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Je vais commencer une fiction mais d'abord, je me présente !
Je m'appelle Morgane ,j'ai 13 ans et je suis d'origine camerounaise.Mon anniv' est le 13 mars.
J'aime lire (surtout les mangas), bosser,la musique, jouer sur l'ordi, passer du temps avec mes amies et m'amuser !!!
J'aime les filles sympas, rigolotes, compréhensives et j'accepte les gens pour ce qu'ils sont et non pour ce qu'ils ont.
Si vous voulez devenir mon amie n'hésitez pas et envoyez-moi un message !!!
Je lis la fiction de kathoutou. Lisez-la, elle est vraiment super !!!
Je suis abonnée à Danse interdite de sweety2905. C'est une très belle fiction qui vous fera virevolté dans une danse simple et magnifique dans un élan de tendresse et un long combat.
Allez lire la fiction de Anissa18. Elle absolument M.A.G.N.I.F.I.Q.U.E. ! L'une des plus belles romances que vous n'avez jamais lues !
La fiction de Story-1d-kim est une fiction juste S.U.P.E.R.B.E ! Elle est magnifique. Vas-y surtout si tu es fan des 1direction !
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║██║♪ Met sa sur ton profil
║(O)║Si la musique fait parti de ta vie ♥
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Ma fiction
Chapitre 1 : Moi, ma vie, mon monde
Mon nom est Mona. Je suis noire, mes cheveux sont noirs et mes yeux marrons. Je suis assez grande et pas trop grosse. J'habite le monde Noir dans le château de mon maléfique de père et roi. Je sais, vous allez vous dire : "C'est une mauvaise fille celle-là" mais en fait je suis un cas particulier. Ma mère était une esclxve que mon père à enlevé du monde Blanc. Normalement, on tue à la naissance les filles comme moi (les hybrides) mais ma mère a fait jurer à mon père de me garder en vie. Elle est morte en me donnant vie...
Mes pouvoirs sont l'eau, l'air et la vie. J'ai de nombreux grands frères (ou plutôt demi-frères du côté de mon père) dont le passe-temps favori est de me maltraiter chaque jour...Mon père, lui, est parfois gentil avec moi et parfois, il me maltraite mais il prend tout de même soin de moi.
Comme vous pouvez le voir, ma vie n'est pas très rose... Mes frères ne font que me dire "Tu es bien trop gentille !" mais je suis comme ça c'est pas de ma faute !!! J'ai été plus influencée par le caractère de ma mère que par celui de mon père (heureusement !!!). Certes, j'aime bien m'habiller en noir, je suis douée pour le dressage de monstres et j'adore avoir peur ou faire peur mais ça s'arrête là !!! J'ai donc passé les 16 premières années de ma vie, seule dans un noir infini...
Chapitre 2 : Une rencontre
Un jour, dans la salle Noire (c'est la salle où mon père et ses partisans mettent en place des plans pour conquérir les autres mondes. J'y suis mais j'ai pas le droit de dire mon avis sinon je vais être punie et je peux vous dire qu'être punie par le roi des Ténèbres, c'est pas cool...), un homme étrange est entré...
C'était la première fois que je voyais cette couleur étrange qui était douce et lumineuse à la fois... Il était habillé en blanc... Blanc comme la neige et brillant comme les étoiles... Ca m'a fait un choc... Car je connaissais toutes les couleurs mais si je me rappelle bien, cette couleur a été bannie de mon monde...
Cet homme avait l'air d'avoir à peu près le même âge que moi, il avait les cheveux noirs encre bouclés et les yeux marrons. Il s'avança avec élégance et dit...
Chapitre 3 : Etrange...
Il s'avança et dit :
- Moi, Prince Michael de Blancavia (du monde Blanc), demande une audience à sa Majesté Blackorn de Mastésia (du monde Noir)
D'autres personnes habillées en Blanc apparurent, suivant leur prince.
- Viens dans 1 heure, à la salle du trône. Tu t'installeras avec tes compagnons d'armes dans le compartiment des invités d'honneur. Morgane, accompagne-les, répondit sèchement mon père.
Généralement, lorsqu'il m'appelle par mon vrai nom, "Morgane" c'est qu'il ne faut pas répliquer.Je sortis donc mécontente de la salle, suivie de ces personnes habillées en Blanc.
- Voilà, c'est ici, leur dis-je quelques minutes plus tard. Vous, votre majesté, suivez-moi.
Il me suivit sans discuter un peu plus au fond dans le couloir.
- Vous dormirez ici.
J'ai croisé son regard. Je l'ai détourné imédiatement, je n'ai pas le droit de regarder directement un homme de sang royal.
- Quel est votre nom ? me demanda-t-il.
Il avait dit ça doucement et gentiment mais vraiment, j'avais déjà assez d'ennuie dans ma vie pour m'en attirer d'autres en sympatisant avec le prince du clan ennemi !
- Rendez-vous dans une heure prince, seuls les enfants du roi seront présents et j'en fais partie.
Et je me suis éloignée rapidement. J'espère qu'il a compris qu'il peut m'oublier tout de suite !!!
Chapitre 4 : La salle du trône
Une heure après, je suis assise sur un trône à la droite de mon père dans la salle du trône. Mes nombreux frères sont tout excités : c'est la première fois que l'on voit un membre de la famille royal de Blancavia. Ils se tenaient devant nous, ces gens venus de ce monde lointain, leur prince au milieu.
- Bien le bonsoir à vos majestées.
- Passons, passons, répondit mon père. Que me voulez-vous ?
- La paix.
Mes frères ont commencé à pxuffer de rire mais mon père les a arrêter d'un signe de main. Sérieusement celui-là, il cherche trop les ennuis.
- La paix ! La paix, répondit mon père.
- Cessez de nous combattre et laissez-nous vivre en paix. Votre royaume s'affaiblit de jour en jour car vous persistez à nous combattre.
- Eh bien ! Je vous lance un défi. Vous resterez ici et en 70 jours, vous devrez me prouver que si nous vivons comme vous, notre royaume sera heureux. Sinon, nous déclarons la guerre. Acceptes-tu ?
- Oui.
- Non ! m'exclamais-je.
Je plaqua directement ma main contre ma bouche. Tout le monde me regardais : je venais de faire une grosse erreur...
Chapitre 5 : Mes monstres
Mon père s'est levé et il m'a giflée de toutes ses forces devant tout le monde. Après il m'a prise par les cheveux et m'a traînée par terre, vers ma chambre. Je ne criais pas, je souffrais en silence. Lorsqu'on a passé 16 ans dans une atmosphère pareil, on a l'habitude et on sait que ça ne sert à rien de crier. Mais avant de continuer ce passage sinistre, je vais d'abord vous dire pourquoi je ne suis pas d'accord avec ce défi.
Tout d'abord parce que ça fait 16 ans que je me débrouille pour survivre et que d'un coup, je vais devoir changer d'atmosphère d'un coup. Ensuite, parce que je n'ai aucune envie de devenir une "sainte" : j'ai des défauts et je les assume ! Et la dernière raison qui est la plus importante à mes yeux est qu'au monde Blanc, les monstres sont interdits et moi mes monstres, il n'ait pas question de me séparer d'eux ! Ils sont ma seule famille ( eux au moins ne me maltraitent pas chaque jour ) !
