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kylie-fic has 0 goodness points.

kylie-fic
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3
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Doll approuvée par OhmyCulture, ou plutôt Velma-aod. Allez y faire un tour.

Notes de l'auteur (à lire obligatoirement, eh oui.) : 

Bonjour les gens ^^. Alors déjà j'voulais vous dire merci à vous tous parce que je reçois pas mal d'encouragements et de félicitations et tout alors franchement, merci beaucoup, ça me touche. *^*

Ensuite, j'aimerais vous dire que je reçois des demandes pour s'abonner, alors sachez que je trouve qu'il n'y a pas assez de monde pour créer encore le système d'abonnés, mais en même temps, je suis presque harcelée alors si vous voulez vous abonner, envoyez moi un message, et voilà, pour l'instant il n'y a pas de bannières donc pas de conditions, juste un petit mot pour me prévenir.

J'ai tout de même voulu vous expliquer la signification du mot bipolaire (Chap.2) c'est quand on a des sauts d'humeur, de doux à agressif et vice-versa, donc voilà, j'espère que vous me demanderiez pas la signification. ^^

Et pour finir, je tiens à INTERDIRE ellement les âmes sensibles de lire, ça va contenir des grosses scènes de violence, enfin bref.

Au fait, si vous voulez vous tenir au courant des dernières nouvelles, je vous invite à lire TOUTES les notes de l'auteur, sans exception. :3

Allez, bonne lecture. ;)

 

Chapitre 1

"Une.. Présence."

 

Je me reveillai dans une pièce, sans meubles particuliers, mise à part le lit sur lequel j'étais couchée.. 

Mais qu'est-ce qu'il s'était passé ?

Mes souvenirs revinrent petit à  petit...

- Baisse le volume ! Tu te crois où Kylie, y a les voisins !!

 

Et voilà, pour la énième fois, ma mère me criait dessus parce que j'avais monté le son. Pff.

Elle ouvra bruyamment la porte, sans prévenir.

- Kylie, tu as 17 ans, tu es bientôt majeure, pourquoi n'es-tu pas en train de faire quelque chose de ta vie ? Tu as tes études et...

- Maman, c'est les grandes vacances.

- Et alors ? Tu pourrais réviser tes leçons ! Au lieu de rester là à écouter cette musique en gênant tout le monde !

 

Je la laissais parler un bon moment, je n'avais aucune envie d'écouter son discours qu'elle me passait toute ma vie. Une fois qu'elle eut finit, je demandais rapidement à ma mère, craignant sa réponse.

- Maman, demain je peux aller en boîte ?

Elle écarquilla les yeux, je la sentais mal cette réponse.

- T'es folle ? T'as pas entendu ce que je viens de te dire ? NON. Tu as 17 ans en plus !

- Maman, s'il te plaît. Et puis, je suis responsable.

- Ouais, c'est ça, tu restes ici un point c'est tout.

 

Elle quitta aussitôt la pièce en claquant la porte, et j'entendis "non mais je rêve..".

Pff. Je me jettais sur mon lit, en sortant mon portable, envoyant un message à Linda, ma meilleure amie. :

- Devines quoi ?

- Tu viens en boîte ? :)

- Juste le contraire. ==''

- Ah ouais pas de chance. == 

La journée se passa ensuite un peu près normalement, je m'endormis rapidement.Le lendemain, je convains ma mère de me laisser dormir chez Linda. Quoi qu'il arrive, je devais aller en boîte. Je pris un sac, rangea mes talons, (oui, il fallait que je mette des talons pour faire croire que j'ai 18 ans) une sublime robe, ainsi que le nécéssaire pour faire croire à ma mère que je dormais vraiment chez elle. Une fois arrivée chez elle, ni une ni deux, nous nous prépariâmes pour aller à cette fameuse boîte. Une fois prêtes nous nous rendîmes là bas. Après avoir eu un peu chaud face au vigile qui pouvait détecter notre faux age, nous rentrâmes. Une heure passée, je n'en pouvais plus, j'avais le défaut de ne pas pouvoir résister à l'alcool contrairement à Linda. Je décidais de la stopper dans sa danse endiablée.

 

- Bon, Linda j'vais y aller.

- Ah ? Je vais te raccompagner.

- Non restes, j'y vais t'inquiètes.

- Bon, d'accord fais attention à toi.

-Bye.

