Bon, je suis pas là pour faire un qjs "stylé" ou "swagg", d'ailleurs, stylé et swagg, je ne le suis pas, mais je me porte bien, enfin.

J'ai juste envie d'écrire, simplement, parce que je n'aime pas parler ou montrer mes sentiments, alors j'écris. C'est un moyen de communication plus discret, plus anonyme, plus lâche peut-être. Mais c'est celui que je préfère.

Vous voyez, je suis le genre de fille qu'on remarque à peine dans une classe, du genre, timide et effacée. Sûrement pas intéressante. Si vous saviez à quel point ça boufe la vie la timidité, ça paraît banal à première vue, mais c'est loin d'être facile. Avant je rougissais, mais maintenant mon visage est habitué à rester neutre en la présence des autres, à tel point que j'en ai déjà entendu certain se murmurer que "c'est dingue, cette fille elle parle jamais" ou "t'as vu, elle est tellement neutre, on dirait un robot". Et le pire, c'est que je commence à trouver qu'ils ont raison.

Vous voyez, en fait je suis le genre de fille dont la confiance est détruite facilement. Le genre de fille dont la confiance est facilement détruite par vous, vous et vos remarques acerbes et blessantes. Vos jugements stupides, faciles et immatures. Vos commentaires dégradants et vos rires de hyènes, je les entends vous savez. Eh ouais.

Il y a tellement de choses auxquelles je pense et qui font si mal, qui tiennent éveillé toute la nuit et qui blessent mon coeur. Vous savez, les pensées torturées qui prennent une telle place dans la tête qu'il est impossible de les oublier complétement. Et quand parfois j'essaie de les partager, vous autres vous me dite que je me fais simplement des idées, que ça va passer.

Ben oui, bien sûr, et moi parfois j'aimerai bien vous croire.

[27.04.14]C'est dingue, je dois être inscrite sur ce compte depuis moins d'une heure, et déjà quelqu'un m'a demandé mon skype, ou mon facebook pour sortir avec moi. Tout en ce présentant comme quelqu'un de beau et musclé (bah ouais, parce que forcément les mecs beau et musclés sont les fantasmes de toutes les filles, évidement, vous croyiez quoi ?). Comme c'est stupide, vous croyez que l'amour ou même l'amitié se for.ment directement ?

L'amour, parlons-en. J'ai répondu à cette personne que j'étais déjà en couple, ce qui est vrai d'ailleurs, bien que la situation soit compliquée. Avec une fille, alors que j'en sois moi-même une. Et ne pensez pas que puis-ce que j'aime quelqu'un du même s.xe, je vais vous sauter dessus les filles hein. Sérieusement, c'est quoi cette réfléxion ? Quand à me traiter de lesbienne, allez-y si vous voulez, si ça vous apporte une quelconque satisfaction. Pour moi, garçon, fille, quelle est l'importance tant qu'on aime la personne ? Bref, alors oui je suis en couple, avec quelqu'un pour qui j'ai eu un coup de coeur et qui est différente, et si je prend la peine de vous l'expliquer, vous répondrez comme la plupart des autres que mon amour est faux et que de toute façon c'est impossible d'aimer quelqu'un comme ça. Et moi, ça me fait mal, parce que j'ai peur qu'un jour, elle pense la même chose.

Quand à la fameuse personne qui m'a demandé de sortir avec lui et dont je te citerai pas le nom, eh bien je crois que ma réponse lui a fait peur. Peuh.

Taken By A Beautiful Girl.

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Plushies, I fucking love plushies.

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Et me.rde, ça fait si mal, finalement c'est arrivé. Comme un coup de poignard dans le dos. Sournois, rapide, vicieux mais efficace.

Vous connaissez ce moment où le coeur se serre à chaque souvenir, où les flashbacks qui rappellent les promesses et les mots qui douleureusement vous hantent, où vous avez envie de dire que ça va alors que derrière vôtre sourire se cachent les larmes ? Quand même la nuit, vous êtes incapables de dormir, vous tremblez dans vôtre lit en vous souvenant de tout les instants et paroles qui vous faisaient auparavant sourire. Quand vôtre confiance et bien-être vole brutalement en éclat sans que vous puissiez rien faire ? Quand la douleur est toujours sournoisement cachée dans vôtre coeur, à guetter un moment de faiblesse, chaque chose suc.eptible de vous rappeler que c'est fini, à un point où ça vous file la gerbe. Où votre gorge se bloque à chaque évocation de la personne qui vous a trahi mais que pourtant vous aimez encore tant ? Où vous sentez cette ronce qui s'enroule autour de vous en plantant lentement et régulièrement ses épines ? Ouais...Je connais ça moi aussi maintenant.

Plus le temps passe, et plus je me rend compte que j'ai peur des autres, en particuliers des garçons, et que j'aimerai me protéger derrière quelqu'un.

Pour autant c'est pas parce que ma vie pourrait être meilleure que je vais y mettre fin hein..

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Et voilà, enfin, ça y est, je peux mettre des images, je pense donc faire des ajouts à mon qsj maintenant..

To be continued~

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