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zoua
Jolie Airisu.. Quand reviendra-tu donc passer?...
07/02/2016 11:14:29

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airisu has 9 goodness points.

airisu
مستوى
1
راقصة (rang 3)
Flash

 

 

Un cri déchirant l'espace.

Une poussée de vie dans un monde hanté par le désespoir...Un souffle chaud cherchant une réponse dans le corps froid contre lequel il se blottit...Une larme en entrainant une autre... Un sanglot non retenu qui ne trouvera plus échos...puis le noir qui survient.

C'est ainsi que je fut découverte. blotti contre le corps sans vie de ma mère. contre celle qui m'apportait soutien et amour. Contre la seule qui avait jamais comptée pour moi.

Des bras soulevant le corps frèle. Le séparant de cette horreur si belle au clair de lune. Ce visage si pâle dans ses derniers instants...Tu sera toujours la plus belle, Maman.

Ce fût un brave homme qui me receuillit. Il m'éleva comme sa propre enfant, malgré le fait que je soit différente. Jamais il ne me posa de question sur mes origines. Il se contentait de m'aimer avec tout ce qu'il avait.

Le chaos apporté dans l'esprit tendre. Le secours d'une personne noble dans sa pauvreté. Le souvenir insistant d'une peau blanche et douce contre celle rugueuse et bronzée du gentil fermier.

Je n'ai jamais put lui dire que je l'aimais. Et pourtant, il était ce que j'avais de plus précieux après le souvenir de ma Mère. J'aurais voulu le remercier pour tout ce qu'il avait fait. Peu être un jour, je serais pardonné.

Les ailes dans son dos, ses cheveux bleu, ses yeux azur...Etrangère et monstre merveilleux. La douce petite venue des cieux, qu'un avenir malchanceux avait poussé à l'exile.

"Tu te nommeras Airisu" me dit-il un jour. Je n'avais jamais accepté que mon véritable nom soit prononcé par une autre bouche que celle qui m'avait donné la vie. Je me rend compte aujourd'hui quel mal ça avait dû lui faire de m'entendre lui dire cela. Pardon Papa.

Avec ce nom, l'homme donna à l'enfant une seconde vie. Airisu. Iris. Sa peau pâle, la couleur de ses yeux et de ses cheveux avaient inspiré un homme fourbu par le temps et les difficultés de la vie. Cette fleur avait illuminé sa vie. Et il savait qu'elle l'avait aimé malgré tout, même si elle ne lui avait jamais dit.

Mais aujourd'hui je vais me relever. Je n'ai plus personne pour me protéger. Adulte maintenant, je saurais rembourser mes dettes. Je serais bonne et douce comme ma Mère. Je serais forte et fière comme mon Père.

Ange déchu élevé par le démon humain. Innocente et pure s'élevant gracieusement dans le matin. Ses yeux la portant sur l'horizon, l'Iris sur terre déployant enfin ses ailes.

 