Je sortais de la boîte. Il faisait très sombre, et j'avais très peur. Oui, je sentais comme une.. Présence. Soudain, on m'attrapa par l'arrière, plaquant un flingue sur ma hanche. J'eus peur, ... Je me retournais et vit... Un homme à capuche noire. Je ne pouvais pas bien voir son visage.

- Ecoutes moi bien, je ne comptes pas te faire de mal si tu avances doucement vers la voiture noire sans hurler.

Il plaqua rapidement sa main sur ma bouche en appuyant fermement sur le flingue.

Il me fit monter à l'arrière d'une voiture noire avant de rentrer en place conducteur. Il posa l'arme près de lui.

- Ton prénom et ton âge ? me lança t'-il.

- Mon âge ?

- Oui, ton âge.

- Je ne donne pas mon âge aux inconnus, ni mon prénom d'ailleurs.

Il pointa l'arme vers moi, je décidais d'être plus coopérative, enfin, je n'avais plus le choix.

- Kylie, 17 ans.

- Hm d'accord.

Il ne parlait plus, un silence de mort s'était installé.

- Et toi ?

- Comment ?

- Et toi, tu t'appelles comment ?

- Tu as vraiment besoin de le savoir ?

- Bah, je t'ai donné mon prénom, à toi de faire de même non ? C'est injuste sinon.

- Bon, tu le veux tant que ça ? J'm'appelle Zayn.

Entre temps, j'avais pu voir lorsqu'il avait enlevé sa capuche une mèche blonde, ainsi que de très beaux yeux, c'était un très bel homme.

- Enchantée Zayn.

Non, je n'étais pas vraiment enchantée, pas du tout même.

- Tu es enchantée ? 

- Pas vraiment, pour ne pas dire pas du tout.

Il laissa éclater un rire.

- Tu es différente.

- Différente, moi ? Euh.. Compliment ?

Il m'ignora, et le silence s'installa à nouveau. C'était loin, très loin, si loin que je crois m'être endormie...

C'était donc cet homme ? Non, je ne pouvais y croire. Je me levais rapidement, et me dirigeais vers la porte. Je tirais sur la poignée, c'était fermé. Je réessayais avec un peu plus de force, même résultat. Je ne pus m'empêcher de pani.quer, à ce moment là, je tapais contre la porte. Après plusieurs essais, la porte ne s'ouvrait toujours pas. Je retournais donc m'écrouler sur le matelas, fixant le plafond. 

"Alors, je suis bel et bien coincée ici ?"

Pas le temps de réfléchir, j'entendis la porte émettre quelques sons, j'eus peur, je cherchais à l'aide de mes yeux une arme posssible dans la pièce, sans succès.

La porte s'ouvrit finalement, c'était l'homme qui m'avait "kidnappé". 

- Tu pourrais faire moins de bruit non ?

- Laisse moi sortir.

- Et pourquoi ça ? Tu n'es pas bien ici ?

 

Je saisit cette occasion pour m'enfuir, avant qu'il ne me rejoint très rapidement.

- Où tu comptes aller comme ça ?

Dans sa main gauche, il tenait son flingue.

- En quoi ça te regarde ?

Je courus vers la porte, j'actionna la poignée, elle aussi était fermée.

C'est à cet instant qu'il pointa son arme vers ma jambe et tira, sans soucis.

Je reçus la balle en plein dans mes mollets. Je ne sais pas si le sang a giclé, ou encore si je me suis vidée de mon sang mais je me souviens être tombée au sol, avant qu'une deuxième balle rejoint mon épaule. Là, je sais que j'ai eu très mal et ensuite..

Le Trou noir.

Je sortis de ma torpeur quelques heures plus tard, je mis un certain temps à réussir à  ouvrir mes paupières qui semblaient collés. Quand je réussis à ouvrir les yeux, la première chose que je vis fut Zayn, assis sur le bord du lit, la tête entre les mains. Il dût sortir que je m'étais réveillée car il se tourna vers moi.

Il se retourna et me vit réveillée. Je n'arrivais plus à bouger, mais la seule chose que je voulais c'était fuir, fuir loin d'ici. A peine avais-je bougé ma jambe qu'une douleur effroyable m'envahit.

- Ne bouge plus, je viens de retirer la balle.

Je voulais être loin de lui, alors même si je souffrais le martyr, il fallait que je m'en aille. Je m'appuyais sur le bord du lit ainsi que sur le matelas, je réussis à garder l'équilibre. Je n'en pouvais plus, ça faisait trop mal.