Retournons à notre passage assez sinistre. Arrivé dans ma chambre, il m'a balancée un peu plus loin et il m'a frappé pendant toute une heure. J'imagine pas la tête que j'avais après...
Pour me changer les idées, je suis allée dans la clairière où tous les monstres sont logés et j'ai regardé chaque monstre dans chaque enclos. Je cherchais mon préféré. Il était là, en train de boire du lait de houx ( un poison très fort pour ceux qui ne viennent pas du monde Noir ). Ces ailes repliées sur son dos avaient un dégradé de couleur passant du noir au gris-blanc. C'est le seul monstre autorisé à vivre dans ce monde avec cette couleur et à vivre dans le monde blanc. Il n'y aura que lui que je pourrais sauver. Ce bel aigle de la nuit blanche.
Je l'ai sorti de l'enclos, je l'ai équipé comme il faut et je suis montée sur son dos. Je me suis promis que dès que je reviendrai je jouerai avec les autres. Juste avant que je décolle, quelqu'un est apparu et là je voulais juste qu'il me foute la paix.
Chapitre 6 : Moi ! Amoureuse ! Ca jamais !
Le prince : Vous avez l'air d'avoir pleuré...
Moi : Que me voulez-vous ?
Il m'a regardée d'un regard profond. J'aime pas quand il me regarde comme ça.
Lui : Votre main...
A ce moment, j'ai voulu décoller avec Maldiva ( c'est le nom de mon aigle de la nuit blanche ) mais il m'a retenue ( comment, je ne sais pas !!! )
Lui, me regardant encore avec un regard profond : dites-moi
J'ai tout de suite détourné le regard.
Moi : Je n'ai pas besoin de vous le dire et vous avez enfin cesser de jouer la comédie ! Dès que je vous ai vu, j'ai tout de suite su que vous jouiez les princes courageux et déterminés alors que vous ne voulez absolument pas être cette personne !
Il a relâché prise et j'en ai profiter pour prendre mon envol. Et oui ! Voir à travers les gens fait parti de mes dons !!! Lire en lui était si facile que j'ai même vu des brides de son passé : Ses parents, roi et reine de Blancavia, cherchent un terrain d'entente avec mon royaume pour limiter les dégâts dans leur royaume et dans les autres mondes. Mais ils ont été conseillés par un espion de mon père qui les a conseillés d'envoyer leur fils avec quelques fidèles chevaliers ou chevalières ( je sais pas si ça se dit !!! ). Ca explique la mauvaise humeur de mon père aujourd'hui !!! (il déteste se montrer hospitalier et n'aime pas qu'on le conseille). Apparemment, ce prince a un succès fou auprès des filles dans son royaume, mais bon, moi je m'en fiche complètement !!!
J'aime beaucoup voler dans les airs... Ca me permet de me détendre et de ne plus trop réfléchir...
Un peu plus tard je suis redescendue et j'ai remis Maldiva dans son enclos en lui faisant un bisou sur le front et je suis allée dans le manoir derrière le château.
Lorsque la nuit commence à tomber, des monstres apparaissent dans ce manoir... Je vais souvent m'amuser avec eux mais cette fois-ci, ce sera sûrement la dernière fois à cause de mon idiot de père et de ce prince sorti d'un piège pour que la guerre éclate !
Ah ! Voilà déjà un fantôme qui apparaît ! Je me débrouille très bien avec les monstres. Pour celui-là, je n'ai qu'à le regarder intensément dans les yeux assez longtemps pour qu'il me fasse confiance. Ah ! Un zombie. Pour lui se sera un sourire en m'approchant de lui et lui poser le bras sur l'épaule tout en paraissant heureuse. Si ils font peur aux humains c'est parce qu'ils n'arrêtent pas d'avoir peur d'eux et les zombies n'aiment pas ça.
J'étais en train de leur sourire, de les serrer contre moi ( ce que j'aime le plus, c'est que j'ai un peu peur !!! ) lorsque soudain, le prince apparu encore.
Lui : Viens s'il-te-plaît.
Ce qui m'a le plus étonné, c'est son "s'il-te-plaît" et sa manière de marcher. Il ne jouait plus le fier prince Blanc mais il était lui, mais pourquoi ?
Il m'a prise par la main. et m'a entraînée au-dehors. Si je n'étais pas Noire, j'aurais certainement rougis !
Moi : Qu'est-ce que...
Lui : Ne dis rien.
J'ai senti un battement de coeur dans ma main gauche. Ce n'étais pas possible ! Pas lui !
Lui : J'ai remarqué que ta main gauche ( celle qui normalement a des gestes selon les sentiments (gauche pour les filles, droite pour les garçons)) était inexpressive, elle ne bougeait plus. Regarde ma main droite : pas un battement de coeur n'y passe...
Moi : Mais... Non... Ce n'est...
Lui : Regarde, si je mets ta main gauche dans ma main droite...
Il a pris cette main comme il dit et là, c'était plus qu'un battement de coeur qui y passa...
Moi : J'y crois pas... Elle a frissonné...
Cette fois-ci nous nous regardions dans les yeux.
Vous allez vous dire : "Elle a frissonné ? Qu'est-ce que ça peut faire ???". Et bien en fait, ça veut tout dire.
Comment a-t-il pu me faire tomber aussi bas en une journée ! Comment ! Je ne veux absolument pas tomber de nouveau ! Je croyais que je ne pouvais pas tomber plus bas mais lorsqu'on tombe amoureuse, c'est la chute absolue...
Chapitre 7 : Elle ne se souvient de rien...
Attention !!! Dans ce chapitre, c'est le prince qui raconte.
Elle m'a regardé avec de grands yeux. Je lui ai souri. Elle a reculé en disant :
Elle : Je ne peux pas ! Je ne veux pas ! Faites votre vie et oubliez-moi !
Et elle est partie. J'ai soupiré... Elle ne s'en souvient toujours pas... C'était il y a deux ans.
Nous sommes au palais de Cristal de Blancavia. Une fille de couleur de peau noire est entrée dans la salle du trône.
La reine : Tu as une aura blanche et pourtant, tu as la peau noire... D'où viens-tu ?
Mona : De là où les arbres se meurent et là où les fleurs se font noires. Je me suis sauvée de ce monde froid et triste pour essayer de rejoindre la lumière et servir ce monde coloré et fleuri.
Le roi : Voilà de belles paroles pour une personne qui vient de ce monde là. Tu vivras au château, comme cela, nous pourrons t'aider et te guider.
Mona : Je vous remercie de tout coeur votre majesté.
Mes parents voulaient, à mon avis, juste la surveiller de près.
Moi : Quel est ton nom ?
Elle a finalement levé les yeux qu'elle avait baissés depuis qu'elle est arrivée et m'a regardé dans les yeux pendant une seconde pour les baisser de nouveau.
Mona : M... Nalia... Votre majesté...
Je l'ai regardée pendant un moment et j'ai trouvé qu'elle avait quelque chose de spécial en elle. Quelque chose que les autres n'avaient pas...
