Tu sais ce qu'il y a de bien chez toi ?

- Non !

- Moi non plus ...

�

---

�

�

- Le fix sonne: All� ?

- Oh t'es chez toi ?

- Non, je tra�ne avec le fix en ville.

�

---

-Tu sais respirer par le nez ?

-Bah ouais ...

-Tu peux fermer ta gueule alors !

---

�

-T'es comme l'eau en Afrique

- Ah bon je suis rare <3

- Non t'es pas potable !

�

---

-Driiiiiiiing...-Oui, allo?

-Salut c'est moi�:)

-Ah, �a m'aide �a ! --'

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- Je suis ivre de toi !

-S�rieux ?! :D

-Ouai tu me saoules

---

- Alors on prom�ne sa vache?�
-C'est un chien .

-C'est au chien que je parlais.

---

-Je suis nul en math , t'�tonne pas si j'te calcule pas.

---

- Ca va ?

-Je te dirais bien NON sauf qu'il va falloir que je t'explique pourquoi, alors OUI.

---

-Ferme la lumi�re.

-Ouais c'est �a et j'�teins la porte aussi ?

Un petit jeu :�

N�1: je dait te dire un secret, regarde au n�5

N�2 : La r�ponse est au n�11.

N�3 : Ne te mets pas en col�re hein ! ... Vas voir le n�15.

N�4 : Calme toi va voir le n�13.

N�5 : Regarde d'abord le n�2.

N�6 : Ne sois pas en col�re regarde au n�12.

N�7 : J'ai juste voulu te dire : n'oublie pas mon +2.

N�8 : Ce que j'ai voulu te dire c'est ... la r�ponse est au n�14.

N�9 : Sois patient regarde au n�4.

N�10 : C'est la derni�re fois que je vais te le dire ... Va au n�7.

N�11 : J'esp�re que tu n'es pas f�ch�(e) si je te dis ... � � � � � � ��lllllllllRegarde le n�6.�

N�12 : D�sol� ! Regarde au n�8.

N�13 : Ne devient pas fou ! Va voir au n�10.

N�14 : Je ne sais pas comment te le dire mais vas au n�3.

N�15 : Tu dois �tre vraiment f�ch�(e) ! Va voir au n�9.

�

PENS� AU GARCON�OU A LA�FILL��QUE TU AIM�!

-Maintenant pence � l'embrasser.

-Stop.

-Si tu mets ce msg ton Qsj.

-Vous serez amoureux tr�s longtemps.

-Sinon il te d�testeras a vie.

-Tu as 15 minutes maxi.

P♥ur�aimer,�c'est�facile!

P♥ur�l'♥ublier c'est imp♥ssible..

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C'est l'histoire de deux petites fille Lisa et Kathryn , que leurs parents sont partis travailler ( ils travaillent tr�s tard le soir ) . Les deux petites regardent la t�l� quand l'une dit � Lisa dit � Kathryn : " Il faut que j'aille au toillette , mais j'ai trop peur d'y aller toute seule " . Kathryn l'accompagne donc au toillettes et lui dit de chanter la chanson balle , balle , rebondi pour s'assurer qu'elle va bien . Alors Lisa rentre dans les toillettes et commence � chanter . Au bout d'un moment , la voix commence � devenir plus grave , comme celle d'un homme . Kathryn , inquiette ouvre la porte de la salle de bain et voit un homme qui fait rebondir la t�te de sa soeur sur le plancher ...

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Ce soir l� ,les parents d'Aur�lie et Marion on d�cid� d'aller au cin�ma sans leurs filles.Ce qui ne g�ne pas les petites filles.

-Ils sont partit demanda Marion � sa grande soeur Aur�lie

-Oui c'est bon

Elles se firent un bon plateau t�l� quand soudain un flash info d�barqua sur le programme sur la t�l� un m�decin en blouse blanche s'�cria:

-C'est une catastrophe!!Armande s'est �chapper ! Fermez porte et fen�tre vite!!!

Soudain Aur�lie se souvint ,Armande oui c'�tait une psycopathe emput�e des 2 jambes compl�tement ivre de sang!

-Vite Marion refermont toutes les fen�tres .

Seulement les petite avaient une trouille bleu. Elle coururent a l'�tage dans la chambre de la grande soeur.

-Marion met toi sous le lit� je me mettrait dessus comme �a au moins je mourrait au pire.

-boum boum shiiiit

-boum boum shiiit

-Au...Aur�lie tu as entendu ???

-boum boum shiiit

-boum boum shiiit

-Ce n'est rien c'est rien, bonne nuit

-ou..ou..oui



Le lendemain Aur�lie se reivella un coup d'oeil autour d'elle non personne.

-Marion r�veille toi aller vite!!!!

-Marion

-Marion tu es la??

Elle regarda sous le lit et vit sa petit soeur �ventr�e avec marqu� � c�t� avec le sang de Marion :�

Je sais ramper !!!

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Deux jeunes filles, Anna et Julie, sont assises sur les marches d'un escalier � c�t� d'une maison. Anna dit � Julie:
"-Cette maison est hant�e. A la nuit tomb�e, une dame voil�e de noir appara�t et tue les occupants de la maison."
-Pfffff..... des b�tises, ton histoire!
-Tu veux des preuves? Ce soir, nous irons dans la maison hant�e.
-D'accord!"
Le soir venu, elles entr�rent dans la maison et pass�rent devant un tableau qui les suivait des yeux. Elles s'enferm�rent dans une chambre � cl� et s'install�rent. Des bruits �tranges leur parvenaient et Julie voulut aller voir. Anna la retint:
"-Non, attends! Je viens avec toi!"
Une dame voil�e de noir apparut en effet et les filles coururent s'enfermer dans la chambre.
Soudain les filles se r�veill�rent et sur l'�cran le message suivant s'afficha:
� � � � � � �CE N��TAIT QU'UN R�VE!

