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Meuf, je suis presque sortie du tunnel.
Ca a été si long.
Il est si proche de la vie.
Il est gémellaire et le corps et ses saletés ne le dérangent pas : cela se nettoie. Cela à à être nettoyé, lavé. La propreté est un état temporaire. Il n'est pas aseptisé et étriqué. Il est sensible et plein d'une dimension divine, sa bienveillance est comme une membrane, orga***, et qui souffre lorsqu'on ne la respecte pas. Qui est prête à souffrir, mais qui ne séchera jamais. Qui saigne comme une plaie de chasse. Chaude. Et glaçante mais pas glacée. Givrante même.
Meuf.
Plus tu crois que tu es proche de la fin et plus tu es proche de la vie.
Tu te tortilles et l'agonie c'est un chaos semblable à celui d'une larve... exactement semblable à celui d'une larve...
Tu te tords et tu crois que tu meurs à chaque instant, et que la vie ne sert à rien, qu'à te rappeler ces doux instants de mort peut-être.
Meuf, ce ne sont pas des cracks que je te raconte. Pardon.
Mec.
Tu étais peut-être un mec.
Pardon.
Je t'aime, et j'aurai aimé que tu vives.
J'aurai aimé que ce monde te laisse vivre bordel.
Aïs.
J'ai été loin pour sur-vivre de ça.
Quel étrange goût que celui de la souffrance qui vous donne l'envie de vous déchirer de la vie pour atteindre la paisibilité de la mort.
Y a-t-il quelqu'un qui ne connaisse jamais cela de sa vie ?
Il y en a qui s'en relève mieux, et il y en a d'autres aussi qui sont dans un monde où les leurs dominent, et dominent par-dessus les autres malheureusement.
Je t'aime.
Tu as été assassinée, je le sais maintenant.
Je sais mieux par qui. Ou peut-être par quoi.
Digne d'une déesse.
Tout à fait digne d'une déesse.
Un dieu né dans le corps d'une femme.
Meuf, je ne sais pas si je sortirai du tunnel.
Je ne suis juste plus aux égoûts.
Peut-être me viendra l'envie de m'y jeter profondément. Trop tôt. Avec trop peu d'explications pour les suivants.
J'ai dû affronter beaucoup de mes croyances, les contredire, les contre-faire.
Je me suis crue la pire. Mais tout se passait bien.
Je n'avais pas mal, mon mal était en l'autre, qui ne le voyait pas, parce que je ne lui offrais pas.
Si je ne lui disais pas que je souffrais, il ne souffrait pas.
Je rêvais plus jeune, ces 10 ans, de tomber dans le chasme.
J'avais imaginé être sur cette toile d'araignée, dans le désert, entre deux canyons, et le gardien à la clé serait venu faire mon voisin, perché à deux pas avant le vide, un matin.
On rêvait quelque chose de plus grand, l'addiction. L'obsession.
Le temps m'a poussée dans le fond du tunnel, un genre de poche noire. Percée de lumières.
Les dominas m'ont aidée à m'en sortir, de part leur simple existence, bénies soient-elles.
Je croyais que ma perfection était une faute car elle n'avait pas d'erreur, elle semblait fausse ou faussée.
Mais après, trop proche de la réalité, je n'étais plus humaine.
Elle est mon temps.
Le sans est rouge net.
J'ai été dans une enveloppe chaude, la sienne.
C'est une femme magnifique, bien qu'elle profita... profita-elle plus ? et de ce que son monde, notre monde lui permettait ?
Fut-elle la favorisée qui se gave ?
Je ne suis pas certaine.
Elle but bien et mangea beaucoup.
Elle fit beaucoup de sport.
Elle rendit ce qui lui appartenait parce que cela coulait contre sa paume.
Ses doigts écartés, et son esprit observant simplement cela, comme une respiration qu'on vit.
Je t'aime.
Pardon.
Tu me manques à jamais.
AÏS.
E.E.Schmitt, O.Wilde.
31.05.21
T'aurais pas dû mourir la vie c'est trop bien quand tu sors du noir purain. SORS DU NOIR LA PROCHAINE FOIS PITIE. Même en devenant noire toi-même, sors t'en pitié. Ne fais rien de fatal. C'est tout. Eloigne toi du sang ou du pointu. Je sais pas. Arrête les médocs ou commence-les. S'il-te-plaît. PARdon. De n'avoir pas pu insuffler suffisament la vie en toi.
Lady Gaga.
Saute, crie, fait du rock, lis à fond. Rejoins moi à Paris.
Pitié.
T m m q s.
revenue
un coup
déc 2020
PLÛT AU MONDE QUE TU VIVES
Je le sais maintenant. Mon règne sur notre monde n'est qu'une question de temps.
Je vais déchaîner les corps par l'électrique, c'est leur sang qui parlera pour eux,
Et leur donnera la force de vous combattre, vous anges si hauts.
Je vais vous attaquer et vous mordre.
