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cassie-ainsworth
Nn arrête de m'en###yer des dm g 10 ans
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cassie-ainsworth
Et moi donc :333
27/07/2025 15:57:58
cassie-ainsworth
Moi ou ma créature qui ressemble...
27/07/2025 15:44:59
jchinalove4
+2 ton texte dans le QSJ est incroyable, wow
27/07/2025 15:21:11

Read all the com'z

love-de-toi-34 has 11 goodness points.

love-de-toi-34
مستوى
4
عارضة أزياء عالمية (rang 3)
Flash

Pseudo à la con. 

Je test Movie star planet 2 -> add me : _Rezz


 

Votre plus beau cauchemar est de retour.  ♡


 


 

🌹 Moi c’est N 🌹

Surnom court, effet long-courrier. Mon âge ? Entre “j’ai connu MSN” et “j’ai toujours pas compris TikTok”. Vieille ? Non. Mature, comme un bon vin… qui a trempé dans le mojito. Sereine ? Je suis un volcan en string léopard : imprévisible, bruyante, mais toujours chaude.

Mon cerveau ? Un mixeur sans couvercle, avec des paillettes, du rhum, des pensées pas très catholiques et un hamster sous amphètes qui court en boucle. Résultat ? Ça déborde, ça colle, ça met le feu mais avec le sourire.

J’ai pas une passion, j’ai mille lubies. Je suis polyamoureuse de la curiosité : je flirte avec la cuisine, je couche avec la musique, je fais des galipettes avec la philo, et je pense sérieusement à me fiancer avec la cafetière.

Tu veux une image ? Imagine une licorne sh.ootée au Redbull, qui twerke en nuisette rose, avec une Gameboy dans une main et un godemichet dans l’autre. Voilà. C’est moi.

Je suis une experte du clash affectueux : je te roast comme un poulet mais je te câline juste après. Je te balance une punchline, puis je te caresse l’égo pendant que tu fais semblant de pas kiffer.

Quand je suis de bonne humeur, c’est festival. Quand je suis vénère ? Je disparais. Pas de drama, pas de scènes. T'es pas mon psy, je suis ta comédie romantique avec option club échangiste.

Côté musique, j’ai la playlist d’un dépressif hyperactif sous MDMA. Je twerke sur du dancehall, je pleure sur du Aznavour, je gueule de la K-pop avec l’intensité d’un exorcisme, et je finis en air guitar dans la cuisine. Le tout en pyjama nounours.

Et ouais, j’ai déjà fait un strip-tease dans un costume de cochon rose XXL. Le se.xy, c’est dans l’attitude, pas dans les fringues. Et j’ai une sacrée attitude… surtout quand j’ai oublié de porter une culotte.

Y’a deux jours, j’ai fini chez le perceur. 4 nouveaux piercings, 0 regrets. Et j’ai failli me tatouer un Monster Munch sur la fesse. Pourquoi ? Parce que j’écoute mon cul plus que ma raison.

Mes potes disent que je suis chiante… mais addictive comme les chips à 3h du mat. Je te saoule, puis je te fais rire. Je te lâche des conseils de sage pendant que je fais un doigt d’honneur à mon ex en FaceTime.

En soirée ? Trois verres, et je suis en roue libre. Je danse comme si j’étais seule, je chante comme si j’étais sourde, et je fais des câlins comme si on partait à la guerre. Je suis une meuf à vivre, pas à lire.

Excitable ? Clairement. Par un bon beat, une blague salace bien placée, ou une main qui s’attarde une demi-seconde de trop. Je suis une cafétéria d’émotions avec buffet à volonté. Et t’inquiète, je te resserre.

Je parle franglish, je pense avec mes ovaires, je saute du coq à l’âne comme une gymnaste hormonée. Un moment je te parle de mon envie de bai.ser, l’instant d’après je te parle de mon anime préféré.

Otaku dans l’âme, je pleure sur des histoires d’amour de samouraïs en pixels et je fantasme sur des persos fictifs plus que sur mon dernier crush. C’est grave ? Peut-être. Mais c’est kiffant.

Je suis un feu d’artifice sur patins à roulettes, une overdose de vibes, un twerk incontrôlé à 2h du matin, une blague sale suivie d’un câlin sucré. Si t’as jamais ri, dansé, haleté, bu et *** la vie avec moi… t’as loupé un film culte.

 




 

Là tout de suite, j’ai besoin d’un gros câlin. Pas un petit tapotement dans le dos genre “bon courage”, non. Je parle d’un câlin version couverture chauffante humaine. Ensuite, un café bien chaud, celui qui te fait croire pendant 10 minutes que ta vie est sous contrôle. Puis un verre de vin blanc, celui qui goûte les vacances, même si t’es en survêt' devant ton évier plein. Et, soyons honnêtes… un peu de se.xe, parce que l’affection c’est bien, mais l’amour avec option gym, c’est mieux. Bref, un cocktail d’amour, de câlins, de caféine et de vin. Le starter pack du bonheur mental. 