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C'est l'histoire de 3 enfants qui jou�s dans les bois avec une balle . La fille , fit tomber
la balle dans un buisson , elle la reprit est decouvrit un passage secret dans les buissons . Les enfant d�cid�rent d'y aller .A la fin du souterrain , ils d�couvrirent un ***au abandonn� . Ils y rentr�rent et d�couvrirent des tableau d'une petite maison derri�re le ***au . Ils voulurent y aller mais la petite maison �tait ferm�e � cl� , mais , la porte s'ouvrit toute seule avec un Grincement horrible !!
Ils d�cid�rent d'y aller pour trouver � manger .
Mais , ils entendirent des pas qui provenant d'en haut , La fille se cacha dans l'horloge et les deux gar�ons sous un lit .
Ils virent un MONSTRE avec des t�tes coup�es accroch�es a sa ceinture ensanglant�es . Le MONSTRE vit les deux gar�ons , il lan�a le couteau a leurs cous : Les t�tes se coup�rent en deux !!! . Le MONSTRE prit les t�tes et les mangea avec ses mains . Puis il remonta en haut . La fille , t�riffi�e , sorta de la maison et pr�vena la police !!! Les policiers brul�rent la petite maison .
Depuis chaque soir , on entendait les cris des enfants tuer par le MONSTRE .

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Marine �tait une jeune fille tout ce qu�il y a de plus charmant. Elle �tait serviable envers tous ceux qui avaient besoin d�elle. Depuis peu, elle aidait une de ses vieilles voisines qui ne pouvait se d�placer facilement. Elle lui faisait ses courses.
Un soir, le 31 octobre pour �tre plus pr�cis, elle alla chez cette dame pour lui apporter ses courses. Voyant Marine transie de froid la vieille dame l�invita � boire une tasse de th�. Pour la premi�re fois Marine entrait chez cette dame. D�habitude elle allait directement mettre les courses dans un cagibi attenant � la maison.
L�int�rieur de la maison �tait assez triste. Les meubles, vieux et sombres, �taient couverts de poussi�re ; des chats �taient couch�s un peu partout, Marine eut l�impression qu�ils la fixaient du regard. Une odeur �cre flottait dans chaque pi�ce, l�air �tait difficilement respirable.
La vieille dame convia Marine � s�asseoir sur un des rares fauteuils non occup� par un chat. La dame partit dans la cuisine faire chauffer de l�eau pour le th�. Marine en profita pour regarder tout autour d�elle. Sur les murs �taient dispos�s des tableaux sombres repr�sentants des paysages orageux, des gens mis�reux. Mais ce qui attira particuli�rement l�attention de Marine, c��tait toute une s�rie de portraits de jeunes filles de son �ge qui avaient l�air terrifi�es ou alors d�une extr�me tristesse. De tous ces portraits se d�gageaient une incroyable douleur.
La vieille revint au salon en portant une th�i�re bouillante. Marine se leva pour l�aider, elle saisit la th�i�re et la posa sur la petite table. La dame la remercia et s�assit. Elle expliqua � Marine que le th� qu�elle avait pr�par� �tait � la cerise, que c��tait sa d�funte fille qui l�avait fait juste avant de mourir l��t� dernier. Le th� coula rouge comme du sang. La vieille dame demanda � Marine de lui raconter ce qu�elle faisait de ses journ�es � part aider les vieilles personnes. Marine commen�a � raconter qu�elle faisait de la danse, qu�elle chantait mais elle n�eut pas le temps de finir, la vieille dame se leva et expliqua � Marine qu�elle aimait bien prendre en photo les jeunes filles qui venaient l�aider.

Elle attrapa un petit appareil pos� sur la commode derri�re elle et le d�posa � c�t� de sa tasse. Elle incita Marine � boire son th� alors qu�elle lui parlait de ses petits-enfants qui ne s�occupaient jamais d�elle. Marine porta � ses l�vres la tasse bouillante tout en �coutant les histoires de la dame. Le th� lui glissa dans la gorge.

Elle se mit alors � crier et � recracher son th�. � Mais�mais c�est�du sang ! �
Elle devint alors livide lorsqu�elle vit le regard cruel de la vieille dame. Celle-ci se leva et saisissant l�appareil photo dit d�une petite voix terrifiante : � Enfin tu es � moi pour toujours ! � Elle prit en photo Marine qui s��croula aussit�t. La vieille dame d�veloppa la photo et la mit avec les autres portraits. Elle lui avait vol� son �me et l�avait enferm�e dans le portrait. La vieille dame prit le corps, l�emmena dans une pi�ce ferm�e � c�t� de sa chambre et l�assit sur une chaise au milieu de tous les autres, elle dit alors d�une voix nasillarde : � � la prochaine � et disparut comme par enchantement.

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� �Et soyez sages ! � nous dirent mes parents avant de claquer la porte.
� Nous �, c��tait ma s�ur Naura, et moi, Tom, ainsi que nos amis, Ben et Sarah qui passaient la soir�e chez nous, pendant que nos parents d�naient chez des amis.�
Quelques secondes apr�s que la porte se soit referm�e, apr�s que ce soit fait entendre le son m�lodieux de la voiture qui d�marre, nous abord�mes des visages radieux, pr�ts a passer une soir�e inoubliable.�
-Ta maison est tellement grande ! s�exclama Ben en faisant quelques pas. Ni lui ni Sarah n��taient encore jamais venus chez moi, nous ne les connaissions que depuis le d�but de l�ann�e, mais cette amiti� commune nous avait rapproch�, ma soeur et moi.�
Sous nos regards amus�s, Ben continuait de s�extasiait sur les meubles, le jardin, tout ce qui composait notre maison. Il faut reconna�tre qu�elle �tait vraiment spacieuse.

