Cette photo est ***, on est d'accord ? Mais ton sourire, il est tellement chou. Enfin tu perds ce sourire en carton " :) " qui te ressemble pas. Du coup, malgré une photo pas réussie, des doigts d'handicapés qui se baladent sur la photo, un corset visible et d'autres détails pourris, malgré tout ça, je nous affiche avec cette vielle photo. Tout ça parce que j'ai envie de te faire un joli texte rien que pour toi *-* 

C'est vrai que y a moyen. J'suis sûre qu'on aurai dû être soeurs de nature non ? Moi ce que j'aime, c'est quand les gens font pas forcément la différence quand c'est toi ou moi qui écrit. ( rpz ma soirée avec un flan <3 ) Puis aussi, cette complicité un peu What the fuck. Ces délires qu'on a. "Une vraie amie c'est quelqu'un qui ne te laisse pas faire de ***rie seule. C'est quelqu'un qui les fait avec toi." Hein ça, ça nous résume bien. Courir partout à en perdre le souffle, se soutenir quoi qu'il arrive, affronter tout ce qui peut arriver, se prendre la tête aussi, bien se bouder, faire la paix. 

Après une quatrième ( 4 ! ) et une troisième ! ( 2 <3 ) ensemble, on a pas pu continuer notre parcours scolaire ensemble. Heureusement ? Ou Malheureusement ? Faut dire qu'on en faisait pas une ensemble, enfin, ce qu'on faisait c'est surtout rire et plaisanter. Donc heureusement pour nos cours, malheureusement pour le moral, on était séparé. DRAME. Non franchement, j'exagère pas. La première rentrée sans toi, c'était vraiment un Drame. J'avais des personnes que j'aime beaucoup avec moi, mais c'était pas toi. C'était pas pareil. Vraiment pas. Déjà l'allemand, wow. C'est quoi cette langue ? c'est pas ce que j'apprenais avec toi, elles sont où les équerres qui volent ? Les fou rire sont partis ou ? Eh madame ? Vous voulez pas me rendre "la température de votre mère" ? Non parce que sans toi, l'allemand c'était et ça reste du charabia. 

Eh ? Tu te souviens de notre couloir ? allez, approprions nous le. Le couloir de la troisième 2. Celui on s'est le plus rapproché, celui où on a passé des bons comme des mauvais moments, faut le dire y a eut de tout. N'empêche qu'on a tenu sans aucune engueulade. À l'époque on avait un peu prit comme devise " C'est nous, contre le reste du monde "