Zayn se leva, et arriva derrière moi. Il me porta et me plaça sur le lit, j'essayais par tout les moyens possibles de me débattre.

- Laisse.. Laisse-moi..

J'étais faible, et je détestais ça. Il me plaça tout en douceur, dans les draps, ce qui m'étonnais.

Un être comme lui, doux ? C'était tout bonnement impossible. Il n'avait pas hésité à me tirer dessus, et voilà qu'il s'occupait de moi...

- Excuse moi..

- Excuse moi ? Tu me tires deux balles et tu veux que je t'excuse ? 

- Je..

- Oui, tu l'as bien fais exprès, alors non, je ne peux pas t'excuser.

 

Il m'a regardé, son regard était redevenu pareil que le jour où je l'avais rencontré, c'était sa pupille.

- Excuse moi.

Il quitta aussitôt la pièce. Je me dirigeai vers la porte, avec beaucoup de difficultés et d'efforts, je réussis à atteindre la poignée de porte. C'était ouvert. Je pris les escaliers, très lentement, la douleur était intenable.

- J'ai faim.

Il releva aussitôt la tête, je peux vous dire qu'il était beau.. Je disais qu'il releva aussitôt la tête.

- On se fait des oeufs ?

- Mouais, tu sais cuisiner ? Je te fais pas à manger.

- JE te fais à manger. me dit-il, avec un grand sourire.

- En quelle honneur ?

- Pour me faire pardonner. Je ne sais pas, c'était un coup.. de colère, je rentrais d'une dis*** avec un ami.

- Pas besoin de te justifier, c'est le devoir d'un kidnappeur non ? Faire souffrir les otages.

- Je ne fais pas ça pour moi.

- Pour qui alors ? Pour moi peut-être ?

Il ne me répondit pas et parti dans la cuisine. Quelques minutes plus tard, il se ramenait avec des assiettes d'omelettes. Je pris mon assiette et montai les escaliers, un peu plus rapidement que tout à l'heure, la douleur s'évaporait au fur et à mesure. Arrivée dans la pièce qui maintenant allait être ma chambre, je me mis sur le lit, dégustant seule ces omelettes sans accompagnement. Je ne l'avais pas fait paraître mais ces aller-retours m'avaient achevée, je souffrais tellement. Je n'en pouvais plus. Je pris le couteau que Zayn avait laissé maladroitement et me l'enfonça dans l'épaule, histoire de sortir la balle. Zayn débarqua.

- Qu'est ce que tu fais ? me demandait-il, presque hurlant.

- Je retire cette balle qui me fais tant..

Il ne m'avait pas laissé finir ma phrase, il était accouru auprès de moi pour retirer le couteau.

- Rends le moi non ?

- Ce n'est pas comme ça.

- Et alors ? Je dois bien m'en occuper !

Il m'ignora complètement, m'immobilisa le bras avant de m'enlever la balle, ça faisait très mal, mais pas plus mal que la douleur qui m'hantait peu de temps avant. Il prit la bande que j'avais posé sur le lit et me banda le bras, répétant la même opération avec mon mollet.

- T'as déjà fait ça avant ?

Il sorti de la pièce et ce n'est que 5 minutes après que j'entendis une conversation que je n'aurais pas dû entendre..


Notes de l'auteur

Quelles sont vos premières impressions ? Allez j'veux tout savoir, foncez tout me raconter. *^* 

Chapitre 2

"Non, ne m'approches plus."

 

Quand j'entendis une conversation que je ne devais pas entendre. Il était devant la porte, j'entendais ces paroles à moitié, et je n'avais plus de force pour me lever et me rapprocher, non je n'entendais rien. Les seules paroles que je puisse entendre furent celles-ci :

- Alors, comment elle s'appelle celle-ci hein ?

- Kylie, elle a 17 ans.

- Ahah, l'abîme pas trop hein, faut qu'elle soit bien pour..

- Ouais ouais et..

Ils discutèrent un bon moment, quand Zayn arrivait dans la chambre, sans prévenir. Il avait sûrement fini. Tout de même, depuis tout à l', quelques questions me trottaient, oui, je voulais avoir les réponse. Je ne le laissais pas le temps de s'installer que je lui demandais rapidement.

- Si ce n'est pas pour toi que tu fais ça, c'est pour qui ?

- Les autres.

- Les autres ? 

- Oui.