Elle s'est rapidement habituée à vivre ici. On aurait presque dit qu'elle avait toujours vécu ici. Nous nous entendions bien, nous étions de bons amis. Pourtant, on voyait une trace de peur dans ses yeux quelques fois. Mes parents pensaient qu'elle venait de la campagne noire, qu'elle n'avait rien de spécial, une fille comme les autres... Ils se trompaient lourdement...
Une nuit, je l'ai vue, fouiller dans les archives du château, rechercher dans les documents sur les femmes enlevées par le Roi Noir...
Moi : Que... Qu'est-ce que tu fais ?
Elle recula d'un pas, surprise. Sur la page qu'elle était en train de lire c'était marqué : "Mariya Lonaste du monde Blanc a été enlevée par le Roi Noir il y a 15 ans. Cette femme a eu un bébé quelques temps après."
Elle : ...
Moi : Tu... Tu es une hybride ! Tu es une hybride et en plus tu es la fille du Roi Noir !!!
Elle : ... ( fondant en larmes, sa main gauche tressailant de peur ) Je suis désolée !!! Je suis vraiment désolée !!! Je voulais juste savoir qui était ma mère !!! Je... je ....
Moi (en la prenant dans mes bras) : Ne t'en fais pas... Je ne dirais rien à personne...
On est restés là, pendant je ne sais combien de temps puis nous sommes finalement partis.
Je vais vous expliquer tout de même ce que signifie être un hybride : c'est une personne dont l'un des parents vient du monde Blanc et l'autre du monde Noir. Ils sont très rares car généralement, ces deux mondes se détestent. Les hybrides ont des pouvoirs de toutes sortes des purs comme des mauvais. Ils ont aussi une particularité : ils résistent mieux aux sorts jetés par une personne venant du monde Noir destiné à quelqu'un du monde Blanc ou l'inverse. Ils ont aussi des traits de caractère différents des gens venants des autres mondes et des pouvoirs en plus. Elle est probablement la seule dans tout les mondes à être une Hybride...
Le lendemain, nous nous parlions encore dans le jardin derrière le château :
Moi : Nalia...
Elle : Non, Mona... mon nom est Mona...
Elle me fit un sourire... Sa main gauche fit un signe du genre : "Je suis contente et je te fais confiance"
Je lui rendit ce sourire et ce signe à la main droite.
Sauf que j'avais tout de même quelque chose à lui dire car depuis qu'elle est arrivée, je l'observe et je me suis bien entendu avec elle.
Elle : Depuis que je suis arrivée ici, j'ai ressenti pour la première fois ce que vous appelez la "joie" et avec toi c'est ce beau sentiment que l'on appelle "amitié"...
Elle m'a refait ce beau sourire et sa main fit signe de joie. Mais à ce moment...
Une main noire de la taille d'un homme sortit de terre et une voix effrayante et à l'air extrêmement énervée dit :
??? : Ca fait un mois que je te recherche ! Un mois ! Et pendant ce temps, mademoiselle joue les jolis coeur avec le prince du clan ennemi et fait la fille joyeuse !!! Sérieusement, tu pensais que tu allais t'en sortir comme ça !!! J'ai fait le tour de tous les mondes pour retrouver la demoiselle joli coeur devenue une sainte !!! Attends un peu qu'on rentre à la maison !!!
Son sourire s'était effacé. Sa main gauche tressaillait de peur. Elle avait l'air très inquiète mais restait de marbre.
Elle : Je voulais juste recueillir des in ations sur...
Son père : Ta mère hein ? Si il faut en plus que je t'efface la mémoire, je le ferais !
La main noire a pris Mona et la main gauche de cette dernière a tressaillit une dernière fois et puis, plus un seul battement de coeur n'y passa. Ma main droite, elle tressaillit d'inquiétude une dernière fois et eu le même sort que celle de Mona.
Mon père et ma mère trouvaient scandaleux qu'ils aient hébergé la fille de leur ennemi juré.
J'ai donc esperé que l'on se reverra un jour...
Retour au présent...
Il a fallu que j'attende deux longues années pour la revoir et enfin je l'ai retrouvée mais elle n'a plus aucun souvenir...
Chapitre 8 : Pourquoi est-ce que ça m'arrive à moi ?
Je suis partie rapidement. Comment avait-il fait !!! Comment ? Il vient à peine d'arriver, nous n'avons échangé que quelques paroles et... Je ne veux pas de problèmes moi !!! Je ne veux pas d'un fardeau en plus !
Le lendemain, je suis allée à la bibliothèque. C'est l'un des seuls coins où je me sens bien dans ce monde immense... La plupart des livres y sont mauvais mais j'ai réussi à en commander des intéressants en cachette en modifiant la couverture.
J'étais là, en train de relire mon livre préféré pour la centième fois, lorsque l'un de mes frères arriva. C'était le plus grand de tous ( vu que je suis la toute dernière, la différence d'âge se fait ressentir !!! )
Lui : C'était là que ta mère s'assayait pour lire, lorsqu'elle était enceinte de toi...
J'avais oublié ! C'est lui mon seul frère qui est gentil avec moi !!! C'est lui qui m'a raconté tout ce que je savais sur ma mère...
Lui : Tu as les mêmes yeux qu'elle et à peu près le même caractère. Tu sais, c'est ta mère elle-même qui a décidé de s'enfuir avec notre père. Elle l'aimait vraiment... Lui, était un peu dur mais il l'aimait beaucoup. C'est pour ça que tu es la dernière. Au début, il faisait des enfants avec n'importe quelle femme mais à la mort de ta mère, il n'a plus voulu aimer d'autres femmes qu'elle et il t'a gardée pour elle. Les autres garçons sont jaloux c'est pour ça qu'ils te martyrisent... Moi j'ai compris dès que je t'ai vu pour la première fois que tu voulais juste qu'on te laisse tranquille...
Moi : Pourquoi...tu me racontes tout ça, Marco ?
Marco : Père m'a demandé de ne rien te dire, de tout te cacher mais, je n'y tiens plus : ta mère n'est pas morte parce qu'elle a trop souffert en te mettant au monde... Elle est morte parce que... les sénateurs trouvaient que elle représentait une gêne pour le royaume. Ils ont dû faire un coup monté pour qu'elle soit exécutée. Père a dû l'exécuter lui-même. Il était bien très triste lors de cette période. Il ne pouvait pas répliquer devant les arguments des sénateurs. La dernière chose qu'elle lui a demandé est de te protéger toi. Je te demande de le pardonner pour ce qu'il lui a fait.
Marco s'est toujours bien occupé de moi. Il m'a appris à dompter les monstres, à bien me comporter, tout ce que père n'a jamais fait avec moi. Mais là, un sentiment dangereux est sorti de la cage où je l'ai laisser si longtemps. Et je vous dis que lorsque celle-ci sort c'est un désastre cahotique. C'est l'un des rares sentiments que j'ai reçu de mon père : une colère destructrice, sans merci.
Chapitre 9 : Une colère noire
A ce moment, mes yeux déjà foncés devinrent plus noirs que du charbon. J'ai enfermé ma conscience dans un coin de ma tête et j'ai oublié tout les autres sentiments que j'avais. Il y avait une seule chose qu'il fallait que je fasse à ce moment-là : mon père...
