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Bonjour !
Ici, j'écris une fiction fantastique,alors pour ceux que ça intéresse, venez la lire !
Je précise aussi que je commence seulement, c'est la première fois que j'écris une fiction, alors n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez =)
Pour ceux qui veulent s'abonner ou être prévenus de la suite, dites le moi par com'z ou MP =)
Si j'oublie de prévenir quelqu'un, prévenez-moi =)
Sur ce, bonne lecture à tous !
Important !
J'avais écrit la suite (4 ou 5 chapitres) sur des fichiers faits pour ça, mais ces fichers ont été supprimé par je ne sais quoi ! Du coup, tout réécrire va prendre encore du temps... Je suis vraiment désolée !
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Prologue
La femme aux cheveux bleutés déposa le berceau qui contenait l'enfant devant la porte d'une grande et imposante bâtisse. On prendra sans doute mieux soin de toi ici, pensa-t-elle en lui chantant une dernière fois la berceuse pour l'endormir. Une fois que le bébé fut endormi, elle sonna à la porte de la maison, embrassa une dernière fois sa petite fille qui lui ressemblait tant, et partie sans faire de bruit avec l'homme aux yeux pourpres qui l'attendait..
Réveillée par le bruit de la sonnette et les cris d'un bébé, la Maîtresse de maison se leva et alla ouvrir la porte. Quelle surprise elle eut ! Devant sa porte se trouvait un bébé dans un berceau qui poussait des petits cris. Quand elle souleva le berceau, un petit papier glissa. Sur celui-ci étaient écris d'une belle écriture ces mots :
Merci de prendre soin d'elle.
Elle s'appelle Aoko Murazaki.
Prenez soin d'elle comme votre propre fille.
Merci.
La femme regarda le bébé, puis le mot, puis rentra chez elle avec Aoko, qui lui paraissait être une petite bien étrange.
Chapitre 1
Avant même le jour d'entrée dans mon nouveau lycée, je savais déjà comment ça allait se passer. Ça se passe toujours comme ça. D'abord, tout le monde regardera la couleur turquoise étrange de mes longs cheveux ; ensuite on me dévisagera et ils remarqueront la couleur pourpre foncé de mes yeux où l'on ne distingue pas l'iris; après ce sera au tour de mes habits d'une couleur plus claire que mes cheveux et mes yeux;et pour finir, quand j'enlèverai mon écharpe de soie, toute leur attention se portera sur ma marque, d'une f.orme très particulière, colorée comme mes cheveux avec au centre une petite croix de la couleur de mes yeux. Je le sais car j'ai si souvent changé d'école que je ne voit pas en quoi cette fois-là serait différente. J’ai toujours eut envie d’être comme les autres, "normale", avoir des amis et me faire aimer. Pourtant, c'était impossible, même mes « parents » ne m'avaient jamais aimée, alors espérer avoir des amis, je peux toujours rêver !
Je suis Aoko Murazaki, LA fille différente.
Chapitre 2
Driiiiiiiing ! La sonnerie de mon nouveau lycée retentit. La surveillante allait bientôt me présenter à ma nouvelle classe. On m'avait assuré que ce lycée serait différent, comme pour tous les autres d'ailleurs.
La surveillante ouvrit la porte et me fit signe de la suivre. Je mis un pied en avant, deux pieds... et franchis la porte.Je n'ai pas regardé les élèves. La seule chose que je regardais, c'était mes pieds. Par contre eux, ne regardaient que moi ! Comme par hasard ! Je savais déjà ce qu'ils pensaient de moi. Eux ne savaient pas ce que je pensais d'eux. Ma seule envie sur le moment avait été de m'enfuir en courant et de ne plus jamais revenir !
J'entendis à peine la surveillante qui s'adressait à moi :
« Aoko ? Aoko ? Présente-toi à la classe s'il-te-plaît... »
Je lui lançais un regard ; elle avait l'air assez gentille, mais, comme pour les autres personnes, son regard ne reflétait que de la peur et de la crainte pour moi. Après tout, c'est son boulot de se montrer gentille avec les nouveaux. Pour faire plaisir à la surveillante mais surtout pour faire bonne impression, je me présenta :
« Je... je m'appelle Aoko Murazaki... J'ai 15 ans et... et j'habite ici depuis deux semaines...