La soir�e commen�a avec une� baignade semi nocturne dans ma piscine. On se laissait porter doucement par les remous artificiels du bassin, rigolant � propos de n�importe quoi, parlant de tout en sirotant des bi�res� un samedi soir d�tendu, entre amis, ou on oubliait tout nos soucis.
Sarah commen�a � m�arroser, je r�pliquait avec fougue, Naura vint a son secours et Ben au mien, et c�est ainsi que l�on passa un long moment a s��clabousser, a se couler, en riant de bon c�ur.�
Puis nous nous s�ch�mes et on emporta les bi�res au salon, les discutions reprirent et les rires aussi.�
-Eh, les amis, �a vous dirai qu�on se regarde un film la haut ? Demanda Ben.
Je sentait que Sarah en avait aussi envie, mais elle attendais ma r�ponse ou celle de Naura pour le dire a haute voix.
Mais nous �tions tout les deux �videmment d�accord. Il faut dire que mon p�re a une collection impressionnante de DVD, dont la diversit� n�avait d��gale que sa quantit�.
Une fois en haut, Ben arpenta les rayons de l��tag�re de la chambre de mon p�re, comme un enfant l�ch� dans une r�serve de bonbons.�
Apr�s quelques minutes, il s�exclama:
-Bon, j�ai fait une petite s�lection.
-On t��coute, lui r�pondit Naura.
-Alors, il y a Scary Movie..
-Oh non, s�rieux je les ai tous vu et puis on a pass� l�age, non ? Se plaignit Sarah.
Ben ne semblait pas du tout d�accord, mais il ne dit rien.
-Requiem For a Dream�
-Celui la, je crois qu�on a tous vraiment vu trop de fois, dit-je, et puis on va tous d�primer apr�s, c�est pas la but de la soir�e.
Quand Naura s�aper�u que le prochain DVD que Ben allait nous proposer �tait � Fight Club �, elle d�cida qu�il �tait temps de prendre les choses en main.
-Les gens, �a vous dirais qu�on se regarde un film d�horreur ? Demanda-t-elle avec un petit sourire. Vous savez, c�est ce m�me ton que les parents emploient pour demander a leur enfant s�il veut le jouet qu�il admire dans la vitrine depuis 10 minutes. En effet Sarah adorait les films d�horreur, et Ben aimait tout les genre de films.
-Oh ouais, carr�ment ! S�exclama Sarah. Mais pas un petit film pour ados pr�pub�res comme on en a trop vu, un bon gros film bien effrayant !�
-Ouais, bonne id�e, �a fait longtemps que j�en ai pas vu un ! Ajouta Ben.
Je n�aimais pas trop la tournure que prenait la soir�e.
-Ouais, ou sinon un film d�aventures� Sugg�rai-je timidement, mais personne ne fit attention a moi, ils �taient tous emball�s par l�id�e de Naura.

-On peut voir REC, proposa Naura.
-Je l�ai vu il n�y a pas longtemps, r�pondit Sarah.�
On chercha donc, parmi l�imposante collection de DVD de mon p�re un film de pr�f�rence peu connu et effrayant, qu�aucun d�entre nous n�ai d�j� vu.
On en trouva un. Le nom du film, l�image sur la jaquette et la de ion au dos semblait tout � fait correspondre a ce que mes amis recherchaient. Honn�tement, je n�avais pas du tout envie de voir un film d�horreur. Mais je voyais que cela leur tenait a c�ur, et, ne voulant pas g�cher la soir�e, je gardai le silence, allant m�me jusqu'� simuler un semblant d�enthousiasme.
� contrec�ur, j�ins�rais le DVD dans le lecteur, pendant que ma s�ur et nos deux amis s�installaient confortablement, visiblement tr�s excit�s.�
J�appuyais sur Play.
-J�esp�re qu�il fait vraiment peur, dit Ben, �a fait une �ternit� qu�un film ne m�a pas r�ellement foutu les jetons.�
Apr�s un court silence, Naura s�exclama :�
-Non, �a ne va pas, met en pause, Tom !�
Je m�ex�cutais en soupirant.
-On peut savoir ce qu�il y a ?
-Ben a raison, on veut vraiment avoir peur, il faut qu�on se mette en condition.
Je ne savais pas trop ce que � en condition � signifiait exactement, mais la perspective de retarder le moment on regarderai le film, donc d�entamer encore plus la soir�e ne me disais rien. J�esp�rais que Sarah se rangerai de mon cot�, mais en voyant les lueurs d�excitation briller dans ses yeux, je su que je ne devait pas compter la dessus.
-D�j�, on va �teindre toutes les lumi�res. Proposa Naura.
-C�est la base, acquie�a Sarah, et on pourrait aussi allumer des bougies !
-Je sens que cette soir�e va �tre m�morable, s�exclama Ben avec un grand sourire.
Ils s�ex�cut�rent donc.
-Bon, est ce qu�on peut commencer ? Demandai-je avec une pointe d�agacement.
Je devait reconna�tre que le rendu �tait plut�t bon, �tant donn� l�objectif de mes amis : les lueurs des bougies donnaient un charme myst�rieux a tout les objets se trouvant dans la pi�ce, rendant l�atmosph�re plus secr�te, plus intime, et finalement l�g�rement inqui�tante. Mais manifestement pour Naura �a n��tait pas encore assez.
-Non, �a ne suffit pas, r�pondit-elle. Il faut que l�immersion soit totale, il faut qu�on ait peur avant m�me qu�on lance le film. Aucun de nous n�est terrifi�, la, il faut qu�on trouve autre chose.
Ben, qui �tait en m�decine, �tait toujours ravis de pouvoir apporter des connaissances que seul un �tudiant en m�decine pourrait apporter. Ainsi, il lan�a :
-C�est scientifiquement prouv� qu�une basse temp�rature augmente la capacit� de r�ception � la peur, d�o� le ph�nom�ne de � Chair de poule � qui nous permet de constater que le corp peut avoir la m�me r�action a la peur qu�au froid.
-Et ? Lui demandai-je, tu veut qu�on regarde le film � poil ?
-Non, mais on pourrait ouvrir les fen�tres en bas, �a ferait un doux courant d�air qui nous ferai juste frissonner assez, sans avoir compl�tement froid. Et puis avec un peu de chance le vent �teindra une a une les bougies pendant le film, et �a ce serait vraiment angoissant.
Ce dernier argument acheva de convaincre les filles, qui approuv�rent tr�s fortement. Je soupsonnait la bi�re d�influencer quelque peut leur d�cision.