Je ne savais pas encore ce que je ferais une fois devant lui mais je ne lui ferais pas de cadeau.
Je suis entrée dans la salle noire sans autorisation ce qui m'aurait valu une plus grosse punition que
celle d'hier, j'ai directement foncé vers mon père et là, je lui ai dit de venir tout de suite avec moi. J'ai essayé de dire cela le plus calmement possible mais apparemment, mon ton me trahissait. Je l'ai regardé dans les yeux intensément. J'avais une envie intense de le frapper mais ma nature pacifique m'en empêchait ce qui me brûlait de l'intérieur.
Apparemment, il a tout de suite compris qu'il ne fallait absolument pas discuter et m'a suivi sans un mot. Je l'ai emmener dans une pièce reculée du château.
Moi : J'exige des explications.
Mon père (me fixant d'un regard " j'ai pas que ça à faire") : Je n'ai rien à t'expliquer.
Moi : Ma mère, elle est morte comment ?
Mon père : Marco te l'a déjà expliquer alors arrête de...
Moi : COMMENT EST MORTE MA MERE !!!
Il me fixait d'un regard étonné. J'élève très rarement la voix sauf lorsque je perds mon contrôle ce qui est le cas en ce moment. Je sentais mon coeur dégager une telle énergie noire que c'en était un record depuis la nuit des temps ! Mon père a dû la sentir car il m'a dit d'une voix plus adoucie (même si elle était quand même dure ) :
Mon père : Tu n'as pas à me demander ça. Va demander à Marco, il te le dit depuis ta naissance.
Moi : C'est de toi que je veux l'entendre. Tu ne m'as jamais regardé dans les yeux depuis ma naissance. Tu m'as ignoré c'était comme si j'étais invisible à tes yeux sauf lorsqu'il s'agissait de me punir ou de passer tes nerfs sur moi, tu étais le premier à la queue ! Mais moi j'en ai marre maintenant. Moi aussi je veux qu'on me respecte. Je ne me défendait même plus lorque tu me battais !!! Tu m'as enlevé tout mes sentiments. Je ne ressens plus rien à part la douleur, la peur et le desespoir de connaître un jour la "joie". Si tu veux, je partirais, comme ça je te laisserais tranquille ! Et comme ça, ça t'éviteras de me réserver le même sort que maman !!!
Cette dernière phrase l'a choqué et étonné profondément, je le sentais.
Mon père : ...
Moi (en tournant les talons) : Adieu père, je ne vous dérangerais plus.
J'avais les larmes aux yeux. C'est toujours la même chose : après que je sois en colère, je suis triste...
Mon père : Mona...
Il m'a rattrappée et...
Chapitre 10 : Je n'ai rien compris à ce brouhaha !!!
Il m'a rattrappée et... il m'a prise dans ses bras !
J'y comprenais plus rien. Ma tête bourdonnait beaucoup trop avec à l'intérieur mon côté bon et mon côté mauvais qui se battaient en cherchant un arrangement pour que mon désir de vengeance et ma pacificité soient apaisés.
Mon père : Ecoute, je sais que je ne suis pas un bon père et que je ne me suis pas du tout occupé de toi. Pour être franc, je ne m'interraissais pas du tout à toi. Mais d'un autre côté, je t'ai toujours aimé. Mais cette histoire avec ta mère ne m'a pas aidé. A chaque fois que je te regardais, tu me rappelais ta mère et ça me chagrinait. De plus, j'avais peur que les sénateurs ne s'en prennent à toi aussi comme ils s'en sont pris à ta mère. Lorsque j'ai su qu'il y avait un complot, il était trop tard... Mais si tu veux mon avis, ta mère n'est pas morte.
J'ai levé les yeux. J'y comprenais rien : elle est morte ou pas ? Et lui, il m'aime ou pas ?
Moi : Hein ?
Lui : Elle n'est pas du genre à se laisser faire de la sorte. Elle a dû utiliser un de ses nombreux stratagèmes pour survivre... Mais pour l'instant, il s'agit de toi et moi. Maintenant, tu sais que je t'aime. Tes frères ont dû sentir que je t'aimais plus qu'eux c'est pourquoi ils te traitent comme ça mais je ne peux pas leur demander d'arrêter sinon les sénateurs vont se douter de quelque chose.
Moi : Et si vous me frappiez c'était pour quoi ?
Lui : Je suis quand même le roi Noir ! J'ai des bons et des mauvais côtés. Parfois, je frappait ta mère si tu veux le savoir mais si tu veux, je ferais des efforts.
Dans ma tête ça faisait "Qui êtes-vous et qu'avez-vous fait de mon père". Jamais il ne m'avait parlé sur un ton aussi doux... Mais lorsqu'il a dit qu'il frappait ma mère...
Moi : Que disait maman quand vous la frappiez ?
Lui : Elle me disait : "Je veux juste que ton âme soit sauvée, démon !" ce qui me faisait arrêter tout de suite.
Moi : ...
Lui : Tu ne partiras pas.
Il avait repris son ton habituel. Il a dû faire un effort surhumain pour me parler comme il l'avait fait tout ce temps. Maintenant il doit certainement avoir atteint sa limite.
Moi : D'accord.
Je n'avais jamais obéit aussi facilement à mon père. Mais j'avais trop mal à la tête pour continuer avec une dispxte. Je suis donc montée dans ma chambre pour me coucher mais devinez qui je croise en chemin...
Chapitre 11 : Je le déteste !!!
A mon avis, tout le monde l'a deviné : le prince...
Sérieux, j'ai passé une journée de malade : Matin, essayer de sauver le plus de monstres possible de l'exécution, après-midi passage à la bibliothèque et vous connaissez la suite et si ça continue avec lui, je sens que je vais devenir folle !!!
Alors, heureusement que je passais à côté d'un des nombreux passages secrets de cet énorme château !!! Malheureusement, il m'a vu...
Moi : Sérieusement, vous pouvez me laisser tranquille !!! J'ai besoin de souffler là !
Et vous savez ce qu'il a fait ? Il a pxuffer de rire !
Moi, de plus en plus énervée : J'ai dit quelque chose de drôle ?
Lui : Non. Mais vous savez que vous êtes vraiment belle quand vous vous énervez ?
Si j'avais pu, j'aurai certainement rougi... Mais j'étais toujours énervée !
J'ai tourné les talons et j'ai continué ma route.
Le prince : Attendez !
Moi : Arrêtez s'il-vous-plaît ! Arrêtez de me suivre !!!
Franchement, j'en avais marre ! J'avais juste envie de dormir !!! C'est énervant tout ça à la fin !!!
Moi : Ecoutez, je n'ai pour l'instant aucune envie d'être avec quelconque personne ! J'ai juste besoin de me reposer alors s'il-vous-plaît, laissez-moi !
Lui : Dîtes-moi au moins comment sortir d'ici.
Il a souri. Cette fois-ci, il m'avait eue : non seulement il m'avait suivi dans un endroit qu'il ne connaissait pas et il fallait donc que je l'accompagne, mais en plus ce passage-là est particulièrement rempli de pièges et particulièrement long : pour quelqu'un qui n'est pas habitué, il faut au moins une à deux heures pour sortir d'ici.