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Ouvrant les yeux sur un monde nouveau, l'enfant ailé ne sut comment réagir. Elle ouvrit grand ses paupières sur ses iris Bleutés et inspecta la pièce autour d'elle. La charpente de bois. Le lit de paille qui sentait bon.
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Je ne savais pas ou je me trouvais. Cet endroit inconnu ne me parraissait pourtant pas effrayant, voir même rassurant. Ma curiosité pour ce mobilier pitoresque s'ébranla. Où était ma Mère?
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L'esprit vifs devient lent. Les yeux curieux deviennent tristes puis vides. Le visage se referme et les cris de désespoir restent muets dans ce petit corps frèle. Les soubressauts du fin dos blanchâtre trahisse un profond chagrin.
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C'est à ce moment là que je l'ai vu pour la première fois. Cet homme qui allait partager les treize prochaines années de ma vie. Il était entré dans la chambre sans bruit et s'était approché de moi jusqu'à froler la pointe de mes ailes.
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Le sursaut de peur de l'enfant esseulée. Le sursaut de honte devant sa nudité d'ange. Le sursaut d'effroi en comprenant qu'un être humain l'avait vu. Elle. Avait vu ses Ailes. Son sort était jeté. Au paradis, elle ne pourrait retourner.
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Je mentirais aujourd'hui en disant que je n'en ai jamais voulu à ce père de m'avoir découverte. A cet instant et pendant de long mois après, je lui en voulu de ne pas m'avoir laissé mourir près d'Elle. De m'avoir privé d'un futur retour au ciel, puisqu'il m'avait vu.
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La colère, la haine, la frustration, la tristesse, le replie sur soi. Il endura tout de moi. Il me laissa épancher ma peine, ma peur et ma colère sur lui. Il fût le seul père que j'ai jamais connu.
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Malgré tout, une enfant de 10 ans, surtout s'il s'agit d'un ange, même déchu, ne peu longtemps éprouver de la haine fasse à toute la gentillesse qu'il me donnait. Cet amour détruisit mes barrières et bientot, je ne pût plus me passer de sa présence.
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 Sans vagues, sans cris, sans colère, il avait sut entrer dans le coeur fermé de l'enfant. Elle apprit de cela la bonté et la patience. Et elle se promit de toujours respecter ces qualité en son honneur. Elle saurait montrer aux autres quel Père il était.
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Passé ma rancoeur contre cet homme, je commençais à lui parler de moi. de ma Mère. Du ciel, un peu. Même déchu, je n'avais pas le droit de lui révéler les secrets de l'au-delà. Lui, me raconta sa vie de fermier. Il me montra comment vivre en harmonie avec la nature et les bêtes. Je le suivait comme un poussin.
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La vie de l'oeuf se brisa à cause de la mort. L'oisillon qui en sortit survécu et se nicha sous l'aile du fermier. Il passa ainsi de nombreuses et heureuses années. Puis la mort passa de nouveau. Impitoyable. Et l'oisillon devint cygne puis s'envola.
 
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La fillette parcours le jardin multicolore. Sa douceur, ses cheveux court bleuté et ses yeux azur dénotent dans ces tons rose, rouge et jaune. Un brin de ciel, un brin de mer, un brin d'espoir. Elle court en riant aux éclats sous l'oeil bienveillant de sa Mère.
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 J'étais jeune à cette époque. L'âge où les aléas de la vie se résument à trouver de nouveaux jeux. j'aimais tant parcourir ce jardin fleuris au-dessus des nuages que ma Mère avait fait installer...A certains moments, je pouvais apercevoir la Terre et ses habitants, loin au-dessous.
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Elle s'émerveillait de voir qu'il existait des gens si petits, sous son jardin. Sa Mère lui avait expliquer patiement que ces êtres étaient aussi grand qu'elles-mêmes, mais qu'ils étaient tellement loin qu'ils parraissaient minuscules. Elle avait alors voulu les rencontrer.
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 Je voulais tout voir. Tout connaitre. Et ma Mère se faisait un plaisir de tout m'enseigner. "Quand tu sera plus grande, je t'y emmenerais. Mais il faudra être prudente, aucun d'eux ne doit nous voir". Sachant que rien ne pouvais etre ajouté, j'attendais patiement ce voyage.
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Elle ne savait pas ce que ce monde en bas représentait. Elle n'avait pas encore l'âge pour prendre conscience de ce qu'être découverte pouvais signifier. Elle n'attendait qu'une seule chose, pouvoir explorer le dessous de son jardin avec sa Mère.
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Enfin je fût en âge de comprendre. Si je me faisais découvrir, je ne pourrais plus revenir chez moi. Là-haut. Parmis les miens. Je prenais enfin conscience de ce que cela impliquait et je me sentais prête. Souriante, ma Mère me prit alors la main.
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Qui aurait pût prédire que ce voyage serait le dernier que je ferais en sa compagnie ? qui aurait pût me dire que jamais plus elle ne poserais sur moi son doux regard argenté ? Elle que j'aimais par dessus tout fût la proie de la balle perdu d'un chasseur. Un simple balle.
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Je vis chaque jours au ralentis cet instant. Le bruit assourdissant. L'impact quand elle passa devant moi pour me protéger de son corps. le cri sortant de ses lèvres douces, son regard écarquillé. Puis sa chute, lente et floue. Son corps s'écrasant sur le sol.
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Elle devrait vivre avec ces images toute sa vie. Elle ne pourrait plus effacer de son coeur cette mère qui était morte pour elle. L'instant délicat ou l'esprit quitte le corps pour ne pas voir l'inévitable. puis le noir. l'horreur, le refus, la colère, la tristesse. Tout ce qui ne devrait jamais passer par la tête d'une enfant aussi jeune.
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Je ne pourrais jamais me pardonner de ne pas être morte, moi, ce jour là. Mais je n'aurais pas pu me pardonner de laisser ma Mère avec ma mort sur la conscience. C'est un cercle sans fin. L'un comme lautre, le Pardon ne peut m'être accordé. Un fillette ne devrait jamais pleurer.
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La mort n'est pas douce. Elle est amer et glacée. Elle prend mais ne rend jamais. Elle est la compagne des vieux jours, mais emporte tant de jeunes innocents. La fillette se jura alors, tandis que son esprit sombrait dans le noir, de sauver l'âme et le corps de ce monde qui lui avait volé sa Mère, mais que la défunte avait tant aimé.
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* Je composerais pour toi toutes les symphonies du monde
Je jouerais pour toi ces notes a chaques secondes
Pour que de tes yeux, plus aucune larme ne tombe
Je graverais "je t'aime" sur la pierre de ma tombe. *
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Les trois Hommes de ma vie 
kuro-neko

