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japaan-love
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3
عارضة أزياء عالمية (rang 2)
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Bon. Comme je fais un/des RP, je fais aussi une petite présentation rapide d'un personnage.


      Nom : Masamune

 

      Prénom : Hiroki

 

      Âge : 16/17 ans

 

      Orientation : S'en fiche.

 

   Il a une passion. Uni.que. Il aime créer des choses, en particulier des maquettes, des poupées de fer ou des robots ... Des petites choses dans le genre.


   Tendance à être dans les nuages, il fixe inconsciemment les gens.


 

 

 

 

Clo53.

 

J'imagine bien une petite histoire avec l'Histoire Kuroshitsuji (Black Butler) ... Et Hetalia. Vous verrez qui a le rôle de qui, si vous vous y connaissez. Sinon, je vous le dit à la fin ~ Kiss Boys and Girls.


 

 

Petite précision obligatoire :

L'Histoire est à Yana Toboso, créatrice de Kuroshitsuji. Quant aux personnages, ils appartiennent au grand Hidekaz Himaruya.

Cependant ! Sachez que quelques détails changent tout de même, ne me traitez pas de tout les noms. Pour le nom du Chapitre I, c'est celui du manga. (Merci à mon amie de me les avoir prêté.) Et je suis fan de Yaoi.


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Et n'oubliez pas qu'il y a donc un spoil sur tout le Manga de Kuroshitsuji !


 

Chapter I . _ In the Morning - Le Marjordome habile

  

Un peu plus loin de Londres, à la sortie d'une forêt embrumée, un magnifique manoir Anglais entretenu avec soin. En ce manoir, le matin commence par un Early Morning Tea pour l'illustre et intelligent maître des lieux : Arthur Kirkland.

 

Un petit jeune homme brun, petit car il ne faisait qu'un mètre soixante-cinq, commença à servir le thé dans le service à thé de porcelaine, assorti avec quelque chose à se mettre sous la dent, qu'il identifira pour son maître plus tard. Pour le moment, sa voix stoïque qu'il prenait souvent, presque vingt-quatre heures sur vingt-quatre, s'éleva comme tout matin.

 

  « Arthur-dono, il est temps pour vous de vous lever. »

 

Il prit l'initiative d'habiller son maître lorsque celui-ci l'attendit pour le faire, énumérant de la même voix ce qu'il avait préparé.

 

« Ce matin, je vous ai servi du saumon poché et une salade à la menthe, avec pour accompagnement des scones, des toats et peut-être désirez-vous également du pain de campagne cuits au four ?

 

- Des scones iront, » bâilla le jeune maître.

 

L'odeur du thé enivrant les narines de ce derniers qui se laissait faire, se sentant légèrement plus haut que lui, avec un sourire satisfait. Il prit la parole devant son majordome, vêtu d'une veste à queue de pie noire, un pantalon de la même couleure, une cravate et de magnifique chaussures du XIXe siècle, encore noires, puis n'oubliont pas sa chemise blanche à rayures noires, de magnifiques gants blanc et ses magnifiques pupilles rouges pouvant être ainsi mient en valeure, ses cheveux ébènes ne les abandonnant pas non plus.

 

  « Ne serait-ce pas du thé de Ceylan, aujourd'hui, Kiku ?

 

- Décidément, rien ne vous échappe, soupira discrètement le majordome. Vous avez raison, c'est du Royal Doulton, versé dans le service de Wedgwood.

 

- Je vois ... Qu'avons-nous de prévu pour aujourd'hui ?

 

- J'espère que vous n'avez pas oublié le professeur Hugues, le spécialiste de l'éducation royale ? Il viendra vous donnez cours après votre petit-déjeuner. A la suite du déjeuner ... »

 

Puis il expliqua le reste de la journée à son maître, plus grand que lui de dix centimètre, soit un mètre soixante-quinze de hauteur, une champs de blé impossible à peigner, son œil gauche caché par un cache-œil blanc, tel le coton posé sur le revert d'un pansement, qui emprisonne le sang, simple, élégant, une veste verte foncée aux rebords noirs.

