Chapitre 14:
Longtemps, voilà le nombre de temps que nous somme rester ainsi à ce regarder sans rien dire. Pas l'ombre d'un gêne, comme si tous était parfaitement naturel. Comme il était beau! Une chemise bleu à carreaux et un jean. Une simplicité classe. Ma main crispé à la poigné, je me demanda vaguement ce que je devais faire, mais je m'abandonna finalement à notre contemplation. Ce fut ma mère qui nous fit immergés.
-Et bien Sophie, ne le prend donc pas en***age comme ça, laisse le entré.
Je souris. Elle ne savait pas comment l'appeller. Je lacha enfin la poingné et prit la main de Maxime.
-Maxime, maman ou Iris, papa ou Patrick et Martin.
Il leurs souris.
-Tous le monde, Maxime.
Des bonjours en pagaille l'accueillit. Mais lorsque je jetta un regard à Martin, je remarqua qu'il n'avait pas l'air très content.
-Martin? ça va? Risquais-je.
-T'es qui? Demenda-t-il à Maxime en le regrda droit dans les yeux les bras croisés. Maxime s'accroupit pour ce mettre à sa taille et mit sa main devant lui comme pour lui serré la main.
-Moi c'est Maxime.
Martin ne broncha pas. Maman et moi nous lancions des regards un peu tendus. Martin replica:
-T'es l'amoureux de ma soeur?
Mon père eu un rire nerveux mais Maxime avait l'air tous à fait détendut.
-Oui.
-Tu l'aime ma grande soeur?
-Oui. Repondait-il.
Martin se pinça les lèvres. Je me tendais comme un arc. Personne n'intervenait, comme si une bulle protectrice c'était mit autour d'eux. Martin se renfrogna,toujours les bras croisés qu'il serraient de plus en plus, il dit:
-Bah moi aussi! Et ma soeur et ben si tu lui fait du mal là, dit-il en montrant son coeur, et ben moi je vais pas être content du tout! Alors tu l'aime vaiment ma soeur?
Nous étions tous sidérés, tous, sauf Maxime.
-Oui.
Martin souris, et baissa les bras.
-Alors d'acord.
Maxime rit et lui ébouriffa les cheveux. En faite, nous étions tous un peu mieux, surtous moi.
-Bien, alors à table! Annonça ma mère.
Je lança un coup d'oeil à mon frère légèrement accusateur et Maxime se leva, me prit par la taille et me dit doucement:
-Je crois que ton frère et moi sont fait pour s'entendre.
-Pff...Il à 5 ans. Rigolais-je.
Il m'embrassa le front et nous passions à table.
Le diner se passa fabuleusement bien. Maxime ne cessa de complimenter la cuisine de ma mère, il leur parla du magasin, de ses études arrêter qui fit sursauter mon père et en fit la discution jusqu'au millieux du plat principale, puis ce fut mes parents qui parla de leur métier. Non, tous ce passa vraiment bien, jusqu'aux dessert. Mon père comença.
-Et les tiens de parents, Maxime, ils font quoi?
-Ma mère est psy.
-Oh! Quel beau metier! Sursauta ma mère, j'aime beaucoup le concept, guérir les gens autrement que par les médicaments, juste en parlant, j'aime beaucoup!
-Peu de personne sont de votre avis. Commenta Maxime.
-Et ton père? Demenda Papa.
-Euh...mon père est mort.
J'avalla le tiramisu tout rond et tousa comme une folle, je pense avoir bus 1 litre d'eau au moins pour respirer enfin normalement. J'en revenais pas, son père est mort et il ne ma rien dit! Mais je passe pour quoi là! Ma mère gromela des exuses en me regardant de travers. Le dessert ce fini moins bien que le diner. Nous accompagnons Maxime à la porte.
-Je suis très content de te connaitre, Maxime, fit mon père le sourire jusqu'aux oreilles, et refléchit bien pour tes etudes quand même.
-C'est tous refléchis Monsieur, mais merci.
-Au revoir mon petit Maxime, je suis aussi très contente que ma petite fille sois avec un garçons comme toi.
-Merci, et votre diner était merveilleux.
-Salut, dit simplement Martin soudainement timide.
