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Bonjour, et bienvenue. Je me prénomme Juliette et je suis une grande fan de fiction. J'ai donc décidé, à mon tour, d'en écrire une. Celle-ci, comme beaucoup d'autres, serra sur mes idoles: les one direction. Si cette idée ne te plaît pas tu peux quitter cette page. Bref, je pense consacrer beaucoup de temps à l'écriture de ma fiction. J'aimerais que les gens évitent de critiquer sans même l'avoir lue. Je n'aime pas les critiques du genre: « si c'est sur les one direction, c'est de la mxrde »  ou encore « pas la peine de lire, ça va être nul » ou les choses dans ce genre là. Je suis très sensible à chaque commentaire que vous pourrais me faire, positif ou négatif, et je prendrais soin de répondre à chacun d'eux. Tu pourras t'abonner à ma fiction, si tu le souhaites, en m'envoyant un commentaire ou un message. Il ne me reste plus qu'à te souhaiter bonne lecture.

Lena à 17 ans. Elle est très attaché à sa mère qui est sa meilleure amie depuis toujourzs. Mais lorsque celle-ci meurt d'un accident de voiture, elle voit sa vie basculer. Elle se retrouve donc livrée à elle-même, dans une sorte d'angoisse. Elle va devoir survivre avec ses propres moyens. Mais à 17 ans, on ne peut pas s'engager dans la vie en un claquement de doigt. 

A propos de la fiction:  

Ma fiction sera organisée en plusieurs chapitres de différentes tailles. Les abonnés seront prévenus lorse qu'un chapitre sera posté. Mes dialogues seront organisés en incise. Il y aura seulement le point de vue du personnage principal, et pas des autres personnes de l'histoire. Merci de votre compréhension, j'espère que cette lecture vous plaira. Cordialement 

Chapitre 1 :

    La plus chaude soirée d'été, jusqu'à aujourd'hui en tout cas, tirait à sa fin. Le soleil qui avait tapé toute la journée se couchait enfin, laissant l'Angleterre dans une nuit sombre, mais ne changeant en rien la température exterieur.  La ville de Madinie qui attirait habituellement une forte densité de population, était à présent vide.  Seuls quelques personnes éraient encore dehors dans l'espoir d'attirer une brise inexistante. Chacun persistait pour s'apporter un peu de fraîcheur, durant cette dure soirée d'été.  Quelques femmes s'éventaient à l'aide de feuilles de papier ; mais elles ne réussissaient qu'à apporter de l'air chaud. Quant aux hommes, ils préféraient la température intérieur, et restaient donc cloîtrer dans leur maison, près des ventilateurs. Les  belles voitures des domiciliés de Bown Street avaient perdu toutes claretés et étaient recouvertes, à présent, d'un épais duvet de poussière, ce qui avait produit la fureur du maniaque qui vivait au numéro 86. 

    Lena Parks habitait au 23. La plus petite maison du quartier. Elle en était pourtant très fière, car en effet, c'était la seule habitation qui était restée d'époque. "La plus belle maison de Madinie, avait affirmé sa mère, non sans un petit sourire". Lena, elle, en était en tout cas persuadée. Comme tous les adolescants de Madinie, elle  adorait sa ville, mais non pour les mêmes raisons. Ici, on aimait aller dans les starbucks, au cinéma, faire les magasins, au bowling... Mais Lena se fichait éperduement de tout ça. Ce qu'elle aimait dans sa ville était simplement les ruelles sombres et les coins tranquilles où personne ne pourrait la remarquer. Quand elle était petite, Eline adorait aller jouer au plus grand parc de Madinie. "Le Donut", l'avait surnomée sa mère après avoir remarqué que ce parc se composait d'un grand cercle, avec au centre un lac, qu'elle appelait "le trou". On pouvait sur "le trou" faire de grandes balades en barques. La première fois que Lena était montée sur une de ces barques, elle avait cinq ans, et était alors tombée dans l'eau, quand elle avait vu s'approcher deux grands signes. Elle y était ensuite remontée un très grand nombre de fois dessus. Mais son souvenir le plus cuisant, était lors de son premier rendez-vous amoureux. Tim Stroot l'avait invitée à faire un tour de barque, elle avait 13 ans à l'époque et avait était très stressée par ce rendez-vous. Et lorsque le garçon s'était approché pour l'embrasser, elle avait eu si peur qu'elle avait sauté à l'eau et rejoint la rive à la nage. Elle n'avait ensuite plus osé regarder Tim au collège, par honte ou par crainte.