 

 

 


 

 

L'humanité, homme ou femme, c'est une merveille de petitesse. Toujours ce détail qu'ils soignent juste pour qu'on se retourne vers eux, pour qu'on prenne le temps de les plaindre, comme des artistes dans leur misère, ayant trouvé le mot juste, l'ironie bien placée pour qu'on leur accorde un peu d'attention, qu'on les console. Mais dans le fond, jamais ils ne décideront de se redresser eux-mêmes, non. Parce qu'il y a un goût délicieux à pleurer, à être l'objet de cette course effrénée à l'empathie, comme un enfant capricieux, cherchant à appuyer sur ce bouton qui déclenche l'adulation. Et au final, peut-être qu'un "merci" viendra, ou peut-être pas, puisque "merci" est devenu aussi douloureux qu'une agression pour certains, à croire qu'ils souffrent plus d'un mot que de tout le reste. (Bon, je dis ça, mais un petit coup de temps en temps, ça ne ferait de mal à personne...)

La jalousie, ah, la jalousie....ce parfum délicieux, tu sais, celui qu’on reconnaît à des kilomètres. Un parfum qui te séduira d'abord, comme un "Good Girl" de Carolina Herrera, tu t’en délectes, t’as l'impression que tout va bien. Mais au bout d'un moment, elle te rend allergique, tu veux la fuir, tu éternues à chaque goutte d’elle qui se rapproche de toi (parce que, soit dit en passant, j'éternue systématiquement quand quelqu’un porte ce parfum...). Ces petites piques, ces messages subtils, ces sous-entendus, c’est tellement élégant, non ? Ça donne l’impression que la personne en face se sent mieux en te visant, comme une petite dose de confort personnel qu’ils se sont octroyés, une petite victoire sur toi.

Le déni, c’est une arme de choix chez l’humain, particulièrement quand il s’agit de fuir la réalité qui lui crève les yeux. Tu sais, cette magnifique petite danse où l’on fait comme si on ne voyait rien, comme si on ne comprenait rien. Non, mais sérieusement, comment te dire... Un petit mensonge par omission, un sourire faussement candide, et hop, tout est oublié, tout est balayé sous le tapis. C’est tellement plus confortable de prétendre que tout va bien, de nier le besoin qu’on a de manipuler la situation. Parce que tu vois, manipuler, ce n’est jamais avoué, jamais exprimé, c’est tout en finesse, en douceur, un petit jeu où l’on fait semblant de ne pas utiliser les autres comme des pions dans un échiquier. Et au fond, celui qui tombe dans le piège est celui qui aura oublié de se regarder dans le miroir avant de tendre la main.

Et puis, la plaisanterie...Ah, cette bonne vieille plaisanterie qui fait office de couverture pour toutes les mauvaises intentions. "C'était juste une blague", disent-ils, alors que tu sais très bien qu'ils ont fait de toi le bouffon de la scène. Un rire en façade, une blague pour te faire passer pour celui qui ne prend jamais rien au sérieux. Mais au final, c’est toi qui es là, tout souriant, tout complice, pendant qu’on te tord doucement le bras sous la table. C’est mignon, non ? On te fait passer pour le fragile, le comique, le clown qui ne sert qu’à être utilisé comme un échappatoire à la vacuité des autres. Et tout ça, bien sûr, dans l’ironie d'une fausse camaraderie.

Mais, soyons clairs, t’es pas vraiment celui qu’on admire, celui qu’on chérit. T’es là pour servir un rôle. Tu fais l'idiot, tu te prêtes au jeu. Parce qu'au fond, tu sais que ça te sert bien de te laisser mener par le bout du nez. À quoi bon se révolter ? La douce illusion que tu es indispensable te fait tenir, mais tu n’es qu’une petite marionnette qui se plaît à croire qu’on t'apprécie. Et à la fin de la journée, c'est drôle, non ? On t’embrasse, on te serre dans les bras, et au fond, c’est juste un stratagème de plus pour te faire croire que tu es plus qu’un simple outil. (Spoiler : tu ne l'es pas.)

T’inquiète pas, je vois tout. Je ferme les yeux parfois, mais pas parce que je suis naïve juste parce que c’est plus doux de faire semblant. Et ouais, j’ai des sentiments, moi aussi (Mdrrr). Un vrai cœur, pas juste un corps qu’on appelle quand l’ennui frappe ou une langue bonne à servir des vérités que personne n’écoute. J’ai des failles, des envies, des silences qui crient bien plus fort que vos petites blagues. Mais bon...tout ce que je vois en ce moment, c’est grotesque, presque triste. On dirait un mauvais sketch où je joue un rôle que j’ai jamais auditionné pour. Et malgré tout...j'suis là. Va comprendre.

Si vous vous reconnaissez là-dedans, tant pis pour vous. Mais je vous envoie tout mon amour à l'envers bien sûr...۵


N.
 

 

 

Ps: Pour une fois c'est pas un texte sur le cul incrrrrr

 

 

 

 


 

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