-Super, s�exclama Naura, on va en bas et on ouvre tout ! On prend chacun une partie de la maison pour aller plus vite, et on se retrouve dans 10 minutes en bas de l�escalier.

Peu de temps apr�s, nous remontions, accompagn� de la l�g�re brise qu�avait entrain� l�ouverture des fen�tres.�
-On peut commencer ? Demandai-je, dissimulant de plus en plus mal mon exasp�ration.�
-Ouais, r�pondit Naura en appuyant sur play, toute exit�e.
Dehors, il commen�a a pleuvoir.
-Maintenant c�est parfait ! S�exclama Ben, ravi.
Comme pour lui r�pondre, la pluie s�intensifia.
Le menu du DVD s�afficha, la toile de fond �tait une chambre vide ou les rideaux voletaient doucement, et ou des cris �touff�s venaient ponctuer ce spectacle. Mais le son �tait beaucoup trop fort.
-C�est pas un peu fort ? Demandai-je a Naura, en haussant la voix pour me faire entendre.
-Tu veux �tre vraiment immerg� dans le film oui ou non ? Me r�pondit-elle.
Au moment ou j�allait r�pondre, Ben s�exclama :
-Non, c�est parfait comme �a, lance le film !�
Je ne dis plus rien, mais je ne me sentais plus aussi enjou� qu�au d�but de la soir�e. Je ne comprenais pas ce d�sir si fort d�avoir peur que ressentaient mes amis, la lueur �trange des bougies que la brise faisait vaciller, le volume anormalement �lev�, tout commen�ait a me mettre mal a l�aise.
-J�esp�re que le film va �tre a la hauteur ! S�exclama Sarah.

Et il le fut.�
Le film fut terrifiant.�
Plusieurs minutes apr�s la fin du g�n�rique s��coul�rent avant que l�un de nous ne dise quelque chose.
-Waou� quel trip ! S�exclama Ben. T�en as pens� quoi, Tom ?
-J�avoue que c��tait intense, chuchotai-je, pas tout a fait remis de mes �motions.�
-Je me demande si c��tait une si bonne id�e que �a, dit Sarah. Peut-�tre que �a a trop bien march�.
Elle n�avait pas tord, nous nous sentions a pr�sent mal � l�aise et peu confortables. Ben tenta de faire une blague, mais personne ne r�agit. La pluie continuai de tomber, et les gouttes d�eaux s��clatant sur les tuiles faisaient un bruit peu rassurant. Le grondement d�un orage se fit entendre.
-Je�je vais allumer la lumi�re, dit Ben, pendant que Naura se dirigeait vers le lecteur de DVD pour en extraire le film.
-Tom, je ne trouve pas l�interrupteur ! S�exclama-t-il.
Les lueurs de la nuit �taient pour le moment notre seule source de lumi�re, car le vent avait �teint toutes les bougies, et la pluie avait rendu l�atmosph�re humide. Je me levais pour aider Ben . L�interrupteur �tait visible malgr� la semi obscurit�, je ne comprenais pas comment il pouvait ne pas le voir. � Le film a du vraiment le secouer �, songeai-je.�
J�allumait donc la lumi�re, et l�ambiance devint soudainement beaucoup plus rassurante.
Quelques minutes plus tard, l�atmosph�re, a la diff�rence de l�air ambiant, commen�ait a se r�chauffer.
-N�emp�che, on est des g�nies, dit Sarah avec malice.
-J�avoue, dit Ben, c��tait grandiose. On a pouss� la peur dans ses derniers retranchements ! J��tait vraiment mal juste a la fin du film.
-Moi aussi ! On s�en souviendra de cette soir�e !

Et tout aurait pu s�arr�ter l�. Ca aurait pu �tre un samedi soir sympa, avec une baignade dans ma piscine, de la bi�re et un film d�horreur l�g�rement trop effrayant, une soir�e m�morable ou on aurait invent� une nouvelle mani�re de regarder les films, un super moment.
Mais ce ne fut pas le cas. Rien ne s�arr�ta la.

