Kiss à toutes!!!

                                Si vous voulez voir ma tête, c'est cadeau :D

Ce que j'ai dans la peau plus que tout en ce moment c'est sa, je suis fan à l'excés de la série Sons of Anarchy <3

Jackson "Jax" Teller

L'homme parfait, beau gosse et un tempérement de feu, un bad boy en puissance, tout ce que j'aime <3<3<3

Bienvenue dans mon antre...

Mon histoire, êtes vous sûr(e)s de vouloir la connaître?

... Très bien, alors la voici...

Mon histoire débute une froide nuit d'hiver, très exactement le 23 Novembre 1728, à Shikoku, au Japon, frappé à cette époque par une immense famine.

Née de parents inconnus, qui pour me protéger, décidèrent de se séparer de moi à ma naissance, m'abandonnant à l'orée d'un bois sombre, je fût emmenée  par une créature de passage, prise de pitiée pour la pauvre âme abandonnée que j'étais...

Cette créature, mi-vivante, mi-morte, se prenomme Lestat, et est en réalité un Vampire, vivant dans une contrée reculée d'Europe, dans un Manoir Gothique caché aux yeux des humains.....

Charmant n'est-il pas?

Je vécu donc une enfance assez particulière au côté de Mademoiselle Dayu Minuki, la gouvernante, et de Monsieur Shin Ming le cuisinier, Lestat étant absent onze mois et demi  sur douze.

Je fut baptisée Alexandra, et vécu jusq'à mes 21 ans au Manoir, ou j'appris à jouer du violon et du piano, art pour lesquels je semblait douée au dire de ma gouvernante. J'appris également à manier l'épée et la dague avec Shin Ming, ainsi que l'histoire bien étrange de Lestat, dont j'ignorais encore qu'il était un Vampire. Toutes ces années, je vécu sans jamais le rencontrer   car il m'évitait soigneusement les deux semaine par qu'il passait là...

A la veille de mes 22 ans, ce samedi 22 Novembre 1750, Dayu vint m'annoncer que dans la nuit, une voiture viendrait, et que je devrais partir rejoindre Lestat dans sa résidence principale...

Je préparais donc mes affaires, rangea tous mes vêtements dans une malle, et attendit mon cocher.

Aux environs de minuit, des bruits de galop se firent entendre, et j'apperçu par la fenêtre un carosse tiré par quatres immenses chevaux noirs.

Il s'arrêta devant l'entrée, la cloche retentit, et je courru ouvrir la porte.

Je me retrouvais donc face à un homme d'un certain âge, d'allure très distinguée, et entièrement vêtu de noir.

Il demanda où se trouvais mes bagages, alla les chercher, les chargeas dans le carosse, et demanda de quoi boire pour ses chevaux. Dayu lui proposa de la suivre au salon et lui offrit une tad=sse de thé qu'il refusa très poliemment. J'était très intriguée par cet homme qui parlait à peine? Ses yeux étaient d'un noir profond, es sa peau était d'une extrême pâleur.

Quelques minutes plus tard, il m'invita à partir, m'expliquant qu'il ne pouvait faire la route que de nuit, et qu'il fallait arriver le plus vite possible au près de Lestat.

Nous nous mirent donc en route, après un aurevoir à Dayu et Shin, qui ressemblaient d'ailleur bien plus à des adieux.

Deux heures plus tars, nous arrivâmes devant un immense manoir.

Le cocher déchargea ma malle, fit sonner la cloche à l'entré et partit.

La porte s'ouvrit, laissant apparaître une vieille dame rondouillette, qui se présenta comme madame Alicia, la femme de chambre. Elle m'invita à entrer, et me conduisit dans ce qui semblait être le salon. Elle m'indiqua que Lestat était absent et qu'il rentrerait avant les premières lueures du jour, ce qui me parut étrange.

Un homme entra, et se présenta comme monsieur Wilfried, le valet. Il m'invita à le suivre, me disant qu'il avait monter mes bagages à l'étage, dans la chambre que j'allais occuper.

Une chambre magnifique, bien plus grande que l'ancienne, avec un grand lit à baldaquin, et aux murs, des portraits de gens étranges et pourtant terriblement attirants.

Je décidais de m'allonger un peu, et finit par m'endormir, rêvant à ma rencontre avec Lestat, lui qui m'avait sauvée...

J'avais comme l'impression que l'on m'observait, et l'orsque j'ouvris les yeux, je m'apperçu que les rideaux avaient été tirés, le jour s'était-il levé?

Je me levais donc, et tira l'un des  rideaux, mais il faisait encore nuit. Je n'avais pas remarquer que je n'étais plus seule dans la chambre, dans un coin sombre de la pièce, face au lit, un homme dont je ne distinguait pas le visage  était assis sur un fauteuil, et semblait m'observait.

