Si tu reconnais tous les groupes présents dans les images de mon qsj, on va bien s'entendre !

Tell me what's my name !

 Si être fou devient à la mode, je m'auto-proclame normale. 

If you like to gamble I'm tell you I'm your man ! You win some, lose some, it's all the same to me.

You know I'm born to lose and gamblin is for fools but that's the way I like it baby I don't want to live forever !

Encore une fois c'est la vie qui s'entête, acharnée au-delà des images qu'on reflète : chacal, charogne, chaman, sachem, magie noire ou blanche inscrite à la Sacem.

Noir Désir - Lost.

Les Fatals Picards, c'est comme un feu d'artifice mais avec un seul bouquet final qui durerait tout le temps.

Il lui dirait alors, ces quelques mots d'amour, ces quelques mots d'à mort, ces quelques mots toujours... 

Dolores Riposte, Régis. 

Je fais partie de ceux qui rêvent d'aventures à qui il n'arrive rien et qui lisent les aventures de ceux qui voudraient ne pas en avoir. 

J'ai passé l'âge de fantasmer sur les clichés de la beauté, le message que ça fait passer m'donne plutôt envie d'me flinguer ! J'emmerde vos critères de cratère, vos publicités mensongères, prostitution publicitaire : Les tops models me font bé-ger !

J'préfère vivre pauvre avec mon âme que vivre riche avec la leur et si le blé m'file du bonheur je ferais ptèt' agriculteur...

Ridan, L'Agriculteur.

Je suis la réincarnation du Superman des gens qui savent pas tenir debout sur un skate. 

A se changer en Roi, à hurler à la lune, à traquer la fortune tout ça pour traîner son traîner son poids, au risque de s'y plaire au moment de s'y croire ! 

Il y a des jours comme ça, où on voudrait pleurer, on ne sait pas toujours pourquoi. Ce jour-là, il faisait jour, comme toujours. Quand les gens voyaient ma tête, ils baissaient la leur et ne me disaient pas bonjour. Mauvais jour. Journée de merde. Et il y a des jours comme ça, qui précèdent les jours d'après et qui suivent ceux d'avant. Mais comme toujours, ce n'est jamais pareil. Alors j'ai décidé de vivre au jour le jour. Mais ça ne marche pas toujours. Revenons à nos jours. Donc, il y a des jours comme ça où on oublie nos problèmes et tout nous paraît joyeux. On rigole et on espère qu'aujourd'hui reste toujours comme aujourd'hui. Et il y a des jours où on essaye d'en profiter parce qu'on a pas envie d'être demain. Parce que demain est un autre jour alors qu'aujourd'hui c'était trop cool. Jusqu'au jour où on se rend compte que demain c'est aujourd'hui en mieux mais que c'est pas toujours vrai. Et puis c'est pas demain la veille que ça changera. Enfin, il y a des jours où on écrit des textes un peu cons comme aujourd'hui...

Pourquoi j'ai pas écrit ça hier ?

Tu sais... Des fois j'espère. Mais quoi ? Je suis tellement incertaine, contradictoire, changeante, je doute parfois de moi-même. J'ai des amis en or, une famille complète, heureuse. J'espère peut-être pour les autres, pour ceux qui n'ont pas cette chance. Je crois n'avoir aucune raison de ne pas être heureuse, mais je pourrais en trouver plein, comme tout le monde. J'ai juste choisis de les mettre de côté, de les garder pour plus tard, de les ignorer. J'ai appris à vivre au jour le jour, j'ai appliqué ça aux heures, aux minutes, aux secondes. Parfois, le passé m'indifère, le présent me détruit et le futur m'effraie. Je jette un gros drap noir dessus et je ris, je ris de mes peurs, de mes angoisses, de moi. Je prévois rarement les choses à l'avance, je déteste ça et ma mère me le reproche souvent. On m'a des fois reproché mon attitude, mon comportement, et des fois, j'ai écouté. Personne n'a le même avis que moi sur tout, et vice et versa. Je me fiche de sourire sur mes photos d'identité, je me fiche de ma chemise rouge trop grande, je me fiche de ma tête sur les photos, je me fiche du grillons qui fait un bruit monstre dehors, je me fiche des relents du fumier en été, je me fiche d'être fatiguée. Rien ne me fera partir et, même morte, même enterrée au plus profond, même triste, même loin, même endormie, je serais toujours là...

Pour vous faire chier. 

J'ai pas l'habitude de me reconnaître dans les décolletés, les boutiques chics, les parfumeries, les fonds de teint à prix exorbitant ou le pot de peinture des filles que j'aperçoie dans la rue. J'crois que j'ai sû rester moi-même sans me cacher sous un masque, une couverture, une carapace capitaliste. Sûr, j'ai des comp***s, sinon je ne serais pas humaine, sûr, je prends soin de moi, sinon je serais un monstre. Mais je dose, je pèse, j'assume. Je ne suis pas mal dans ma tête, quoique peut-être un peu dérangée. C'est pour ça qu'on m'aime non ? Je suis parfois bizarre, incompréhensible. Je change d'avis comme de slip, voir même un peu plus. Je ne m'inquiète pas pour demain, je le répète souvent. Je n'ai pas honte de moi, de mon caractère, de mon physique, de mes actions, de mes têtes sur les photos. Pourquoi ? Parce que j'en ai décidé. J'aime pas les hypocrites, ça me dégoûte. Surtout le jour de mon anniversaire, tous ces gens-là qui vont me le souhaiter qui n'en ont rien à cirer. Bien sûr, je garderais juste ceux de mes Vrais Amis. Avec une majuscule, car ils le valent bien ! (Déjà vu non ?) Bref. J'ai pas honte de mes fréquentations, de ma famille (sauf mon père, mais rarement... :P), de mes amis (à ne pas confondre avec les simples fréquentations !), de mes goûts, de mon style vestimentaire, etc. 

Je vous aime tous. Appelez-moi Dieu. 

Moi je prie pour qu'il existe encore... Une vie avant la mort !

I'm a zombie, biatch !