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Cela faisait maintenant plus de deux heure que nous etions en route, j'avais la musique dans les oreils et quand ma mère essayé de me parler je me retournais sur mon siege, pour bien lui faire comprendre, que je ne voulais pas lui parler. Je ressus un message.
Discutions sms :
- Coucou ma cherie, c'est Papa. J'éspere que tu vas bien. Je suis désolé de ne pas avoir pu venir te voir avant ton depart. J'ai croisé la mère d'Emylie, qui m'a dit que ce matin tu étais avec tes amis, j'ai donc bien fait de ne pas venir. Tu vas me manquer. Appelle moi des que tu arrives. Bisou. Je t'aime :)
C'est vrai que je n'avais pas vu mon pére. Il allait me manquer certe, je l'appellerais en arrivant je lui avais promis et j'avais aussi promis une photo de la maison à toute la bande, qu'est ce qu'il allait me manquer. Le route était longue, puis on changea d'embraquation, on monta dans un bateau. Quelque heure plutard on y était, on avait repris un taxi pour un vingtaine de minute avant la maison. J'avais une boule dans le ventre, je ne l'avais jamais vu , seul ma mère pour installer des meubles, verifié quelque affaire. Bref, pour les papiers et tous le tralala. Quand je dessendis du taxi j'étais. WAHHHOUUUU. Je n'en revenais pas. Cette maison était immense, elle étais trop belle et se jardin, mamamia ! Immense lui aussi. C'étais grandiose, devant mon aire completement heureux ma mère en profita pour me parler.
- Je savais qu'elle te plairait.
Elle me fis visiter. Ma chambre était tout, tout en haut, elle était WAHOOUU. Il n'y avait rien sur les murs, rien sur le sol juste un lit, trés grand, un lit deux places, un bureaux et des escaliers ma mère me laissa. Je montais et on avait une vu magnfique sur mon jardin. Je pris en photo et l'envoya à Emylie, Nathan et Edwar. Avec comme legende : Imaginez les fêtes qu'on pourrait s'faire x). J'étais contente d'être tombée dans une maison comme ça.
Chapitre 4 ; ♥
Quelque jours étaient déjà passé, moi et Nathan on se téléphonait tous les jours. Cela faisait précisement deux jours que j'y étais, je n'avais pas encore decouvert mon Lycée, j'avais passé ces deux jours à aider ma mère pour l'amènagement et la maison me plaisait bien. Emylie m'avait déjà téléphoné et la premiere chose l'on avait fait c'été compter le nombre de jours avant les vacances où même les week-end de plusieur jours. Aujourd'hui on était Mardi, j'allais allé au Lycée. Je voyais un peu comment c'était mais trés vite fait. Je ne suis pas le genre de fille qui directe vont chercher à se faire remarquer, ou qui des le premiers jours disent à leur mère, j'ai pas besoin de toi, je trouverais ma salle. Non, moi j'ai besoin d'elle car ici je n'ai que elle. J'entendis mon reveille sonnait, et je l'envoyais valcé à travers la piece. Je dessendis lentement les escaliers jusqu'à la cuisine anciene de la maison. Je m'installai à table, mon bol de chocolat chaud et mes tartines étaient déjà prete et chaude, je pensais alors que ma mère ne devait pas être loin, j'entendis une voiture demmarer, je me levais de ma chaise et avant d'ouvrir la porte je vu un postite rose coler sur la porte. Je pense qu'il m'était destiné. " Coucou ma cherie, j'ai un rendez-vous pour le travaille, envoie moi un message pour me dire à qu'elle heure tu finis aujourd'hui je passerais te prendre. Bisou bonne rentré ma puce". Moi qui pensais qu'elle pourrait m'ammener. Je pris mon petit dejeuner et re-montais pour me laver, après dix minute de douche je me rendis compte que j'aurais du aller plus vite car je venais de rater mon bus. Je m'habillai leger, un tee-shirt simple bleu et un slim, je mis ma petit veste en jean, un collier, mes bracelets -je ne dors pas avec-. Je prends mon sac et quelque cahier. Je marche jusqu'au Lycée, de toute façon je serais en retard même en courant alors pourquoi courire ? Pour puer la transpiration avant la premiere heure de cours ? Jamais ! J'arrivais une quinzaine de minute aprés la sonnerie, ce fut le principale qui me reçus, je lui expliquai que j'étais venu un peu plutôt avec ma mére pour m'inscrire.
- Votre nom, s'il vous plaît.
- Lola, Lola Smith !
- Vous devez être en se moment en Histoire/Geographie, avec d'ailleur votre proffesseur principale, je vais vous indiquez votre salle.
-merci.. Murmurais-je.
On traversa un long couloir, monta deux étages et on y était, le proviseur me dit d'atendre dans le couloir, il toqua puis entra, on put entendre les grincements des chaises des éleves qui se levaient pour dire bonjour au directeur.
- Bonjour à tous vous pouvez vous asseoir. Je vais vous presentez Lola Smith qui nous vient d'angleterre, elle est nouvelle dans notre etablissement alors acceuiller là comme il le faut. Merci !
Il s'effaça pour me laisser la possibilité d'entrer. Quand je rentrais en classe, il y avait des gens qui murmurait, puis je vus une fille qui était seul à une table elle se precipita à côté de sa copine devant peu être pour ne pas risquer d'être à côté de moi, je cherchais des yeux une place, mais le proffesseur fut plus rapide et m'indiqua une chaise à côté d'un garçon. Yeux marron, meche rebelle, beau, swagg, bon vous voyez le genre ! Je m'installa à côté de lui, ce premier cours fut plus que ennuyant, j'avais ressus mon emploie du temps alors j'avais courus au toilette pour dire à ma mére que je finissais à 13h car normalement je devais fini à 15h avec deux heure de francais mais la prof n'était pas. Dans mon Lycée on avait droit au portable seulement au refectoir et dans les inters cours ou encore pedant les pauses. Ici on n'y avait pas le droit alors, je me cachai dans les toilettes pour "textoter" avec Emylie.