- Qui ça les autres ? Je les connais ? Ils m'en veulent ?

-... Tu dois te reposer. 

Et c'est bien sûr sur de telles paroles qu'il quitta la chambre. Il n'avait pas du tout répondu à ma question, il n'avait fait que m'enrichir de doutes. Je n'avais pas vraiment d'ennemis, simplement les pestes de... C'était eux ? Impossible. Je ne pense pas qu'il obéirait à ce genre de filles..

A force de maintes réflexions, je m'endormis. Mes jours étaient comptés, ça je le savais bien.

Après une petite sieste, je me réveillais enfin. J'osais espérer être dans un mauvais cauchemar, et dans la minute d'après me réveiller auprès de ma mère, et mes amis. Mais non, j'étais coincée dans cet endroit, avec quelqu'un que je ne connaissais même pas et qui n'avait pas du tout l'intention de m'aider. La douleur que j'avais avant étais moins intense qu'avant, j'avais donc plus de facilité à marcher. Je me levais, et pris les escaliers. Il était allongé sur le canapé, et je ne pus m'empêcher de le contempler, c'était plus fort que moi. Il ouvra brusquement les yeux.

- Tu fais quoi là ? Je rêve ou tu..

- T'imagines rien du tout. Pff.

- J'ai encore rien dis tu sais. Tu te trahis toute seule.

- Tu comptes faire quoi de moi ?

Il fallais que je change de sujet, sachant déjà ce qu'il allait me dire ?

- Change pas de sujet. Tu veux vraiment savoir bah je compte..

Son téléphone sonna, au mauvais moment bien sûr. Avant d'hésiter quelques secondes, il répondit.

- Allô ? Disait il.

- Ouais Zayn, c'est moi, James, alors tu nous la livre quand ?

- Quand tu veux mec.

- Et l'autre elle était bonne ?

Il semblait m'avoir oubliée.

- Ouais mais un peu abîmée quand même, tu fais attention à celle-ci hein ?

- Depuis quand on fait attention aux pu..

Je n'avais pas bien entendu, il allait me traiter de *** ? D'un coup de colère je pris le téléphone et raccrocha.

- T'allais dire quoi à l'instant ?

- Tu veux vraiment savoir ?

- Bah répète si t'es un homme.

- J'allais dire pu...

Il n'avait pas eu le temps de finir sa phrase, par pulsion, ma main avait atterri sur sa joue. Ses pupilles changèrent, son regard devint plus agressif. Il m'attrapa le bras et le serra très fort, si bien que je ne pouvais plus le bouger.

- Qu'est ce que tu viens de faire là ?

J'étais tétanisée. Il y avait à peine cinq minutes il était aussi doux qu'un agneau et là.. C'était à peine si j'osais lui adresser la parole. Quelques minutes après je sentais la pression pratiquée sur mon bras diminuer et je saisis donc cette occasion pour courir dans ma chambre. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu'il me rattrape. N'ayant pas de quoi fermer la porte à clés, je fit barrage derrière la porte. J'arrivais à résister pendant 5 minutes, avant qu'un gros coup m'éjecta au sol. Je me retrouvais maintenant à terre, en face de lui, et dans ces mains il tenait un flingue. Il voulait me tuer ? Non, il ne pouvait pas, il devait me "livrer" à ces complices.

- Tire. Dis-je, d'un ton faussement serein. De toute manière, je n'ai rien à perdre. Tu m'as enlevé ma famille, mes amis, alors maintenant à quoi ça sert de vivre ? Tire, achève moi. Tu n'as qu'à appuyer.

- Ne me tente pas. Me dit-il d'un ton froid.

- De toute manière, tu n'en es pas capable. Tu veux que je te dises ce que tu es ? Un lâche, une personne qui n'a même pas le droit d'exister. Alors tire ! Je préfère mourir plutôt que de rester en ta compagnie. Tu ne..

Il avait tiré sur l'épaule droite, celle qui n'avait pas encore été blessée. Je perdis une nouvelle fois connaissance.

 

Mes paupières se rouvraient. J'avais encore du mal à bien voir, ce n'est qu'après quelques clignement que ma vue devint plus clair. Il était une nouvelle fois assis sur le bord du lit, fixant droit devant lui. Je bougeais légèrement la jambe, histoire de lui montrer que j'étais réveillée. Il tourna le regard, et ce que je vis m'étonna.