Pourquoi respecter quelqu'un qui ne respecte pas.
La loi du corps vous prendra.
Merci d'avoir tenu si longtemps en vie, A.
Pardon éternel.
Mon Amie.
Pourquoi nous perdions nos dents, ma chère A. ?
Pardon éternel.
Et les détracteurices ont failli m'avoir aussi, en dévoyant ton nom, sans même te connaître, juste en se croyant plus proche de toi que toi de moi ou moi d'eux.
A comme ange, au pur singulier. Et en noir.
C'est donc ça que tu entendais en elle... L. G.
Misère, pourquoi n'avons-nous pas poursuivi sur cette voie ?
Je le sens si fort maintenant.
J'ai appris à écouter, et à déchiffrer.
Et encore.
Oh my. Life.
Oh your. Death.
Oh their deathes.
Or ours.
-
J'ai vu une carte bananes, ça m'a fait pensé à toi
Les bananes se balançaient sur l'air de Ai Seu Tu Pego quand on appuyait sur la carte
Il y avait une ficelle qui avait été reliée aux babanes qui avait été déchirée
Les bananes étaient jolies et en couple, ça aurait pu être nous, tu ne crois pas ?
J'aurai aimé que ça soit nous.
Je ne sais pas si toi aussi.
Je ne saurai jamais.
Tu ne sauras pas non plus.
Si ça se trouve, nous aurions détesté...
Choco-à-plus.
Mai 2020 21h44
Un Chat Est Venu Eclairer Ma Vie.
Je L'En Remercie. *
Mlle Katana
robber thief
honneur et dévouement
Donner est une f.rme particulière de perte.
Théoriquement, on donne tout, en pratique, on fait beaucoup surtout.
Elsevire
Les yeux froids, les joues rondes, la peau rayonnante.
Tu as l'air si gentille. Tu as l'air si gentille, Elservire.
Pourquoi tes yeux sont-ils si froids ? T'a-t-on fait du mal ?
Où est-ce toi..? Qui sans ressembler au mal, en est l'incarnation ?
03h25
Apprendre à vivre
jeudi 9 janvier 2020
A¨s, je pense à toi...
-
MOTAAAAAAAAARDE
La mémoire est une goutière bouchée, et un jour, je t'expliquerai pourquoi elle crachote.
Toi qui n'avait besoin de rien pour nous, leur, écrire, un manuel.
Vorld est un sadique.
Keane est un psy-artiste.
Erotico-Morbide
Nope par OMFG
"Pwa Pwa Pwa Paw Pouin Pouin Pouinpindin" !-~
MME GRENOUILLE
Pancakes par OMFG
Ca chatouille les oreilles un peu .w.
BUTTERFLY LEN KAGAMINE
nostalgie de ce qui ne sera jamais dit
L'amour est un pull de laine à deux pelotes.
Si l'une se barre, même si l'autre reste bien alignée, ça ne fait pas un pull.
Grogneront-iels mon pull ?
Les uidaires sont des étoiles filantes.
Collant filer qu'il faudra tout de même porter. Porter même s'il fait froid. Porter même si n'importe qui pourrait les déchirer en les tirant entre ses doigts.
Les collants filés sont des trésors.
Et toi tu t'es effilé, et je ne t'ai pas suivi là-bas.
Je n'ai pas réparé le bas.
J'étais la deuxième jambe du collant.
Rêvant de découvrir la peau de ma jambe nue.
Mais le fil filé de ta jambe à toi, je l'ai laissé filé filé filé
Et j'admirais et étais effrayée par le travail de reprise et défilement
Fascinée par ce spectacle sous mes yeux, sur lequel je fantasmais depuis toujours
Tu as écris pardon, et quand les gens lisent ta lettre, à voix haute, dans leurs têtes, dans leurs coeurs, tu entends leurs pensées, et enfin, iels te disent Pardon.
Merci d'avoir existé dans ma vie.
On se retrouve à la prochaine
pour ta vengeance
notre amour éphémère
et mon trépas
in cells
Kusare Gedou To Chocolade
Don't Sheeran
Nightcore Discord par Nana Chan
X X X
X X X
X X X
X X X
For.mule magique,
Memes hypnotiques.
Promesses auxquelles on ne peut croire,
Ar.na.ques auxquelles on se retient de se donner.
Espoir et désespoirs de toi.
M'aimes-tu ? M'aime moi ?
S'il-te-plaît... Quand je demande Est-ce que tu m'aimes je demande Est-ce que tu veux bien m'aimer ? M'aimer jusqu'au bout. M'aimer et me pardonner. M'aimer et toujours rester auprès de moi. M'aimer et penser à moi.
Pardon. Aime-moi. ...s'il-te-plaît.
Je refuse de me soumettre pour être aimée par toi.
Je promets d'essayer de ne pas a.bus.er de toi si tu m'aimes moi.
Promets-moi de m'aimer toujours.
Je t'aime. Je t'aime.
J'en aime d'autres mais iels ne m'aiment pas.