-Aller, au revoir, et je te promet de faire attention à ta soeur, top là?
Martin souris et tapa dans la main à Maxime. Il s'approcha de moi mais je lui prit la main et dit:
-Je revient.
Ils aquisièrent tous et retournèrent à la cuisine, moi je l'emporta dehort. Le chaud-froid me fit frémir et le peu de lumière qu'un pauvre lampadaire de jardin apportais me premettais de voir seulement son visage.
-Je sais ce que tu vas me dire.
-Pourquoi? Pourquoi tu m'en à pas parler, non mais tu te rend compte! Je passe pour qui moi, là?
-Je suis désolé...
-Maxime! Je..., je soupira pour me calmer, je t'aime moi aussi, mais je t'en prie, si il y a des choses qu'il faut que tu me dise, il faut que tu me le dise. Ton frère, ton père bientôt qui?
Il me regardais drois dans les yeux, désolé, mais ne pipa mot. Je soupira, j'abandonna.
-Bon, sinon...c'était bien?
-Super, je suis très content d'avoir rencontré ta famille elle est vraiment génial.
-Et la tienne?
Il me repondit pas et moi j'attendait une reponse. Alors il me repondit simplement.
-Je t'aime, et bonne nuit.
Il m'embrassa et partis. Fatiguer, je rentra et m'ecroula sur mon lit. Ma mère passa me voir.
-Ne t'en fait pas tôt ou tard, il te dira tout, il veux trouver la bonne c'est tous. Si tu avais un lourd secret, n'attendrais tu pas de le dire à quelqu'un dont tu est sûre?
-ça ne peux pas êtres si terrible que ça?
Elle haussa les épaules.
-Bonne nuit ma puce.
Je soupira, deux fois que l'on ne repond pas à mes questions je vais commençer à en avoir marre, et m'endormis.
Chapitre 15:
-Hello the world. Fis-je tous doucement en rentrant dans l'arriere boutique.
-Hello my love. Me repondis Maxime.
Je pus m'enpêcher de sourire et de sautiller jusqu'à lui. Il étais assi sur le canapé et je ne me fis pas prier pour m'assoir sur ses genoux.
-Alors? Me demenda-t-il.
-Alors quoi?
-T'es pas fachée?
J'éclata de rire.
-Maxime, même si je le voulais, il m'est imposible de me facher contre toi.
Il souris et m'embrassa doucement.
-J'ai bien réfléchis aujourd'huis et je me suis dis que je ne pouvais rien faire contre tes mensonges. Je ne peux pas lire dans tes pensées alors autant accepter le fait que tu me les revèllent au fur et à mesure. Lui avouais-je.
Il soupira et baissa les yeux.
-Moi aussi j'ai réfléchis, je pense que tu devrais connaitre la vérité.
Je fronça les sourcils et l'interrogea du regard.
-Qu'elle vérité? Tu as une petites soeur? Rigolais-je.
Il me lança un regard grave, ce qui me calma aussitôt.
-Pardon.
Il sourit de toutes ses dents.
-T'as raison, moi aussi je peux pas t'en vouloir.
Je lui rendis son sourire.
Cela me fesais du bien de sourire et rire un peu. Les journées au lycée sont de plus en plus oppréssentes. Mes propres amis me regarde comme un monstre et Simon n'apparais qu'à 12h. J'ai été trop dure avec lui, et c'est seulement maintenant que je m'en rend compte. Et j'ai bien faillis mettre un pain à cette *** de Victoria jusqu'à que sont frère debarque et me broie les os de mon poignet.
"Fais attention ma jolie, m'a-t-il dit, il serais domage de faire du mal à une si beau minoie"
Pris par la colère, je lui ai cracher dessus et est ajouter:
-Dégage de mon chemin, Peter.
Il à souris et c'est poussé légèrement.
-Je t'aurais prevenus, m'a-t-il souffler.
Ne pensez pas que je n'ai pas la trouille, je suis morte de peur. Rien que l'idée que je lui ai repondus me donne l'envies de me claquer. Alors le fait de rire et de me retrouver dans les bras de Maxime me rassure. Mais bizarement, il avait l'air mal à l'aise lorsqu'il me dit qu'il voulais me dire la verité. Je le regarda dans les yeux et demanda:
-C'est si grave que ça?
