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Bienvenue dans mon monde.
Je suis Olha Yukihime, la princesse de mon royaume, l'Ereindïll. J'ai 19ans je suis une elfe guerrière et j'ai l'age de gouverner a la place de ma mère Frenda l'actuelle reine et protectrice du royaume. Nous sommes les elfes de la sagesse et de la lumière incarnée, en symbiose total avec la nature nous vivons dans la forêt de Galïa.
J'ai une soeur qui s'appelle Isha et qui va surement devenir une grande guerrière comme moi. Elle a de beau cheveux bleu comme moi et un caractère de feu. C'est un vrai petit rayon de soleil.
Maintenant je vais vous parler de mon histoire pour arriver jusqu'ici :
Je suis née un 15 juillet, lors d'une très belle journée d'été. J'ai passé toute mon enfance dans une forêt, à quelques dizaines de kilomètres d'un petit village vivant principalement du commerce du riz, située au Japon. Nous n'avions aucun contact avec ces habitants. Nous, elfes, ne nous approchions pas de leur ville pour pouvoir continuer à vivre tranquillement, loin des conflits des humains et eux, n'approchaient pas de notre forêt car il paraitrait que de grands monstres y vivent, tuant tous ceux qui oseraient franchir la bordure des bois et s'enfoncer entre les arbres. Autant dire que tout ceci n'est que pur folklore, mais folklore qui nous arrange drôlement au final, même si on ne peut pas réellement prédire combien de temps cela durera.
Mon enfance a été partagée entre jeux et éducation. Particularité des elfes, ils ne sont pas particulièrement fertiles dans le sens où vous croiserez très peu d'enfants dans leurs villages. Avoir un enfant est, pour nous, un gage d'amour absolu dans le couple. C'est pour cela qu'à part moi, il n'y avait que deux autres enfants. Autant dire que nous étions toujours ensemble, que ce soit lors d'études ou bien lors de jeux. Je pense que le fait d'être ensemble nous rassurait et nous aidait à nous soutenir mutuellement. Toujours est-il que nous avons progressivement appris à vivre en adéquation avec le monde qui nous entourait, mais pas seulement. En effet, nous avons également appris à nous servir d'armes, notamment des arcs et des épées légères (de conception elfique, précisons), mais aussi et surtout, de la magie.
La magie, l'un des plus beau, mais aussi des plus dangereux arts qu'il puisse exister. La manipulation du mana et des flux élémentaires, afin de pouvoir utiliser cette source énorme de pouvoir et s'en servir comme on le souhaite, passe forcément par une ation poussée. Non pas que sans cela nous serions incapables d'utiliser la magie, bien au contraire, mais le discernement et la capacité de jugement ne nous sont pas innés et une erreur en magie est très vite sanctionnée très lourdement. Ainsi, avant de toucher à la magie, nous avons d'abord appris à développer notre jugement et à garder notre concentration en tout temps.
Je ne pourrais dire le temps que nous avons passé à ça, les jours défilant les uns après les autres. Mais vint le moment où l'on dût commencer à réellement nous servir de la magie et à découvrir nos affinités, nos éléments. Ce n'était qu'une étape, parmi tant d'autres. Cependant, j'avouerais volontiers que ce fut l'une d'entre elles qui me laissa le plus exténuée. Après cela, vint le moment de choisir nos armes. Personnellement, je choisis d'utiliser en priorité l'arc, en combinaison avec la magie. Mes compagnons choisirent plutôt l'épée, toujours en combinaison avec une e de magie. A partir de là, nous apprîmes à utiliser nos affinités en combinaison, à enchanter des objets, etc... Là encore, un certain temps passa, les étés succédant aux hivers. Puis vint le jour où nos maîtres nous annoncèrent qu'ils n'avaient plus rien à nous apprendre. Je ne saurais dire quels sentiments nous animaient à ce moment-là. C'était un mélange de joie, mais aussi de tristesse. Une période se terminait et une autre commençait. Depuis là, un grand vide s'invitait à nous. Nous étions libre d'aller où nous voulions, plus d'obligation de suivre des enseignements ou autre...
Cela dura quelques jours. Quelques jours durant lesquels mes compagnons et moi-même étions passablement désorientés. Puis, au fil de balades dans notre environnements qu'était la forêt, une envie et un souhait germa en nous tel une graine germerait au printemps pour devenir plante. Nous voulions franchir nos frontières, découvrir ce que le monde contenait. Nous n'avions jamais vu que des cartes, peintures et, de très loin, le village le plus proche de notre forêt. Ainsi, de concert avec mes compagnons nous fîmes nos bagages et partîmes vers les terres inconnues. Bien que mes parents n'apprécièrent que moyennement mon choix,il étais fait et je n'avait pas l'intention de revenir en arrière, mais le plus dur fus la decision de quitter ma soeur "sa ira" a t-elle dit...Mais je sais qu'au fond je vais lui manquer terriblement.