Il avait le regard triste et perdu, je devinais déjà ce qu'il allait me dire. 

- Excuses moi, je...

- Dis moi, tu es bipolaire ?


Notes de l'auteur :

Alors, ce chapitre vous a plu ? Trop de suspense hein ? A votre avis, il est bipolaire ou pas ? (Signification notes de l'auteur au tout début 3ème paragraphe) Epliquez moi tout, pourquoi, et tout le reste, j'vous attends. *^*

 

Chapitre 3

"Non, écartes toi de moi."

 

- Dis moi, tu es bipolaire ?

Il s'est levé, évitant de croiser mon regard. Je le fixais d'un air insistant, je voulais connaître la réponse à ma question.

- Non, c'est juste que parfois je ne me contrôles pas..

- Pourquoi tu ne me l'a pas dit ? Il faut se soigner et..

- Mes raisons ne te regardent pas, mêle toi simplement de ce qui te regarde, c'est tout, ne commence pas à fouiner dans mes affaires.

Il m'avait parlé d'un ton si froid.. Pour détendre l'atmosphère, je décidais de prendre l'un des coussins qui se trouvaient sur le lit, avant de lui lancer en pleine figure.

Ce fut le début d'une bataille de polochon, je pense qu'à ce moment l'on ne pensait à rien tout les deux, non, nous étions de simples amis. Je commençais à  penser que si nous nous étions rencontrés dans d'autres circonstances nous aurions pu développer une belle amitié.

Après avoir fini, je lui posais la question fatale, oui je ne l'avais toujours pas oubliée cette question.

- Tes amis comptent faire quoi de moi ?

- Comment ? 

- Ne fais pas semblant de ne pas me comprendre. dis-je d'un ton agacé.

- Ne te préoccupe pas de ça..

- Comment ? Tu veux que je fasses comme si je savais que le lendemain j'allais revoir ma mère, lui faire des câlins et..

- Tu  veux vraiment savoir ?

- A ton avis ? lui crachais-je.

- Ils vont te vio.ler et te tuer après.

Je fus abbatue. Il disait ça comme si c'était quelque chose qu'il faisait tout les jours, livrer des femmes à une mort certaine. Je ne m'étais pas trompée, cet homme était bien un monstre.

- Voilà pourquoi je ne voulais pas te le dire, je savais que tu serais abbatue.. lança t'il.

- Quoi, je devrais sauter de joie ? 

- Juste que j'aime pas te voir triste..

- Rassure toi, moi j'aime tout simplement le fait que je ne te verrais plus, dégage.

- Ecoutes,..

- Tu ne comprends pas ? Je ne veux plus te voir, te parler, tu as gâché ma vie et tu veux que je t'écoute ?

- Laisse moi jus..

- Oui, laisse moi, c'est ce que je te demande.

Il ne me répondit pas et quitta la pièce, en prenant le soin de bien refermer la porte. 

Je sais, j'avais été injuste en ne lui laissant pas le temps de s'expliquer, mais à présent mes jours étaient comptés, quant à ces rêves d'enfance que j'avais, à présent gâchés.. Le pire c'est que je n'ai même pas eu le temps de dire adieu à ceux que j'aime, donc oui, mes derniers instants seront et resteront les pires de ma vie. Moi qui m'imaginais mourir avec des cheveux blancs, accompagnée du sosie de Zac Efron comme mari, non je vais mourir jeune à  17 ans. Quelle fin.

Durant 3 heures, je fis la liste de mes fantasmes les plus fous, de mes rêves que je n'allais jamais réaliser, je pensais à toutes ces chansons tristes que je voulais écouter, à toutes ces danses folles que j'avais réalisées avec mes amies.. Je n'avais pas mérité de mourir comme ça.

L'on toqua à la porte, c'était Zayn, sûrement, j'entendis sa voix à travers la porte beugler "C'est bon, t'es plus fâchée ?", bien sûr, il ouvra la porte, sans attendre ma réponse.

- Je t'ai fais quoi ? 

J'étais en piteux état, tout ces souvenirs et ces rêves m'avaient fait sangloter, mes yeux étaient bercés de larmes, si bien que je devais cligner plusieurs fois des yeux pour éviter d'avoir la vue trouble. 

- Ky..Kylie ?

- Qu'est ce que je t'ai fait pour que tu me détestes à ce point ?