-Très bien Aoko. Moi, répondit la surveillante, je m'appelle Hanna, et je suis une des surveillantes, et voici ton professeur principal, M. Kenzac.
-Vas t’asseoir au fond, Aoko, ordonna M. Kenzac avec un regard méprisant. »
Et voilà qu'il avait peur de moi aussi, et encore, le contraire m'aurait étonnée. Pour l'instant, je n'avais pas vraiment prêté attention aux autres élèves, car quand je me suis adressée à eux, je regardais plutôt le mur du fond... mais bon, j'étais sûre qu'ils avaient déjà tous peur de moi et me détestaient comme tous les autres.
Quand je me suis retrouvée au fond, je ne m'attendais pas à trouver un autre élève à la table qu'on m'avait désignée. D'habitude, personne n'osait me mettre à côté de quelqu'un et encore moins de se retrouver assit à côté de moi ! Le professeur me cria de l'autre bout de la classe :
« Et bien, c'est pour aujourd'hui ou pour demain ? J'ai un cours à faire et nous avons déjà perdu assez de temps comme ça ! Asseyez-vous immédiatement ou je vous renvoie ! »
Honteuse, je m'assis à la place que l'on m'avait donnée, à côté du jeune garçon , qui bizarrement, n'avait pas peur de moi. Ce qui était vraiment bizarre, c'est que personne ne faisait attention à moi.
Dès que le cours eut commencé, le garçon se tourna vers moi, m'observa, ce qui me fit rougir, et me tendit une main avec un large sourire, en disant :
« Salut, moi c'est Kyo Corill. »
Ce garçon... c'était la première fois qu'une personne s'adressait à moi en souriant et avec autant de sympathie ! Et ses yeux ne reflétaient pas les mêmes sentiments que les autres ! Ils étaient plein de... joie, d'amusement avec une pointe d'espièglerie en plus... ça me faisait bizarre qu'on s'adresse à moi comme ça, je ne savait pas vraiment comment réagir, mais décida de me présenter à mon tour :
« Sa... salut... je m'a... Je m'appelle...., commençais-je, mais il ne me laissa pas le temps de finir.
« Tu t'appelles Aoko Murazaki, tu as emménagé ici il y a 2 semaines, je sais , dit-il toujours en souriant. »
Devant mon air ébahi, il éclata de rire, ce qui me fit rougir encore d'avantage...
Chapitre 3
La journée d'aujourd'hui était passée tellement vite ! Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais je suis assez joyeuse... Est-ce parce que la plupart des élèves me considèrent comme "normale" ici ? Je n'en sais rien pour l'instant, mais je pense que cette nuit, je pourrais enfin dormir calmement...
FLASHBACK
-Dis Maman, elle est où ma vrai maman ? Et mon papa ? Ils sont où ? Pourquoi ils sont pas restés avec moi ?
-Parce qu'ils t'aiment, Aoko. Ils ne pouvaient sans doute pas s'occuper de toi. C'est pour cette raison qu'il t'ont confié à moi.
-Mais ils m'ont abandonné ! S'ils m'ont abandonné, ils ne peuvent pas m'aimer ! Ils m'ont jamais aimé, ils se sont débarrassé de moi !
- Aoko... non, ce n'est pas à cause de ça... Ils...
- Et toi non plus tu m'aimes pas ! T'es même pas ma vrai mère ! Et puis, tout le monde me regarde bizarrement ! Ils ont tous peur de moi ! Je vous déteste ! Je vous déteste tous !
-Aoko !
FIN DU FLASHBACK
Je me réveilla en sursaut, dégoulinante de sueur. Je regarde l'heure: 4h48. Moi qui croyait enfin pouvoir dormir calmement sans faire de cauchemars cette nuit ! J'arrive quand même à en tirer une conclusion: Je ne suis pas voyante ! Je me rendors dans un demi-sommeil, la tête pleine des images de ce passé qui est le mien...
Chapitre 4
Drinnnng... Drinnnng...J'ouvris les yeux en entendant mon réveil sonner en continu.Une nouvelle journée s'annonçait.Une journée que j'espèrais pouvoir apprécier.
Quand je descendis dans la cuisine, je trouvais un mot de ma mère me disant qu'elle ne rentrerait pas avant 3 jours au moins. Mes parents qui m'ont abandonnée. Mon apparence bizarre. Ma mère qui n'est jamais là. Si seulement... si seulement quelqu'un pouvait me tenir compagnie quand je suis seule... quelqu'un pour me comprendre...
