Monsieur Alex Boussat,
N'existe pas plus extraordinaire, merveilleuse, irrationnelle que votre personne. Je suis tombée sous le charme, peut-être même que la dépendance m'a prise sous ses ailes. Votre ponctuation danse dans ma tête, et vos mots crépitent au fin fond de mon ventre. Monsieur, vos yeux sont capables d'empâter mon coeur en quelques instant, et la vue de votre visage angélique provoque un tsunami dans ma cage thoracique. Mes pensées se bousculent et ma respiration se coupe quand vous m'envoyez un je t'aime, peut-être un peu méca***. Vous êtes bien plus qu'une personne parmi les sept autre milliard, vous n'êtes pas ranger dans le tiroir des rencontres futiles.Vous êtes mon Soleil, mes étoiles, mon ciel, mon monde. Monsieur, je crois que c'est grave. Vous déclencher en moi des symptômes effrayants, c'est de vous que dépend mes humeurs et mon sourire, la vie ne se résume plus qu'à votre prénom. Mon amour pour vous n'est pas mesurable, c'est un peu l'infini mélangé à l'Univers, tout ça soigneusement plié en quatre dans mon organe vital. Vous l'entendez monsieur ? Même à des kilomètres, mon coeur chante pour vous, il crit, il hurle mon amour. N'existe pas plus merveilleuse que la sensation que vous me procurez, votre présence m'hypnotise, vous m'emportez dans un autre monde à chacune de vos phrases. Ne comprenez-vous donc pas ? Vous êtes mon trésor. Monsieur Alex, vous et vos messages qui transperce jusqu'à la dernière cellule du corps, vous qui puisez vos mots dans la boîte aux merveilles, vous qui remplissez ma tête de rêves impossibles et impassibles, j'vous en conjure, essayez de comprendre cet amour débordant, ce coeur qui implose. Je vous aime à un point qui existe à peine. Vous m'êtes indispensable, mon cher.
J'irai décrocher les étoiles pour vous serrez contre moi, pour sentir votre chair et vos os, entendre votre sang se balader dans vos veines et votre coeur battre, pendant que le mien s'arrachera rien qu'en s'imprégnant de votre odeur. C'n'est pas vos mots qui m'arrêteront, bien qu'ils en soient capables. Mais à choisir entre eux et vous, la question ne se pose pas, ou plus. Chaque secondes m'écorche la gorge, vous savez ? C'est une de moins à attendre mais une de plus sans vous. Vous êtes là, bien sûr. Mais les cellules n'y sont pas, le solide non plus, il n'y a que de l'air entre nous, trop d'air. Et cet amour Monsieur, cet amour. J'n'en peux plus moi. Il faut qu'mon coeur ce vide, il me faut vos bras, d'puis l'temps que j'les attend. Depuis le temps que j'en rêve, Monsieur .
Regardez moi deux minutes, deux petites minutes. Vous n'avez pas l'impression de parler à une fille stupide ? Ma tête se retourne Monsieur, ma tête s'enfume, mes yeux ne voient plus que vous. Et ça devient pesant cette débilité, cette dépendance, ces chaînes qui m'accrochent à vous depuis de longs mois. Mais vous n'comprenez pas, je sais même pas si vous vous en rendrez compte un jour. Je n'vous aime pas normalement, pas comme les autres. Vous êtes différent, alors mon amour pour vous devez bien l'être aussi. Comment vous dire ? J'vous l'ai tellement répété que vous n'devez plus y croire. Mais s'il vous plaît, dites vous au moins que mes " je t'aime " ne sont pas des mots tapés à la va vite sur mon clavier, des mots qu'on peut sortir comme le " oui ça va et toi ? " tout les matins. J'vous aime vraiment, j'vous aime tellement que vous n'comprenez pa , vous n'comprenez plus, vous n'comprendrez jamais. C'est mal.
Y'a pleins de choses mal, comme mentir et pas tenir ses promesses, et il paraît que l'être humain est incompréhensible. Du moins, le cerveau de l'être humain. Défois l'imagination déborde. Et défois y'a des gens qui reçoivent tellement de je t'aime qu'ils comprennent plus rien. Mon dieu, j'suis en train de vous mettre dans la catégorie des " gens " . J'm'en excuse. Dites moi quand même quand votre être tout entier sera prêt à éclater une nouvelle fois, que votre tête vous hurlera de partir et votre coeur de rester. Prévenez moi, pour une fois.
Mon amour, ne partez plus. C'est sans doute la phrase qui vous tourmente le plus, hein ? Peut-être que si mes bras vous entourez, peut-être que si mes yeux s'plongeaient dans les votre, peut-être que là vous diriez " je te l'promet " . Mais ne gâcher plus vos forces pour me le promettre. Ne promettez plus rien, et faites comme vous faites, balancer moi les vérités en pleine face. Ca n'peut pas faire plus mal que c'que j'ai vécu de toute manière. Depuis que vous êtes partit monsieur, j'ai eu le temps de réfléchir. Toutes les secondes, minutes, heures, jours, semaines, mois je pensais à vous. Je vous ai souvent insulté, pardonnez moi. J'vous ai détester d'nous abandonner comme ça. Et grâce à vous, je n'crois plus en rien. Sauf peut-être à ce rêve, qui s'accroche aux quatre coins de ma tête, que vous essayez d'effacer d'mon crâne. Ha mon pauvre, c'est peine perdue. Vous n'me connaissez peut-être pas aussi bien que ça, mais j'crois être un peu têtue, monstrueusement sûr de c'que je veux (et non de ce que j'ressens à chaque moments de la journée, cette partie un peu lunatique que j'ai. N'confondez pas.) Et ce que j'veux monsieur, si ni la lune ni les étoiles, c'est vous. J'ai compris que il n'restera plus que ça pour vous avoir contre moi pour toujours. Vous voir réellement, et m'accrocher à vous. On peut faire pleins de choses en vrai. Ma voix tremblera, mes mains se colleront, mes genoux toucheront le sol, et j'n'aurai plus qu'à vous supplier pour de vrai. Peut-être que vous comprendrez enfin à quel point j'vous aime et que c'est dur sans vous. J'ai tellement de raisons de vous voir, Monsieur. C'est con hein, mais il n'reste plus que c'petit rêve. Votre pire cauchemar apparemment .
Vous êtes miraculeusement parfait, et mes mots n'suffisent pas pour qu'vous le compreniez. Mes maux n'arrivent même plus à se justifier, peut-être que c'est simplement votre Vous qui me manque, vos bras que j'n'ai jamais eu et que j'aurais tôt ou tard. Et je n'vous apprend rien, en vous répétant ces mots :
je vous aime, de toute mon âme, tout mon coeur, tout mon être.
Votre petite Ema .