Hello.

 Si vous voulez un rp, allez donc voir kid-rp, c'est ma doll "active". Passez aussi voir kid-rp et wistful pour voir des personnages qui ne se trouvent pas sur mon autre doll. 

Créez le 17.10.12.

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Il n'est jamais trop tard. 

La roue tourne toujours.

Lorsqu'un jour la solitude viendra frapper a ta porte, tu voudras revenir en arrière. Changer les choses. Mais la solitude ne te laissera aucun choix. La solitude te prendra, t'enlevera tout espoir. T'empechera de voir la lumière.Quand la solitude t'aura engloutti dans son long manteau noir et terne, ou les couleurs n'existes plus, ou la vie n'a plus de sens, elle ne te laissera pas le choix. Elle t'entraineras dans la douleur et la souffrance, chaque jour un peux plus. Et un jour, tu n'en pourras plus, tu ne pourras plus rien. Tu seras vouer a crever seul, comme un rat. Tu auras fait tellement de mal autour de toi, que les quelques personnes qui se souviendront de toi iront cracher sur ta tombe. Pour les moins chanceux, la solitude leurs reservent un autre sors. Elle les laissera apercevoirent la fin du tunnel, la fin de la souffrance. Elle les laissera s'en approcher de si près qu'ils pourrait la toucher, et l'attrapper du bout des doigts. Mais jamais, Ô grand jamais ils ne l'atteindront. La solitude les laissera esperer, esperer si fort, les laissé vivre avec des étoiles plein les yeux, mais jamais ne les laisseras la quitter. La solitude est tellement posséssive et jalouse, que si elle te prends, elle ne te laisseras pas t'échapper. Elle te laissera dépérir, en douceur, dans une descente aux enfers des plus lentes, des plus inhumaine qui soit. Elle t'etouffra et tu ne pourras plus respirer, tu crevera, tu crevera comme une bête, agonisant, pleine de plaie qui n'auras pu se refermer.. Tu mourras, un jour ou l'autre. 

Tu vois la vie qui défile. Tu te dis que c'est la fin. Tu voudrais t'excuser pour tout ce que t'as fais. Pour tout ceux que t'as blesser. Pour toutes les ***ries que ta faite. Mais ce n'est plus le moment. Tu l'as louper. Les remords, tu voulais vivre sens, t'y pensais jamais, mais au fond ils te hantaient. Tu te rends comptes que ta vie tu l'as passer a blesser, et aujourd'hui tu serais presque en train de prier pour ton âme. Mais ce n'est le plus moment. Tu veux vivre, alors tu repenses a tout ces héros de films qui survivent a tout, mais la réalité te rattrappe très vite : ce sont des films, des héros de films. Alors que tu n'es rien. Tu vois des images défiler devant tes yeux, et tu te rends comptes qu'en réalité, tu n'étais qu'un figurant. Tu n'as jamais été maître de ta vie, de ton destin. Et ta mort, tu la devinerait presque en regardant ta vie. Aujourd'hui, tu pleurs les dernières larmes de ton corps, tu pousses tes derniers cris. Tu sens la fin arrivés. Tu sens une main, froide, te prends le bras. Tu sens un voile qui recouvre ton corps. Ce même voile recouvre tes yeux, tu ne vois plus rien. Tu le sens, c'est la mort, la douce, la vrai. Elle vient, elle se déplace, spécialement pour toi. Elle t'attire, elle te sussure a l'oreil d'une voix caverneuse qui résonnera a jamais dans ta tête, elle te chuchotte que c'est l'heure, que tu dois la suivre, c'est ton devoir. Tes yeux sont fermes, mais tu arrives a distinguer les traits que la mort cache sous son manteau. La peur ne t'envahis pas, tu te sens appaiser, plus aucun remords, plus aucun sentiments. Ce moment là, a été le plus beau de ta vie. 

"Tu m'aimes ? Prouve le. Montre le moi. Non pas avec des mots, mais avec ta présence, avec des détails. Penses a moi. Demandes moi ce que je fais. Demande moi comment 'est passé ma journée. Demande moi ma couleur préféré. Interesse toi a moi. Fait en sorte que je devienne ton centre. Que je devienne la personne la plus importante pour toi. Montre le.." Mais ta g.ueule ? L'amour, ça ne se prouve pas. L'amour ce n'est pas qu'une présence, pas que des détails. L'amour, c'est l'harmonie entre deux être, qui se sont chercher, c'est l'alchimie entre deux corps. L'amour, c'est plus que ça. C'est des attentions, c'est des suprises, c'est du bonheur a l'état pur. L'amour c'est se comprendre d'un regard. De sentir une odeure tout les matins au reveil et ne jamais s'en lasser au bout de dix ans, vingts ans, trente ans.. C'est aussi des hauts et des bas, se bouder pour des broutilles, s'excuser, se chercher l'un l'autre, finir en bataille de coussin. L'amour, ça ne s'explique pas. Ca se vit. L'amour, si tu ne viens pas a lui, il viendra a toi. L'amour l'auras eu sous le nez toute ces années, sans jamais le voir. L'amour c'est sentir son corps chaud contre le tiens, qui te réchauffe de l'interieur. L'amour, c'est un bonheur, sans fin, l'amour, c'est se nourrire de l'autre. Ce sentir aimer, au file des années, toujours de plus en plus. C'est se connaître par coeur. L'amour c'est pas comme dans un films. L'amour ça n'a pas de scénario. L'amour c'est exceptionel. L'amour, c'est la meilleure chose au monde.

J'aurais beau crever, vous ne le remarqueriez pas, et ce n'est que quand ce moment arrivera que vous vous rendrez compte que j'étais là. Que j'étais a vos côtés quand vous alliez mal, que j'étais présente pour vous, mais vous, en retour ? Etiez vous là pour moi ? Pensiez vous a moi tandis que je pleurais chaque soir dans mon lit ? Non, ne dites pas le contraire, je lis en vous comme dans un livre ouvert. Un jour, je disparaîtrais, comme vous. Mais moi, je mourrais heureuse, car je vous aurais vue tous mourir, un part un, je vous aurais battue, vous aurais surpasser, je vous aurais enterrer, je penserais a vous, a la façon dont vous m'aviez traiter. Et je me rirais de vous, vous tomberez et ce incecemment, et moi, je serais là, debut, je grandirais, je n'arrêterais pas. Je me suis toujours relever après être tomber, toujours seule. J'étais allez a votre rencontre, quelques un m'ont acceuillit avant de me laisser tomber a nouveau. Et a chaque fois je devint de plus en plus dur. Je me suis forgé une carapace, qui a chaque heure se renforçait, a chacune de vos injurres. Vous serrez déjà a six pieds sous terre que j'en enterrerais un second, un troisième, et encore un, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus un seul pour me dire quoique ce soit. Et ce n'est qu'a ce moment là que je vous rejoindrais, appaisé, et heureuse. Je n'irais pas vous voir, pourquoi iras-je vous voir ? Vous ? Qui m'avez fait souffrir, hein ? Répondez ? Ou bien vous n'avez pas le cran. Vous n'êtes que des lâches.