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POEMES
 
J'écris des poèmes "serieusement" depuis l'age de 12 ans. Et oui, je suis plus émancipé que je ne le laisse paraitre parfois :). J'ai 150 poèmes à mon actif, et je me force jamais à écrire, je laisse aller l'imagination, jusqu'à qu'elle m'enporte aussi loin qu'elle le peut. Ainsi, je peux ne pas écrire de poème durant 2 ans et ecrire 5 poèmes en une semaine. Cela ne dépend absolument pas de moi, c'est juste l'inspiration qui vient et qui part, qui n'a rien à voir avec moi. Voici quelques uns de mes poèmes :
 
Mélancholya
 
Le néant s'intensifie, l'espoir abdique
Une lueur s'éteint dans la pénombre
S'était la dernière, elle était pourtant si sombre
Si seule dans cet infini utopique

Ses yeux ont perdu toutes lanternes
Prouvant son reste d'humanité
La réalité l'enlace avec vénalité
Strige aux intentions ternes ...

Mélancholya
Son prénom raison dans mon crane et mes entrailles
Son cœur frappe dans ma rocaille
Je me dénude face à Mélancholya...

L'épaule s'affaisse sous son emprise
Le regard devient opaque
Le crépuscule se repend tel un anaphrodisiaque
Flamme s'exténue sous la brise

La prunelle desséchée de larme
Tout ne devient que cause et conséquence
Aucun intérêt à cultiver de semence
Empathie l'envahie pour les âmes

Mélancholya
Son supplice ma emplie de vices
J'adhère à mon sacrifice
Puisque plus rien n'a d'utilité sans Mélancholya ...

L'ombre inflige sa masse sur les cœurs
Sans risque d'être touché par ce mal
La démarche plus légère sous le vent glacial
Sa donne a changé tout les mœurs

Le noir apaise les yeux d'une même couleur nuit
L'inspiration du parfum de la pluie se mêle aux écrits
La roche s'anime et réagit subtilement aux mots choisit
Ceci est l'apogée des maux de la mélancolie ...

Mélancholya
Pessimiste et négative jusque dans mon sang
Son envie me pousse aux serments
Mais tout subsiste grâce à Mélancholya ...
 
Comtesse de la damnation
Une traqueuse de la moindre essence d'existence
Mon âme exsangue concupisce la violence ....
Rapière humecté d'une robe de rosée pourpre
Danseuse macabre à l'instar des pêchés stupres

Une pluie grenat dans laquelle je virevolte
Un instant mon cœur se réveillé en tumulte
Percevant encore ses ligatures qui l'asphyxient
Tout corps avalées, mais flapi d'anorexie ....

Une vouivre envieuse devant tant d'aisance
Se laissant croquer au-delà de sa pitance
Jusqu'au irai-je pour tarir se manque ?
Défaut illusoire qui m'abuse, un saltimbanque

Je veux un trou béant à la place du cœur
Valsé dans ses souvenirs qui se meurent
Si âpre de les égorgés de mes mains
Il m'est si simple de favoriser cette fin ....

Ces mots jaunis par le temps écoulé
Ce vermeil qui à enivrer mes pensées
Ce bleu qui ne peut subsister dans le passé
Devenant une émeraude d'espoir déchiqueté ....

Châtiant tout ce que j'ai pu devenir
Le pardon n'est admis que pour me punir
Cette voie que j'ai prise, celle de l'animosité
N'est que pour me blâmé de ce que je n'ai su garder.
 
 
 Valse avec la lune
 
Mon candélabre dans mes pensées d'encre de chine
Ma voie lactée d'argent dans mes nuits plus tardives
Tes bronzes prunelles épiant mes tentatives hâtives
Ton phonème taisant mes innombrables comptines


Oh, ma lune, ma tendre aimé, mon insoumise
Dit moi ô grand pourquoi, tant d'illumination ...
Tourne sur toi-même pour délacer toutes ces illusions
Montre ta face caché qui attise toutes les convoitises ...


Effleure mon écorce de tes doigts de braise
Murmure-moi tout ces frissons que je te procure
Tu me fais si souffrir à écorcher mes fruits mûres
Si lénifiant de reconquérir un d'antan si aise...


Toutes complaintes qui m'ont été octroyé
Tant de concupiscences que j'ai dû étouffer
Toutes ses traversé qui ton été éthérées
Feuilletant des pages vogué par un temps gelé....


Oh, Astre céleste m'ensorcelant à ta guise
De ta démarche enfantine si déterminer
Offre-moi ta main pour cette valse improvisée
Juste pour cet instant, découd de toute hantise


Je désirais tant être l'u*** être de ton cœur
Qui, par sa volupté, t'aurait tari de larmes
Dévorant par inadvertance toutes tes rimes
Servant à l'aphasie toutes tes fictives torpeurs


Tu es la comète qui sonnera mon requiem
Ma lueur si patiente malgré mes prudences
Dansons dans mon manège sans aucunes réticences
Et laisse moi disparaitre au son de tes « je t'aime »...
 
