Bonjour. 

Je suis la création littéraire d'Alexalynn. Elle avait envie de s'essayer à l'écriture depuis longtemps. Elle aime tout particulièrement les histoires fantastiques qui mettent en scène des vampires, c'est pourquoi elle a décidé de faire de l'une d'elles le personnage principal de son récit. 

En espérant qu'il vous séduira ... 

Bienvenue dans mon humble demeure.  

Je m'appelle Katherina Lynn Hawk. Je suis née dans une famille de l'aristocratie londonienne en 1688. Mon père était le Duc de Stratford. Il comptait sur moi pour faire un riche mariage et ainsi, renflouer la fortune familiale mise à mal par sa passion du jeu. Mais un soir d'octobre 1705, j'avais 17 ans et je profitais des derniers feux de ma seconde saison, quand tout a basculé. Et je suis devenue un vampire... 

Tout avait commencé une dizaine d'années plus tôt.

Mes parents se querellaient sans cesse, sans que j'en comprenne les raisons. Le scénario ne variait guère : après les cris et les coups, Père quittait la maison fou de rage et Mère se réfugiait dans sa chambre, me laissant seule sous la garde de ma nurse.

Comme beaucoup d'aristocrates, Père avait eu son content de maîtresses et j'avais beau n'être qu'une petite fille, les ragots des domestiques ne m'en avaient jamais rien laissé ignorer. Mais cette fois, les choses semblaient plus graves et l'angoisse patente des domestiques répondait aux sanglots de Mère. 

Père s'était pris d'amitié pour Andrew Mayburn, un aventurier qui rentrait d'Inde couvert d'or et de richesses.

Ils avaient fait connaissance dans une taverne de mauvaise réputation où la passion du jeu avait entraîné le Duc. Malheureusement pour lui, les hommes qui jouaient contre lui n'étaient pas des gentlemen. Lorsqu'il prétendit quitter la partie après une main victorieuse, ils exprimèrent leur amertume de vigoureuse façon, le laissant pour mort dans une ruelle après l'avoir dépouillé. Andrew Mayburn avait assisté à l'altercation et il se présenta en sauveur au Duc lorsque celui-ci repris ses esprits. De cette nuit funeste, Père et Monsieur Mayburn devinrent inséparables. L'un vouant à l'autre une reconnaissance éternelle quoique vraisemblablement usurpée...