Veux-tu bien m'aimer, toi ?
Je promets d'en avoir quelque chose à faire de toi.
Tu pourras me dire si ça ne va pas.
Je ne te dis pas que je pourrai règler le problème mais je te promets...
que s'il-te-plaît, je te demanderai toujours
Aime-moi.
Mes écrits sont déprimés mais je suis heureuse x)
Juste, ben, plus douée pour écrire du déprimée là x)
Viens, on s'en va, on retourne dans le temps où on croyait qu'un je t'aime était magique
qu'il pouvait tout guérir quand il venait de la bonne personne
Viens, on retourne dans le temps où on savait que les rendez-vous allaient être parfaits parce que chaque centimètre-carré de temps allait être consacré à cette magie, et que cette magie te rendrait parfait
Viens, on retourne dans ce pays où on croyait que l'amour serait plus beau que tout, plus beau que nos peurs, plus beau, et que pour lui, on aurait envie de tout casser, et surtout qu'on arriverait à tout casser, à tout réparer, à tout défendre, et que si on perdait des dents, elles allaient repousser
[Grâce à l'amour on serait prêt.
On l'a pas été]
Viens, on retourne dans ce rêve plein d'espoir, plein de rêve, ce rêve qu'on a perdu, ce rêve qui s'est dissipé, parce qu'on a arrêté de rêver, parce qu'on nous a fait croire qu'on aurait non pas un bonheur au chevet de l'autre, pour lequel on s'inclinerait tous les soirs même si ça nous étirait les bras et nous brûlait les paumes, mais un bonheur réduit, amputé, muté, un bonheur qui nous horrifiait et nous effrayait.
Tiens, prends-le ton bonheur que tu veux, mais ne viens pas te plaindre.
Comment nommer cette mërde qui m'a fait tant peur ?
A laquelle tu croyais que tu ne pouvais que céder ? Parce que résister était inutile, parce que résister n'existait pas. Parce que tu ne voulais pas. Parce que céder était la condition.
Cède, flanche, et vis avec ce qu'on te donne.
Oublie ce que tu as cru, si un jour tu rencontres ce dont tu rêves, crois /encore/ qu'il s'agit /encore/ d'illusions.
Entamé mon rêve.
Disparue ta vie.
Disparues nous.
C'est un drôle de sentiment que de vouloir pleurer mais d'être trop heureuse pour.
eJ ai't angém
Du coup, cette meuf me manque. Elle aimait les vampires et le surréalisme.
Elle voulait faire des câlins aux arbres, ce que je trouvais ridicule, mais je ne lui ai jamais dit, parce que ça lui apportait du bonheur, que c'était inutile que ça ne lui en apporte plus.
J'aime écouter les 2 chansons que je connais de Lizzo, on se croirait dans un film en l'écoutant, comme en écoutant Shania Twain.
5 décembre 2019
Nuit blanche
Gumi
Tord-boyaux et Rêveries
Les Grandes Soeurs
Ah là là, l'inspiration, revient. (l'expiration repart !)
Iels m'ont pris ma vie, iels n'auront pas ma mort.
Iels ont pris ma vie, offrez-moi la mort.
Tu m'as pris ma vie, je choisirai ma mort.
Claquée la porte. Claquées les joues. Claqué le salarié. Yeah. Yeah. Yeah.
"I need it. Could you éviter it ?"
Need. Why ?
Je t'aime Je t'aime Je t'aime
Pardon
!
!
!
O_V__L
Pardons
Pardon d'avoir cru à la fin du monde
Pardon d'y avoir survécu sans toi
Fais-toi pardonnée d'être morte et réssuscite.
Et que toutes les personnes esthétisant celas comprennent leur erreur.
Il faut être sincère avec lae lecteurices.
Je veux nous faire rentrer dans la légende
Comme l'âme rentre dans le corps
Comme la vengeance habite le trahi
Comme l'insouciance le trahissant
Comme la culpabilité le regrettant
Comme la paix le repenti
Etc
Fierté-s
xx/10/2019 23h02
Travailler pour cette boutique de Bubble Teas m'a vraiment aidée.
Des nouvelles des Abysses bleutées, ça changera des abysses grises :
Exir = Désir + Exige
Des Crimes
Oh
Mitraille
I learned how to be beautiful in the mirror
But now there is your reflect, troubling mine
So I discorver that there was dust on the mirror,
And now I can really look at myself
Couldn'nt prenting that I don't want to be beautiful(est) too
Oh mother, mother, as society what did you do ?
To my body, zero
To my mind, over
Tu as vidé mon coeur de son amour
Tu as fait qu'il ne pulse plus du sang
Mais que seule de l'électricité le fasse trembler
Comme une marionette
Que ferai-je quand il n'y aura plus d'électricité ?
Avec ma dernière goutte de sang je me serai battue
Battue pour m'aimer
Mais c'est fini Maman, elle s'est envolée.