Le t�l�phone sonna. Naura r�pondit, et au fur et a mesure qu�elle �coutait son interlocuteur, l�expression de son visage se trans a : elle affichait un grand sourire qui s��largissait secondes apr�s secondes.
-C��tait Maman, dit-elle en raccrochant : ils restent dormir chez leurs amis, et Ben et Sarah restent ici pour la nuit !�
Nous pouss�mes un cri de joie, ravis.
Elle s�agenouilla devant le lecteur de DVD, et du appuyer sur Stop, car le g�n�rique du film laissa la place au visage du pr�sentateur des infos.
-Ah, le lecteur a bascul� sur la t�l� normale, constata Ben.
-Oui, il fait �a a chaque fois quand on appuie sur stop, pr�cisais-je, �a doit �tre les infos nocturnes.�
D�une oreille distraite, j��coutais ce que disait le journaliste. Il abordait les sujets habituels, quand tout a coup son ton devint plus grave.
� �et un flash sp�cial a l�attention de tout les habitants de Aix-Les-Bains, on nous signale un cas de disparition� �
Nous �coutions tous a pr�sent.
� � Il s�agirait d�un d�ment qui se serait �chapp� hier soir de l�asile des Pav�s Bleus, il est dangereux et incontrolable. Il est recherch� activement par tout les services de gendarmerie pr�sents sur le territoire. Fermez vos volets, verrouillez vos portes et si vous habitez une grande maison munissez-vous d�une alarme. Evitez de rester seuls. Le point a pr�sent sur la situation en� �

Aucun de nous ne dit rien.�
Le silence emplit lourdement la pi�ce, et un nouveau grondement indiqua que l�orage se rapprochait.�
-Toutes les fen�tres en bas sont ouvertes� Chuchota p�niblement Ben. Le volume �tait presque au maximum� Il aurait pu se passer quelque chose, on aurait rien entendu�
-�coutes, di-je, essayant tant bien que mal de contr�ler le tremblement de ma voix, comme l�a dit le pr�sentateur, avec un syst�me d�alarme on ne risque rien. Mes parents ont la s�curit� la plus perfectionn�e qui soit, fen�tres ouvertes ou pas, si quelqu�un avait essay� de p�n�trer dans la maison, on l�aurait su imm�diatement, l�alarme sonne super fort. Il�il n�y a aucune raison de pa***r.
Ben ne r�pondit rien, mais je constatais que ses �paules se d�contract�rent l�g�rement.
-Viens Naura, poursuivi-je, on va voir le tableau de commandes de l�alarme.
Naura quie�a sans rien dire.
Le ventre serr�, la respiration haletante, nous marchions lentement.
Heureusement que la chambre de nos parents se trouvait a notre �tage.
Arriv� dans la chambre, un cri de surprise m��chappa en voyant le tableau de commandes.
-Ok, maintenant tu peut partir.
Le tableau �tait noir et travers� d�importantes traces de brulures, certains �l�ments avaient fondus : il avait du se prendre un �clair et disjoncter.�
-je n�y comprends rien, di-je, c�est pas le premier gros orage auquel on a a faire face, notre paratonnerre est au top ! Comment un simple �clair a-t-il pu le faire disjoncter ?
Naura semblait trop effray�e pour m�me consid�rer ma question.

On expliqua la situation aux autres du mieux qu�on pu. Un autre grondement retentit, plus proche encore que le pr�c�dent, et les lumi�res s��teignirent. Les plombs avaient saut�. J�allumai une bougie.

-Il faut qu�on descende, di-je. Il faut qu�on aille fermer les fen�tres.
-Non ! hurla Sarah qui n�avait pas prononc� un mot jusqu�alors. Je ne peut pas, pas dans le noir, comme �a, imagines qu�il soit la, qu�il rode dans ta maison, si �a se trouve il n�attend que �a !
Je la pris par les �paules.
-Sarah, je suis sur qu�il n�y a absolument personne dans la maison ! On est tout seuls et on est en train de se faire un mauvais film !
-Et�imagine qu�il soit la ? Dit Ben d�une petite voix. Juste imagine�qu�il soit la.
-Mon fr�re a raison, dit Naura, il faut qu�on descende, on a pas la choix, on doit fermer ces fen�tres, plus on attend plus �a devient dangereux. Apr�s tout Ben c��tait ton id�e d�ouvrir les fen�tres.

A contre c�ur, Ben nous suivit, Sarah fit de m�me, ne voulant pas rester toute seule.
Pendant la descente, un grondement terrible se fit entendre, suivit du flash d�un �clair.
Chaque ombre sur le mur tremblotait � l�image de la bougie que j�avait dans la main. Tout prenais soudain une allure effrayante, oppressante. On descendait, pr�f�rant ne pas imaginer ce que le pire pourrait nous r�server une fois en bas.
Arriv�s a la derni�re marche de l�escalier, Naura pris la parole.
-Ca fait tr�s clich� de mauvais film d�horreur, mais on doit se s�parer.�
Avant que quiconque n�ai pu dire quoique ce soit, elle ajouta :
-Il y a au moins une vingtaine de fen�tres, rappelez vous : rien que pour les ouvrir, en se s�parant �a nous a pris environ 10 minutes, si on reste ensemble �a nous prendra 4 fois plus de temps.
Nous nous r�part�mes donc les r�les, d�cidant de qui devait fermer les fen�tres se situant dans tel ou tel endroit de la maison. J��tais admiratif du calme et du sang froid dont ma s�ur faisait preuve.
En refermant la fen�tre du petit salon, j�entendais Sarah murmurer dans la pi�ce d�a cot� :
-Imagines qu�il soit l�� qu�il nous �pie, qu�il soit en train de sourire dans le noir��
Elle �tait en train de sangloter.�
Ses litanies, le bruit de la pluie cognant sur notre maison et les grondements de l�orage , tout cela faisait un bruit consid�rable. Et malgr� �a, la maison semblait atrocement silencieuse.
Je me hatais de fermer les fen�tres qui m�avaient �t� attribu�es, mais mes mains tremblaient et mon corp bougeait bien trop lentement. La maison �tant plong�e dans l�obscurit�, on ne voyait rien dans les couloirs, je devais tatonner, aveugle, me rep�rant au toucher jusqu'� la prochaine fen�tre, priant pour que rien ne surgisse de l�ombre, et pour que mes doigts ne rencontrent pas une peau chaude et vivante mais reste bien au contact de ces murs froids et rassurants. A chaque pas il me semblait que le danger augmentait, jusqu'� ce que j�aper�oive la fen�tre, rassur�.