J'eu d'abord un élan de recul, puis il se leva, et vint près de moi. Il était d'une beauté troublante,avec ses longs cheveux noirs, sa peau si blanche, ses yeux si noirs, que j'en eu le souffle couper...

Il me dit son nom au creux de l'oreille: "Je suis Lestat..."

Je ne pouvais pas parler, j'avais beau ouvrir la bouche, aucun son ne daigna en sortir. Je me posais tellement de questions, cet homme d'apparence si jeune, mais quel âge avait-il donc il y a 22 ans, lorsqu'il m'a trouvée près de cette sombre fôret?

Il mit fin à mes mes tergirversions, lorsqu'il me désigna un paquet posé sur le lit. Il me dit que c'était un présent qu'il m'offrait pour mon anniversaire, car aujourd'hui était un jour particulier me dit-il, il me souhaitas un bon anniversaire, me dit qu'il m'attendrais dans le salon, et sortit.

Je ne savais que penser, ayant du mal à croire qu'il était bien Lestat. Je décidais donc d'ouvrir le paquet, quand mes yeux se posèrent à nouveaux sur l'un des portraits accrocher au mur. C'était incroyable, l'homme sur le portrait, sur chacun des portrait d'ailleur, lui ressemblait trait pour trait. Il le représentait tous de nuit, tantôt assis sur un fauteuil, tantôt en armure monté sur un imposant cheval noir. Je m'approchais donc plus près, et vit alors un détail stupéfiant, chaque portait était signé et daté. L'un du 14 Août 1725, et l'autre du 6 Avril...1548!!!!

Ce ne pouvais être lui! Cela signifirais que cet homme était agé de plus de 200 ans? Je me ressaisit et en vint finalement à la conclusion que l'homme sur ce tableau de 1548 devait être l'un de ces ancêtres.

Je me décidais finalement à aller ouvrir la paquet sur le lit, et il contenait un magnifique robe noire, que je m'empressais de mettre.

Je descendit , et dans le hall, j'apperçu un immense horloge qui indiquait quatre heure. J'entrais dans le salon et Il était la, assis deavant la cheminée. Il complimenta ma tenue, et précisa que la robe avait était confectionnée sur mesure pour moi. Sur une table était posé un gateau, une théllière et deux tasses. Il m'invita à m'asseoir prés de lui, et m'offrit de prendre le thé et de manger du gateau. Lui ne pris rien de tout cela, un verre et une bouteille dont je ne pouvais voir le contenu était posés prés de lui sur une petite table.

Il m'observa attentivement, et finit par se lever. Il m'annonça qu'il se retirait dans sa chambre, et me dit que nous nous reverrions le lendemain, et qu'il aurait à me parler de choses très importante.

Je décidais d'aller à mon tour dormir.

Quand je finit enfin par me réveiller, il faisait grand soleil, et les rideaux avaient étaient ouverts. L'odeur du thé me chatouilla les narines, je m'habillais donc rapidement après avoir fait ma toilette, et déscendit à la cuisine. Etrangement, hormis ceux de ma chambre, tous les rideaux du manoir étaient fermés, et la lumière se faisait u***ment avec bougeoirs et chandeliers.

Madame Alicia s'affairait aux fourneaux, et préparer apparement un tourte. Elle m'acceuilla d'un sourire chaleureux, et me proposa de m'installer au salon ou elle me servirait le thé. Ce que je fit. Passant de nouveau devant l'horloge du hall, je vit qu'il était plus de quatre heure de l'aprés midi.

Lestat était là, lui aussi semblait s'être lever il y a peu de temps. Il me dis bonjour, et je pris place face à lui. Alicia nous porta le thé, et cette bouteille dont on ne voyait le contenu, puis elle disparue de nouveau en cuisine. Il me dit que ce soir, après le repas, il m'attendrais dans la bibliothèque, et que nous parlerons longuement.

Le moment de notre rendez-vous arriva vite, je dîna seule, et rejoins donc Lestat à la bibliothèque.

Avant d'entrer, je l'observais dans l'entrebaîllement de la porte. Décidément Il provoquait en moi un trouble immense, Il était debout et regardais dans ma direction.

J'entrais, et il m'indiqua un siège ou je m'assit. Il ne me regarda pas, comme si quelque chose le dérangeais. Je portais la robe qu'il m'avait offerte, et avait lâché mes longs cheveux noirs.

J'attendis, et il pris enfin la parole. Il allais me raconter l'histoire d'un homme qui ne peut mourrir, qui ne peut sortir en plein jour, qui ne peut se nourrir comme les hommes normaux. Cette histoire, c'était la sienne.

Il me raconta combien sa vie avait été longue, combien il avait été seul depuis qu'il était Vampire, car oui, sur les portaits de ma chambre, ce chevalier en armure peint en 1548, c'était bien lui.