 
 
 La moire
 
Cette femme minaudant avec les damnés
Boucles d’ébène entremêle ses pensées
Fil d’argent noue ses prédestinées
Omettant sa guise à ses doigts de fées

Soumis en patin de bois sous tes valses
Egaré dans des songes qui me révulsent
Je réalise tes intentions qui s’impulsent
Mais ***e de tes cordons, je convulse

Crystalya, toi qui peine sous ton fardeau
Noues-tu mon lien rouge à ton annuaire ?
Tu peux encore espérer ton retour
Je suis incapable d’embellir tes maux

Tire-moi négligemment comme une carte
Amuse-toi à m’effiloché dans la nuit
Si ça t’aide à oublié l’infini
Epargne ses champs de brin que tu essartes

Crystalya, bourreau des avides de vie
Penses-tu cessé se pouvoir immoral ?
L’humain est abusivement infernal
Avoir un cœur pour être assujetti ?

Veuve noir qui tisse sa toile en voie lactée
Coupe tes fils, ses vies hasardeusement
Dévore tous volatiles fuyant son serment
Réjouit de ne pas être sous le péché

Tisseuse du temps, crois-moi il est plus facile
De ne pas prendre de partie inutile
Malgré que tes yeux soient si livides
J’accepte de naitre ni humain, que vide
 
 

DESSINS
 
Je dessine "sérieusement" depuis très jeune, facile depuis 7 ans. ça à toujours été une passion dévorante et forte en moi, et c'est toujours le cas. Bien sûre, j'en ai jetter beaucoup, mais à l'heure actuel, j'ai quatre portes vu de 120 pages pleine a ras bord. Bien que certains sont considéré de *** à l'heure actuel pour moi, je ne peut pas les jetté, c'est plus fort que moi lol
 

 


 RECITS/NOUVELLE/ROMAN

  Tout a débuté lors de mes 13 ans : un groupe d'amies et moi même ecrivions toutes en parrallèle une fanfic sur ff8. Depuis, écrire est une façon pour moi de m'évader et de rever. Ainsi, je suis à l'origine d'une petites 15ène d'histoires, que je n'ai jamais terminer. Je vous propose de lire le 1er chapitre de la dernière, et si cela vous interesse voici le lien où je l'expose : http://vampiresse-alterer.skyrock.com

 

Chapitre I : L'éveille.



J'ouvre les yeux, enfin. Voilà bien des mois que je n'avais pas vu la lumière du jour ... Des mois ? Non, en réalité, je ne sais pas de combien de temps remonte cette événement. Une décennie, peut-être.... Cette lueur réanime mon être en me picotant les pupilles, tel des stalactites qui se frappent violement contre une paroi séché de toutes larmes. Je n'ai ni chaud, ni froid, ni faim, ni soif ... Aucune douleur primaire. Non, je n'ai mal nulle part. Par contre, je ressens quelque chose, un vide, un je ne sais quoi qui ferrait la différence... Quelque chose manque, il en est certains. Où suis-je ? Cela ne m'inquiète pas, néanmoins je sens quelque chose qui s'enfonce sous mes gestes .... Qu'es-ce ? Une matière peu désagréable, qui se repend ça et là de manière aléatoire, fin et file, mais hostile pour son odeur inconnu à mes narines. La lumière m'aveuglant trop, je ne peux encore la voire. D'ailleurs, cette lumière est particulière, trop même. Elle n'est pas celle du soleil, c'est certains, elle est tellement plus sombre... Et je distingue qu'elle s'éparpille aussi. Quel lieu étrange ... Serai-ce l'après mort ? Un ange ou un larbin du diable viendra-t-il pour me soulevé de cette lourde déchéance ? Oui, je le ressens, il n'y a aucun doute là-dessus : Je suis un déchu. J'ai chuté. Alors ce sera un être à l'allure d'homme avec une fourche et une queue de succube qui viendra à ma rencontre certainement ; la détérioration n'est pas le ressentit d'un sain. Je le sais. Toutefois, je me rassure sur les connaissances vulgaires de croyance traditionnelle, je réalise que j'ai toute ma tête et que deux de mes sens sont encore éveillé, mais ... Pourquoi ai-je encore la sensation d'une défaillance ? Tiens, un bruit sec et brusque. Quelque chose de lourd viens de succomber, semblable à la sensation qui m'ha*** à mon statut actuel. Ça fait trois sens. Et pour mon goût ? Je sors ma langue et touche délicatement mes lèvres : c'est froid, âpre ... et amère. Quatre. Il ne manque plus que mes yeux, s'ils daignent s'ouvrir à nouveau, et affronter l'éclat brulant qui les ont terrifiés : je peux que constater que je n'en suis pas totalement leur maitre. La matière sur laquelle je gis me parait douce d'un coup, voir familière. Mes passages exquis sur elle lui donne une propriété massante, relaxante, apaisante .... Oui, se sentiment là, c'est de la plénitude. Je suis peut-être au paradis finalement. Cette idée ne me fit pas frémir, mais la lassitude piquait mon nez, alors que je n'avais même pas ouvert une paupière intégralement. Malgré ça, je me rendormis, si je dormais auparavant.
La lumière du jour. Cette fois c'est certain. Elle est éblouissante, mais pas éclatante et sombre. Le vide est toujours là, au centre de quelque chose qui semble être moi... Moi ? Qui suis-je ? ... Le vide explose en éclat, mon esprit m'abandonne légèrement, tentant de se rattacher à un souvenir quelconque, pertinent ou vain, pour répondre par un prénom, un être, un mot à la question survenu. Rien. Le vide devient oppressant, et une perception de néant nait au fond de mon cœur. Un néant de vide, mais infini. Quelle sensation étrange.... Je n'ai jamais dû la connaitre avant ..... Dans ma vie antérieur ... ou le début de l'actuelle. Mes yeux répondent alors enfin à mon message, et s'ouvrent docilement comme des fleures écorsant subtilement sous la lueur de l'aube, où parsèmerait en tout lieu des gouttelettes dû a la brume d'une rosée omniprésente, étouffant les brins d'herbes sous leur masses, brillante de milles éclats. Le zénith, l'apogée de la position du soleil. Je me redresse pour cessé de m'aveugler vainement. Mon premier geste fut de déceler le mystère de la matière pressente sous mon corps, à défaut de déceler celui sous mon âme. De la ... Cendre ? Mon inconscient criait à mon conscient de ne pas résoudre cette énigme, jouant l'inadvertance, craignant de sa résolution. J'abdiquai bien vite, jugeant l'intervention du reste de mon passé indécelable comme précaution révélatrice pour ne pas chuter. Peut-être même pour ne pas chuter une nouvelle fois ... J'accepte ce pacte entre mes deux partie, bien trop préoccuper par le lieu où j'étais, et dédaignant mon vide intérieur.