J'ai sérieusement senti la colère monter en moi comme la lave dans un volcan prête à faire une éruption...
Chapitre 12 : J'enrage toujours...mais un peu moins...
Moi, d'un ton maîtrisé le plus possible : Où... Où allez-vous ?
J'en bégaie tellement j'en ai la chair de poule !!!
Lui, en souriant : Vers l'aile ouest.
Sérieux !!! C'est l'endroit le plus loin !!! Il devait en avoir conscience car il riait un peu !!!
J'ai fermé les yeux un instant avant de lui demander de me suivre.
Moi : Surtout, marchez bien sur mes pas. C'est un passage vraiment dangereux, faites bien attention.
J'avais l'impression qu'il me regardait plus qu'il ne m'écoutait. S'il avait envie de mourir il avait qu'à demander, car je le tuerais avec joie s'il continuait comme ça !!!
De toutes façons, il y a quelques années, je me suis juré de ne plus jamais tomber amoureuse, c'est trop de souffrances en plus pour une fille comme moi !!! Surtout avec ce qui s'est passé l'année dernière...
Bref, j'abrège les détails du voyage à part que ce prince a failli se faire tué 10 fois et que je ne faisais que de rêver de mon lit bien chaud en marchant !
Sauf qu'à un moment...
Je me suis tordue la cheville mais à mon avis, c'était plus que ça vu le bruit que ça à fait.
Moi : Aïe !
Je suis tombée lorsque j'ai déposé mon pied sur le sol en marchant. J'ai dû trop courir après les monstres ce matin !!!
Le prince : Laissez-moi vous aidez. Je vous accompagnerais dans votre chambre une fois dehors.
Et vous savez ce qu'il a fait ? Il m'a portée !!! Et pas n'importe comment !!! Vous savez, comme les princesses dans les films pour les petites filles !!!
Moi : Laissez... Je peux me débrouiller toute seule...
Lui : Non, ne vous en faites pas.
Mais il devait aussi être fier de son coup : en plus de me porter, il va m'accompagner dans ma chambre qui est dans l'aile exactement à l'opposé !!!
J'ai donc dû le guider pour qu'il ne tombe pas dans les derniers pièges de ce passage. Nous sommes sortis dans l'aile ouest et il fallait encore traverser le château pour aller dans l'aile est.
Les gens que nous croisions nous regardaient d'un air étonné. En même temps, le prince Blanc portant dans ses bras la princesse Noire surnommée l'Etoile Noire, ça surprend !
*
* *
Lorsque j'ai ouvert les yeux, j'étais dans mon lit. J'ai dû m'endormir dans ses bras idiote que je suis !!!
Mon pied ne me faisait plus mal... Il a dû le soigner avec ses pouvoirs... J'aurais pu rougir si je l'avais pu...
Chapitre 13 : Nouveau Flash-back
Nous sommes au château du monde Noir, il y a un an.
A la salle Noire, un homme habillé en violet avec sa suite entre.
Lui : Je suis le prince Voïr de Walita (du monde violet) et je demande une audience à sa majesté Blackorn de Mastésia.
Ce prince avait les cheveux courts et bruns et les yeux d'une couleur extraordinaire : violets.
Le monde Noir et le monde Violet étaient amis depuis une éternité...
Ce fut donc avec joie que mon père les accueillis...
Je m'entendais plutôt bien avec lui. Il était un peu moqueur ce qui m'énervait souvent mais on s'amusait bien ensemble.
Jusqu'à ce qu'un jour :
Lui : Je t'aime.
J'ouvrais de grands yeux. C'était la première fois qu'on me disait ça.
Moi : Que... Quoi ?
Lui : Je t'aime !
Il disait ça avec un sourire. Je ne savais pas si je devais éclater de rire ou si je devais rester sérieuse...
Moi : Tu... Tu m'aimes vraiment ?
Lui : Si je te le dis !
Moi : ...
Je me suis suis jetée dans ses bras. J'en avais vraiment besoin. Jamais personne ne m'avait dit une chose pareille...
Moi : Moi aussi, je t'aime.
Les jours passèrent et on était toujours ensemble. A cette époque, j'étais plus insouciante que n'importe qui et si on me disait "je t'aime" je répondait oui sans me demander si je l'aimais vraiment... Mais je pense que j'avais confondu l'amitié et l'amour... Même si en vrai, les deux ne marchaient pas :
Un jour, j'arrive dans le château en le cherchant. Je le voyais discuter avec l'une de ses personnes qui l'accompagnait. Je me suis cachée et j'ai écouté la conversation.
Lui : Cette fille, personnellement, je ne peux pas la suivre. Elle est beaucoup trop gentille pour moi. Elle est beaucoup trop sérieuse et elle ne rigole pas beaucoup. Sérieux elle ne me plaît pas du tout !
La personne : Courage votre majesté ! Encore un peu de temps et vous serez roi du monde Noir et du monde Violet en même temps ! Ainsi vous pourrez la laisser et vivre votre vie !
Lorsque j'entendis ça, j'ai senti mon coeur s'écrouler en mille morceaux. Mais en même temps j'ai senti une colère tellement forte et tellement puissante que je suis entrée en transe.
Moi, en sortant de ma cachette : Tu n'es qu'un gros c** !!!
Et là il s'est passé un truc terrible... Je ne vous l'ai pas dit mais lorsqu'on est un hybride, on a ce pouvoir de justice que personne n'a, un pouvoir que personne ne peut prendre ou dérober, un pouvoir trop fort pour le vaincre et là :
Moi, en commençant à m'élever du sol et en parlant calmement d'une voix qui n'était pas la mienne : Toi ! Toi ! Tu n'as aucun droit de me traiter comme ça ! Aucun ! Ma colère sera grande ! Trop grande !
La terre commença à trembler et le ciel s'assombrit.
Moi : Toi et tous ceux qui ont été tes complices leur sort seront proportionels à leur implication dans ce complot ! Mais toi, pendant quelques minutes, je te mettrai dans la tête toutes les souffrances que j'ai vécu et que tu aurais pu me mettre encore sur le dos.
Vous allez vous dire "C'est pas une vraie punition ça !" mais pourtant, je ne sais même pas comment j'ai fait pour tenir debout comme ça pendant 15 ans car quelqu'un qui a toujours été heureux ne pourrait pas supporter une seule seconde la souffrance que j'ai vécu pendant ma vie et ferait exploser son coeur d'une rage destructrice. La preuve :
Le prince se mit à hurler de douleur. Il se tenait sa tête entre ses mains et était complètement essouflé. Il avait mal... Je le savais, c'était ma douleur.
Moi, ma voix redevenue normale mais étant toujours dans les airs : Tu sauras maintenant la peine que ça fait, la douleur que cela fait quand tu fais souffrir quelqu'un ! Maintenant tu sais à quel point ça fait mal !
Tout les complices avaient eu comme promis un sort proportionnel à leur implication en même temps que le prince. Moi, juste après, je me suis évanouie. C'était trop d'énergie épuisée en moins d'une vingtaine de minutes...
Lorsque je me suis réveillée, mon père était à mon chevet.
Moi : Que... Que s'est-il passé ?
Mon père : Rendors-toi, tu es encore souffrante.