    Ce jour là, Lena était assise sur une de ces mêmes barques. Trois ans s'était écoulé depuis ce jour mémorable. Cette fois, Lena se trouvait en toute autre compagnie. Charlie Nielson avait absoluement tenu à l'accompagner pour son premier rendez-vous professionnel. Lena et Charlie était meilleurs amis depuis leur naissance. Leur mère respective se connaissaient déjà depuis longtemps. Elles s'étaient rencontrées au lycée et n'avaient jamais perdu contacts par la suite.

    Charlie était aujourd'hui vêtu d'un djean et d'un t-shirt noir. Comme à son habitude, il n'avait pas même envisagé de peigner ses cheveux blond avant de sortir. Ses yeux marrons regardaient avec appui les petites mains de sa protégée. Il souriait. Il saisit le bracelet accroché à son poignet et s'amusa quelques instants avec, sans lâcher Lena des yeux.

      Lena s'était habillé d'une petite robe blanche, qu'elle ne portait seulement lors des grandes occasions. Elle avait laissé ses cheveux blond onduler le long de son dos. Elle avait, en partant, essayé vainement de se maquiller. Mais en voyant le désastre une fois l'operation finit, elle avait tout simplement renoncé à cette étape de la préparation féminine et s'était simplement démaquillée. Lena avait les yeux bleus, bleus comme l'océan. Ils étaient alors plongés dans les profondeurs du trou. Les légères vagues qui se fxrmaient lorsque Charlie donnait un coup de rame sur l'eau, l'appaisait.

    -Celui qui s'endore avec le cul qui gratte...commença Charlie.

    -Se réveille avec le doigt qui pue, finis Lena.

    -Coluche.

    Lena ne retint pas son rire et laissa échapper un long gloussement. Charlie lui souriait, amusé.  Ils avaient beau avoir récité cette phrase un grand nombre de fois, ils ne s'en lassaient jamais.

    -Lena, arrête de t'en faire, soutenait Charlie, je suis sûr que tu as très bien réussi ton entretien. Tu vas être embauchée, j'en suis certain.

    Elle le regarda et lui adressa un sourire timide, ne sachant trop quoi répondre. Ce jour-là Lena avait eu un rendez-vous pour un entretien d'embauche. Elle esperait cette année scolaire, travailler le week-end en tant que serveuse pour gagner un peu d'argent. Elle aurait pu évidement, en demander à sa mère qui lui en aurait donnés avec plaisir. Mais Lena préferait gagner son argent par ses propres moyens. Le patron du bar avait été très gentil avec elle. Mais Lena était tout de même anxieuse. Et elle le serait encore pendant une semaine ;  jusqu'à ce qu'elle reçoive les résultats de son entretien et sache si elle était prise ou pas.

 Au bout de quelques minutes elle lança :

    -Quelle heure est-il ? On devrait peut-être rentrer.

    -Tu as peur du noir ? plaisanta Charlie.

    Elle lui donna un petit coup à l'épaule en souriant bêtement.

    -Il est bientôt dix heure et demi, dit-il finalement, tu as raison, on rentre.

   Il rama jusqu'à la berge. Ils étaient à l'autre bout du lac, et Charlie fut très vite essoufflé.  Il rendit la barque qu'un des hommes du service acosta, et il sortit du connot. Charlie aida Lena à se hisser sur le ponton, en lui tandant la main.

    -Merci, soufla t-elle.

    Le voyage du retour fut paisible. Ils ne parlèrent pas préférant écouter les cris des insectes qui grésillaient dehors. Ils passèrent par les coins tranquilles de Madinie plutôt que de suivre la rue principale qui aurait sûrement était bruillante et pleine de voitures.

    Quelques goûtes de sueur perlait au front de Lena. Elle ne supportait pas la chaleur qu'il avait fait toute la journée. Elle soufla, s'évantant tant bien que mal à l'aide d'une de ses mains. Il fallait qu'elle boive, elle n'en pouvait plus.

    -Il y a une fontaine là-bas, prévint Charlie remarquant son malaise.

    Lena se précipita jusqu'à la fontaine et but de longues gorgées d'eau. Elle la sentait s'écouler dans sa gorge. Ca lui fit un bien fou. Charlie l'avait rejoint et lorsqu'elle eut fini, il se désaltera à son tour grâce à la fontaine. Puis il s'essuya la bouche du revers de sa main, ce que Lena trouva craquant.