Il prit place près de moi, visiblement affecté par mon état pitoyable. Moi, énervée, lui donnait des coups contre son torse, ces coups n'étaient pas bien forts, il m'avait trop affaiblie en me tirant toutes ces balles.

- Excuse moi, petite soeur...

Je cessa tout de suite mes pleurs, mes coups.

 - Tu, tu m'as appelé petite soeur ?

 

Notes de l'auteur :

Hello les Kyliens (J'ai trouvé le surnom qu'il fallait) je vous ai fait attendre avec cette partie hein ? En plus de mon virus non soignable appelé flemmardise, mon ordi à eu un gros et géant beug, du coup, j'ai pas pu tout faire. Bon alors racontez moi tout, cette partie vous a plu ? Je vous attends. *^* 

Au fait, il est possible que je parte pour la Normandie, du coup, j'aurais peut-être pas Internet, désolée. :'( 

 

Chapitre 4

"Un cauchemar, un souvenir, ou un rêve ?"

 

- Tu, tu m'as appelée petite soeur ?

Il tourna son regard vers moi, se rendant compte de son immense erreur.

- Excuses moi, je.. Je me suis trompé de personne.

"Cette homme ne sait vraiment pas mentir." Pensais-je. Il avait marqué un temps d'arrêt dans sa phrase, ce qui pouvait exprimer sa gêne ou tout simplement le fait qu'il cherchait un mensonge. C'était mon psy qui m'avait appris cela, un psy que ma mère avait convoqué pour l'on ne sait quelle raison.. Ou tout simplement je ne m'en souviens plus.

- Il est temps que tu me parles de toi non ? Tu avais une soeur ?

- Excuse moi, je ne peux pas t'en parler.. Dit-il, sortant un papier de sa poche avant de le serrer.

Le papier était assez vieux, déchiré, mais pourtant, on parvenait à lire quelques mots. Lorsqu'il remarqua le fait que je visionnais son papier, il  s'empressa de le ranger.

- Je veux que tu me parles d'elle. Ce papier à quelque chose à voir là dedans ?

Il hocha la tête. Cette histoire avait l'air très douleureuse pour lui, ses yeux devinrent rouges, et il serra de plus en plus fort ce mystérieux écrit.

- Excuses moi, je ne peux pas t'en parler, je n'y arrive pas.

- Ecoute, je vois bien que tu souffres, pour je ne sais quelle raison, je vois bien aussi que cette soeur était très importante pour toi, mais sache que pour te libérer de tout ça, tu dois en parler pour avoir la chance de l'oublier.. Ou même de souffrir moins que maintenant. Dis-je. Et puis si tu ne veux que personne ne le sache, ce n'est pas un problème, je ne serais plus de ce monde !

Je lui souriais, ce qui l'encouragea sûrement à me dévoiler ce qui se passait. Il plongea sa tête dans ses mains, nous étions tout les deux devenus adeptes de cette position.

- On habitait dans une maison, à la forêt.. Je vivais avec ma soeur, elle avait sept ans, et moi dix. Ma mère était femme de foyer et..

Il appuya sa tête contre ses mains, et reprit son souffle un moment pour pouvoir parler.

- Et.. notre père nous battait, moi, ma mère ainsi que ma soeur. J'arrivais à subir, j'étais un peu le pilier de ma mère et ma soeur. Si je m'effrondais, elles aussi s'effondraient. Ma bipolarité ne touchait que mon père bizzarement, ce qui me valut des coups en plus. Ma mère voulait le quitter, mais mon père la faisait chanter. "Si tu me quittes, tes enfants quitteront ce monde." Ma mère était entièrement soumise, et ma soeur très malheureuse.Ses seules consolations furent l'écriture, elle ne tarda pas à exprimer toutes ces souffrances sur des bouts de papiers, que mon père, non,  plutôt l'autre bâtard n'hésitait pas à détruire. Un jour, ma mère décida de tenter quelque chose, pendant que mon père était absent. Elle nous emmenait dehors et dit aussitôt : "Mes enfants, vous n'avez pas mérité de vivre une telle vie. Non, je vous offre la liberté, fuyez chez votre tante, je ne peux pas vous accompagner, votre père appelera. Zayn, toi qui est si fort, protèges ta soeur, ne vous quittez plus des yeux." Nous pleuriâmes quelques minutes, nous savions que nous n'allions plus jamais revoir ma mère. Nous partîmes, et une tempête arriva. Ma soeur se trouva bien vite séparée de moi, tandis que moi trouvais le chemin de la maison de ma tante. Je ne l'ai plus revue, et le seul souvenir que j'ai d'elle c'est... Ce petit bout de papier. Ma mère est morte avec mon père, non, plutôt ce bâ.tard, ce sa.laud.

