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Kim <3<3<3<3
Tu veux être riche sans travailler? Pas de probléme envoie ce message à 15 personne en ligne,déco.necte toi puis reco.nnecte toi et la tu verras apparaître 100$$$+230fee'z Sa marche paaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaas
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Tu Peu Pas Te Retenir D'arracher L'herbe Quand T'est dans la pelouse
Toi Aussi Tu Cherche Un Stylo Alors Que Tu L'as Deja Dans la main Quand Ta Un Bleu Tu Peut Pas T'empécher D'abuiier Pour Voir Si Ta Vraiment Mal T'est Trop Heureux Quand Tu Te Reveille La Nuit Et Que Ta Encore Beaucoup De Temps A Dormir Si Toi Aussi Quand Tu Etaiit En Primaire Tu Regarder QueTon Age Au Fond Ton Vere Si Toi Aussi Tu Pousse La Porte D'un Magasin Alors Que C'est Ecrit Tirer Si Toi Aussi Tu Attend Avec Inpaticience Le Wek-End Des Le Lundi Matin Si Toi Aussi Tu Trouve Les Blague De Carambar Pas Si Drole Que Sa Si Toi Aussi Tu Marque Mdr Alors Q'enfaite Tu Rigole Pas Si Toi Aussi Ta Jamais Assez De Fringe Dans Ton Placard Si Toi Aussi Sa T'arrive De Rigoler Toute Seul Devand Ton Ordi Devant Une Blague Pas Aussi Drole Que Sa Si Toi Aussi Tu Trouve Que Les Parent Devrait Se Metre Plus Souvent A Nortre Place Si Toi Aussi Pendant Les Vacance Tu C'est Jamais Quelle Jour On Est Si Toi Aussi Tu Peut Pas Tempécher De Rir Quand Quelle Q'un Se Ramasse Si Toi Aussi Tu Pense Que Dora Lexploratrice Nous Prend Vraiment Pour Des Con Si Toi Aussi Sa Tarrive De Rigoler Toute Seul En Repensans A Un Souvenir Si Toi Aussi Tu A Toujours Une Chanson Nul Dans La Têtê Et Si Toi Ausii Cette Chaine Te Fait Sourir Parseque Tu La Trouve Vrai, Alors Copie La Dans Ton Qui Suis Je Pour Un Max De Sourire ! =D =) Il a rejoint Cannelle et Indy. J'adore les chevaux <3 Ils sont si magnifique que je pourrais les regarder le plus longtemps possible .Tout les mercredi apres midi(16H30) je vais au centre et avec mes copines on rentre vers 19H30;p C'est tellement bien qu'on voit pas le temps passer malheureusement ça passe trop vite :/:) Mon nom est Ange, J'étais dans mon box, j'étais heureux ... Ange J'étais dans mon box, j'étais heureux. Mais “ils”sont venus. Moi, innocent, j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai poussé un joyeux henissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et là, je “les” ai vu. Derrière eux, j'ai vu des cavaliers du club pleurer. Puis j'ai entendu ces mots que je n'ai pas compris: “on ne peut pas avoir autant de chevaux, il faut bien se débarasser de ceux qui ne nous sont pas indispensable. Or, Ange n'a pas eu de très bon resultas aux derniers concours.” Ange, c'est moi. “Ils” m'ont emmené dans un van que je ne connaissais pas. Dedans, il y avait aussi Canelle, une ponette qui s'était blessée à la jambe la semaine dernière. On a fait un voyage assez long puis “ils” nous ont fait descendre dans une cour. Ca sentait bizzare. Le sang, la mort, le crottin… Puis “ils” nous ont fait monter dans un gros camion oú il y avait déjà une dizaine de chevaux qui ont hennient en nous voyant. Mais ce n'était pas un henissement que je conaissait. C'etait un henissement de peur, de douleur, de détresse. Et là, j'ai commencé à ressentir la peur. La vraie peur. Je ne l'avait pas connue jusqu' ici. Cette peur que l'on ressent quant on ignore quelque chose de capital. Dans le camion, l'odeur s'est amplifié. C'était à la limite du suportable. Puis le camion a démaré brutalement. On a roulé longtemps. J'avais faim, j'avais soif. En voyage, j'ai fait connaissance du cheval qui était à coté de moi. C'était Indy, un hongre. Il avait une blessure qui s'infectait peu à peu à la jambe. Puis “ils” ont fait monter d'autre chevaux. Pour qu'on se pousse, ils nous