Ressuscite mon ex, mon amour, si tu m'aimes
-
Vous pensez que je peux faire de la chanson en anglais ?
Owi, dîtes-moi svp.
17/08/2019
IS THIS FRENCH FEMINISM
YEEEEEEES
Tellement fière d'être une femme grâce aux femmes féministes
A Mexico, suite à une agression des forces de l'ordre sur une jeune fille encore mineure,
des milliers de femmes ont répondu par UNE ÉMEUTE.
Meuf, prends-moi dans ton gang, parce que sinon, je te prendrais dans le mien <3
23/09/2019
53,7 pour 1m73
Fer à 7 avec un minimum de 5
Deux licences
Aucun master répond cela dit
Collecting Song by TLT
Bastien
Pierre-Jean le muet sans LSF
Anaïs...
La fin d'une phrase signe le début d'une autre.
Grâce à ce signe ?
Jitem.
Faîtes du beau ou du drôle. Ecrivez un journal à en faire pleurer.
Criez et frappez des coussins.
Dormez.
Fuyez.
Restez vivant-e-s.
Help Helen Smash sur Facebook
Les bd de Maliki et Stéphie Labelle sur le web
La boîte verte sur le web
Fun-mooc = France Université Numérique, disponible gratuitement à toustes même hors France
http://tulipecomix.tumblr.com/page/28
18.01.19
Aux personnes qui viennent sur cette doll pour avoir des réponses sur la situation d'Anaïs (Anika55),
j'ai encore du mal à l'écrire, et je suis désolée de vous apprendre tard, mais enfin de façon claire, son décès, par suicide, entre mai et avril 2017.
Anaïs allait parfois très mal psychologiquement et était en dépression.
Elle a été entourée avant son décès, mais a été sous médicaments, et internée ou hospitalisée, un peu avant qu'elle ne mette fin à ses jours.
Elle entamait une première année en licence de biologie, bien que la littérature, le surréalisme et la physique aient été ses passions principales, de ce que je me souviens.
Je suis désolée de vous l'apprendre clairement si tard, je suis une de ses amies. Je l'ai connu 2 ans.
Elle me manque et me manquera toujours, hélas.
A l'époque, j'ai inclus mon pseudo dans son qsj afin de pouvoir entrer en communication avec toutes les personnes qui avaient pu la connaître et l'apprécier. Et ainsi la connaître par leurs souvenirs, par procuration. C'est toujours mon voeu. C'était un peu particulier comme démarche. Elle me manquait.
Je suis désolée.
S'il-vous-plaît, retenez toujours que le suicide n'est pas une solution. Qu'il existe des gens qui vous aiment et qui vous attendent et que vous trouverez ou qui vous trouveront, ou que vous retrouverez parmis vos ami-e-s passé-e-s. Des gens que vous aimerez. Des gens avec qui vous pourrez trainer en attendant de trouver des gens qui vous apprécierez plus. Les gens ne vous veulent pas de mal en général, et s'iels vous en veulent, sachez vous préserver et fixer une partie de et non pas toute votre attention sur elleux. Faîtes cet effort. Rien de ce que vous faites n'est fatal, rien de ce qu'on vous fait ne doit vous donner envie de vous détruire à ce point. Allez courir très loin hors de chez vous toute la journée, séchez des cours, empiffrez-vous de bonbons à en avoir mal au bide, râlez tout les points négatifs sur lesquels vous voulez râlez, trouver des personnes qui vous aideront à réaliser un de vos objectifs, dont vous pourrez apprendre, ou qui vous trouveront des personnes pour ce faire. Faîtes-vous une liste de choses à faire et faîtes-les. Par n'importe quel moyen. Et ajoutez à votre liste les choses qui vous donnent envie de faire à chaque fois qu'elles vous viennent à l'esprit. Et ne vous arrêtez que lorsque vous aurez réaliser TOUTE cette liste. Vous n'avez rien à perdre. Lancez-vous des petits défis absurdes, et quotidiens, en fonction du jour de la semaine. Et réclamez des institutions, lycées, professionnels de la santé mentale, du secours. Elles vous le doivent. Elles doivent vous aider à trouver une solution. C'est la société. La société vous a promis une belle vie. Et même si des aspects d'elle en sont corrompus, sachez qu'il est impossible que tout le monde ait baissé les bras. Il y a des gens qui continuent de se battre partout. Pour aider des gens comme vous. Dont l'objectif de vie est que leurs contemporains passent une belle vie. Vous devez trouver chez un de ses représentants la moindre solution que vous trouverez. Bien sûr qu'iels ne pourront pas être là tout le temps pour vous, mais iels seront là autant que nécessaire. Apprenez à faire sans elleux sinon. Vous pouvez y arriver, faîtes jouer autant de contacts que vous pouvez. Profiter de l'amitié des personnes qui vous l'offre. Bien sûr qu'il y aura des gens qui ne vous intérresseront