 

 

 Tu as d'abord crus que j'étais celle qui avait causé la déstruction de ton clan, a cause de mes ailes et de mes long cheveux bleu. Ensuite, tu m'a méprisé, comme tu méprises tout les anges déchus, à part Ichiro. Malgré tout, je ne t'en veux pas. Je n'ai jamais compris pour quoi j'ai eu cette envie de te connaitre, de tout savoir sur toi et de t'aider malgré le fait que tu m'envois balader...*rire doux* maintenant je pense avoir compris. *secoue la tête* non, j'en suis même sure. *soupir et sourit* Et puis, tu l'a bien dis..."nous sommes amis" !! *grand sourire* Merci pour toute l'aide que tu m'apportes face à "Elle". Je te considère comme le grand frère que je n'ai jamais eu...*clin d'oeil tendre*

ayugii  Ayu-kun, je ne te remercierais jamais assez pour avoir été le premier homme a m'adresser la parole comme tu l'a fais. J'avais toujours eu peur de m'adresser a l'un de vous après la mort de mon père...Je me disais que les femmes étaient douces et que je pouvais leur parler, que les hommes voudraient m'éliminer ou m'enfermer parce que je suis un ange. Mais tu es parvenu a me faire oublier mes peurs et tu as su ouvrir mon coeur. Même si tu m'a repoussé quand je t'ai avoué mes sentiments il y a un certains temps, et que j'ai tenté de passer a autre chose, tu reste quelqu'un qui m'es très cher. Je serais toujours là  pour toi en cas de besoin. Pourtant...tu es toujours là, quelques part dans mon coeur...Je t'aime. Et maintenant, nous sommes ensemble...Je n'arrive pas a y croire!!!

 Mon Père (adoptif) sans lui je ne serais pas là aujourd'hui. Je serais probablement morte. Même s'il est mort aujourd'hui, je tiens à lui dire merci du plus profond de mon coeur pour m'avoir permis de rencontrer ces deux autres hommes qui compte tellement pour moi. Peut être que je le retrouverais un jour, si je peux retourner dans le monde des cieux...Je t'aime Papa, Merci pour tout.