Au moment ou je refermais la derni�re fen�tre, j�entendi un cri strident provenant du garage. Terrifi�, je rejoignit avec crainte le garage, et vit Sarah, a genoux, en larmes, fixant le mur, horrifi�e.�
Sur le mur �tait �crit avec ce que j�esp�rais �tre de la peinture rouge :

� JE SUIS LA �

Le battement de mon c�ur s�acc�l�ra dangereusement, et ne se calma pas. Les autres nous rejoignirent, ils hurl�rent aussi.
-�Il faut qu�on retourne dans la chambre de Tom� dit Sarah d�une voix sourde.
-Non ! Non ! Cria Sarah, il faut qu�on se tire d�ici !�
-Regarde dehors ! Cria �galement Naura ! On ne ferait pas 10 m�tres avec cette pluie !
Sarah commen�ait a devenir hyst�rique.�
-Et s�il est dehors ? S�exclama Ben. Et s�il est dehors a attendre qu�on sorte ?
Naura pris une voix plus calme, et dit :
-Il y a un t�l�phone d�urgence dans chacune de nos chambres, alors on remonte la haut, dans la chambre de Tom, on appelle la police et on attend. Aussi longtemps qu�on restera ensemble il ne nous arrivera rien.
Nous remont�mes, toujours dans le noir, mais cette fois en courant, et a peine arriv�s dans ma chambre, je me pr�cipitait sur la ligne d�urgence cach�e sous mon lit, et composait a taton le numero de la police locale pr� enregistr�.
Aucune tonalit�.
La ligne �tait morte. Quelqu�un l�avait forc�ment coup�e, �a ne pouvait pas �tre l�orage, car la ligne d�urgence �tait sur un autre secteur. Il �tait venu dans ma chambre.
-Alors ? Demanda Naura.
J�essayait d�expliquer la situation le plus calmement possible, mais avant m�me que j�ai finit de parler Sarah se remit a pleurer.�
Le visage de mes amis, en moins d�une heure, s��tait litt�ralement trans � : la peur avait enlaidis chacun de le leurs traits. J�essayait de ne pas penser a quoi devait ressembler mon propre visage.
-Il sait. Dit Sarah d�une voie tremblante. Il sais qu�on est la, il sait ou on est.
-Il faut qu�on se tire d�ici, cria Ben.
-Non, dit Naura, je t�ai dit qu�on ne pouvait pas a cause de la pluie !
-Je pr�f�re �a a rester coinc� ici avec un psychopathe !
-Imaginez qu�il soit derri�re la porte, chuchota Sarah, qu�il �coute tout ce qu�on dit depuis le d�but, qu�il� nous �pie, attendant de voir comment on va r�agir�
-On doit sortir d�ici ! hurla Ben
-On ne peut pas ! Cria Naura encore plus fort.�

Alors nous attend�mes. Les minutes �taient longues et douloureuses, aucun de nous n�arrivait regarder les yeux des autres. Je ne saurai dire combien de temps nous sommes rest� comme �a, coll� les uns aux autres, tremblants de tout les membres de notre corp.
Puis on entendit un bruit sourd.�
Il venait de l�escalier.
Puis un deuxi�me.
Puis plus rien.
L�atmosph�re devint plus oppressante que jamais, instinctivement nous nous recul�mes tous, en nous agglutinant dans le coin de la chambre le plus �loign� qui soit de la porte, juste a cot� de la t�l�.
Et l�attente, longue, insupportable, et terrifiante repris, guettant le moindre bruit, dans l�obscurit�, fixant la porte comme des d�ments.


A ce moment pr�cis, un d�tail attira mon attention : sur le lecteur de DVD branch� sur la batterie externe, se trouvait un DVD dont la face �tait retourn�e. Je me penchais pour le prendre, et constatais qu�il s�agissait du film d�horreur que nous avions regard�. Or, pour arr�ter le film Naura avait appuy� sur stop, c�est ainsi que nous �tions tomb�s sur les infos, je ne comprenais pas comment, dans un moment pareil Naura avait eu la pr�sence d�esprit d�extraire le DVD. Plus surprenant encore, la petite lumi�re rouge du cadran du lecteur �tait allum�e, ce qui signifiait qu�il y avait encore un DVD a l�int�rieur. Je n�y comprenais plus rien. Si je tenais le film que nous avions regard� dans la main, comment pouvait-il y avoir encore un DVD a l�int�rieur ?
J�appuyait sur Eject, mais le second DVD qui se trouvait a l�interieur �tait vierge. Je le repla�ais dans l�appareil, pris la t�l�commande et appuyais sur play.

En voyant ce que contenais le DVD mysterieux, mon c�ur fit un tel bond que je du m�appuyer sur quelque chose pour ne pas m�afaler sur le sol, et malgr�s le froid ambiant, de petites gouttes perl�rent sur mon front. Ce n��tait pas des gouttes de sueurs, c��tait la pa*** qui se mat�rialisait sur mon front.