pas trop, ou au contraire beaucoup trop alors qu'iels ne s'intéresseront que peu à vous. Tant pis. Avancez. Vivez votre vie. Faîtes-VOUS plaisir. A VOUS. A VOTRE VIE QUE VOUS VIVEZ. SAUVEZ-VOUS. Bien sûr qu'il y aura parfois, peut-être des saletés de personnes pour vous barrer le chemin, vous embrouiller, pour vouloir vous faire du mal. Ignorez les personnes qui vous font du mal. Eloignez-vous en. Tant pis. Allez vers celles qui vous font du bien. N'oubliez pas de vous ressourcer auprès des personnes qui vous aiment, qui prennent soin de vous, dont vous appréciez l'amour qu'elle vous donne. Ne vous sentez pas coupable de cet amour que vous recevez. Les personnes qui vous donnent de l'amour sont contentes de vous donner de l'amour, elles vous aiment. Parfois elles en manquent un peu. Laissez, elles se rechargeront d'une façon ou d'une autre. Ecoutez des vidéos d'entrepreneurs qui montent leur buisness, de bodypositivisme, d'empowerment, de tolérance, recontrez des communautés auxquelles vous vous sentez/pourriez vous intégrer et NE LES ABANDONNEZ PAS si elles vous apportent de l'aide, écoutez le youtubeur Gui-Home, sa page facebook, méditez, parlez avec des marginaux autistes, sourds, handicapés moteur, gavez-vous de série en vous fichant qu'on vous traite de paresseux-se, faites des choses bizarres mais qui peuvent sembler artistiques, secrètes, graffez des murs dans des rues abandonnées, défoulez-vous dans un cahier. Vous avez le droit de vivre, vous devez vivre. Des personnes merveilleuses vous attendent, croyez-moi. Y a pire que vous. Et y a des gens merveilleux qui vous aimeront. Croyez-y. Imaginez-les. Devenez-les. Croyez-y car c'est la vérité. Trouver des solutions à chaque moment. Sachez vous pardonner même si personne d'autre ne vous pardonne. Sachez accepter, accueillir, la meilleure et la plus reluisante part de vous, Sachez accepter, accueillir la pire et la moins-aimée des parts de vous, la consoler, l'appaiser, la laisser passer. Relisez ce que vous aimez, répétez des citations que vous aimez si ça vous fait du bien. Ou des gros mots si ça vous fait du bien.
Vous ne méritez pas la mort. Et la vie est belle. Vous le savez. Vous pouvez trouver ces choses belles de la vie. Vous y avez droit.
Anaïs aimait apprendre, jouer du piano, Chopin, s'habillait "n'importe comment", c'est-à-dire de façon alternative, colorée, gothique, le tout à la fois et avec style.
Anaïs aimait ne pas se mettre en valeur sur les photos d'elle qu'elle envoyait aux gens, par soucis de vérité, d'humilité, je suppose.
Anaïs aimait les énigmes, je crois. C'était une personne très sensible, très subtile, très attentionnée, très sensée, avec de très grandes capacités intellectuelles.
Et vous savez quoi ? Vous aussi vous avez vos propres qualités et défauts ! (Anaïs avait ses défauts ! Et je ne vous en parlerai pas parce que je ne suis pas là pour ça.) Et vous allez vivre avec !
Et j'aurai aimé qu'elle soit encore en vie pour pouvoir lui dire, pour que juste, elle en ait conscience elle-même tout court.
La vie est pleine de passages à vides, à plein, à galères, à horrible, à génial, à lol, à incroyable, à admirable, à obsédante, à amour, à laisser-aller. La vie est de tout. Tenez-vous bien pendant les mauvais passages, gardez toujours des souvenirs de vos bons passages.
Et si vous êtes trop fatigué-e pour faire la révolution aujourd'hui, vous la ferez demain. Et sinon après-demain.
Comme on peut le constater à l'instant,
cet évènement m'a particulèrement marqué.e.
Sa bouche sentait la matière fécale et la maladie.
Par esprit de contradiction, j'ai imaginé qu'il aurait le cul qui sentirait remarquablement propre. Les gens malades soignent toujours leurs apparences, peut-être que ceux qui négligent leur apparence le font au profit de leur hygiène intime ?
valorisation "tu fais partie des animaux ou quoi"
honte "t'es pas seule" sous entendu "personne ne t'aidera"
perte de confiance en soi "
Des équations qui s'interpénètrent. Nous sommes l'alternative de celleux qui nous entoure.
Un rien, un souffle, un mauvais regard, une phrase, et on envisage sa vie différemment.
Angoisse. Fantasme. Sublimation. Vengeance.
Chaque compte est une fenêtre,
les multi-comptes sont des miroirs grossissants, défaurmants, de fête forraine.
Petite soeur
"Bouge, bouge, bouge !"
Il ne bouge pas.
Il devient fou.
Au bout de 4 minutes plus, peut-être 7, parents agissent.
Il devient fou.
Il veut fouiller chaque fois dans son téléphone.
