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Compte Rpg

# Site sur Wix encore en cours construction...

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<< L'amour est de toutes les passions la plus forte, parce qu'elle attaque à la fois la tête, le coeur et le corps.>>

Voltaire.

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Recherche de bons Rpgs.

 Et c'est si dur à trouver !

 Si vous saviez comme ils me manquent, ces Rps merveilleux qui duraient longtemps et qui me rendaient accros...Je suis déçue que le rêve ce soit arrêté, mais c'était inévitable, non ? 

Ça fesait longtemps que je n'avais pas aussi peu écrit.

Je crois que les affaires reprennent. Enfin.

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 REGLES:

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 Vous connaissez les règles. je vous en prie, offrez moi un bon Rp, avec une histoire originale mais qui tient un minimum debout, un personnage intéressant que vous ne qualifierez pas comme "Elle était trop belle, impossible de ne pas la voir. Tout le monde l'aimait, elle avait tout pour elle..." c'est bon, dîte que mon personnage est une moississure à coté reviendra au même.

 Je souhaiterais au moins 7 lignes de Rp à chaque messages, je le précise même si pour moi c'est évident qu'on ne fait pas un très bon Rp avec quelques lignes lacon.iques et écrites à la va-vite. En tout cas, je vous le dirais si je souhaite arrêter.

-DECUE ET DIRECTE-

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 Si je met du temps à répondre et que je suis bien derrière l'écran, c'est que je suis trop occupée à répondre à un autre message ou que j'ai pas envie de vous répondre tout de suite. -CHIANTE-

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 Donc laissez-moi bien le temps, évitez les "reçu ?" parce que ça m'agaçe, la plupart du temps je reçois vos messages. Don't WORRY. -Fausse ZEN-ATTITUDE-

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 << Je me suis retrouvé vivant dans la baraque, épuisé, essouflé, la tête vide, ayant à peine réussi à penser qu'il me fallait fuir tant j'avais été contraint de rester aux aguets pour sauver ma vie. J'avais vue les haut barbelés, et au-delà un fossé remplie encore de barbelés et une autre barrière de barbelés et un chemin de ronde et un espace plat de plusieurs mètres fermé lui aussi, par des barbelés. Des miradors, tous les deux cents mètres, surveillaient ce mur de fer infranchissable. Par-là, la fuite était impossible.

 Il restait la fuite par la mort. Cette nuit-là encore, dans la baraque, des hommes se sont pendus. Quand j'ai entendue pour la troisième fois un homme tirer la caisse qui allait lui servir à mourir, j'ai bondi, le prenant aux épaules, le secouant:

- Mais c'est notre mort qu'ils veulent.

 Je criai d'une voix sourde:

 -Si nous mourons tous, nous, comment ferons-nous ?

-Faire quoi ? Crever de leurs mains ?

 Et il m'a poussé. Je suis allé m'allonger, écoutant cet insupportable bruit de caisse qui se renverse et le choc du corps qui se tend et ce râle. Puis c'était le silence. Se suicider était une révolte, mais celle des vaincus. Il faut vivre, Miétek. Vivre pour crier, dire, se venger. Pour que les tiens revivent par toi.

Et le matin ce fu l'appel, à nouveau. Le discour de Lalka: " Vous êtes moins que les chiens et moins que la terre, vous êtes la vermine." Et nous courbions la tête. Ils nous avaient arraché les nôtres, ils nous forçaient à les pousser sur le quai, à leur enlever les vêtements, parfois nous croisions un regard pareil à celui de nôtre mère et nous détournions les yeux: n'étions-nous pas vraiment une vermine, comme le disait Lalka ?

 Et j'ai recommencé à courir, la tête rentrée dans les épaules: si nous acceptions de mourir Lalka avait raison. Donc Martin, tu vas vivre. J'ai couru et le temps s'est effacé. Combien de jours ? Combien de trains ? Tout ces visages, hommes, femmes, enfants, leurs gestes de noyés, le biscuit avalé et qui arrache la gorge mais remplit l'estomac. Les tas de vêtements. Et, chaque soirs, ces quelques heures où je me répétais:" Il faut fuir ." Ces luttes dans la nuit pour empêcher les suicides et puis au matin un homme que j'avais empêché de mourir qui partait, entre deux Ukrainiens, pour le Lazaret. (...)

 Et la nuit venait, la vague de désespoir qui montait avec la faim et l'épuisement, leurs visages qui surgissaient, mère dont j'avais aperçu dans la colonne les cheveux gris, mes frères. Et je n'avais rien pu pour eux, pour toi,  Rivka . Et la vague m'entrainait et il fallait lutter contre elle, contre ceux qui allaient, entrainés par son courant, vers la mort volontaire.

 Je me battais contre cette vague noire qui emporte la raison et je n'avais qu'un moyen, répéter ces mots: vivre, vivre au nom de tous les miens, vivre pour me venger et pour dire au monde Treblinka c'est la mort.>>

 Au nom de tout les miens, p.143-144, Martin Gray

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Quelques mots sur la rôliste...

 Elle a pleuré, quand le chaton de son frère a été euthanasié,

quand elle a retrouvé le cadavre de son oie préférée,

quand elle a trouvé son canard noyé,

quand l'âme de son bébé rat s'est envolée dans sa main,

quand son lièvre a convulsé sous ses yeux,

quand elle a retrouvé les tripes de son oison boiteux;

Et pour d'autres.

Elle a pleuré aussi lorsqu'elle a entendue cette chanson,

Et puis celle là bien avant,

Celle-ci l'a touchée aussi;

Et pour d'autres.

Elle a pleuré lorsqu'elle s'est rappelé qu'elle allait enterrer ses parents,

Des dizaines de braves animaux,

Des souvenirs,

Des morceaux d'elle,

Son futur mari aussi, surement.

Elle a pleuré lorsqu'elle a compris que dans la vie, dans sa vie, on est seul au monde.

J'ai failli me demander pourquoi j'écrivais ça en guise de présentation, mais en faîte je le sais. Tout ça, tout ce qu'on vie, tout ce qu'on rencontre, tout ce à quoi on pense et tout ce qui nous fait vibrer: c'est ce que nous sommes. Alors voilà un aperçu de ce que je suis. C'est ma présentation personnelle.

 Comprenne qui pourra.

 Black-light.

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Les félins, la 8ème merveille du monde...

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 LE BLEU RUSSE:

( Une perfection, pas vrai ?) -ADMIRATRICE-

[Parfaitement dans les couleurs de mon qsj en plus. ]

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  Vous aussi, luttez contre le co.nnerie,

vous aussi, ouvrez les yeux.

J'ai tant de choses à dire, que je préfère me taire.

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Black-light.

bande de beaux gosses.