-Je ne sais pas.
-Comment ça, tu sais pas? Il y a bien une différance entre grave ou pas! Maxime tu me fais peur.
Il baissa les yeux.
-Ma famille depuis des générations avons un...secret. Et jamais nous l'avons révéler à qui que ce sois sauf à la personne qui partage nos vie et en générale on attend le marige...
Je l'atrappa vivement par le col et mis son visage à moins d'un centimètre du miens.
-Maxime! Mais qu'est-ce tu raconte? T'es devenus fou? Allo! Reveille toi, reviens sur terre...
D'un geste brusque c'est lui qui me pris le visage entre ses mains. Le siens ce durcit et son regard me fessais peur.
-Ecoute moi bien Sophie, ta vie va changer comme celle de ma mère, de mon grand-père et de mon arrière grand-mère. Alors je te pris de m'écouter. Compris?
J'acquis de la tête comme une victime, affolé par son changement brutal de comportement. Il continua dans un délire sans fin:
-Toi et moi vivons dans un des 2 mondes, le monde des êtres humains. Ces deux monde sont relié et la porte de ce monde...c'est ici.
-T'es devenus fou, completement fou maxime! tu sais même pas ce que tu raconte.
-Maleureusement, non il ne delire pas.
Je me retourna et vis Julien apuyer contre la porte, dégouter.
-Non, c'est nimportequoi, les fées et les montres n'hésiste pas.
-Sophie...commença Maxime.
-Alors écoute moi bien, coupa Julien qui fonça presque sur moi, a partir de maintenant va faloir que tu comprene une fois pour toute que la vie n'est plus rose pour toi, ma belle. Parceque maintenant tu es aussi conserné que nous tous dans ce secret, d'accord? Et evidament tu poura dire merci à ton copain! Hurla-t-il.
Il était dans une colère terrifiante. Il lança un regard assasain à son frère avant de lui hurler:
-Mais t'es completement inconsient mon pauvre garçon, t'a dejà oublier ce qui est arriver à papa ou tu veux que je te rafraichise la mémoire!
Ils ce toisèrent un long moment, moi entre les deux qui ne savais plus le vrais du faux. J'étais perdus, c'est comme si je tombais dans un trous noir et que je sombrais dans la folie. des larmes comença à me brouiller la vus.
-Bien alors autant finir. Fini par dire Julien. Sache que les fée n'ont pas d'aile et sont de vrais garce, les sorciers et sorcière non plus ne sont pas laid et on des grandes barbes blanche, les vampires sont moins dangereux que les loups garous et que les ogres n'hesiste pas, des questions?
Je ne fis d'abbord rien, comme si je n'étais pas là, puis je me leva d'un bon hurlant à me casser la voix:
-NON MAIS CA VA PAS LE TETE! J'ARRIVE à PEINE QUE C'EST BON, VOUS ME METTEZ CA SUR LE DOS!
Ils me regardais hauris. Je ne savais plus pourquoi me mettre en colère, je ne savais même plus pourquoi j'étais ici. Je les regarda un par un, les larmes me dévorant le visage. Puis je m'écroula.
Chapitre 16:
-Allo Iris? Oui c’est Maxime, oui euh…je voudrais vous dire que Sophie est bien à la boutique.
Il eu un silence
-Oui bien sûr, elle revient pour ce soir, évidement… non, iris vous pouvez avoir confiance, en plus...
-Bonjours, je m’appelle Julien je suis le frère de Maxime et je peux vous ASSURER que rien ne ce passera ici, merci au revoir.
J’entendis le bip que fait mon portable lors ce que l’on raccroche et des pas lourd et très appuyer, comme lors que l’on est énervé.
-Julien…?
-Ne me parles même pas sinon je te jure que je tant met un. S’écria-t-il fou de rage.
Je me leva et avança jusqu’à la porte qui était entre-ouverte. Maxime était assis sur le comptoir, la tête dans les mains et Julien ne bougeait sans cesse dans tout les sens.