Je regardais l'heure : 7h51. Zut, il fallait que je me dépêche ! Je pris mes affaires et partis en courant vers mon lycée. Sur le chemin, j'entendis tout d'un coup un voix... Une voix ? Qui est-ce qui m'appelle ? D'abord, était-ce bien moi qu'on appelait ? Je regardais autour de moi : personne.Mais d'où pouvait bien venir cette voix qui me suppliait de l'aider . « Je suis là ! Aide moi, je t'en prie !» Je levais la tête. Un chat. Dans un arbre. Quoi de plus logique ? Mais... était- ce lui qui m'appelait. Non. Impossible. Les chats ne parlent pas. Encore moins par la pensée. Je deviens folle. Oui, c'est ça, je deviens folle et j'ai des hallucinations. « Oui, c'est bien moi ! En haut ! Aide moi ! Je t'en supplie !», dit la voix. Je rêve... non, c'est un cauchemar... Je décidais quand même de l'aider. Je posais mon sac par terre et monta doucement dans l'arbre.
« Ne bouge pas, petit minou... ne bouge surtout pas..., lui dis-je.»
Je l'attrapais délicatement pour ne pas briser la branche friable, le pris dans mes bras et descendis prudemment de l'arbre.
« Merci infiniment, dit la voix dans ma tête.
-De rien, mais... se pourrait-il... cette voix... est-elle au chat ?
-Oui, répondit le... chat ?
-Mais... qui-es tu ? Comment se fait-il que... tu parles ? Pourquoi est-ce que... je peux "entendre" ta voix ?
-Tu ne te souviens plus de moi ? Vraiment plus ? Aurais-tu tout oublié ?»
Que se passait-il ? Me rappeler de quoi ? Qu'est-ce que j'avais oublié ? Qu'était donc ce... chat ? En quoi cela concernait-il mon passé ? Quels étaient ces souvenirs qui m'échappaient ?
Soudain, une douleur atroce me frappa à la tête. C'était insuportable. La dernière chose que je vis fut le sol se dérober sous mes pieds. La dernière chose que j'entendis fut le choc sourd de ma tête contre le sol. Ma vue se brouilla... je n'entendais et ne sentais plus rien. Noir. Tout était noir. Un noir obscur. Noir.
Chapitre 5
Ma tête tournait. Ce n'était pas vraiment désagréable, mais l'impression de tournis ne me quittait pas. Et puis, il y avait cette lumière, aussi. Elle me rendait aveugle, me plongeant dans le noir. L'impression de vide autour de moi avait l'air réelle. J'ouvris les yeux, tentant de contrer tous ces maux. Impossible, la lumière m'éblouis tellement que ça en devient violent. Je ne sentais rien, ne voyais rien et avais mal à la tête. Je ne pouvais me fier qu'à mon ouïe. Je tendis l'oreille et essayer de capter quelques sons. Un sifflement atroce me déchira les tympans et m'étourdit assez pour que je replonge dans un lourd sommeil.
Que... ? Que m'est-il arrivé ? Ah oui, j'étais en train de délirer et de parler à une sorte de chat et puis... plus rien. Mais la seule vraie question maintenant n'est autre que celle-ci: Où suis-je ?!
Je regardai autour de moi. La forêt. Mais cette forêt n'était pas celle près de chez moi. Nous sommes en automne. Alors pourquoi ai-je l'impression que nous sommes en plein été ? Des arbres à perte de vue, le doux gazouillis et le chants des oiseaux, une légère brise sur ma peau et quelques animaux camouflés par leur pelage dans les buissons. Comment avais-je atteri dans cette forêt... paradisiaque ? M'a-t-on amenée ici pendant le... le trou noir ? "Souviens-toi..." Aïe, j'entends de nouveaux des voix... Maintenant que j'y pense, ce "chat" avait l'air étonné que je ne me rappelle pas de lui. Non... non... pas maintenant... toutes ces drôles de questions sur mon passé ressurgissaient... Si seulement je pouvais me rappeler... mais de quoi, d'ailleurs ?
