Anthony et Oriana.

'' Tu n'as jamais été le plan x que tu croyais être Oriana, tu étais bien plus que ça pour moi et ça me faisait terriblement mal que tu dises ça à chacune de nos dis***s ... J'etais tellement accro (je le suis toujours ) à toi que j'avais peur de te perdre et j'ai tellement eu peur de te perdre qu'en fin de compte, je t'ai perdu ... et cette fois pour toujours ... Je suis desolé pour toutes ces dis***s. Je suis possessif à tel point que je vois le mal partout. Je suis desolé... Je t'aime. ''

Anthony tu me manques.

5 ans sur ce jeu, des rencontres, des sentiments, des émotions et maintenant le vide. Vous etes tous partis et cette fois ci je n'aurai pas  la force de tout recommencer une nouvelle fois.

jeune PD tu m'détestes tant mieux j'veux pas t'plaire

Tu arrives. Je crève d'envie d'aller à toi, de me jeter dans tes bras. Je contrôle mon impulsion mais le désir de te dévisager est trop fort. Ton regard intense et tes cheveux mal coiffés. Tu m’obsèdes. Je te veux. J'imagine déjà ta voix qui dérape avant même que tu ne me parles. Je sens comme un raté dans mon cœur. T'es beau. T'es beau et c'est pas croyable. Nous ne contrôlons rien. Je me perds dans cette histoire, au fur et à l'usure. Mais t'es là et c'est tout ce que réclame mon cœur peu importe, t'es devant moi et c'est la plus belle image que je puisse avoir sous les yeux. La seule qui m'importe, ardant désir de tes lèvres qui se consume lorsque tes doigts effleurent ma peau. Je devrais partir maintenant, t'effacer de ma vie. Ce serait mieux pour tous. Mais dès que t'es devant moi, je me sens paralysée. Engourdie par ton sourire d'une ambiguïté éclatante.Tu arrives, plus proche encore. Je te regarde, fascination absolue de te retrouver. Tu m'embrasses, on se regarde dans les yeux. Je te désire comme jamais. Ton torse nu contre ma poitrine, ton souffle chaud sur mon cou, ta façon d'agir désordonnée. Au fond de moi je ne me résigne pas au fait que tu ne sois plus rien pour moi désormais. Je ne cesse de me dire que tu seras à moi, juste à moi rien qu'à moi un jour, comme tu as pû l'être.  Je te regarde et c'est vrai que je ne sens rien quand tu n'es pas là. Je te regarde, toi, gamin joueur. Je te regarde. Je te regarde. Je te regarde. Cherchant tes vices les plus beaux. Mais il faudrait revenir à la réalité car jamais plus tu ne seras à moi.

Tu n'étais qu'une pécho de soirée, juste un flirt d'ado , puis amour, flirt, cadeau. Douleur quand j’effleure t'a peau , j'ai *** ma réput', j'évitais de parler de ***. j'ai dit que je me marrais plus , car quand j'aime on m’arrête plus.Tu parles, les contes de fées ne durent pas , tu me détestes, puis tu m'aimes, puis tout comptes fait du repars et j'ai beau y réfléchir, je ne comprend pas.Tu me manques mais je suis le genre de jeune qu'on ne trompe pas. Je pense au week-end dans tes bras, aux parcs, aux samedis radieux , je veux que tu restes, non que tu partes sans me dire adieu ,t'as enterré mon cœur, tu n’étais qu'une fossoyeuse , une pauvre joyeuse , mes rêves sont hantés par ta peau soyeuse. Je voulais me faire des ***s mais je peux plus ké-ni sans toi. Je t'avais bénit tant de fois, toi et tes tennis en toile , tu me parlais de rêves bleus, d'amour sur tapis volant. Mais dans cette course pour se faire du mal c'est sur t'as pris le volant. Je veux que tu meurs, que tu m'aimes , que tu pleurs, que tu mènes la danse , donc que nos cœurs saignent dans une même cadence.

Et quand je veux t'oublier tu reviens me déclarer ta flamme. Je fais le fier, mais je sais que j'ai égaré ma femme.▲