Il est en train de marcher dans la folie.
Ma soeur n'en peut plus.
Elleux m'avaient donner leurs mdp.
Je l'ai utilisé pour elle, quand elle était morte. Et encore, j'avais fait en sorte de l'oublier et de mal le noter.
Parents n'ont pas agi ?
Bouge elle a dit.
Et moi, je sais que je suis comme lui. Je vois tout comme lui.
Mais il est fou, là. Il devient fou.
Putain.
Il l'amène à faire un truc
Va-t-elle en perdre sa conscience en elle ?
Putain.
C'est pas normal putain.
Il est sur la mauvaise voie. Il faut qu'il arrête.
En plus, il l'embête.
Guérir.
Je reçois plein de cadeaux d'une certaine "Sarah" sur le site... c'est qui cette meuf ? :B
Les archives...
PERSONNAGE RPG A TESTER !
OYEZ, OYEZ, ACCOURREZ NOMBREUSES !
FAÎTES GICLER L'ENCRE !
-> plus d'infos paragraphe 2 "Le Chien-Loup"
mom est avec un pb in the head. ça la rend pas contente. snif snif mom.
Oh dear, ils croient tous que moi + Gabriel.
C'est wrong guys, c'est mon plan Q.
Avec respect et de façon intellectuelle.
Mais. Q. Only.
C'est un libertin, et nous sommes en libertinage.
paragraphe 1
Coucou ma famille d'encre,
voici un lien sur les technîques de création du futur,
qui peut inspirer vos propres créations.
Servez-vous comme on pioche des apéritifs :
https://docs.google.com/document/d/1clgljPx8gfqAnIJC5hxG0kaplu_FT_fXa2bK1axVf60/edit?usp=sharing
paragraphe 2
Coucou la maison !
Il le regarda d'un sourire qui signifiait :
"Je n'ai qu'une envie, te tabasser."
Marmow, le chien-loup.
Entend-il des voix ? Et des bruits ? Inexistant, de temps en temps ?
Que mange-t'il ? Unisquement de la viande rouge.
Ses cheveux sont noirs, ses yeux sont rouges. Il a la peau terne plus que pâle, il est plutôt grand, et fin, fin et musclé.
Il se tient les épaules courbées, le cou en avant, il a un air doux et innocent qui contraste avec son sourire carnassier, cruel, insouciant.
Pour être innocent, il faut avoir commis des crimes,
Mais qu'est-ce qui différencie
Marmow n'a rien de sadique, rien de malsain, rien de pervers.
Il est clean sur tous les points.
Mais il est mauvais. Ce que vous aimez n'est pas ce qu'il aimera.
Ce qu'il aimera est ce qui vous ferait peur.
Il ne redoute la nuit, habitée par les lucioles,
Il ne redoute pas le noir, enveloppé des caresse du vent,
Il redoute plutôt les maladies qui infectent, les insectes qui piquent, les branches qui coupent.
Il est heureux dans ces lieux vides et sans rien,
Et meurt, et dépérit, et fâne en tout autre lieu.
Lumière néon tourmente sa tête,
Grésillements électronisques, rugissements motorisés, et hénissements méca***s assourdissent ses pensées.
Il mange de la viandre crue, se laisse rarement aller aux gâteaux.
Et si on prenait sa ligne ?
Vivrait-il dans un zoo ?
A voir, chez pa.
Mon qsj n'a plus de gueulle
Ca passe c:
Si j'étais un bot, je serais... ou le portrait chinois du jour x)
-
J'ai qu'à l'appeler Hahaha. xD
Qui veut créer un compte twitter avec moi ?
-
Toi, tu sais ce qu'on lui aurait écrit.
Qu'il fallait faire une pause. Qu'on n'en pouvait plus. Qu'on l'aimait... Que c'était parfait avec elle, mais qu'on n'en pouvait plus, que ça pouvait marcher seulement si on faisait des pauses de temps en temps.
Et pourquoi tu l'as pas dit ?
T'avais peur qu'elle te croit pas. C'était la vérité, pourtant. Mais t'avais peur. Peur comme si tu ne faisais que dire des mensonges.
Alors, tu t'es dit qu'un coup de théâtre ferait l'affaire.
Tu t'es tu, et tu as obtenu ta pause, mais tu ne lui as jamais dit.
Elle savait bien, elle se doutait, elle avait compris, elle comprenait pas.
Y avait une pause ou pas ?
Est-ce qu'elle devenait folle d'imaginer qu'il y avait une pause dont tu ne lui parlais pas ?
Ah, et puis, elle est partie. Partie si loin, elle est devenue muette, et tu sais qu'elle ne parlera plus à personne.
Tu as rencontré cet homme aussi, ce jeune homme.
Et puis tu as rencontré d'autres gens. Des gens au coeur brisé, des gens qui ont décidé de fonctionner sans leur coeur aussi.
Et toi,...
La vie est un jeu, je veux être du côté des gentils.