- Salut.
- Salut, Lola! Alors ton Lycée ?
- Merdique.
- Oooh, cherie.
- Sans vous c'est nul, vous me manquez, en classe c'est mort. Personne ne bouge.
- Dure.
- Oui, bon bsx je te laisse , je t'aime <3 :$
Aprés cette mini convertation avec ma meilleure amie, la sonnerie retentit je me precipitais en cours de musique.
Chapitre 5 ;
J'aimais beaucoup les cours de musique, surtout quand c'était du chant ou un instrument. Je me fofilai dans le rang de ma classe et atendu devant la porte pour que la porf me place mais elle ne sembla même pas me remarquer alors je me mis toute seul au fond. Après quelque minute de cours un garçon entra dans la salle de classe avec un billet de retard. Je n'avais pas vu mais il me devisageait.
- C'ma place !
Je ne savais pas qu'il s'adressait à moi.
- OH !
- Oui ?
- C'ma place !
- Euh...
- Bouge !
- Non, alors, 1 : tu ne me parles pas comme ça ! 2 : regarde juste là il y a une place pour toi.
Je lui montrais le sol du doigt. Tous les éleves qui avait entendu eclatérent de rire, l'autre par contre était rouge. De honte ? ou De rage ? Aucune idée, mais moi ca m'avais fait bien marrer, il s'assit à une autre plaçe et je n'entendis plus parler de lui. Les heures passaient et il était enfin l'heure du dejeuner, je me rangeai dans la fil du self, pris une salade, un steak -sans rien d'autre ni pate ni rien- et un yaourt. Je m'installa sur une petite table isolé, je fini de manger seul. Les rires de Nathan, son sourire le midi quand il me donnait la main tous en mangeant, tous ça ca me manquait enormement. Les cries que poussait Edwar quand il trouvait la nourriture de la cantine pas bonne, trop cuite, ou pas assez. Les chamailleries entre moi et Emylie, nos sortir en ville, leur bonne humeur qu'est ce que ça me manquait. Je quittais la table et je me pris une fille, mon plateaux se renversa sur moi, mon tee-shirt avait une grosse tache de sauce mon verre qui était plein car je n'avais pas bu ce retrouver par terre et toute l'eau elle aussi sur mon tee-shirt. Je rammassai mon verre qui avec chance ne s'était pas cassé. Tous les éleves de la caffeteria se mirent à rire. Je vis... le mec du cours de musique celui que j'avais remballer, il passa un bras autour de la taille de la fille qui venait de me pousser et qui m'avais fait me tacher mon tee-shirt.
- Comme on se retrouve, me dit il.
Je ne savais pas son prenom, alors je m'en allai je deposai mon plateau et partis en vitesse. Je sentis quelqu'un qui m'attraper violament le bras et qui me plaqua contre le mur. C'était EN-CO-RE le mec du cours de musique, en plus de ça il me faisait mal au poignet.
-Lache moi !
- Non, non. Alors comme ça on cherche la merde avec ma copine ?
- Pfft, n'importe quoi, c'est elle, ta ***fe là ! Elle marchait pas droit et elle m'a fonçé dessus, d'ailleur, je vais te donner un conseil d'ami, des filles comme ça j'en ai vu des centaines dans ma vie. Fait attention.
Je me degageais d'un coup.
Il n'avait pas compris sur le coup, alors j'en proffitais pour courrir dans les toilettes des filles. Il n'y avait personne dans la coure, n'y même dans les toilettes, je m'assis sur le sol et attendit, il était 12h30. Je devais attendre 13h pour pouvoir sortir, car dans tous les cas aujourd'hui j'était interne, je devais rester manger. Les minutes deffilaient, je m'ennuyais, toute seul, je n'avais vraiment pas l'habitude de rester seul. La sonnerie qui annonçait 13h, retentis, je me ruhais dehors.
Chapitre 6 ;
Ma mére m'attendait, elle était debout contre la voiture, elle avait les yeux baissait donc elle ne me vit pas approcher. Je continuais d'avancer vers elle en fredonant l'air d'une chansson : Moments des One Direction. J'aime beaucoup de groupe de chanteur, c'est vrai qu'inviduellement comme en groupe ils ont une magnifique voix. Le temps se faisait pluvieux alors j'accourus à ma mére. Je m'approchais d'elle pour l'embrasse ( contrairement au autre jeune de mon age, je ne ralais pour le moins du monde quand mes parents me faisaient des embrassades ). Mais quand je vis son regard aussi vide, je me demandai ce qui se passait. Elle prit un air grave et me sortit un : il faut qu'on parle, cette phrase, je ne l'aime pas. Personne ne l'aime je pense ! Nos parents nous la sorte quand on a fait une betise ou quand dans tous les cas c'est quelque chose de grave. Je montai en voiture et m'apperçus que ma mére roulait relativement vite, et j'en fus surprise moi et Emily on la chariait souvent beaucoup sur le faite qu'elle ait une conduite trééééés lente. Je froncais les surcils et elle ne remarqua rien, arrivé à la maison, qui m'impressioné toujours autant par sa taille, elle se hata dans le salon en me disant de la suivre.
- Ma cherie, il faut que je te dise quelque chose, assis toi.
Elle commencait à me faire un peu peur.
- Rien de grave ?
- Si, justement, il faut que je te dise la vrai raison de notre demenagement, alors voila...
Enfin j'allais savoir la raison de cette soudaine avant de "changer d'air"
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