Dans mes souvenirs, tout était flou. Je ne me souvenait de pas grand chose mais plus j'essayais de me souvenir, plus ça me faisait mal à la tête...
Alors j'ai écouté le conseil de mon père et je me suis rendormie.
Le prince, quant à lui, est vite reparti avec des frissons.
Après ça, je me suis promis de ne plus jamais tomber amoureuse. Ca m'avait vraiment fait mal ce qu'il m'avait fait, ce fichu prince.
Chapitre 14 : Que le défi commence !!!
Bientôt, le fameux défi du tout début commencera. Je stressait vraiment beaucoup !! J'avais peur que ce soit pire que le monde dans lequel j'ai grandi. C'était vraiment trop pour moi. Je me suis promis qu'un jour, je m'enfuierais loin d'ici, dans un endroit où personne ne me trouvera !!!
Ainsi, le jour fatidique arriva... Ce fameux défi... Il nous fallut quelques secondes pour arriver à nous habituer à cette nouvelle clartée : nos paysages d'habitudes très sombres étaient devenus plus colorés et plus lumineux.
Moi, ça ne me plaisait pas. Je préfère quand c'est sombre, ça fait moins mal aux yeux et dans le noir, je suis plus sûre de moi.
Apparemment, ce sentiment a été ressenti par tout le monde... Ca commence bien...
Bon... Ce n'était absolument pas le pire... Tous les monstres que je n'avais pas pu sauver, exécutés devant mes yeux... Je peux vous dire que je les ai défendu avec tout mon pouvoir, j'ai encore essayé de les sauver ( ce qui m'a valu 3 punitions de mon père mais je m'en fichais ). J'ai tout fait ! Je leur ai même dit qu'il faudrait me passer sur le corps s'il voulait les tuer... Mais sans résultat. Je peux vous dire que c'était comme si j'avais reçu un poignard dans le coeur... Ca m'a tellement fait mal qu'après ça j'ai encore pété un câble... Je crois qu'ils m'ont bien entendue : je leur ai tellement crié dessus que je me suis fait mal à la tête moi-même !!!
Ensuite, le château, devenu tout blanc, ma chambre... Ils ont osé toucher à ma chambre !!! C'est mon espace à moi, ils n'ont pas le droit d'y toucher !!! Elle était grise, rouge et bleue avant (et pour tout vous dire, c'était la pièce la plus illuminée du château !!!) et ils l'ont repeinte en blanc !!!! Tout était blanc !!! Ce n'est pas que je n'aime pas cette couleur mais je ne la voyais pas du tout dans ma chambre !!!
Ma garde-robe aussi ils l'ont changé. J'étais tellement énervée et tellement triste que je ne voulais même plus sortir de ma chambre !!! Je me dépêchais de remettre tout en place à l'intérieur. Je relisais mes livres je ne me levais même plus de mon lit !!!Sérieusement, je n'aimais pas ça du tout !!!
Un matin pourtant, je me suis enfin décidée à mettre le nez dehors. Ce château était beaucoup trop lumineux ! Je plissais les yeux et me les frottaient. J'avais envie de prendre l'air, de ne plus penser à rien, de me calmer.
Même ma maison hantée a été rasée ce qui ne m'aida pas à garder mon calme...
Je décida donc d'aller me promener dans la forêt. Et là...
Chapitre 15 : Curiosité...
J'ai vu l'une des plus belles créatures au monde. Elle brillait et était gracieuse comme une danseuse de ballet.
- Une licornia christalia...
Comme son nom l'indique, c'est une licorne mais qui a une corne en cristal. Lorsque je me suis approchée d'elle, toutes mes peines ont semblées disparaître comme si elles n'avaient jamais existées. Je me suis donc approchée d'elle et tout en la caressant, je suis montée sur son dos. J'ai fait une balade magnifique sur son dos. Je redécouvrait ma forêt, observant ces nouveaux habitants et les nouvelles couleurs qui la meublaient. J'étais émerveillée. Des paysages magnifiques s'étendaient devant moi, des vallées, des fleuves et des mélanges de couleur.
Finalement, ce n'était pas aussi horrible. Du rose, du jaune, du blanc, du bleu... tout ces mélanges de couleur qui arrivaient à se marrier ensemble. Je me demande si le blanc et le noir irait ensemble...
Je me suis assise au bord d'un lac lorsque le soleil se couchait. Je l'observais. Je n'avais jamais remarqué qu'il était si beau... Les cristaux se reflétaient à sa lueur, l'ombre jouait avec la luminosité des lieux... Le ciel était devenu multicolore... Tout cela était magnifique...
Je jouais avec la surface de l'eau. La faisant s'élever avec mes pouvoirs, prendre différentes es, représenter ma vie, mon histoire. Je repensais encore à celui qui m'a trahie l'année dernière... Ca me faisait encore mal... Je ne voulais absolument pas recommencer avec celui qui est ici aujourd'hui. Surtout qu'en plus, c'est l'ennemi de mon royaume. J'ai déjà assez de problèmes comme ça. Qu'est-ce qu'ils disent à propos de l'amour dans mon livre préféré ? Il n'a pas de règles, ni de lois. Il apparaît au moment où on s'y attend le moins. Il est bonheur et souffrance en même temps. Une fois qu'on l'a rencontrer, il s'accroche à vous jusqu'à ce que vous craquiez et si il est vérité, jamais il ne disparaît... Ca n'a pas de sens... Je ne veux plus ressentir ça. J'en ai rêvé toute mon enfance mais ça ne m'a jamais apporter que des souffrances...
Ca y est. Il fait nuit. Il est temps de rentrer. Finalement, le blanc est une couleur qui sied bien à mon humeur du jour : je suis calme, pensive et rêveuse. Pour moi, le blanc sied tout à fait à ces humeurs (je sais pas pour vous). Ca tombe bien, j'avais mis une robe blanche aujourd'hui.
Je suis donc rentrée en traînant dans la forêt. La lune était haute dans le ciel lorsque j'atteignis le château. Moi, Etoile Noire du royaume, espoir des gens souffrant dans le noir et cherchant une lumière, venait de découvrir un sentiment uni.que pour la première fois : la sérénité.
Chapitre 16 : Confessions amoureuses
Cette nuit-là, j'ai dormi comme jamais. J'étais reposée, calme et sereine. Jamais ce n'était arrivé. Je décidai alors de sortir de ma chambre où je m'était enfermée depuis trop longtemps et de redécouvrir ce château de mon enfance. Je suis donc sortie. Calmement, j'arpentais les couloirs du château, je marchais au hasard, là où mes pas me menaient. Finalement, le changement n'était pas péjoratif.
A l'heure du petit déjeuner, je décidai d'honorer (ce qui certainement serait impossible) mon père de ma présence à table.
Lorsque j'entrai, tous les regards se tournaient vers moi. J'avais sans doute été trop longtemps captive dans ma chambre pour que l'on ne remarque pas ma présence.
J'aurais certainement préféré être invisible que de sentir tous les regards tournés vers moi...
Je me suis assise le plus éloignée le plus possible de têtes susceptibles de me fixer c'est-à-dire : le prince (évidemment ! ) et mon père.