C��tait le flash sp�cial qui se d�roulait a l��cran. Celui qui avait lanc� ce cauchemar, exactement le m�me. Le flash sp�cial �tait un DVD.�
En voyant cela, le visage de mes amis changea litt�ralement de couleur, et leurs bouches et leurs yeux s�agrandirent comme jamais je ne les avait vu s�agrandir, ils devinrent bl�mes.
-Oh mon dieu� Chuchota Sarah. Est ce que tout �a est r�ellement en train d�arriver ?
-Je� je crois bien� Dit Ben.
- Alors il n�y a pas de flash sp�cial, articulai-je, pas de fou, tout �a n��tait qu�une horrible farce !�
-Je me sens si soulag�e ! Cria Naura.
-Je ne me sens absolument pas soulag�, dit Ben d�une voix tr�s grave. Au contraire, c�est pire qu�avant.�
Je ressentais la m�me chose que lui.
-C�est vrai, di-je. Vous vous rendez compte de ce que �a veut dire ? Quelqu�un a mis ce DVD dans le lecteur, quelqu�un a cherch� a nous faire peur toute la nuit, quelqu�un a sectionn� la ligne d�urgence, et a �crit sur le mur de mon garage�
-Et ce quelqu�un �a ne peut �tre que l�un de nous quatre, compl�ta Ben.

� peine sorti d�un choc, cette nuit cauchemardesque me replongeai dans un autre. Qui avait fait �a ? Qui avait fait cette horrible farce ?
-C�est Naura qui a propos� qu�on regarde un film d�horreur, dit Sarah avec agressivit�.
-Et c�est Ben qui a voulu qu�on ouvre les fen�tres ! Dit Naura.
- C�est Tom qui est pass� le plus pr�s du garage avant les autres ! Cria Ben.
-Je ne peut pas croire que vous me soupsonniez ! m��criai-je .
Nous nous regardions salement, et un autre de ces silences pesants et oppressant s�installa.
Le silence perdura jusqu'� ce qu�un autre �clair vienne d�chirer le ciel, suivant un terrible grondement. Il illumina la pi�ce pendant moins d�une seconde, mais ce fut suffisant pour observer l�expression que Naura affichait : elle souriait.�
-Naura�Haletai-je, pourquoi tu souris ?
-� ton avis fr�rot ?
-C��tait toi ? Hurlai-je, paralys� par le choc et la terreur.
-Eh ouais !
-Mais�� aucun moment je ne t�ai vu �changer les DVD !
-Ca c�est parce que je t�ai distrait en te demandant ou �tait l�interrupteur, dit Ben, souriant lui aussi. Tu as vraiment cru que je ne l�avais pas vu ?
Une sorte de vertige s�empara de moi, mon estomac se tordit d�une horrible mani�re.
-Mais�que� ?
-J�esp�re que la peinture rouge part a la machine, dit Sarah d�une voie ennuy�e. Je m�en suis mise partout en �crivant sur le mur de ton garage.
-C�est vous trois ? Vous avez tout mis en sc�ne ? Tout �a, vous jouiez la com�die ! Bon sang mais vous �tes cingl�s ! Vous �tes compl�tement fous tous les trois ! Naura comment t�as pu me faire �a ?
-C�est pour la Fender de Papa. C�est a moi qu'il aurait du la donner. Maintenant on est quittes.
-Moi c�est parce que je ne t�aime pas, dit Ben.
-Moi je voulais juste m�amuser, dit Sarah en haussant les �paules, en souriant et en plissant les yeux.
-Et on s�est bien �clat�s ! Dit Ben.�
-Mais tu sais ce qui est marrant ? Me demanda Naura. C�est qu�on avait tout planifi�, absolument tout, m�me l�orage avait �t� annonc� par la m�t�o. Cet apr�s midi je suis mont� sur le toit et j�ai d�glingu� le paratonnerre, pour �tre sur qu�on se prenne du jus. Apr�s j�ai cisaill� la ligne d�urgence. Je voulais vraiment que tu flippes. En fait il n�y avait qu�une seule chose qu�on ne pouvait pas pr�voir, c��tait si les parents allaient rentrer ou non. S�ils �taient rentr�s a l�heure dite, rien ne serait arriv�. Mais tu vois, parfois dans la vie un petit d�tail peut tout faire basculer !
-Vous �tes compl�tement malades� Chuchotai-je.

Le vertige se fit plus violent, et je commen�ais a me sentir mal, tr�s mal. Un profond d�go�t envahit alors tout mon �tre, et la terreur se m�langea a la r�pulsion.�
Puis une seconde r�alisation m�emplit d�une frayeur encore plus atroce que celle que m�avait caus� de fait de savoir que ma s�ur venait de me faire vivre la pire soir�e de ma vie.

-Alors ce flash sp�cial, c��tait quoi ? Demandai-je avec hargne.
-Je l�ai enregistr� au journal t�l�, c��tait mon id�e au d�part, dit Naura, visiblement tr�s fi�re.
-Le JT de quand ?
-Je ne sais pas, il y a quelques jours !
-Donc, il y a quelques jours, au JT ils ont annonc�s qu�un fou c��tait �chapp�. Comment tu sais que ce n�est pas r�ellement arriv� ? Comment tu sais qu�il n�est pas entr� dans notre maison pendant qu�on regardait le film ?
Ils �taient interloqu�s. Aucun des trois ne semblait avoir envisag� cet aspect la des choses.�
- Rappelle toi les deux bruits sourds qu�on a entendu tout a l�heure, ajoutai-je.
-Haha, t�est tomb� dans le pi�ge ! Dit Ben. C�est juste un enregistreur que j�avais sur moi. Quand on est remont� apr�s avoir ferm� les fen�tres, je l�ai d�pos� discr�tement sur une des marches et Sarah, qui �tait la derni�re, a lanc� la lecture : Sur la cassette on avait enregistr� 10 minutes de silence, puis deux coups sourds. C�est �a que tu as entendu !
-Euh, en fait je n�ai pas fait �a, dit lentement Sarah. J�ai pas appuy� sur play, c��tait a Naura de le faire.�
-Quoi ? Pas du tout, moi je devais juste m�occuper du DVD ! Et puis les deux coups sourds sont survenus bien plus tard que 10 minutes apr�s qu�on soit remont�s.
-Mais alors qui a appuy� sur play ?