ont fouété. Et là, Indy a trébuché. Il est tombé. Et un cheval lui a marché sur la jambe. Il ne pouvait plus se relever. Après quelques heures de souffrances horribles, il s'est eteint. Puis son corps a commencé à sentir. C'était horrible. Peu à peu, d'autres chevaux se sont éteints. De soif, de faim, de blessures, de desespoir. Enfin, le camion s'est arrété. “Ils” ont ouvert la porte. La lumière m'a aveuglée. Les autres chevaux voulaient sortir. Ils m'ont poussé. Je me suis tordu la jambe. J'ai eu mal. Mais j'étais obligé d'avancer. Dans d'interminables couloirs hantés par le sang, la peur, la mort. J'ai entendu un cheval henir, j'ai reconnu Canelle. Ma petite Canelle si courageuse. Puis on est arrivé dans un grande salle avec un planché en fer. Puis, “ils” ont fermé la porte et nous ont laissé là. Pas à boire, pas à manger. Un à un, beaucoup de chevaux sont morts. Ma Canelle aussi. Puis, un jour, “ils” sont venu me chercher. J'ai eu à boire. C'était bon. C'était la dernière chose que j'aurais eu de bon de ma vie. Ensuite, je suis entré dans une salle oú l'odeur, l'ambiance, m'a fait pa***. Je me suis cabré, je me suis pris un coup de gourdin dans les jambes. Puis, “il” est entré. J'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge. J'ai eu mal. Je me suis senti faible. Je me suis couché. Ou plutôt, je suis tombé. Et j'ai su. J'ai eu mal au coeur. J'ai fermé les yeux. Noir…… Voila maintenant un petit poeme triste mais vrai ! Pendant que je suis bien au chaud chez moi,
Cette histoire ne possède AUCUNE exagération. Tous les jours, des dizaines de chevaux subissent ça...
Mais "ils" sont venus. Moi, innocent, j'ai passé la tête par la porte de mon box et j'ai poussé un joyeux hennissement en voyant tant de monde venir me dire bonjour. Et là, je "les" ai vue. Derrière eux, j'ai vu des cavaliers du club pleurer. Puis j'ai entendu ces mots que je n'ai pas compris: << On ne peut pas avoir autant de chevaux, il faut bien se débarrasser de ceux qui ne nous sont pas indispensable. Or, Ange n'a pas eu de très bon résultats aux derniers concours... >> Ange, c'est moi. C'était moi. "Ils" m'ont emmené dans un van que je ne connaissais pas. Dedans, il y avait aussi Cannelle, un ponette qui s'était blessé à la jambe la semaine dernière. On a fait un voyage assez long puis "ils" nous ont fait descendre dans une cours. ça sentait bizarre. Le sang, la mort, le crottin... Puis "ils" nous ont fait monter dans un gros camion où il y avait déjà une dizaine de chevaux qui ont hennissent en nous voyant. Mais ce n'était pas un hennissement que je connaissais. C'était un hennissement de peur, de douleur, de détresse. Et là, j'ai commencé à ressentir la Peur.
La vraie Peur.
Je ne l'avais connue jusque ici. Cette Peur que l'on ressent quant on ignore quelque chose de capital. Dans le camion, l'odeur s'est amplifié. C'était à la limite du supportable. Puis le camion a démarré. Brutalement. On a roulé longtemps. J'avais faim, j'avais soif. En voyage, j'ai fait connaissance du cheval qui était à coté de moi. C'était Indy, un hongre. Il avait une blessure qui s'infectait peu à peu à la jambe.Puis "ils" ont fait monter d'autres chevaux. Pour qu'on se pousse, ils nous ont fouetté. Et là, Indy a trébuché. Il est tombé. Et un cheval lui a marché sur la jambe. Il ne pouvait plus se relever. Après quelques heures de souffrances horribles, il s'est éteint. Puis son corps a commencé à sentir...
C'était horrible. Peu a peu, d'autres chevaux se sont éteints. De soif, de faim, de blessures, de désespoir. Enfin, le camion s'est arrêté. "Ils" ont ouvert la porte. La lumière m'a aveuglée. Les autres chevaux voulaient sortir. Ils m'ont poussé. Je me suis tordu la jambe. J'ai eu mal. Mais j'était obligé d'avancer.