Je pris un morceau de pain, du fromage et du lait chaud au sucre ( j'ai toujours eu horreur du chocolat !!! ). J'essayai de me concentrer sur autre chose que sur les visages qui me fixaient. La salle était blanche mais cela donnait une harmonie tout à fait paisible dans la pièce. Une longue table au centre entourée par d'autres tables pour deux personnes ayant des vases contenant quelques fleurs blanches dessus. La pièce était bien éclairée et assez grande. Je préférais cette salle à l'ancienne, horriblement sombre et dont l'ambiance était angoissante.
J'étais tellement concentrée sur la décoration de la pièce que je ne sentis pas que quelqu'un s'approchait de moi.
Lui : Très joli déco, n'est-ce pas ?
Je sursautai. Je suppose que vous avez deviné...
Moi : En effet. Est-ce vous qui l'avez prise en charge ? Je trouve qu'elle manque de couleur. C'est bien dommage.
Le prince : Non, ce n'est pas moi. Mais je la trouve assez harmonieuse.
Il me regardais dans les yeux avec un regard si calme que j'en fus presque amoureuse. J'ai bien dit presque.
Lui : Vous nous avez manqué ces derniers jours, où étiez-vous ?
Moi : Dans ma chambre, j'étais totalement désorientée par tous ces changements mais maintenant ça va mieux.
Lui : Eh bien, si vous allez bien, je vais bien aussi.
J'entendis mon père toussoter de l'autre côté de la table. Il nous écoutait certainement, depuis le début. Mais, il continuait de me regarder intensément, comme si il... Oh non ! A quoi je pense moi ?
Lui : Eh bien, à plus tard !
Sur ce, il sortit de la pièce gracieusement, non sans m'adresser un clin d'oeil en passant.
Cette fois-ci, toute la table me regardait. Je sentais que les émotions de mes frères étaient du genre "Il n'a pas à toucher à notre soeur, elle est à nous !" mais celles de mon père restait impénétrables. Peut-être s'était-il protégé l'esprit ou je n'avais tout simplement pas la moindre envie de savoir ce qu'il pensait.
Chassée par la tension pesante, je sortis de la salle sans avoir mangé grand chose et à peine eus-je mis le nez dehors que je me retrouvais face à face avec le bon prince Michael de Blancavia qui allait encore me voler ma journée. Il m'attrappa par le bras et me conduisit dans un endroit que je n'avais jamais vu avant. Nous nous enfoncions dans les entrailles du château.
Cette partie-là n'avait pas été modifiée par le défi et sachant que cet endroit était dangereux, j'essayai de le dissuader de continuer.
Moi : Où vas-tu ?... Ne va pas là, c'est dangereux !
Tout à coup, il s'arrêta, et m'embrassa ! Je ne sus pas ce qu'il me prit mais au lieu de le repousser, je l'enlaçait plutôt !
- Je t'aime Morgane Navasia Solane de Brume, me chuchota-t-il.
J'étais bloquée. Je ne savais pas quoi faire. Je l'aimais. Je l'aimais je le savais. Mais pourquoi ? J'aurais vraiment aimé resté avec lui pour l'éternité. Que ce moment dure toujours et que rien ne nous sépare. Mais j'avais peur. Peur des conséquences. Peur d'être séparée de lui. Peur qu'il disparaisse comme tous les autres. Je l'aimais plus que tout je le savais. Mais fallait-il que les choses soient aussi compliquées ? Nous ne savions pas ce que le destin nous reservait. Mais finalement, je décidai que cela n'avait pas d'importance. Qu'il était plus que tout pour moi et que je ferai n'importe quoi pour lui. J'ai pris ma décision.
Moi : Je... je t'aime aussi mais... je t'aime vraiment plus que tout !
Au début, je voulais lui dire tout à propos de nos problèmes et des dangers qui nous guettaient mais finalement, je voulais profiter du temps présent et rester dans ses bras le plus longtemps possible.
Chapitre 17 : Danger
Tout à coup, il me repoussa et continua son chemin en me traînant derrière lui.
Moi : Mais où est-ce qu'on va... Eh, lâche-moi s'il-te-plait et dis-moi où on va !
Lui : Il faut qu'on parte. Mes parents n'accepteraient jamais une telle union et je doute que ton père ne sois pas du même avis. On se trouvera un endroit tranquille dans le monde vert ou le monde bleu ou le monde des humains. Il faut que...
Moi : Eh, oh, là, stop ! Il n'est absolument pas question qu'on s'en aille ! Imagine la réaction de tes parents qui vont croire que c'est mon père qui a brisé la trève et t'as enlevé ! Ils vont déclencher la guerre ! Et de toute façon, mon père me retrouvera. Je ne veux absolument pas déclencher une guerre !
Lui : Mes parents ne s'occupent pas de moi de toute façon. Ils ne font que se vanter qu'ils sont le "bien" incarné et en profite pour s'enrichir et démontrer leur puissance en disant " De toute façon, tout ce que nous faisons est bien". C'est d'ailleurs pour cela qu'ils n'apprécient pas ton père : il est beaucoup plus puissant qu'eux. Et ton père on trouvera un moyen de l'éviter ! Il n'est absolument pas question de te perdre à nouveau maintenant que je t'ai retrouvée. On...
Moi : Retrouvée ?
Je le regardais avec un air à la fois curieux et inquiet. Qu'est-ce qu'il voulait dire par retrouvée ?
Lui : On en reparlera plus tard lorsqu'on sera tranquilles... D'ailleurs raison de plus pour partir !
J'ai bien compris qu'il essayait de détourner le sujet mais bon pour l'instant, je dois négocier contre ce départ forcé.
Moi : Ecoute, je...
Je me figeai.
Lui : Qu'est-ce qu'il y a ?
Moi : Tu ne sens pas ?
Lui : Sentir quoi ?
Moi : Un danger... Un très grand danger... Ca approche trop vite... C'est vraiment dangereux. Guerre et destruction il prend. Peur, angoisse et cruauté il nous donnerons. Seule l'union sera seule espérance et toute haine un poids pour notre survie. Les mondes sont en mal. La vie elle-même est mal. Un trop grand danger...
Je commençais à tituber. Le prince me ratrappa.
Moi : Il faut aller dehors tout de suite. S'il-te-plaît...
Lui : Je t'emmène d'abord à ton père.
Tout à coup, nous nous retrouvâmes au milieu de la cour intérieure où était assis mon père. Dès qu'il me vit dans cet état, il dit à ses conseillers de nous laisser et s'approcha.
Mon père : Qu'est-ce qu'elle a ?
Moi, oubliant les ules de politesse tellement j'étais mal : P...Papa, il faut aller dehors, tout de suite.
Mon père, fronçant les sourcils : Passe la moi.
Nous nous retrouvâmes tout à coup dans la cour extérieure.
Dès que je sentis l'air frais, je me redressa et regardais le ciel. Je ne sais pas si vous avez compris, mais mon âme d'hybride me joue encore des tours...
Moi , toujours en regardant le ciel : Créatures malsaines, montrez-vous et venez à moi. Appelez votre roi et venez donc me voir. Vous qui envahissez notre ciel et envasigez une guerre, montrez-vous donc hors de votre cachette.
A cet instant, le ciel, à l'instant bleu devint rempli de vaiseaux noirs et verts...