-Mais comment…Comment on à fait pour en arriver là? Quels mots tu pige pas dans « attendre le mariage »!
Maxime ne bougea pas, Julien le transperçait du regard.
-Ecoute moi bien, petit frère, y a intérêt que Sophie ne dise rien sinon…
-Sinon quoi! Hurla Maxime.
Surpris, Julien sursauta et ce tus immédiatement comme si on venais de lui annoncer qu’il avais un cancer incurable.
-Pardonne moi d’avoir confiance en la personne que j’aime!
Sa réplique me fit sourire d’émotion.
-Je l’aime et j’ai confiance en elle, qu’est-ce qu’il te faut de plus, Julien?
-Mais quel égoïste! J’AI confiance en elle, JE l’aime, et elle dans tout ça? Qu’est-ce qu’elle en pense, elle? Mais tu as même pas fait attention à ce qu’elle à dis?
Difficile à l’admettre, mais il à raison. Je me mordis les lèvres jusqu’au sang pour ne pas pleurer encore une fois. Et je mon regard ce reporta à la scène. Tout deux ce toisèrent durement. Julien les poings si serrer que ses veines et ses yeux vert en reportèrent et Maxime mi-dépité, mi- à deux doigt de le frapper.
-Il arrivera ce qu’il arrivera, sache cela ne m’étonnerais même pas si tu finis comme père. Fit Julien d’un œil insolent.
-Espèce de… Commença Maxime en levant le poing.
-Maxime! Hurlais-je.
Les frères tournèrent la tête à l’unisson, Maxime le poing en l’air, Julien parfaitement surprit. Je mis mon poing devant ma bouche, comme lors que j’étais petite et que je sentais que j’était au mauvais endroit au mauvais moment.
-Sophie… Murmura Maxime.
C’était trop, je pouvais plus les voir, chacun autant qu’ils sont.
-J’en ai assez vus. Fis-je en me retournant pour prendre mes affaires.
-Sophie, s’il te plait.
Je prit ma veste et chercha mon portable, Maxime tournant autour de moi essayant de ce justifier. Je me retourna violement vers lui et lâcha:
-Maxime je t’aime, mais là je pense que je vais partir un moment pour…digérer.
Il baissa les yeux et fit oui de la tête. Prise de pitié je l’embrassa sur la joue et traversa la pièce jusqu’à la boutique. Face à Julien, la seule chose que j’ai réussit à lui dire c’est la vérité:
-Merci de me comprendre, même si t’es pas toujours sympa.
-De rien ma belle.
Il me tendis mon portable que je pris au passage avant de sortir de la boutique.
15 jours, voilà le temps que je n’ai pas mit les pieds à la boutique. 15 jours qui me paraissent une éternité, mais à chaque fois que j’envisage d’y retourner, une angoisse me prend ce qui me force à rebrousser chemin. J’imagine me retrouver nez à nez à un vampire ou une fée. J’en fait des cauchemar la nuit. Je vais de moins en moins au lycée, comme je dort plus, je ne mange plus et je tombe trop souvent malade. Mais j’ai réfléchis, et voilà ce que j’en ai conclus: J’aime Maxime donc rien ni personne ne m’empêchera de le revoir. Cela me rendra plus forte et au pire j’en ai qu’a perdre la vie. Voilà ce qui me forcera ce soir à y retourner. Lorsque j’ouvris la porte, l’odeur me prit le nez et des vertiges aussi. Je claqua la porte et respira un bon coup l’air de dehors.
Mon dieu…je ne peux même plus rentrer.
« Aller Sophie, t’en à mater des plus coriaces »
Deuxième tentative pas plus brillante. Troisième puis quatrième, j’avais la tête qui me tournais. Je m’appuya sur le mur d’à coté et respira très fort pour ne pas vomir.
-Et ben? T’a la trouille. Me fit Julien dans un sarcasme.
-Je sais pas, j’arrive pas à entrer, l’odeur me prend le nez…
-T’aurais pas dus revenir, t’a encore pas tout « digérer », commenta-il dans un ton les plus amicale.
Je sentis quelqu’un me faire assoir sur le trottoir avec la plus grand délicatesse.
-Je te fais pas rentrer.