    Ils continuairent leur chemin. Il faisait nuit noir. Lena n'avait pas peur, elle n'avait pas eu peur depuis des années. Quant à Charlie, c'est à peine s'il remarquait dans quel monde il était et il se fichait absoluement de quelle heure il était. Les petits pas de Lena s'écrasaient contre les dalles de pierres d'un des vieux quartiers de Madinie. Elle les ragardait avec attention, bien qu'elle n'y voyait rien d'interessant. Charlie et Lena passèrent à travers une ruelle sombre, Baski Drine. Dépourvu de toutes forces physique à cause de la chaleur, Lena accéléra le pas, suivit de Charlie. Elle ne préferait pas traîner dans cette ruelle,  bien qu'elle ne la crégnait pas, il n'était pas très raisonnable de passer là où tous les dealeurs de Madinie voyaient leur client. Et elle savait que si sa mère apprenait qu'elle était passée par cette endroit, Lena se verait réprimandée, ce qu'elle ne souhaitait pas.

    Lena et Charlie arrivèrent enfin sur Bown Street. Ils passèrent devant d'innombrables maisons jusqu'à arriver au numéro 23, la maison de Lena et Aileen, sa mère. La façade était en vieille brique grise rappelant les vieux manoirs. Le jardin était recouvert d'herbe, excepté un petit chemin en pierre qui menait à la porte d'entrée. Charlie et Lena s'arretèrent devant le portail.

    -Je te laisse ici, dit Charlie, on se voit demain.

    -Dit bonjour à Molly de ma part, dit Lena.

    Molly était la mère de Charlie. Elle a toujours veillé sur sa mère et elle.

Lena embrassa son ami sur la joue. Il lui sourit et continua son chemin pour arriver 3 maisons plus loin. Lena le regarda marcher jusqu'à son domicile. Lorsqu'il fut arrivé devant chez lui, il se retourna sur la maison de Lena. Voyant qu'elle était toujours là, il lui fit un signe de la main en lui criant "bonne nuit". Elle lui rendit son salut et s'avança dans l'allée pour rentrer chez elle.

    -Aileen, je suis rentrée, appela Lena une fois dans sa maison.

    Sa mère poussa un soupire mais souria.

    -Quand cesseras-tu de m'appeler Aileen ?

    -Quand tu m'auras acheté un chien, répondit Lena qui depuis toute petite supliait sa mère pour avoir une de ces bêtes, qu'elle chérissait tant.

    -Et bien tu pourras continuer à m'appeler Aileen longtemps, sourit sa mère.

    Lena poussa un soupire, bien qu'elle sache depuis longtemps que jamais sa mère n'accepterait de lui acheter une petite boule de poil. "Ils sont sales" avait été l'excuse de Aileen depuis des années.

    -Alors, ton rendez-vous ? demanda sa mère. 

    -Bien, répondit Lena sans donné plus de détails.

    Voyant que sa mère n'avait pas besoin d'elle, Lena monta dans sa chambre. Elle prit son journal.

    "Papa,

    Aujourd'hui, j'ai eu mon premier entretien pour un emploi. Je pense que ça s'est bien passé, mais je redoute quand même le résultat.

    Maman travaille toujours très dure et je me rend bien compte que je ne fais rien pour l'aider, ça me pèse, à présent. Et malgrès l'énorme travaille qu'elle accomplit chaque jour, elle prend encore le temps de s'occuper de moi. Je lui en serai reconnaissante jusqu'à la fin de ma vie. Heureusement Molly est là pour elle. Maman dit que ça va, mais je sais qu'elle est mal.

    Charlie est toujours là. Il veille sur moi.  Il fait de gros efforts pour ne pas me faire de peine. Et je lui en suis redevable.

    Cela fait bientôt huit ans que tu nous as quittées, maman et moi. J'ai de plus en plus de mal à comprendre ton suicide. Je ne comprend pas pourquoi tu nous as abandonnées. Je ne t'en veux pas tu sais. Ca me fait simplement mal. Est-ce à cause de moi ?

    Tu me manques, papa.

                                               Lena."

    Lena referma son journal et le posa sous son oreiller. Elle écrivait à son père lorsqu'elle le pouvait. Mais surtout lorsqu'elle en avait besoin.

     La jeune fille se déshabilla, s'entoura de sa couhette bien qu'elle eut très chaud. Puis ferma les yeux et s'endormit aussitôt.

    Le lendemain, Lena se réveilla avec une légère boule dans le creu de son ventre. Ses pensées s'attardèrent un instant sur son père. Et finalement, elle rejoignit sa mère dans la cuisine.

    -Bonjour Aileen, lança Lena.