 

 

Dans l'après-midi, après le déjeuner, dans la cour du manoir Kirkland, en face des escaliers ressemblant étrangement à ceux du générique d'Uta no Prince-Sama Maji Love: 1000% ; un combat entre un chinois maniant le Kenpô, s'agitant et écriant le nom de sa techni.que appellée "Débauche de fleurs dans la belle nature", se précipitant pour attaquer le majordome d'Arthur Kirkland. De son visage toujours aussi inexpréssif, il contra aisément le coup de son adversaire, provoquant un gémissement de douleur à ce dernier et le faisant se mettre à genoux. Il cracha du sang puis, indigné, il s'écria :

 

« Ce coup est le plus secret dans la tradition occulte de mon école ... !! Le coup du Tigre Féroce, du Rugissement du Dragon et des dix milles Lotus dispersés ... Mais qui es-tu donc ?!

 

- Je ne suis que le majordome d'Arthur-dono, dit Kiku Hondai en toute modestie, c'est la moindre des choses. »

 

Ensuite, il se tourna vers le maître de la maison Kirkland qui fronçait les sourcils en sa direction tandis que trois idiots de servant se pavannait devant l'exploi. Le premier, le jardinier, était un blond, mais pas le même type de blond que le Comte Kirkland. Non, non, son blond à lui était plus foncé. Plus coiffé. Il ne mettait pas de petites barettes rouges dans ses cheveux, en revanche, il était habillé d'un T-shirt à manches courtes aux bords rouges tandis qu'un chapeau de paille pendait sur sa nuque, attaché par une ficelle quelconque. Son pantalon de style British à fond jaune, presqu'ambre, se teintait d'orange pour le motif et cachait ses jambes qui n'était pas couvert par ses bottes de pluie noires et rouges. Ses yeux bleus brillaient de milles feux derrière ses lunettes, admirant le majordome en s'écriant :

 

« Kiku, vous êtes splendide ! La cinquantième victoire d'affilée ! Je suis bien le héro ! »

 

Alfred F. Jones, ses mains vêtu de ses gants blancs pour ne pas abîmer ses mains lorsqu'il jardine. Le second avait les yeux fermés, un sourire niais aux lèvres en tenant un mini-drapeau blanc et faisant un petit coucou avec ledit drapeau. Il était habillé en servante à la robe verte claire, un tablier blanc et une coiffe de servante en tissu blanc, attaché au niveau de la nuque. Ses cheveux châtains étaient tous magnifiquement bien coiffés, mis à part une de ses mèches qui partait en un petit tourni.quet. Il murmura juste un simple mais élégant :

 

« Pastaaa ~ »

 

Feliciano Vargas, l'homme de chambre, dont peu de gens ont apperçut ses yeux. Et enfin, le troisième et dernier. Celui-ci avait des cheveux blond, raides mais partant en arrière élégamment. Ses yeux bleux d'un clair éblouissant, presqu'à tomber par terre, avait au dessus d'eux les sourcils froncés et les bras croisés. A son cou pendait une sorte de lunette de plongée, ce qui n'allait pas vraiment avec sa teue de cuisinier. Il était plutôt grand, lui aussi. Pas plus qu'Alfred, mais tout de même. Sa voix ferme qu'il ne pouvait cesser d'utiliser constata seulement :

 

« Ce n'est pas étonnant de sa part. »

 

Ludwig, le cuisinier. Le borgne blond et mâitre de maison soupira donc rageusement :

 

« Dire que j'ai fais venir ce spécialiste de régions inexplorées, tu n'as même pas mis un genou à terre !

 

- J'en suis navré, répondit le majordome en s'approchant.

 

- Tu t'es néanmoins bien battu, sourit le maître en lui tendant un verre que lui avait donné un servant souriant. Bois donc, ça te feras du bien ! Et cul sec ! 

 

- Merci bien. »

 

Puis il posa le verre sur une table dans lequel il restait encore trois glaçons, faisant remarquer une chose au passage :

 

« Maintenant que j'y pense ... il tourna son regard vers les trois idiots. Pouvez-vous m'expliquez pour quelles raisons vous n'êtes pas à vos postes ? »

 

Ces derniers sursautèrent en entendant leur prénoms et voyant le regard du brun se tourner vers eux, de sa voix habituelle en les prenant l'un après l'autre pour les envoyer sur leur lieu de travail solennellement.

 

« Alfred. N'as-tu pas quelques petites choses à faire, dans le jardin ? Intérieur ou extérieur, qu'importe.

Feliciano. Comment se porte la lessive ? Je suppose que tu as tout bien plié, aussi ?

Ludwig. As-tu vu l'heure ? Le dîner approche ! J'espère que tu n'as rien oublié, c'est un moment primordial !

