une fois, de me jeter à son cou et de lui dire combien je l'aime.

 Non vraiment, impossible de me rendormir. Impossible de le retrouver. Impossible.

Ce n'était qu'un rêve, et j'ai tellement cette impression qu'il est prémonitoire...mon dieu, j'ai peur d'aimer .

 

Mes rêves me tuent. Ils sont parfois si beaux que la réalité me déçois. J'ai envie de mettre fin à tout, tellement ça me rend triste. Tellement, tellement triste.

 Le sommeil est un cousin de la mort, comme on dit. Alors quand je dors, je souhaite toujours m'évader dans des rêves étranges. Pour vivre enfin des choses incroyables.

♣_____________________________________

 J'ai beau ne pas aimer la nature humaine, ce sont les gens qui m'entourent qui crée mon bonheur. Que seraient mes journées sans eux ? Oh, pas grand chose. Pour un simple sourire, un bonjour ou une plaisanterie, un geste amical, un compliment ou une preuve d'amour sous-entendue,  Merci.

Thibault.Maxime.Jade.Elisa.Jeanne.Eugénie.Emeline.Salomé.Tom.Marie.Noémie.Amélia.Suzy.Amélie...

 

 N-Y-Y-G

Et encore tant d'autres.

♣_____________________________________

Il me manque quelque chose.

 Je n'arrive pas à être heureuse longtemps, mon moral retombe toujours au bout d'un petit moment. Souvent quand je suis seule. Souvent j'ai l'impression qu'on m'a enlevé quelque chose, qu'il y a un petit vide dans mon coeur qui m'empêche d'être toujours sereine. Je crois qu'il me faut énormément de temps pour me remettre du fléau de la mort.

 Mon oie. Cette animale aux plumes blanches qui l'espace d'une semaine est tout devenue pour moi, plus qu'une amie. Et puis elle m'a laissé.

 Elle est le symbol de l'espoir brisé, parce que j'ai cru en elle, j'ai finie par croire qu'elle allait s'en sortir.

 Tant d'espoir broyé en quelques secondes, en des milliers de larmes, la nuit, seule dans mon lit.

 Je sais pas, peut-être que c'est normal à l'adolescence d'être comme ça. J'en sais rien, je regarde simplement mes amis, eux ils sourient toujours. Alors soient ils sont anormaux, soit le problème vient de moi. Je crois que c'est plutôt ça.

 Mon dieu, faîte que ça s'arrête.

♣_____________________________________ 

 

/Un truc dont on se fiche/ 

 

Je suis une fan de séries, c'est juste l'un de mes passe temps favoris.

 Fringe, Lost, Les revenants, Leftovers, Game Of Thrones, Hélix.

...

/Une phrase hors sujet/

Le seul moyen de sortir un peuple de sa pauvreté, c'est l'instruction.

♣_____________________________________ 

(...)

<<- Je ne veux sortir avec personne...

- Mais...alors c'était quoi ces regards...je croyais que tu m'...

- Je ne veux sortir avec  personne ne veut pas dire que j'aime personne.

- Alors...euh tu...tu m'aimes mais tu ne veux pas qu'on soient ensemble ?

- Ecoute...je sais que c'est bizarre, mais je crois que je suis encore trop fragile, je ne suis pas prête à souffrir, et l'amour c'est la souffrance. Je...comment t'expliquer...

-Je ne te ferais pas souffrir, je t'en supplie...