Au fur et à mesure, les larmes dégpoulinaient le long de ses joues. Je n'avais jamais vu Zayn pleurer, ce fut un choc pour moi.

- Pourrais-tu me montrer ce papier ?

Il me le tendit, sans m'adresser de regard. Je pus lire "Comment se fait-il que le monde aie peur de la mort ? La mort n'est qu'un rêve, fermer les yeux, ne plus se réveiller, rêver infiniment. Vivre dans le silence et au monde des rêves, que demander de plus ? Non, moi je n'ai pas peur de la mort, je l'attends et impatiemment."

Une larme coula le long de ma joue. Cette histoire est tellement triste.. Par réf.***, je pris Zayn dans mes bras.

- Comment était-elle ?

Parmis cette horde de larme, je vis de dos, un sourire éclairer de peu ce visage.

- Elle te ressemblait beaucoup, têtue, sensible, susceptible, douce et innocente.

Nous restiâmes un bon moment ainsi, je ne pouvais plus lui en vouloir, c'était impossible. 

Il se leva subitement, se dirigea devant la porte et et agita la main.

- Repose toi.

Il me parlait avec ce petit ton agaçant et prétentieux que je détestais tant, avant de quitter la pièce.

- Même quand t'es triste, tu es toujours autant énervant toi. Soufflais-je.

Je m'emmitouflais dans la couette, et fis une sieste.

" Cette petite fille, qui paraîssait avoir aux alentours de 6 ans courait, criant un nom que je ne pu comprendre. Elle hurlait, quitte à se casser la voix, pleurant. Elle se mit à genoux, les larmes continuaient de couler. La pluie s'abattait sur elle, ses vêtements étaient déchirés. Sa cheveulure brune collait son visage, ses jambes étaient écorchés, munies de quelques bleus. Elle entendit un cri, elle se leva et couru de toutes ses forces, coinçant son pied dans une branche. Elle fit donc de ce que l'on aurait pu faire en 5 minutes, 10 minutes. Un homme semblait la poursuivre, cette petite fille courait de plus en plus lentement. La fatigue et la douleur se mélangeaient, elle s'arrêta devant un grand tronc,  et s'évanouit, semblant avoir perdu connaissance."

Je me réveillais, il était 8 heures. Je transpirais et haletais. Ce n'étais la première fois que je faisais ce genre de cauchemar. Non, c'étais les cauchemars de mon enfance, voilà pourquoi ma mère avait appelé un psy, pour comprendre la raison de tels cauchemards. Je n'eut pas le temps de réfléchir plus, Zayn débarqua en catastrophe dans ma chambre.

- Pourquoi tu hurles comme ça ?

- Je.. Je.. La fille, elle courait et...

- Calme toi, je ne comprends pas un traître mot de ce que tu me racontes, non, on en parlera demain, faut que tu dormes.

Il s'apprêtais à refermer la porte quand je l'interpella.

-  Zayn, attends ! Restes avec moi..

Il me fit un petit sourire malicieux et vint me rejoindre. Je m'aggripais ausitôt à lui, et m'endormis sur le coup.

Le lendemain, je me réveilla. Le cauchemar s'était envolé, comme si le fait que Zayn soit proche de moi était la clé de mes cauchemars..  Impossible.

A mon réveil, j'étais au salon, avec Zayn qui avait dans les mains un bol de céréales, regardant la télé.

- Qu'est ce que je fais là ?

- Je t'ai simplement ramenée au salon.

- Et pourquoi ça ? Je ne t'ai rien de mandé moi.

- Sachant que quand je ne suis pas là tu hurles comme une folle dingue, il fallait bien que je sois à tes côtés.

- N'importe quoi toi !

Je fus vite coupée par la télé, par le journal.

" Une adolescente de 17 ans portée disparue, après une soirée. Sa meilleure amie, avait avoué qu'elles étaient parties toutes les deux sans autorisation à la boîte de nuit de *****. Depuis, la jeune fille n'a plus réapparue, à l'image, une photo d'elle ainsi que le numéro à appeler."

Je vis la photo et c'était..