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ange-dechu-ange Valae. ou Vanae, selon les moments. Ou encore, comme elle se tue a vouloir me faire comprendre, les deux en même temps. Mais je n'y crois pas. Pour moi, c'est Valae. La princesse du monde des cieux, Ma Princesse, ma confidente, ma meilleure amie, ma soeur de coeur. Vanae n'est que le côté sombre qui se cache en elle et qu'elle avait toujours su garder enchaîner. Aujourd'hui, Vanae contrôle. Et elle veut me détruire. Je pense que Valae a encore trop d'influence pour qu'elle veuille attenter a ma vie, mais elle s'amuse a détruire ma vie, mon esprit et surtout mon coeur. Et elle y arrive petit a petit. Si je n'avais pas des amis chers autour de moi, je pense que je l'aurais depuis longtemps suivie...Mais je résiste de moins en moins facilement...Elle joue sur la corde sensible...Que cherche t'elle, au fond ? *triste* Je veux que Valae revienne...Je veux la revoir, coute que coute. Celle a qui j'ai donné mon  coeur il y a bien longtemps...

Elle, quand nous étions jeunes...

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Heureuse...Grâce à toi !

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Bonjour à tous et à toutes !

Je m'appelle Fantine, je suis une passionnée de dessin, manga, lecture (j'adore Bernard WERBER et "les enfants de la Terre" de J.M. AUEL) , écriture (j'ai écris quelques histoires que je mettrais bientot en ligne sur un site de Fanfic, je donnerais le lien aux intéressés lol) j'aime aussi beaucoup les animaux et voyager.

N'hésitez pas à me poser des questions je ne mords pas, je suis un ange après tout ^^

Tendres bises...  

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Je marchais, seule, errant dans ce nouveau monde inconnu quand une inconnue m'interpela :
Inconnue - (un sourire sur les lèvres) Bonjour ! Je m'appelle Zoua, tu cherches quelque chose petit ange ?
Airisu - (tournant vers l'inconnue ses grands yeux tristes) J'erre parmis les arbres en attendant la mort car je suis un ange déchu.
Zoua - Ah bon ? Mais tu ne souhaites donc pas vivre ?
Airisu - (fataliste) A quoi bon vivre si c'est pour vivre seule ?
La jeune fille aux cheveux bleus reprit lentement sa route.
Zoua - Attends ! Veux-tu venir avec moi ? je me rends dans mon pays. Là-bas, tu n'aurais plus a errer sans but et tu trouverais une nouvelle famille.
Airisu - (levant des yeux pleins d'espoir) C'est vrai ? Je peux venir ? Mais ne va t'on pas me rejeter ?
Zoua - Non bien sur ! Il s'agit d'un monde merveilleux où tout être peux vivre heureux quelque soit son appartenance ! Viens avec moi et tu ne sera plus seule.
Airisu suivit donc la jeune Zoua sur le chemin bordé d'arbre.
Airisu - Et comment se nomme ce Paradis ?
Zoua - (un sourire illuminant son visage) Il s'appelle Gaaray.
gaaray 
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 " I am looking for the wings of my destiny..."
" Mother, Dad, Forgive me..."
" I would be strong for you"
" I pay my debts so that you are proud"
" I open my wings to heaven and my arms to the men in your memory"
" My heart will become one of the world and I'll forget my tears"
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 Je t'ai demandé si tu m'aimais bien et tu m'as répondu non
Je t'ai demandé si tu me trouvais jolie
et tu m'as répondu non
Je t'ai demandé si j 'étais dans ton coeur tu m'as répondu non
Je t'ai demandé si je partais est-ce que tu pleurerais
tu m'as répondu non
Alors j'ai marché


 
Tu m'as attrapé la main et tu m'as dit :
Je ne t'aime pas bien,
je t'aime
Tu n'es pas jolie,
tu es magnifique
Tu n'es pas dans mon coeur, tu es mon coeur
Et si tu pars, je ne pleurerai pas j'en mourrai.
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" 私の両親はお土産を着る私の翼は私の心の祈りを行う "
" あなたが私には永遠にあなたの目を維持させるのだろうか。"

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Merci à Haku pour ces photos !

جيل جنس مدينة دول
40 سنة إمرأة Sur la Brise
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La Lune (Tsuki) Le souffle du vent (Kaze no kokyuu) Le lait frais (Miruku shin'sen')
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Bleu, argent (Mizuiro, okane) Ange confirm (Ten'shi) Rendre les gens heureux (Shiawase)


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