-/pensées/ S'il te plait, nombreux sont ceux qui se promettent ça, vois comme ça finit...Tu sais, je t'aime. Comme une folle et je ne pense qu'à toi chaque secondes de ma vie. Te voir près d'une autre me rend folle, simplement te voir rire ou parler avec elle me met dans des états...je crève de jalousie. Je t'aime, comme une folle tu ne peux pas l'imaginer. Je te donnerais ma vie, tu est présent dans mes rêves, dans ma tête, partout autour de moi. Je me lève et je pense à toi, je me couche et je pense à toi. Toi et toujours toi, ça me crève le coeur, ça me brise d'être loin de toi, mais je ne veux pas prendre le risque de te perdre après avoir enfin fait de toi ma propriété. Comprend-moi...je t'en  supplie, n'oublie pas tout ça...je t'aime, comme une folle. Comme une folle. Je ne pense qu'à toi. Toi et encore toi. C'est...mon dieu j'ai l'impression de me noyer dans l'amour que j'ai pour toi, je t'aime trop pour...penser à autre chose, je suffoque je...je t'aime. Comprend-moi, j'ai peur. Je n'arrive pas à t'éloigner de moi, je n'arrive pas  t'oublier l'espace d'un instant, ma tête déborde de toi, je vais finir par exploser. Je ne peux pas, je ne peux plus. Mon ventre se noue, ma gorge s'assèche chaque fois que tu es trop loin, j'aimerais mourrir dans tes bras. Je suis folle, folle de toi. Je t'en prie, comprend-moi....Ma vie t'appartiens, ma vie est pour toi, ma vie je te la dédie déjà, c'est déjà trop...je ne sais plus quoi faire, je ne sais plus. Je t'aime trop, trop. Ma tête déborde. Mon dieu, elle déborde. De toi et encore de toi. Je meurs de toi, je meurs pour toi, mais je meurs lentement...et ça fait tellement mal, tu sais. C'est si dur. Tu entends comme je t'aime ? Mon coeur subit une séance de torture éternelle, ça ne cesse jamais et je brule à l'intérieur, tout en me noyant dans mon amour débordant. Tes yeux...quand ils croisent les miens c'est les battements de mon coeur qui cessent, c'est mes membres qui se figent...et quand tes lèvres frôle les miennes ma tête me tourne, je crois vraiment que je vais tomber. Mourrir sur place, devant toi, pour toi. Tes lèvres...mon dieu comme je les aimes, elles sont parfaites et je ne veux pas connaitre leurs gout, de peur de ne plus m'en passer...et ça fait mal, de résiter. Je hurle en silence dès que je te voie, mon coeur dégringole après m'avoir déchiré la poitrine pour sortir. Mes jambes sont cotonneuses, elles manquent de me lâcher à chaque seconde,  je dépérit, je meurs lentement, en silence. Mon dieu je t'ai dis tout cela, enfin. Je t'aime ! et mon dieu ça me tue, ça me découpe en des millions de morceaux. Le vent peu m'emporter, c'est toujours vers toi que j'irais, malgrè moi. Je l'avoue, tu me rend faible, tu me rend vulnérable, tu me rend malade, folle, jalouse, triste, amoureuse. Comprend-moi, cesse de me détruire avec ces regard enflammés, arrête ! Ne bouge plus tes lèvres si près des miennes, ça me rend folle, ça ravive mon coeur pour le détruire encore mieux. Ne prend plus mes mains, ne les caresses plus avec cette douceur qui t'es propre, épargne moi cette douleur quand je sens ta chaleur près de la mienne puis que tu t'éloigne. C'est soit je vie toujours avec toi, soit je ne vie pas. Je t'aime, trop, trop, tellement trop...Et je souffre tout autant. Comprend-le, comprend-moi, je déborde, bientôt j'e.xplose...et ton regard me manque déjà. Je t'aime, tu sais. Je ne veux plus, mais c'est malgrè moi.

Je...je meurs de toi.

/paroles/...Je...ne...peux pas.>>

[Cette histoire n'est pas la mienne, j'avais juste envie d'écrire ce qu'un jour j'aimerais ressentir pour quelqu'un. Quite à souffrir. C'est beau.]

Qu'es ce que je fais là ?

♣_____________________________________

Vivre c'est mourrir.

Aimer c'est souffrir.

La vie est bien faîte,

Les hommes sont des bêtes.

Ils modifient tout,

 Ils détruisent tout,

 Ils refont le monde à leur façon,

Mais la nature se défend,

Ils mordent tous à l'hameçon,

 Ce que tu brise la nature te le rend.

 L'homme est éphémère,

 La vie éternelle,

L'homme détruit sa mère,

 Il la tue tel un criminel.

♣_____________________________________

C'est tellement le bordel dans mon Qsj...comme dans ma tête, comme ma chambre, mon bureau, tout ce qui m'appartient et un vraie bazard.

God save the Queen   ( mais qu'es ce qu'on s'en fou de la reine, hein ?) my heart, please !

 

Vous êtes tous pitoyable. Prouvez-moi le contraire, pitié, j'ai peur.

جيل جنس مدينة دول
24 سنة إمرأة La mme que mon frre. فرنسا
النجم المفضل الموسيقى المفضلة الفيلم المفضل الوجبة المفضلة
♥ Mon pre. ♥ Max Richter/London Grammar ♥ Chaque pisodes de Leftovers ♥ J'aime tout.
اللون المفضل ألعمل الذي احلم به برنامج التلفزيون المفضل ألهواية المفضلة
♥ Bleu barbeau- Gris ♥ dans la mdecine ♥ On s'en fou. ♥ T'envoyer ch.ier.


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