Terrifi�, je vis le visage de Ben, Sarah et Naura se d�composer lentement.�
Soudain le bruit reprit. Il allait de plus en plus vite et �tait de plus en plus fort.

Soudain Sarah se mit � hurler et � pleurer. Naura essaya de la consoler mais elle �tait aussi terrifi�e qu'elle. Quand � Ben, il �tait assis les grands yeux ouverts qui fixant droit devant lui, des gouttes de sueur roulaient sur ses joues. Il tremblait de tous ses membres.�������������������������������������

-Pfff... Vous �tes encore en train de me faire marcher ! Allez ce n'est plus dr�le ! Maintenant je ne vous crois plus je suis tomb�e une fois dans le pi�ge �a m'a bien suffit. -Ll�... On est paas en train dde te ffaire marcher... dit Naura coll�e contre Sarah et Ben... -C'est vrai ? Vous �tes s�rieux ? Vous euh il est ici ? Dans la maison ? Il nous surveille ? -Je crois que l� c'est la fin ! Il faut se tirer d'ici on peut pas rester avec un psychopate ! Hurla Ben.

Je ralluma la bougie, on se leva et on marcha tout doucement vers la porte de ma chambre. Puis je l'ouvre le coeur battant � 100km/h. J'�claira tout autour de moi avec la bougie. Rien. Il n'y a personne autour de nous. Aucun bruit. c'�tait trop stressant .Sarah �tait crampon�e � ma soeur Naura et Ben lui tenait la main. Il �tait un peu en retrait derri�re moi et je me sentait seul et le stress monta d'un coup. Je descendis les marches de l'escalier une � une, sans faire aucun bruit, les autres sur les talons. Puis, � la 6e marche, je m'arr�tta net. Je n'�tais pas sur mais on aurait dit que quelqu'un mangeait... -C'est quoi ce bruit ? Je demande doucement. L'un d'entre vous est en train de manger ? -Ben non, me r�pondit Naura. Mais qu'est-ce que tu racontes il n'y a aucun bruit Tom. -Si, si je suis s�r que quelqu'un est en train de manger ! Soudain, je remarque que la lumi�re de la cuisine est allum�e. Je fis un bond en arri�re. Puis quelqu'un pris la fuite. -Et �a !? Vous ne l'avez pas entendu peut-�tre ? Il y a quequ'un d'autre dans la maison ! -Tu as raison dit Sarah je viens d'entendre le bruit on aurait dit que quelqu'un s'enfuyait de la cuisine en trombe... Il faut qu'on aille voir �a on a pas le choix !

On acquiesa tous d'un signe de t�te.

Une femme voil�e de noir se retourna vers nous nous emes pas le temps d'ouvrir la bouche que d�ja nous nagions dans une mare de sang.

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C'est l'histoire d'une jeune fille, qui comme tous les soirs rentrer chez elle tranquillement, mais sa maison �tait a 10 minutes de l'arret de bus, et ses parents n'avait pas de voiture (c'est d'ailleurs pour ca qu'elle prennait le bus) donc comme tous les soirs elle rentrer chez elle et un jour, elle vit quelqu'un qui construisait une cabane, a quelques pas de son arret de bus, quelques jours plus tard, la cabane fut fini, la jeune fille voulait vraiment savoir ce qui s'y trouvait, alors elle s'approcha doucement, mais quelqu'un arriva en courant et lui hurla : NONNNN N'Y VAS PAS!!!!! C'EST TROP RISQU�!!
Et le personne fit demi tour et parti,�
La jeune fille rentra donc chez elle en se demandant ce qu'il pouvait y avoir dedans,�
Le lendemain, elle regarda que personnes ne pouvait l'empecher d'y aller, et elle s'avanca, et la une autre personne arriva en courant, pour lui crier : NON N'Y VA PAS !!!

Elle fit donc demi tour et rentra chez elle, cela a dur� une semaine, mais au bout d'une semaine, quelqu'un arriva en marchant cette fois ci, et lui dit calmement : Vas y rentre si tu veux, mais on t'aura pr�venu...
La jeune fille rentra donc, le lendemain la jeune fut d�clar� disparu, ses parents la cherchant partout, d�cide d'ouvrir la porte de la cabane pour savoir si quelqu'un l'avait vu, et il vit la t�te de leur fille, par terre, avec �crit sur le mur, avec le sang de la jeune fille : On l'avait pr�venu, elle a �tait trop curieuse...

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TES FANTA OU TU LES PAS!

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JE SUIS FANTA-STIQUE!

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� � � ET TOI TES QUOI?

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DONNE TA REPONCE EN COM'S

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Portugais�:�Amo-te .

Allemand�:�Ich Liebe Dich .

Anglais�:�I love you .

Chinois�:�Moi oiy neya .

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Espagnol�:�Te quiero .

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Su�dois�:�Jag a "Iskardig .

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Tahitien :Ua there vau ia oe .

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N�erlandais�:�Ik hou van.

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attender ne parter pas

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Une fille de 15 ans, donne la main � son fils; les gens la traite de p***, sans savoir qu'elle a �t� viol�e � 13 ans. Les gens traitent de gros un Monsieur sans savoir qu'il a une maladie qui lui cause de l'ob�sit�. Les gens fuient un Monsieur avec le visage d�figur�, sans savoir qu'il a risqu� sa vie en �tant pompier.
Ecris ceci sur ton qsj si tu es contre la discrimination et les st�r�otypes.
Je parie que 95% d'entre vous ne le feront pas�!

faites le!!! et si vous l'avez fait,envoiyer moi un message pour me le dire!!!

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check ma poule si t'as le swag du lapin.

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