(pour rp, contactez-moi sur kik : fannouilllee)

Abbie Oderson 

-I'm sorry that I'm so complicated and mess everything up-

" Qui suis-je ?

Quelle bonne question. Je pourrai faire une de des.c.ri.ption simple, un truc bâteau qu’on fait tous. Dans le genre : j’ai 18 ans, fan de rock, danseuse classique, timide, rêveuse, gamine, heureuse, gaffeuse, maladroite, comple.x.ée, énergi.que. Rien d’intéressant quoi. Une de des.c.ri.ption vide d’originalité, vide de sens, vide de personnalité.

Je ne me décrirai pas comme uni.que et exceptionnelle. Au fond, on est tous les mêmes dans notre différence. Mais tu sais, il ne faut jamais se fier aux apparences. La plupart des gens ne vont pas plus loin que ce qu’ils voient. On ne voit que ce qu’on veut. Je me sens différente, comme si j’étais à part du reste du monde.

Et toi, qui es-tu ? "

Trompe-toi, sois imprudent, tout n’est pas fragile,
N’attends rien que de toi, parce que tu es sacré. Parce que tu es en vie.
Parce que le plus important n’est pas ce que tu es, mais ce que tu as choisi d’être   

-Trust me. You don't wanna feel what I feel-

C'est comme un feu, qui ne cesse de grandir. De s'alimenter en dévorant tout sur son passage. Ne laissant derrière que d'infimes particules noires. Des fragments sombres, légers. Ils flottent dans l'air et s'éparpillent à travers l'espace. Sans jamais se retrouver. Sans jamais reprendre leur forme initiale. Chaque jour qui s'écoule est une nouvelle épreuve. Une nouvelle guerre avec de nouvelles blessures. Davantage de haine. Davantage de noirceur. Elle se perd peu à peu, se fissure, se brise et s'éparpille sans laisser de trace.

" Tu n'as pas à me contrôler. Tu n'as pas à me dire que je ne suis pas jolie. Que mes cuisses sont trop larges. Que mon ventre n'est pas assez ferme. Tu n'as pas le droit de me dire ça et d'après craquer pour toute la nourriture qui passe. De manger jusqu'à ne plus pouvoir. Tu n'as pas le droit de faire ça et de me faire regretter. De me chuchoter toute la nuit à quel point je suis faible. A quel point je ne suis pas parfaite. Tu n'as pas le droit de me dire de me cacher derrière des vêtements trop larges. Tu n'as pas le droit d'influencer tous mes choix. Tu n'as pas le droit de contrôler ma vie comme ça. Comme si j'étais une marionnette.

Ce n'est pas à toi de me contrôler. C'est à moi de te contrôler. "

" N'as-tu jamais rêvé de ce hâvre de paix ? De cet endroit si chaleureux, si confortable, si agréable. Ce refuge. Cette salle avec ses immense miroirs qui m'entourent, le lino gris, ses rideaux d'un rouge passé qui sentent la poussière; tout ça constitue mon hâvre de paix. Ce vieux professeur qui m'épaule et m'aide chaque jour à faire encore mieux que la veille. Et ces notes de musique... Les entends-tu ? Si douces... J'ai l'impression qu'elles viennent m'envelopper, tels les bras d'un être cher. Qu'elles me serrent, que je suis enfin en sécurité. Et dans ces cours instants, le temps semble s'arrêter. Je me sens libre et légère, il n'y a que le danse. Seulement la danse. Il n'existe plus que cette passion, qui me libère. Je suis enfin moi. Pas de doutes, pas de peurs, pas de questions, pas de douleur. Rien.Je suis libre."

Partie surnaturelle:   

Oderson. Juste un nom de famille pour les simples Humains. Cependant, dans le monde de la magie, les choses ne sont pas si simples. Cette famille est une des 4 familles fondratrices des sorciers. 4 grandes familles piliers qui sont à l'origine de toutes les autres. Elles sont maintenant des centaines à vivre parmis nous, dissimulées dans nos villes. La magie en présence d'Humains est interdite et sévèrement punie par le ministère de la magie. Cependant les Oderson agissent comme bon leur semblent. Ce nom fait trembler toutes les espèces surnaturelles, et pour cause... Ils sont une des plus puissantes familles de sorciers ténèbres. Tuer est un jeu, pour eux tous. Tous, sauf Abbie. Elle est différente de sa famille et ne voit pas les choses comme eux. Cependant, le jour de ses 18 ans, la magie fera son choix. Ténèbres ou Lumière. Le bien ou le Mal. Le décompte sur son poignet, sous forme de tatouage, ne cesse de l'inquièter. Les jours passent à une allure folle et sa famille se tourne peu à peu vers elle. Les lumières ne sont pas acceptées parmi les Oderson. Seules les ténèbres peuvent continuer de vivre.

Sa grand-mère maternelle est la seule qui a une place dans le coeur de la jeune sorcière. La seule qui la comprend, la seule qu'elle aime. Et pour cause, sa mamie est une lumière. Il lui a fallu des dizaines d'années pour réussir à éviter le reste des Oderson, pour ne pas se faire tuer. Et cette vieille dame est persuadée que sa petite-fille n'est autre que la prochaine Suprême. LA Suprême. La plus grande sorcière, qui serait à la fois ténèbres et lumière. Celle qui a une magie si puissante qu'elle pourrait tous nous tuer si elle le souhaitait. Mais Abbie est persuadée que sa grand-mère a tord. Au fond, elle l'espère. Tout ce qu'elle souhaite c'est être une sorcière lumière et qu'on lui fo.u.te la paix.

Mais un(e) Oderson n'est jamais vraiment tranquil(le)...

Abbie a beau raisonner différemment de sa famille, elle reste tout de même une Oderson. Et son démon en est la preuve. Il suffit de l'énerver un bon coup et son apparence humaine se craque. Littéralement. Sa peau s'effrite et se casse, ses yeux deviennent entièrement rouges. Son démon est impitoyable et il n'hésitera pas à déverser toute sa rage sur vous. Et même à vous tuer. Plus les jours s'écoulent et plus son démon devient incontrôlable. Abbie a du mal à reprendre le dessus.