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MES MOTS, MES PHRASES, MES ÉCRITS, MES PENSÉES, MES PAROLES... BONNE LECTURE!
AUCUN PLAGIAT NE SERAS TOLÉRÉ.
Les êtres qui vous sont chers ne vous quitte jamais, peu importe s'ils demeurent à des milliers de kiomètre ou à deux pas de chez soit, ils nous suivent et demeurent en notre coeur.
DÉCLIC
Les astres s'échauffent
Les anges se dandinent
En attendant le déclic de nos vies
Le moment de fatale noirceur
Nul instant de répit
Il nous faut maintenant vivre
Demain nous offre la chance
De ne plus avoir de lendemain
La mort nous guette
Pendant que dans ce lit douillet
Nos âmes se consument
De l'amour qu'on s'offre
Douce mélancolie
Comment pourrais-je oublier, celle qui donne un sens à toute cette mélancolie, celle qui me rapproche sans cesse de ces instants passés auprès de toi? Trop jeune et trop naïve pour en profiter pleinement, en ma mémoire pourtant, est gravé chaque instant: ces douces journées d'été où nous marchions sur le quai, ces fin de semaine à se balader sur ce sable trempé,... En ces lieux humides et apaisants, son odeur venait gonfler nos poumons à profusion, pour que plus jamais nous ne rêvions à autre chose qu'à son éternelle beauté, pas étonnant que le soleil y choisisse son lit pour éteindre ses lumières. Elle s'imprégnait dans notre linge et nos souvenirs, pour que plus jamais nous ne recherchions d'autres odeurs que celle-ci. Avec sa douce mélodie, son parfum salin, sa beauté infinie, son goût qui assouvit le plus assoiffé et sa texture étrange et pourtant agréable, elle s'est taillé une place en chacun de mes sens, pour s'y rendre permanente. Enivrés de son parfum exquis, nous errions sur les plages du bonheur. Toi mon idole, moi ton petit amour, nous marchions main dans la main, laissant derrière nous nos problèmes présents, pour ne plus vivre que cet instant. On se complétait, on se comprenait, sans paroles ni artifices. Notre sang portant le même nom et nos pensées voguant sur la même marée.
Comment pourrais-je-t'en vouloir, d'avoir un jour voulu l'avoir, la posséder pour l'éternité. Tu lui as offert ton corps, pour qu'a jamais elle te berce. Et moi, trop jeune et trop cxnne pour lire en toi ce désespoir de ne plus être qu'en elle. Sur ce quai tu t'es jeté pour te libérer. Te libérer du poids de ton corps, du poids de tes troubles. À jamais tu coules à flots, dans les profondeurs de son ventre putride. Si tu savais comme je la hais de t'avoir enlevé à la vie, pour avoir simplement souhaité la sienne, le temps d'une vague. Je hais son reflet amer qui me rappelle les jours et les mois qui ont suivi ton enlèvement... Pourtant, je ne peux m'empêcher de l'aimer, autant que je la déteste, car elle est toi et tu es elle. Avec elle je me sent près de toi et je me souviens combien nous l'aimions. Bientôt je voguerai et sur mon bateau, j'atteindrai son coeur et je m'abandonnerai en tes langes. Tu me racontras comment elle t'a sauvé de la mort en te permettant en elle de vivre ton plus grand rêve vivant. Je repartirai en te disant que je t'aime plus que tout, toi, mon parrain, mon grand-père, maître des eaux.