Je crus d'abord rêver, le récit de sa vie semblait interminable tant le début de son existence remontait à loin. L'an 1232 très prècisément, le 28 Fevrier 1232, jour de sa naissance.

Il me raconta qu'il était le fils d'un paysan, et qu'il s'occupait de nourrir le bétail avec sa famille. Son père le battait, et sa mère ne lui adraissait jamais la parole, quand à ses frères et soeurs, ils étaient pratiquement tous morts. Une nuit, une armée sortie de la brume de la fôret, un groupe d'hommes, à mis son village à feu et à sang, ces hommes avaient massacré tous les habitants, et lui en était le seul survivant. Le chef des assassins décida de l'emmener avec eux.

Lestat était apparement fasciné par ces hommes, qui l'avait disait-il, libéré d'une certaine manière.

L 'homme qui lui accorda la vie, se nommait Dracula, et était lui aussi un vampire, le plus vieux de tous, le premier d'ente eux. Il mordit Lestat alors que ce dernier avait 25 ans. Ce jour là, le 18 Mai 1257, fut pour lui une renaissance. Dracula lui promit la vie éternelle, et le pouvoir sur les hommes.

Il continua son récit, jusqu'aux premières lueures du jour, puis il se retira dans sa chambre. Je n'étais pas éffrayée, mais plutôt fascinée par l'histoire qu'il m'avait contée toute la nuit durant.

J'allais me coucher, mais je n'étais pas sûre que cette nuit ait été réelle, au fond de moi, je pensais avec certitude avoir rêver...

Quand je me réveillat, il était tard, huit heure du soir environ. J'allais dîner, seule, et ne vit pa Lestat. Je ne le vit d'ailleur pas non plus les trois jours qui suivirent.

Puis, après ces trois jours d'absence, il revint au Manoir. Son comportement avait changer, il était moins distant avec moi, et nous passâmes les huits nuits suivantes ensemble, dans la bibliothèque. Il m'apprit l'histoire des Vampires, celle de Dracula. Il me confia que durant ses siècles d'existence, il n'avait trouver aucune femme dont il tomba amoureux. Qu'au fil des années, il avait eu des maîtresses, mais qu'il n'avait jamais éprouver d'amour pour elles.

Un soir de Janvier, le huit exactement, il me fit faire le tour des jardins du Manoir. J'étais tombée amoureuse de cet homme tellement mysterieux, qui m'avais sauvée. Il le savait, je ne pouvais le cacher. En rentrant cette nuit là, il me raccompagna dans ma chambre, et voulut me parler. Me parler comme il n'avait jamais parler à personne.

Il me confia ses sentiments à mon égards, me dit qu'il était troublé de ressentir sa, que c'était la première fois que sa lui arrivait.

Il ne passa pas la journée dans sa chambre, il restat avec moi, et comme une évidence, nous nous sommes unis, c'était la première fois pour moi, et j'aurais voulu que le temps s'arrête. Que la mort n'arrive jamais pour m'arracher à cet homme que j'aimais tellement.

Nous pâssames beaucoup de temps enfermés dans cette chambre, n'ensortant que pour aller nous nourrir, moi de fruits, de tartes, et lui de sang car ne l'oublions pas, il est un Vampire...

Chaque jour, mon coeur s'assombrissait, je songeais à l'avenir, savoir qu'un jour je serais vieille, et que lui ne vieillira jamais, mon coeur ne supporatis pas cette fatalité. Puis, un matin du mois de Septembre, ma vie bascula, l'éternité s'offrit à moi. Dans mon cou, ces marque, deux petits trous, faites pas Ses dents. Et dans ma bouche ce goût, ce goût si agréable de lui, de ce sang qu'il a versé pour m'offrir cette éternité. Cet don d'éternité avait comme quelque chose de magique...

Les jours qui suivirent furent difficiles pour moi, le passage du rien à l'infini fut dur. La soif immense de sang semblait impossible à assouvir. Puis, j'appris avec Lui à me nourrir, à tuer pour survivre, pour vivre.

A partir de ce moment, Alexandra disparue. Je n'étais plus la même, à présent j'étais Enid.

Nous traversâmmes les siècles ensembles, et furent auteurs d'un nombres incalculables de crimes, notre amour est aussi beau et pur qu'au premier jour, et nous survirons à tous, Nous les immortels...

Voici donc une partie de mon univers, un éclat de moi et de ma personalité, j'espère que vous avez aimer...

Si quelques courageuses ont lu jusqu'à la fin cette histoire (un peu (beaucoup) longue) Je les remercie.

Moi en quelques mots: Vampire, Nightwish, Kaname, Sons of Anarchy, Charlie Hunnam.....

Après pas mal d'hésitation, je me lance dans l'écriture d'un (tout petit) livre, le thème ne sera pas forcément vampirique, mais en tout cas, l'univers sera sombre et assez malsaint.....

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Mes Ombres