Je veux être du côté de ceux que la postérité respectera. saluera. admirera.
Je veux être le faible si le faible est celui qui reste dans le coeur des gens.
Je veux être l'impartialité froide de la sagesse si elle protège de la cönnerie.
Je veux être du côté de la folie, de l'absurde, du bizarre, si ces trois amies me permettent de m'échapper aux ordres déguisés en règles, aux insultes déguisées en bons conseils.
Je veux obéir aux règles si elles me semblent pertinentes, si j'y crois.
Je veux pas être détestée, jamais. Ca me rendrait trop triste. J'ai besoin d'être pardonnée et aimée.
J'ai pas été au-delà d'humaine.
Je me laisse corrompre.
Je deviens malade.
Je vous veux à vie. A vie. A vie.
Et jamais rien ne me fera trahir ça.
Ces erreurs que j'ai faite...
Et quand vous me contrariez, parce que vous êtes imparfaits...
C'est fatigant déjà.
C'est stressant aussi.
Je suis un iceberge qui cherche sa banquise.
*
*
On m'avait promis un amour à en mourir,
Un amour à en vivre.
Un amour parfait qui ne s'égratine pas.
J'avais vingt ans, j'en aurai bientôt vingt-deux.
Ca fait pas longtemps.
On m'avait promis un amour à en mourir,
Mais je ne veux pas mourir.
On m'avait promis un amour à en vivre,
Mais la vie fut difficile,
On m'avait promis la récompense du mérite
-les militants voient le corps fusillés, seules leurs idées mangeront à la table des futurs générations, ce soir-
J'ai besoin
Je sais pas
Me réconcilier
Je te veux à vie.
*
*
Je t'aime.
L'amour rentre mal dans les chaussettes. Il les troue.
Alors la musique viens me prendre comme le hameçon d'un pêcheur,
Hahaha.
J'ai trouvé de quoi survivre jusqu'au lendemain. Soleil. Sommeil.
Hahaha, j'ai peur.
J'ai peur et tu n'es pas là pour me protéger.
Toi sur qui j'ai laissé courir des vers peu littéraires.
J'ai peur et je veux qu'il me voue un respect éternel, Damasio.
Mon nouvel édifice, mon nouveau rivage, mon gouffre.
Damasio, un éclopé,
Le pont fragile que j'entretiens de liannes,
Damasio, personne comprendra jamais ces lignes,
Je les écris pour moi,
Et je les affiche ici,
Mais j'espère qu'ici,
Hahaha.
Je vais créer ce compte et devenir semi-célèbre.
Non ?
Je suis Wario réincarné... alors, un peu de respect, s'il-vous-plaît !
=ewe=
Si je meurs, enterrez-moi avec vous. Je veux être au premier rang pour votre résurrection. Jésus m'a attrapé, pas vous.
Luci'
Elle portait un chapeau, non pas comme couvre-chef, mais pour saluer avec style. Les seuls moments où elle le revêtait, c'était pour le retirer dans un geste d'ellipses arabesques l'instant d'après.
Nourrissez-y vous joyeus'et généreusement.
Intervalles
Bon. Bilan :
En efficacité humaine, en, genre, meuf qui fait tout pour que les autres prennent soin d'elle, je suis aussi ferme et revendicatrice qu'une huître (et non pas sa coque, notez-bien).
Donc, on pourrait dire que j'ai du chemin à faire. On ne trompe pas sa vie.
Malgré cela, j'ai le sentiment et la conviction de tomber sur des gens biens.
Bon.
Peut-on faire là-bas mieux qu'ici ?
Hun, hun
Recueille ma laideur, ma néglicence, ma saleté.
Garde-les précieusement, car dans ce monde qu'est le nôtre, elles sont en danger.
Mes envies de sociabilité les persécutent,
Mes convoitises dépensières les harcèlent avec la régularité d'élèves disciplinés,
Je répandrais des mensonges jusqu'à ce qu'ils deviennent réalité.
Reviviscences.
Mi-chauve, mi violet est le crâne d'Abus de C.
Comme Marka.
Je me glisserai sous ta peau.
Donne-moi à boire pour étouffer
Mon hypernervosité.
Donne-moi de l'amour pour moi
Pour trouver la force de m'expliquer.
Ca fait des années que j'essaie d'appeler mon Uber de l'Enfer, en appellant l'égoïsme, en composant le numéro de l'individualisme, et en suivant tous les codes du déshonneur qu'il mettait possible d'exécuter, et pourtant, mon chauffeur pour l'Enfer n'est toujours pas arrivé.
Je t'attends.
Grand dealer.
Refuse de vivre dans le luxe.
Violence.
Sang, souffrance, et art de torturer.
Charisme.
Valse
Sagesse.
Jamais assez.
Jamais assez loin, jamais sans trève et sans coupure,
Jamais sans retour.
Je serai une personne horrible.
Errer est mon nouveau métier.
Monsieur M.
Le fou qui croyait vivre dans un château hanté.
Epanchements...