Dans d'interminable couloir hanté par le sang, la peur, la Mort. J'ai entendu un cheval hennir, j'ai reconnu Cannelle.. Ma petite Cannelle si courageuse. Puis on est arrivé dans un grande salle avec un planché en fer. Puis, "ils" ont fermé la porte et nous on laissé là.Pas à boire, pas à manger. Un à un, beaucoup de chevaux sont morts. Ma Cannelle aussi. Puis, un jour, "ils" sont venus me chercher. J'ai eu à boire. C'était bon. C'était la dernière chose que j'aurais eu de bon de ma vie.
Ensuite, je suis entré dans un salle où l'odeur, l'ambiance, m'a fait pa***. Je me suis cabré, je me suis pris un coup de gourdin dans les jambes. Puis, "il" est entré. J'ai senti quelque chose entrer dans ma gorge.
J'ai eu mal. Je me suis senti faible. Je me suis couché. Ou plutôt, je suis tombé. Et j'ai su. J'ai eu mal au cour. J'ai fermé les yeux. Noir......
Ange est mort.
Quelque part un cheval à le coeur plein d'effroi.
Pendant que je regarde la télé,
Quelque part on entend le cri d'un cheval blessé.
Pendant que je prends un bain bien chaud,
Quelque part un cheval part au couteau.
Pendant que je prends un bon dîner,
Quelque part un cheval est en train d'agoniser.
Pendant que je m'endors,
Quelque part un cheval est mort ....
Je m'appelais Meigo, j'avais des maîtres très gentils. Ils prenaient soin de moi, et la petite fille me donnait toujours des carottes et des pommes. L'été j'étais dans un pré magnifique, pleins de fleurs qui sentaient bon, et l'hiver, on me mettait dans un box toujours propre.
Un jour que j'étais attelé pour aider mes maîtres à emmener leurs légumes au marché, nous arrivâmes sur un chemin caillouteux, glissant, pleins de bosses et de trous. Mes maîtres me demandèrent de galoper. Je n'étais pas sûr, c'était dangereux. Ils me redemandent, je pars au galop. Je leur faisais confiance, jamais ils ne m'emmèneraient dans un endroit dangereux. Jamais ils ne me feront de mal...
Mais je mis le pied dans un trou très profond et je suis tombé, la charrette se retournant sur moi. Mes maîtres criaient. Après un instant noir, je sentis la charrette se soulever, puis quelqu'un me tirer par la bride. Je me suis levé, mais je suis retombé. Mon antérieur gauche me faisait souffrir horriblement. La petite fille criait, je ne comprenais pas ce qu'elle disait. Mes maîtres insistèrent, je me suis relevé.
Avec beaucoup de mal, je revins à la maison. Je savais qu'après ces terribles souffrances je découvrirais les bons soins de ma famille. Un homme arriva, celui qui venait chaque fois que quelque chose n'allait pas. Il parla à mes maîtres... La femme s'enfouit dans les bras de l'homme et la petite fille se mit à pleurer comme jamais.
Tard dans la nuit, la petite fille me rejoint. Mon pied me faisait souffrir, mais elle y faisait attention. Elle s'allongea contre moi, les yeux ruisselant de larmes et s'endormit.
Jamais je n'oublierais l'odeur de ses cheveux, ni la chaleur de son petit corps tout serré contre moi.
Le lendemain matin, le bruit de la porte de l'écurie me réveilla en sursaut. Je savais que c'était mes maîtres qui venaient pour me prodiguer des soins. J'en étais sûr. Je me suis levé avec difficulté, la petite se réveilla. Des humains que je ne connaissais pas me prirent par le licol et m'emmenèrent dehors. Mes maîtres y étaient, je hennis pour les accueillir. La femme s'enfuit le visage dans les mains, et la petite fille se mit à hurler. Elle se laissa tomber par terre, criant « Non ! Non ! ». Je voulais lui dire de ne pas s'inquiéter, je faisais confiance à ma famille. Ils allaient m'emmener dans un endroit où je serais soigné. Je voulais lui dire que je reviendrais bientôt...
Les hommes me firent entrer dans un camion. Je ne discutais pas, je faisais confiance à mes maîtres.
Il n'y avait ni eau ni nourriture, mais je me disais que c'était normal, jamais on ne me ferait de mal...