Je suis partie le jour des cerisiers en fleurs.
Armée de mon arc et de son carquois, mes compagnons avec leurs épées, nous sommes parti à travers les terres, évitant soigneusement les grands rassemblements de maisons, nous déguisant lorsque nous ne pouvions les éviter. Bien des aventures et de petites histoires surgirent, durant notre périple, mais elles ne sont que poussières dans ma mémoire. Elles resurgiront au moment opportun.
Puis vint le jour où tout bascula. Ce jour-là, nous étions, avec mes compagnons, en train de nous reposer au bord d'un petit ruisseau, au pied d'une colline partant vers le sud. C'est en défaisant une partie de nos affaires pour changer de vêtements que nous découvrîmes une chose qui n'était pas dans nos bagages précédemment. Il s'agissait de lettres, plus précisément de trois lettres. Chaque lettre avait nos noms respectifs. Olha Yukihime... Nénar Aeglos... Linaewen Alcarinquë... Nous avions tous une lettre qui nous était destinée. Personne ne savait où nous étions. Celui ou celle qui nous envoyait ces lettres devait avoir de très bonnes raisons de nous écrire et de nous retrouver. Ni une, ni deux, les lettres furent ouvertes.
Quelle surprise ce fut... Nous étions invités à nous rendre sur une île pour y vivre sans nous cacher ou cacher notre nature. L'invitation était très tentante. Après tout, n'avions-nous pas passé notre temps à nous camoufler et à nous cacher quand nous le devions, jusqu'à maintenant ? Personnellement, j'étais partante pour m'y rendre tout de suite, mes compagnons voulaient plutôt encore explorer un petit peu. Finalement, nous tombâmes d'accord. La route pour rejoindre le moyen de transport qui nous mènerait sur l'île descendait vers le sud, là où nous allions avant de nous arrêter. Pendant que je me rendrais sur l'île en première, mes compagnons pourront encore parcourir un peu la terre avant de venir me rejoindre.
Forts de cette pensée, nous partîmes le lendemain vers le sud et vers de nouveaux horizons. Il nous fallut quand même quelques jours pour arriver jusqu'à l'endroit où l'on était censé prendre le bateau. Le moment fatidique arrivait. Bien que nous étions heureux, et en même temps nerveux, il nous fallait encore passer au travers du petit village dans lequel se situait le port. Un dernier déguisement, surtout un bandeau pour cacher nos oreilles et un peu de toile pour couvrir nos armes, et nous arrivâmes finalement jusqu'au port. Il n'y avait là qu'un seul bateau avec un vieux marin assis devant lui. Lorsqu'il nous vit arriver, il se leva et vint se placer au milieu du ponton. on aurait dit qu'il nous attendait.
"Ahh... vous venez pour rejoindre l'île, n'est-ce pas jeunes elfes ?"
La question nous surpris. En à peine un clin d'oeil il avait pu cerner notre nature et savoir où nous allions. Nous lui expliquâmes alors ce que nous avions décidé de faire. A savoir que j'allais aller sur l'île et que mes compagnons me rejoindraient plus tard. Je ne saurais dire s'il approuvait cela ou pas, mais il me fit signe de monter à bord de son bateau. Une dernière accolade avec mes compagnons, quelques paroles échangées et je finis par monter à bord. Le bateau finit par démarrer et pris la direction de la mer. Je restai un moment sur le côté, à regarder mes compagnons devenir de plus en plus petits au fur et à mesure que je m'éloignais d'eux puis je finis par rejoindre le marin à l'arrière du bateau. Un sentiment de vide m'accompagnait. Je venais de laisser derrière moi une partie de mon âme, en la présence de mes compagnons. C'était vraiment la toute première fois que je me retrouvais seule, allant vers l'inconnu. Je pense que je peux dire, sans me tromper, que ce devait être pareil pour mes compagnons. Le marin tenta de me rassurer.
"Vous inquiétez pas, là où vous allez, vous n'aurez pas à vous faire de votre nature. Vous verrez, il y a des personnes de tous horizons et de toutes natures."
"Je ne m'inquiète pas de savoir ce que je vais y trouver, mais plutôt de laisser mes amis en arrière. Même si je sais qu'ils me rejoindront, ça me fait vide de savoir que nous sommes séparés comme cela."
Oui... les savoir loin de moins, sans que je puisse les aider ou autre m'inquiétait. Mais après tout, ne l'avions-nous pas voulu ? De plus, je sais qu'un jour ou l'autre, nous serons à nouveau réunis..
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