Notes de l'auteur : Coucou les Kyliens ! Vous êtes de plus en plus nombreux merci! Alors déjà, désolée pour le temps que j'ai mis à poster ce chapitre, mon ordinateur beugue trop ! Bref, j'ai trouvé un ordinateur pour vous mes amours, c'est le plus important ! Alors, ce chapitre vous a plu ? Vous avez appréciez cette découverte du passé de Zayn *^* Je veux tout savoir. Mp mes bébés. ^^

 

 

Coucou, 3 chapitres sont en cours d'écriture et je dois penser aussi à mes vacances et mon ordinateur qui beug.. Désolée de vous faire patienter.

 

Chapitre 5

"Je suis perdue..."

 

 

Je vis la photo et c'était.. MOI.

Attendez, stop, pause, pouce, coupez tout. Cette fille là, c'était moi ? J'écarquilla les yeux, maintenant on m'aurait confondue avec un poisson. Je me mis à les frotter frénétiquement, croyant à une illusion ou un truc du genre. Je jettais un petit coup d'oeuil à Zayn, juste pour voir. Lui était neutre. Il avait presque l'air ennuyé. Je crois qu'il ne réalisait pas.

 

"Voilà une mère ayant perdu sa fille, la mère de la disparue."

A l'entente de cette phrase, mon coeur fit un bond, mes yeux se remplis de larmes rapidement et mes oreilles se décollèrent pour mieux capter les paroles de la boîte magique.

Je la vis, elle, mon modèle, cette femme forte que j'ai toujours admiré. Cette femme avec qui je n'ai aucune ressemblance physique mais que j'ai toujours voulu ressembler mentalement. Elle était appuyée par Linda, je n'aurais jamais cru que mon absence l'affecterait à un tel point.

 

"S'il vous plaît.. Ma fille, Kylie me manque beaucoup, si vous la voyez ramenez la moi, je vous en supplie, que ce soit une question d'argent ou pas je vous donnerais tout ce que j'ai."

Il n'en fallut pas plus, j'arracha des mains la télécommande de Zayn, et éteignit la télé. C'était trop. Je m'écroula au milieu de la pièce, et me mit à pleurer très fort. Je pensais à chacun de nos moments.. Zayn voulut me consoler, il posa une main sur mon épaule mais je le repoussa violemment.

- Calme toi, c'est rien du tout.

Quoi ? Alors là, toute ma tristesse se trans a en rage incontrolable. Il avait osé dire que ce n'était rien ? Je me leva en un bond, et m'approcha de lui, le visage durcit de colère. 

- Tout ça c'est de ta faute ! Tu te rends pas compte ? Ma mère putain ! 

- Oh, c'est bon c'est..

Gifles, doubles gifles. Des gifles tellement fortes que j'en ai eu mal. Ces paupières ont changé, et lui aussi avait eu le visage durci. C'est ce moment précis que ma rage m'a quitté, et que j'ai couru vers la cuisine. Bon, c'était pas la meilleure pièce, mais la plus proche, mais elle n'était pas équipée pour qu'on puisse la fermer, avant que je ne m'en rendes compte, Zayn s'était aussi retrouvé dans la pièce, avec une arme. Il se trimballe avec une arme c'est ça hein ?

Il l'avait pointée cette fois-ci entre mes deux yeux, oui, j'avais signé mon arrêt de mort. Je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment là j'ai eu comme une force qui m'a poussé à me rapprocher.

J'avançais à petits pas vers lui. Et puis lui appuyais de plus en plus sur la gachette. "Je n'ai plus rien à perdre." me répètais-je sans cesse. Je me jettais aussitôt dans ces bras, je lui ai fait un câlin et j'ai pleuré. Vous ne comprenez pas ma réaction ? Rassurez vous moi non plus. Je ne sais pas c'était un besoin, j'avais besoin de faire sortir toute la souffrance que je gardais en moi. Alors je le serrais de plus en plus fort. Et lui restais immobile, il avait relâché son bras, et après quelques minutes laissé son arme. Il m'entoura alors de ces bras musclés.

- Pourquoi tu fais ça ?

 

Notes de l'autrice : Coucou les... Ahlala arrêtez avec vos regards remplis de hhaine ! Peace mes Kyliens Peace ! Pardon de l'attente ordi qui beug au max et problèmes familaux. Pardonnez moi mes amours, venez me gronder en mp . <3

 

ABANDON DE L'HISTOIRE. Ohmydollz c'est plus ce que c'était..

 

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