Je décidai de ne pas rester là à rien faire. Il faut que je retrouve ce "chat" et que j'obtienne des réponses. D'ailleurs, où était-il ? C'est sûrement lui qui m'a amené dans cet endroit. Il faudra lui demander quelques explications. Surtout sur ce sifflement épouvantable m'ayant fait un mal indéfinissable aux oreilles et cette lumière aveuglante. Un pas... Deux pas... c'est bon, j'avais encore l'usage de mes jambes. J'avançai en douceur, m'enfonçant de plus en plus dans cette forêt aussi calme soit-elle, l'impression de tournis ne m'ayant pas quittée.
Plus j'avançais, plus la forêt se faisait calme. Brrr... Un frisson glacé laissa sa trace pendant de longues secondes dans mon dos. Le forêt s'assombrissait et se calmait de tous les bruits petit à petit. Les animaux se faisaient plus rares et les petits buissons avaient été remplacés par des ronces féroces qui m'attaquaient les jambes et les chevilles. J'avais beau regarder en arrière, il ne restait rien de la forêt enchanteresse initiale. A ce moment, j'eus comme un mauvais pressentiment... Qui ne se révéla pas seulement être un pressentiment...
Je réussi enfin à me sortir des ronces et autre broussailles quand je vis un danger. Si quelqu'un avait vu ce... ce que j'appelait danger, on m'aurait tout de suite comprise. Il s'approcha à une vitesse surhumaine de ma petite silhouette. Une seule option se présenta: courir.
Je m'élançais.
Chapitre 6
La créature me poursuivait depuis une dizaine de minutes maintenant. J'étais à bout de souffle et j'avais atteint mes limites. J'avais pensé à faire face à ce danger iminent en m'arrêtant et mourir dans cette... dans un endroit inconnu, mais je m'étais résignée au dernier moment à continuer de courir. Je ne pouvais pas mourir ici. Pas avec toutes ces questions sans réponse que je me posais. Il fallait que quelqu'un réponde à mes questions. Ce quelqu'un, c'était sûrement le chat. Surtout que je m'en posais encore plus depuis son apparition. Je continuais à m'échapper vers les profondeurs de la forêt, bien que je sois sûre qu'elles ont déjà étaient depuis longtemps dépassées...
Ce monstre était inépuisable et ne me laissait aucun répit. Comment pouvait-il me suivre à la trace sans me perdre de vue ? Le danger était grand. Ainsi que la créature monstrueuse. Elle était haute de plus de quatre mètres, large de deux; cinq cornes gigantestques pointaient sur son crâne; des dents tranchante comme des rasoirs dépassaient des sa mâchoire grande comme un homme; des griffes aiguisées pour déchirer la chair; des yeux vides de tout sentiment "humain", des yeux qui reflétaient la soif de sang et la haine de cette créature. Quand je l'avais surprise dans la clairière, elle était en train de finir de dévorer son dîner. Je devais être les dessert.
J'avais dépassé mes limites, et pas qu'un peu. Je sentais dans tout mon corps des douleurs atroces. Mes yeux me piquaient et des larmes chaudes roulaient sur mes joues. Mon corps couvert de bleus et de plaies qui laissaient suinter quelques gouttes de sang... ?! Du sang bleu suintait des plaies ! Par quel miracle avais-je le sang bleu ?! Allons bon, ce n'étais pas vraiment le oment de s'étonner sur une autre anomalie de ma personne. Je commençais à manquer d'air et ma vitesse était largement en-dessous de celle d'il y a quelques minutes. J'étais au bord de l'évanouissement et la créature à quelques mètres de moi. Je trébuchait sur une racine dépassant du sol. Le souffle bruyant de la créature se fit proche et quelques secondes plus tard, je sentis son souffle rauque et sacadé dans ma nuque. C'était la fin. Pour moi, en tout cas. Je n'avais lus la force de me relever, je ne sentais plus mon corps, les sons se faisaient vagues et ma vue se brouillait. Il ne me restait qu'un sens. Je criais de toutes mes forces, si peu qu'il m'en restait, le premier mot qui me vient à l'esprit, sachant bien que personne ne m'entendrait:
-Kyooooooo !!! hurlais-je le plus fort possible.
Je distinguais une vive lumière apparaître pour grandir, grandir... et m'éblouir. Une silhouette humaine en sortit et s'approcha en courant. Ce sont les dernières images que je distingua avant de sombrer dans le Néant.
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Bon, voilà n'hésitez pas à commenter :)
Bonne journée !
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