Chapitre 17 : L'arrivée
Le plus gros de ces vaisseaux vint se poser juste en face de nous. Une énorme porte s'ouvrit lentement nous faisant retenir notre souffle. Le spectacle qui s'ensuivit fut époustouflant : six garçons petite taille (ou hommes miniatures) aux allures d'anges sortirent de l'énorme porte en premier. Ils avaient des cheveux blonds volant au vent et des yeux bleus comme le ciel. Ils avaient aussi des toges blanches nouées à la façon des grecs ou des romains humains de l'Antiquité. On aurait pu croire voir des anges miniatures ce qui étaient bien trop étrange dans ce monde (les humains seraient sans doute tombés à genoux devant leur beauté époustouflante).
Pourtant, ils n'étaient pas les plus beaux de cette assemblée, ils étaient même d'après l'ordre de cette assemblée, les domestiques. Car juste après eux, les soldats vinrent vêtus d'unifxrmes noirs et verts à la mode de la Grèce Antique, ils étaient beaux comme des diables aux visages d'anges, encadré par d'épais cheveux noirs et leurs yeux bleux perçaient la pénombre de leurs vêtements sombres qui avaient tout d'un coup assombrit le jour pourtant ensolleillé de cet après-midi-là. Ils devaient être une trentaine et étaient très grands et robustes. Suivaient deux femmes aux sourires malicieux qui jetaient des roses noires et vertes sur le chemin qu'empruntaient chaque personnes de l'assemblée. Elles avaient des cheveux tout aussi épais que les soldats les précédant et les yeux d'un bleu électrique. Elles portaient des robes légères blanches leur arrivant aux chevilles et leurs sourires laissaient croire que les personnes les plus importantes allaient commencer à descendre de leur vaisseau. J'avais raison.
Les trois dernières personnes avaient une démarche tellement gracieuse qu'on aurait pu croire qu'ils dansaient. La femme avait des cheveux noirs longs jusqu'à la taille et avait sur la tête une espèce de casque pour écouter de la musique pour les humains à moitié serre-tête dont il partait au niveau des oreilles des fils colorés qui s'arrêtaient au même niveau que ses cheveux. Elle portait un kimono japonais humain noir brodé de fleurs vertes qui s'accordait très bien avec ses yeux verts. Elle avait des allures de papillon et son visage n'avait aucune expression. L'homme qui se tenait à côté d'elle était légèrement plus petit et avait l'air très fatigué : il avait les cheveux bruns constellés de cheveux blancs et des yeux d'un vert terni qui doivent avoir perdu leur splendeur d'autrefois. Il portait une tenue moyenâgeuse de roi et avait d'énormes cernes sous les yeux. Il avait l'air de ne pas être là (dans la paperasse de son royaume peut-être). Et le dernier qui devait être le fils de la femme-papillon et de l'homme aux cernes avait les cheveux presque aussi longs que ceux de sa mère et contrairement à ses parents, avait les yeux d'un bleu limpide.Il devait avoir une vingtaine d'années. Il était sans nul doute la personne au regard le plus machiavélique de toute l'assemblée et nous regardait avec un étrange sourire. Il portait une tenue plus ou moins normale (pantalon, t-shirt à longues manches et veston marron (presque normale)).
Cette assemblée nous regardait d'un regard vide.
J'avais inconsciemment pris la main de Michael mais au bout d'une minute je la relâchai et m'avença vers nos intrus. Mon père me suivit et Michael fit de même. Ceux qui semblaient être la famille royale s'avencèrent eux aussi, traversant le beau monde qui avait constitué l'assemblée. Dans notre dos nos soldats s'étaient matérialisés silencieusement et attendaient un signe de mon père qui leur pria de rester là où ils étaient.
D'un coup, le royaume avait repris sa fxrme normale, sans doute pour intimider les "invités" mais ce n'était apparemment pas le cas.
Le prince intru, s'esclaffant : Ah ! Je ne m'attendais pas à ce que nous soyons découverts si vite !
Moi, sèchement : Sauf votre respect que vous ayez été découverts ou non cela ne vous aurait en aucun cas ralenti dans vos plans.
Mon pouvoir d'hybride m'avait laissé, jugeant sans doute que j'étais capable de m'en sortir seule.
Le prince intru, souriant : C'est donc vous qui nous avez trouve aussi facilement... A qui ai-je l'honneur ?
Moi, toujours aussi sèche : Ce serait plutôt à vous de vous présenter. Ce n'est pas moi qui ai débarqué avec une armée entière et tout mon royaume clandestinement sur une autre terre.
Lui : Soit. Vous ne connaissez pas notre royaume mais cela ne m'empêche pas de vous le présenter. Nous venons de la terre de Ténézium, un royaume très loin pour vous et très proche pour nous. Je suis le prince Zolvar et voici le roi Amatur et la reine Déiona. Nous sommes venus dans votre contrée reculée pour la détruire ainsi que le reste de ce que vous appelez les mondes.
Infos sur les Royaumes
Il existe près de douze monde reliés entre eux comme 12 branches. Si l'un des mondes disparaît, c'est tout l'arbre qui disparaît. Pourtant, tout ces mondes continuent à se faire la guerre. Ces guerres ont trois raisons, les mondes Rouge, Noir et Blanc qui ne cessent de faire la guerre pour une raison : le pouvoir.
Le monde rouge : Sans doute le plus dangereux des mondes, le Monde Rouge est le monde le plus assoiffé de sang que l'on puisse habiter. Avec une activité volca*** très dévelopée, on pourrait l'associer à l'Enfer. Ses habitants ne sont pourtant pas aussi effrayant : les guerres civiles contre cet Empire tyran*** sont là-bas comme si vous alliez chercher votre pain chaque matin mais elles sont pourtant très violentes et ne manquent pas de faire de nombreux morts. CRoyaume encourage les Révolutionnaires à sa façon (même mon père s'y est mis ! ), en leur envoyant des vivres, en lançant des attaques puissantes (cas de mon père), en leur envoyant des ondes positives (cas du Royaume Blanc), etc. Vous vous dîtes sans doute pour qu'il y est autant de guerres civiles, l'Empereur doit être bien effrayant. De sa peau rouge comme le feu (fait commun dans le Royaume Rouge ) et de ses yeux rouges sang, il adopte une politique raciale très sanguinaires (un peu le Adolf Hitler humain en puissance x1000). Résultat, les habitants de cette terre sont presque tous exécutés chaque matin ce qui bien entendu, révolte tout le monde. Et l'intérêt des autres royaumes dans tout cela est le fait que si ce Rayona le Ier (l'Empereur) venait à prendre possession des onze autres royaumes comme il le souhaite, ce serait tout simplement la fin du monde puisqu'il réduira chacune des populations en miettes !Mais cette histoire a eu au moins le mérite d'une seule chose : il a réussi à réunir 10 mondes (on ne compte pas le monde des humains) dans une seule et u*** cause. Ce qui est un exploit vu ce qui va suivre !
Merci d'avoir lu ma fiction ! La suite le plus tôt possible !!!! Donnez- moi vos avis par mp ou par commentaire !!!
Dites-moi par mp si vous voulez que je vous prévienne de la suite !!!
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