Alors plutôt que de vous extasier pour une quelconque raison, aussi futile soit-elle, hâtez-vous d'aller travailler. »

 

Leur maître se rappelant d'une chose, il se détendit et tourna l'œil vers son fidèle majordome puis prit la parole.

 

« Kiku, en parlant de travail, j'ai reçu un appel de Frédéric, il revient d'Italie.

 

- De Frédéric-dono ? demanda-t-il en l'aidant à se lever et lui donnant sa canne.

 

- Suis-moi ! Nous allons en parler, dans mon bureau. »

 

Quelques minutes plus tard, après avoir marché un peu, ils se retrouvèrent dans une pière pleine de livre, où se trouvait un bureau et un siège, au milieu. Le Comte Kirkland prit un journal tandis que l'homme à son service écoutait son explication et posa sa question, qui résumait à peu près la situation.

 

« En outre, Friedrich der Große, ne tardera pas à arriver en Angleterre ?

 

- Oui ! Apparemment, la "marchandise" serait arrivée. Mais pas aussi simplement que la dernière fois. Il me semble qu'il devrait être ici aux alentours de six heures, puisque les négociations se passeront au manoir ! il sourit au plus petit. Tu vois ce que je veux dire, Kiku ?

 

- Je comprends, Arthur-dono, il posa sa main sur son torse, ferma les yeux et se courba vers son maître. Je vais de ce pas préparer la réception. Mais dites-moi ... poursuivit-il en retenant son visage de se crisper. Quelle est la composition de la limonade que vous m'avez offerte ? Mon cœur me fait horriblement souffrir ... 

 

- Hum ? C'était une simple limonade, que notre cher Matthew à préparé. Personnellement, un sourire hautain s'afficha sur ses lèvres, la première gorgée m'a suffit ! Le glumate et le sucre ont été interchangés. »

 

Le petit majordome toussotta, plaçant son poing devant sa bouche puis le se remit droit en remettant correctement ses gants, remonté à bloc.

 

« Sur ce, je vais de ce pas préparer le tout pour que le dîner de ce soir soit parfait.

 

- Oui, oui, va. »

 

Paisiblement ; Kiku choisit minusieusement l'argenterie, qu'il fit briller jusqu'à ce que l'on puisse se refléter en elle, se battant contre toutes les tâches qu'il percevait puis alla chercher une nappe, pure et blanche, que l'on pourrait presque prendre pour s'endormir dedans et il finit par choisir le service de porcelaine, accordé au plat qu'il s'est visualisé en tête. Lorsqu'il put ne plus voir aucunes tâches, il passa à l'étape suivante. Il alla dans le jardin et coupa les roses blanches légèrement abîmées emplient de pureté que le maître des lieux apprécit bien. Il demanda ensuite à ce que l'on retire les mauvaises herbes et à ce que l'on tonde le gazon en une finition de velours. Puis, pour le point le plus important de la soirée, il fit attention à choisir les meilleurs ingrédients, les plus rafinés, les plus doux ... Que se soit le bœuf, les légumes, le riz ou l'assaisonnement ... Il irait les acheter lui-même au marché pour être sûr de leur qualité et y metterait toute son âme pour cuisiner ! Persuadé que c'était ceci, une récéption de première classe, inratable. Alors qu'il était concentré, le "Diling" de son maître retentit et il dut remettre sa veste et l'époussiérer pour le rejoindre en se demandant ce qu'il voulait tandis que deux paires d'yeux inquiétant le fixait partir alors qu'une autre, un peu plus loin, les regardait comme s'ils étaient idiots - ce qui est le cas, mais passons.

 

Les deux idiots tournèrent leurs regards vers le plus intelligent. L'un avec un sourire et l'autre avec un visage qui appelle au secours. Le plus petit s'exclama, lorsqu'ils furent tous les trois seuls :

 

« Il a l'air de préparer tellement de choses !

 

- Un invité va arriver ! C'est sûr ! YEAAAH !


- Calmez-vous, tous les deux. Alfred, peux-tu, s'il te plaît, aller vérifier si cette supposition est exacte ?

 

- YEAH ! il sursauta au regard sévère que lui lança Ludwig et se mit à chuchotter. Ah, pardon ... Yeah ! »

 

Ce fut sur ces bonnes paroles qu'ils s'en allèrent, calmement. Enfin, calmement ... Alfred et Feliciano était parti à une vitesse folle pour 

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