MON FORUM RPG

 Et voici l'aboutissement de ce tout : A la fois mon envie d'écrire, celle de dessiner/faire du graphisme, et mes compétences (médiocre) en in atique : Un forum RPG. Voici le lien et la synopsie : http://nyx-rp.forumactif.com

Histoire :

Nyx a toujours été un univers restreins. S’étendant sur seulement 500 km, il s’agit en réalité d’une mégalopole qui s’est construite sur des mètres de ruines. En effet, Nyx n’est en réalité qu’une partie du monde portant le nom d’Eris, monde où s’était rependu haine, guerre et sang depuis des siècles de conflits acharnés entre les races qui la regorgeait. La culture, les arts, les sciences, la philosophie et les spécialités se sont perdu dans se climat de peur continuelle. Mais un jour, l’on raconte dans les livres que des Dieux sauvèrent les races de leurs désarrois, créant une ville hautement technologique, en quête d’un futur paisible, en réintroduisant un minimum d’étique, dans le respect de chacun. Ses Dieux sont appelé les Moires. Après avoir crée les fondations de cette nouvelle ville, ils laissèrent les races la modelé à leur guise …..

Plus de XI siècles après ces événements, plus personne n’eu l’occasion de rencontrer un moire, mais une association de chasseur de prime, la guilde des hunters, proclame recevoir des missions particulières fournis par des moires qui les contacteraient par des signes particulier. Les hunters sont donc charger d’accomplir leurs missions pour soit disant « maintenir l’équilibre de Nyx ». La mégalopole est devenu désormais le berceau de la technologie, de la recherche, des sciences, voir même de l’existence. Le reste d’Eris est devenu une plaine gigantesque où l’on raconte que des monstres s’y dissimulent, avec les exilés de Nyx, autrement dit les gens protestant contre la guilde des hunters, des porteurs de maladies, ainsi que certaine espèces depuis longtemps oublier …. Autant dire que les habitant de Nyx sont des privilégiés, car même s’il s’agit du seul endroit habitable, il n’y à qu’un quart de la population d’Eris…. Mais il faut le dire, la guild des hunters leur dissimule bien des choses, autant aux habitants normal ainsi qu’aux hunters charger de réaliser leur mission. L’équilibre est près à basculer. Seriez-vous un résistant, un hunter ou un être insouciant ? Vivrez-vous à Nyx ou dans l’une des petites villes qui se e dans Eris ? Dans quelles espèces vous vous trouverez ? Rejoignez nous … et écrivez l’histoire.

جيل جنس مدينة دول
35 سنة إمرأة
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aucune Ghost love score/nemo (nightwish) la route sushi (l)(l)
اللون المفضل ألعمل الذي احلم به برنامج التلفزيون المفضل ألهواية المفضلة
noir (ok, c'est pas une couleur !!!) Alors je dirai le bleu. game designer/psycho aucune dessin, game, mangater, crire, lire, ...


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