L'HORLOGER DU TEMPS
Tourne toure grand horloger du temps
N'arrête pas ta croissance interminable
Pour quelques miettes de bonheur
Je te maudis oh toi maître du futur
Je veux une pause une trêve
Avant que tu n'enlèves à ma vie
Les quelques êtres qui me sont chers
DANS L'ÉCLATEMENT DU MAL
La souffrance du remords assourdi en toi ce goût de te tisser un destin, une saison protectrice. Un printemps à la dérive, te poussant au sanglot et à la honte , a suffit à abattre ce monde dont tu rêvais. Devant ces jours d'interminables tempêtes, tu ne peux qu 'espérer avec ferveur que ton sommeil t'apporte, ne serais-ce qu'un mirage, de beaux jours et de belles soirées. Avec de la patience et ton refus de cesser de rivaliser, tu n'as pu que remarquer la répétition des jours et ses multiples sabotages. Accablé par tes désirs avortés, tu demeures fébrile à tout ce qui t'entoure, ne t'attendant nécessairement qu'à une succession de pièges. N'ayant point de filet pour te soutenir, tu reste ici, dans l'éclatement du mal. Tu te négliges en attendant ton dernier souffle. N'entends-tu pas ta petite voix intérieure, celle qui te dit que ton salut et un nouveau départ viennent après la révolte, tout simplement? Croyais-tu vraiment pouvoir déjouer les plus hauts murs et les plus grandes montagnes par tous ces mensonges? Ils sont inutiles, puisque où tu es ce n'est pas en cachant ta honte sous ton bras et en te courbant le dos sous le trop lourd poids du remords que tu te bâtiras une vie légendaire. Maintenant, tu marches sans visage sur ce chemin froid, seul et sans but, laissant ton corps déchiré, déserté vers cette route de haine, comme les eaux du fleuve, transporté loin de celui-ci, s'offres sans combattre, victimes des chutes. Chacun de tes pas se substituant au précédant et t'exigeant tant de force que même une bête au cri à faire glacer le sang n'aurait pu te pousser à avoir. Ne dis pas, ne dis rien, débat-toi et reviens!
LA GRANDE FAUCHEUSE
Je broie du noir
Celui qu'apporte le temps
De la dernière heure la dernière minute
Je voudrais danser une dernière fois
Moi qui ne danse pas
Comment tromper la grande faucheuse
Elle qui ne dort pas
Qui rôde et qui guette
Je la sent près de moi elle est en toi
Tu me tues à main nue
Sans tes bras sans tes mains
Simplement d'un regard qui avoue tout
Mon coeur déchiré demeure au sol
Tu le piétines le ramasses puis le jette au loin
FASCINATION
Jamais je n'ai eu autant envie de la chair et l'amour d'une personne comme de toi. Je me donnerais à toi tout entière sans même te connaître. Tu m'a percer, tu as voler mon coeur et fait bouillir mon sang d'un simple regard, d'un sourir. Tout mes sens s'anime à ta vue. Je t'attend depuis si longtemps et ca m'effrai a l'idée que je pourrais te perdre. Ma vie, je te l'offre sur un plateau d'argent, à toi d'en faire ce que tu veux. Si je ne peux être avec toi, autant mourir tout de suite, car le cour de ma vie prend fin le jour ou tu n'y es plus. Mon souffle suis le parcourt de ton corps, mon âme s'épuise loin de ta peau et mes lèvres son glacial dans l'attente farouche des tiennes. Prend moi toutes entière et pour toujours, sinon jette moi dans les profondeur de l'enfer pour les pensées impurs d'où tu es l'acteur principal. Tu es ma source de vie et le poison qui m'attire peu à peu vers les profondeurs imperturbable du désir. Tel un venin prenant peu à peu possession de mon être, tu te tises une place en chacun de mes sens. Jamais je ne pourrai être satisfaite de ce dont tu m'offre, jamais tu ne seras assez a moi et avec moi. Tu es une drogue qui me tue petit feu à petit feu.
Déessefoxy: moi, ce que je suis, ce que j'aime, ce qui m'intéresse!
Marion62870: l'écrivaine, mes mots, mes paroles, mes écrits, mes pensées, mes phrases!
Deux magnifique dollz pour vous acceuillir... une seule et même personne à découvrir! Comme un mini-wheats: deux côté en une seule et même céréale :oP