Après de longues heures interminables de souffrance, la porte du camion s'ouvrit. On me fit descendre, mais ils voulaient que j'aille plus vite. Un homme sortis un fouet et... AIE ! Il me frappa jusqu'à ce que je me retrouve devant un autre camion, cette fois pleins de chevaux. Je hennis, personne ne me répondit. L'homme me fouetta à nouveau, je suis entré. Pourquoi me fouettait-on ? Je ne faisais rien de mal... mais je faisais toujours confiance en ma famille. Je me disais que ce cauchemar allait bientôt finir, j'allais être soigné.
Dans le camion régnait une odeur de sang et de pourriture. Nous n'avions ni eau ni nourriture. Ma plaie causée par les coups de fouets me faisait mal, elle s'infectait.
Durant tout le voyage, près de la moitié des chevaux moururent. Soudain je vis un petit poulain. Il était seul, il hennissait, appelant du secours, personne n'y prêtait attention. Il devait avoir 5 ou 6 mois. Je le pris à mes côté, le rassurant. Je lui disais de ne pas s'inquiéter, les humains sont gentils, ils ne nous feront jamais de mal.
Après une durée interminable, on nous fit enfin sortir de cet horrible camion. Je respirais enfin l'air frais et sain de l'extérieur. On m'obligeait à avancer, malgré mon pied que je ne pouvais à présent plus poser. Le poulain me suivait, je le rassurais.
Nous entrâmes dans une toute petite pièce où nous durent nous entasser. Il n'y avait pas de place. J'avais faim, très soif et surtout très mal. Je me suis allongé, le poulain se coucha près de moi. Il me rappelait la petite fille.
Des hommes vinrent nous chercher l'un après l'autre. Mais aucun cheval ne revenait.
Puis ce fut le tour du poulain. Il hennissait si fort que tous le regardaient. Il ne voulait pas me quitter. Les hommes le forçaient, mais il tirait de toutes ses forces malgré l'épuisement. Je lui disais de faire confiance aux hommes, de me faire confiance. Jamais ils ne nous feront de mal. Ma famille m'a emmené ici pour me soigner. Je lui disais que je le retrouverais après. Je lui promis de ne jamais l'abandonner. Il s'en alla avec les hommes, continuant de m'appeler.
Ce fut mon tour. Je les suivis, tout heureux de savoir que j'allais enfin être soigné. Ils me tiraient, me fouettaient, mais je ne pouvais pas avancer plus vite...
Je suis entré dans une pièce où un homme m'attendait. Ca sentait fort le sang. Autour se trouvait pleins de corps de chevaux, inertes... je rejoignis l'homme. Il tenait un objet dans sa main. Il empoigna ma crinière, je me laissais faire, bien que je me demandais pourquoi il faisait ça. Drôles de soins tout de même. Il approcha l'objet de ma gorge...
Soudain je sentis une violente douleur ! Je voulus hennir mais aucun son ne sortit. Je suis tombé, sentant mon antérieur craquer une nouvelle fois sous moi. Je n'arrivais plus à respirer. Du sang coulait en abondance de ma gorge en feu. Je me sentais partir.
Soudain je vis le corps du poulain, inerte. Il avait une entaille à la gorge, de même que tous les chevaux présents dans cette pièce. Je compris alors ce qui m'arrivait...
Je mourrais...
Pourquoi les humains nous faisaient-ils cela ? Pourquoi ?
Moi qui les avais servi toute ma vie !
Ma douleur s'amplifiait. Je repensais aux cris déchirants de la petite fille, à la dernière nuit passée avec elle, allongés dans mon box. A l'odeur de ses cheveux, à la chaleur de son corps.
Je repensais au petit poulain abandonné, MON petit poulain, auquel j'avais promis protection. Je lui avais dit que je ne l'abandonnerais jamais... Et pourtant je l'ai envoyé à la mort...
Oui je le retrouverais... Mais pas dans l'endroit que je pensais... malgré tout nous seront plus heureux là où j'étais en train d'aller... J'avais offert ma confiance aux hommes... Et ils me faisaient tellement souffrir... Jamais je ne leur aurais fait ça...
Je voulais demander pardon à la petite fille, car je lui ai fait une promesse que je n'ai pu tenir... Je ne suis jamais revenu...
Je voulais m'excuser auprès de tous ceux à qui j'ai dit de suivre aveuglément les hommes... On ne peut pas toujours les suivre, car ils changent...Ils deviennent méchants... Egoïstes... Nous ne sommes pas des objets.
Je revis une dernière fois l'image du corps sans vie du petit poulain... puis je partis.... Quittant pour toujours cette terre sur laquelle j'avais si bien vécu, mais si mal finit...
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