La vie souvent noire,
Peut-on sans sortir après le désespoir
Compenser un sentiment de haine,
Par une mort soudaine ?
Ange ou Démon qui nous emportera ?
Paradis ou Enfer? Y croire ou pas ?

  Seul. 

Un jour trite et un jour seule.
Des jours seule, j’en passe trop souvent.
Mais j’ai besoin de solitude, pour réflechir ou me remettre dans le droit chemin.
Mais les jours seule font aussi resurgir tous les malheur connu.
Et rien que pour ça, je ne veux plus passer un jour toute seule.
Mais je ne trouve pas selui qui serait capable de m'aimé.          Et le goufre de la solitude se reférme sur se qui reste de mon  coeur et je  meur.

Je te cherche et te chercherer toi celui qui me sortira de cette peur.

  Moi l'Ombre.  

Petite fille perdue dans la nuit noire
Enfant choyé, luttant sans espoir
Fillette égarée, courrant dans les bois
Ne cours pas en vain, le loup te croquera.
Innocent agneau jouant dans un pré
Par son jeune berger a été oublié
Agneau vagabond, ne t'égare pas
Ou bien jamais on ne te reverra.
Fillette orpheline errant sans but aucun
Partie de tout, retour à rien
Soudain elle crie de peur, affolée
Crie, petite, crie…
La Démence t'as trouvée.
Enfant battu couvert de blessures
Son âme consumée par les brûlures
Pauvre enfant si peu désiré
Dans un cercueil va vite se retrouver.
Chaton abandonné dans une sombre ruelle
Obligé de tuer pour survivre rats et sauterelles
Pauvre animal sans famille
Mourra enveloppé de guenilles
Et moi, dans toute cette histoire,
Moi je marche dans la nuit noire
Vivant de ces malheurs et peines
Me nourrissant de cette haine
Je me repais de vos pleurs, mortels
Et vis grâce à la souffrance intemporelle
Femme-enfant à l'âme si sombre
Des Tourments immortels
je suis l'Ombre.

Mes démons.

 Ravageurs
Détracteurs

Apparants ou non
Sous ma chaire
Se trouvent les démons
Gardiens de mon calvaire

Ils vivent à l’interieur
Se plaisent à me perturber
A n’importe quelle heure
Me font desesperer

Provocateurs
Perturbateurs

Parfois ils se manifestent
Par une quantité de larmes
Ils s’amusent et me testent
Trop nombreux, ils me désarment

Ces êtres néfastes
Sont comme collés à moi
Toujours ils restent
Et se faufilent dans mes pas

Tueurs
Destructeurs

Ils me renvoient des images
De mon malheureux passé
Ils ne sont vraiment pas sages
Ce sont des meurtriers

Toujours présents
Pour dans mon coeur
Enfoncer un poignard tranchant
Imbibé de poisons tueur

Blasphémateurs
Anéantisseurs

Je traîne mes démons
Créatures cruelles
Ils me font perdrent la raison
Rendent mon âme pas belle

Je veux être exorcisée
De ces sales bêtes
Faut les faire exploser
Qu’elles sortent de ma tête.

 Sombre.

Lucia...