Lorsque le sol tanguais moins, je me rendit compte que Julien était à coté de moi, une tasse fumante à la mains.
-C’est quoi?
-Une tisane, tiens ça ira mieux.
Je la pris avec soins et porta le liquide brulant à mes lèvres. Je le sentis traverser mon corps. C’était si agréable que je pus m’empêcher de lâcher un soupir.
-Ça va mieux?
-Oui, merci.
Il me souris avec une gentillesse que je ne lui connaissait pas. Et il n’y avais nul trace de sarcasme, d’ironie, ou de raillerie dans sa voix. Non, il m’observais avec un regard neutre, même de décèlerais-je pas une pointe d’inquiétude?
-Pourquoi es-tu si gentil?
-Pourquoi? Tu veux que je te bâte? Rigola-t-il.
Non c’est bien Julien que j’ai devant moi. Je jeta un coup d’œil à la porte.
-Et Maxime, il est où?
Brusquement, je vis son regard s’assombrir et sa mâchoire ce crisper. Il baissa la tête, et ses yeux fut cacher par ses mèches noires: il avais l’air en colère.
-Mais je peux le voir plus tard, c’est pas grave, me hâtais-je de dire surprise par son changement brutal d’attitude.
-T’aura pas le choix, il est partit ce matin de l’autre coté, une commende. En plus c’est pour sorcière, alors je sais pas du tout quand il va rentré.
-Ho…
Un frison me parcourue lorsqu'il prononça "sorcière". Je jeta un deuxième coup d’œil à la porte, d’un regard méprisant cette fois, pourquoi je ne peux plus rentrer.
-C’est ton corps, les cinq sens et tout… T’a ressues beaucoup d’émotion d’un coup dans cet endroit, il ne fait que réagir, t’a pas encore accepter la situation. Enfin je mis connais pas en médecine mais bon c’est dans la tête.
-Tu as surement raison.
Je tourna la tête vers lui, il avais l’air plus froid. Un frison me parcourue l’échine.
-Comment t’a deviner ce que je pensais?
Il souris.
-A force de fréquenter les vampires.
J’avala difficilement ma salive. Il eut un silence. Je continua de siroter mon thé et lui continuais de me regarder.
-T’a peur? Fit-il un moment.
-Je suis pas habituer c’est tous.
-Tu refuse d’avoir peur.
-Non!
Il souris encore plus, ce qui m’agaça.
-Bon j’y vais, merci pour tous, et appelle moi quand tu aura de ses nouvelles.
Je posa la tasse à terre, me leva mais sentis aussitôt sa main sur mon poignet.
-Depuis que t’es partis, il est mal. Et lui et moi on cesse de ce dis***r.
Je me pinça les lèvres et baissa les yeux.
-Je voulais juste que tu le sache.
Il me lâcha et me laissa partir.
Tu veux la suite?
Tu sais quoi Mr. Smiley, on va attendre les commentaires des gens, d'accord?
Je lis régulierement tous vos petit com's, et je vous en remercie, je ne demanderais pas de votes, car je pense que même si une seule parsonne aimait j'aurais ecris la suite alors la voici pour votre plus grand plaisir (enfin je l'esper)
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Tu aime les histoires fantastiques?Celle qui parles de vampyres, d'elfes, de sorciers et bien d'autre? Alors viens decouvrir l'histoire de Mhril écrite par
et à fond les com's!
Nélia, 15 ans est une jeune fille comme les autres...Enfin si on ne compte pas le fait qu'elle a les cheveux couleur de neige, les yeux tout aussi étranges,tout va bien. Mais un jour, un étrange garçon débarque dans son collège. Ses parents ont été enlevés et le jeune homme compte bien les retrouver. Nélia et ses amis le prennent sous leur aile mais rapidement, ils se rendent compte que le garçon leur cache quelque chose. Ils découvrent alors le secret de leurs origines et le terrible danger qui plane au-dessus d'eux... Un roman fantastique ou se mêle magie, amour, humour et petits tracas quotidiens des ados. A lire absolument.
Ecrit par 
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Sur ce, bonne journée!
... For now.
. Seul les 3 derniers seront ici. Alors: bonne lecture!
when you work!