Vous savez, c'est tout. Ce canapé, c'est la dernière chose qu'il me reste. Et encore, qu'il me reste ! C'est moi qui ai dû m'y accrocher quand les démménageurs sont venus tout emporter. Ils ont pris les meubles élégants aux pieds fins comme les jambes des biches, les commodes de bois massif comme les forêts et aussi vernies que la sève d'érable. Ils ont encore retiré le frigo, arraché les radiateurs, retirer les poignées et les interrupteurs. Et moi, moi j'ai lâché ma canne pour grimper au canapé, et ils l'ont soulevé sans effort, j'avais l'air d'une plume pavanée sur un éléphant. J'ai ainsi descendu les trois étages de l'escalier étroit, porté par mes humbles serviteurs, avant d'être jeté dans la rue sans soin ni condition.
De là, j'ai secoué la poussière de ma veste, rassemblé entre les boutons de ma chemise le peu de dignité qu'il me restait, et j'ai attendu toute la sotte journée à me demander ce qui allait bien m'arriver.
Edgard Bleuet, escroc à cheval entre l'ancien et le moderne,
Ouvreur de temps parallèles,
uchronîque.
Norbert, Albert, pour le peu c'était le même.
Tant de meurtres nécessaires à une vie.
Tant de secondes données à un-e inconnu-e, sur le chemin de l'école, pour qu'iel vive, qu'iel survive, qu'iel ne meurt pas.
Tant de spécialistes. Tant de mensonges.
Me revoilà à noircir le tableau, je trouve ça normal, je suis au bercail, le tableau est noir si l'on veut y écrire à la craie.
J'étouffe chez vous. Qui suis-je ?
Ce pauvre Marcel à vélo découvrant que son double suffisait largement à sa famille, la famille qui l'avait choisi, qu'il n'avait pas choisi.
Ce Robert à plusieurs femmes ?
Ce Allan imbécile ?
Ce jeune Cyan poursuivi par Alex, son lui-même ?
Je suis l'encre qui coule dans vos pensées.
Je suis le graff anonyme, la citation qui soumet.
Allégeance ! Allégeance ! me crie-t'on.
Mais pas à moi, ni même à vous.
A la vie ! J'hurle allégeance à la vie !
Et je voue mon existence à la culture de moi-même,
Au culte de mes vertus, mes raisons,
A moi ! A moi !
Le courant de la mort m'emporte, drainant ses suicidaires par milliers,
A moi ! A moi !
Le courant de vos pensées désespérées me désespérent, et de moi où elles, il faut bien que ce soit elles qui finissent le plus tôt en terre.
A moi ! A moi !
J'aime ce bercail. Vous êtes mes ami-e-s. Je vous aime toutes.
R.P.G
"Mets-moi ma cravate. S'il-te-plaît."
La cravate pendu au cou d'un homme titubant tel un funambuliste maladroit et ivre s'érafla contre un réverbère à la peinture granuleuse, tandis que son col s'imprégnait de l'odeur fétide de son haleine.
L'homme était sale, aussi sale qu'il estimait l'hygiène de son âme.
Skander est pourtant un gars normal, un gars qu'ira jamais en prison, un gars droit à qui on ne peut rien reprocher,
parait-il.
Lointaines les effluves mentholées parfumant le sourire charmeur et assurant qu'il arborait à la réunion.
Ses yeux, bien que toujours aussi brillants, paraissent maintenant saccagés par la lumière qu'ils diffusent, comme un lieu où des courants extrêmes de vents agiteraient leurs souffles de pluie en tous sens afin de se repousser l'un l'autre tandis qu'au milieu du brouillard épais et indiscernable se tiendrait une silouhette brouillonne, à peine crayonnée, et peinant à apparaitre clairement.
Skander, cadre d'une multinationale
• la mamie pour faire son linge
• l'obsession de faire les choses bien
• séducteur, arrogant, conservateur
• mal-être
• 45 ans, incorrigiblement droit, indéniablement rigide
Apparence : la doll (avec des chaussures x))
Pistes de réflexion perso (joueurs et joueuses, n'en tenez pas compte, c'est juste des notes pour compenser ma mémoire limitée) :
-l'argent
-le statut
-l'alcool
-l'épouse
-les voyages d'affaire
Les cousines blondes :
n'ont aucun lien entre elles
Minnie Whitehouse
Femme de 28 ans
Fleur défraîchie
Maman d'un bébé chat
Sans papier - Bonnes connaissances de médecine
Blonde, robes blanches, pâquerettes
spoil [FOLLE]
Helene DesCourbès
D'origine espagnole
Ecume les orphelinats
Riche
Douée avec l'argent pour faire de l'argent
Blonde, vêtue de tons oranges, créancière habile
spoil [MALTRAITANTE]
C'est vous et votre vie, vous pouvez vous en sortir.
جيل | جنس | مدينة | دول |
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100 سنة | رجل | آخر | |
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chau | sse | tt | es |
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