    Elle déposa un rapide baisé sur la joue de sa mère.

    -Bien dormi ? demanda celle-ci.

    Lena hocha la tête pour confirmer, puis elle prit son petit déjeuné.

    -Je vais avec Charlie aujourd'hui, annonça Lena, je ne pense pas manger à la maison à midi.

    -Oui, de toutes façons je ne serai pas là. Je suis avec Molly.

    Lena lança un sourire à sa mère. Puis une fois qu'elle eut fini son petit déjeuner, elle monta se préparrer, et descendit une demi heure plus tard. Elle sortit en trombe de la maison en lançant :

    -J'y vais, je suis en retard.

    Elle courut jusqu'à la maison de Charlie, au numéro 29, et sonna à la porte. Une petite femme l'ouvrit. Elle avait des cheveux sales et une mine fatiguée. Elle portait un pyjama bleu assorti à ses chaussons. Elle affichait tout de même un sourire bienveillant.

    -Bonjour Molly, dit Lena en embrassant la femme sur les deux joues. Charlie est prêt ?

     -On me demande ? rit un garçon qui venait d'apparaître dans l'encadrement de la porte.

    Charlie souriait de ses parfaites dents blanches. Lena lui adressa un signe de la main. Il attrapa celle-ci pour tirer Lena à l'interieur.

    -Tu as faim ? demanda Molly. J'ai des oeufs et du bacon.

    -Oh non merci, j'ai mangé en partant. On y va Charlie.

    Charlie qui était retourné à table pour finir son petit déjeuner, engloutit son toast.

    -Je rentre dans l'après-midi, dit Charlie à sa mère.

    Elle lui répondit par un signe de tête.

   -A ce soir papa, cria Charlie à un homme qui se trouvait à l'étage.

   -Bonne journée Christian, hurla à son tour Lena.

   Ils entendirent le père de Charlie s'exclamer, puis dévaler les escaliers pour venir à leur rencontre. C'était un homme maigre avec peu de cheveux. Ils portaient de petites lunettes, ce qui lui donnait un air charmeur.

    -Bonjour Lena, sourit Christian. Comment vas-tu ?

    -Oh très bien, répondit Lena.

    Elle sourit au brave homme qui se trouvait devant elle.

    -Papa, on doit vraiment y aller, soupira Charlie.

    -Oui excuse moi. Bonne journée à vous deux.

    -A demain, répéta à nouveau Charlie à son père.

    Il hocha la tête. Le père de Charlie était un infirmier. Il travaillait pendant la nuit. C'est pour cela que Charlie et lui n'ont jamais été très proche : ils se voient rarement. Lena trouvait que Christian était l'homme le plus fantastiques du monde, et si elle avait eu un deuxième père, c'est bien cet homme là qu'elle aurait choisi.

     -J'ai une surprise pour toi, dit Charlie à Lena une fois qu'ils furent sortit de la maison.

     Lena le regarda avec une légère expression de surprise dans les yeux.

    -Et qu'est-ce que c'est ? demanda t-elle.

    -Si je te le dis ce ne sera plus une surprise, trancha Charlie.

    -En effet.

     Lena suivit Charlie jusqu'à sa voiture et s’installa sur le siège passager. Elle passa sa main dans ses cheveux et laissa tomber quelques mèches devant son visage. Charlie revint quelques secondes plus tard avec un panier qu'il installa sur la banquette arrière. Puis il s'installa sur le siège conducteur et mit le moteur en marche.

    -Tu as préparé un pique-nxque? demanda Lena indécise.

    -Il y a un problème ? s'enquit Charlie.

    Lena laissa échapper un grognement. Elle n'aimait pas que l'on lui porte de l'attention. Charlie le sait bien, et jamais il ne lui avait fait de surprise, ni organisé de journée toute préparé. D’ailleurs Lena détestait ça, elle préférait aller et se laisser guider. Avoir une idée toute prête en tête lui était insupportable.

    Le trajet ne fut pas long, à peine quelques kilomètres. Charlie gara sa voiture aux abord d'une plage que Lena connaissait bien pour y avoir était un grand nombre de fois dans son enfance en compagnie de son père.

   Lena sortit de la voiture. Et commença à s’avancer sur le chemin qui menait à la plage.

   -Pas par là, dit Charlie.

    Il montra à Lena un sentier qui menait à une forêt. Lena connaissait cette forêt mais n'y avait encore jamais pénétré.

   -Tu es certain que c'est sûr là-bas ? questionna t-elle.

   -Absolument.