Bonjour à tous!

pouvoir: les fleurs et l'air

Je me prénomme Flleure et je possède des pouvoirs magiques.

Chapitre 1- La rencontre 

Mes parents étaient de simples humains qui avaient peur de la magie alors dès qu'ils ont remarqué que j'avais des compétences magiques, ils ont pris peur et ont décidé de m'abandonner dans la forêt....je n'avais que 2 ans.

-Nous allons enfin nous débarrasser de ce monstre! s'exclama mon père. Après 2 ans avec elle: nous le méritons bien!

-Moi je te dis que ce n'est pas notre enfant mais la fille du diable! dit ma mère.

-Elle ne pourra pas survivre bien longtemps et le monde sera vite débarrassé d'elle! renchérit mon père.

-Ha! ha! rirent-ils ensemble.

A l'époque je n'étais qu'une simple villageoise...qui pouvait bien s'inquiéter de mon sort?

En plus j'ai les oreilles pointues...                                        

Comme convenu ils me laissèrent au beau milieu de la forêt de Pésia. Une forêt sombre  d'où on entent des bruits inquiétant...Les gens de mon village disaient qu'elle était hanté...Ils m'attachèrent à un arbre après plusieurs tentative de les suivre. Quand je me suis rendu comptent que je ne les révérais plus je me mis à pleurer, hurler mais ils continuèrent leur marche s'en se retourner et en riant au éclat...

Soudain je sentie une présence derrière moi. Je fis volte-face et aperçu une magnifique femme avec les oreilles pointues comme moi! Elle avait les traits angéliques, les cheveux dorés et les yeux comme un ciel s'en nuage...puis un éclair Mauve arriva sur moi et je crue qu'elle voulait me tuer...mais au lieu de s'attaquer à moi il fonça droit sur les cordes qui m'enchaînais à l'arbre! Elles ce détachèrent d'un coup!

Elle me pris dans ses bras. Le monde tourna autour de nous et quand tous devins stable je jeta un coup d'œil autour de nous et...nous n'étions plus dans la forêt sombre qui me faisait peur mais dans un magnifique village remplie de fleurs dominé par un énorme château! Elle marcha en direction de ce château, leva la main et un jet blanc en sortie pour ouvrir la grille du château.

 Nous entrâmes dans un jardin lui aussi remplie de fleurs de toute les couleurs mais aussi d'arbres fruitiers, d'une herbe d'un vert éclatant...c'était splendide. La femme me déposa par terre et me dit:

-Te voici chez toi, mon enfant.

Elle alla dans une pièce qui devait être sa chambre et voyant mon air interrogateur elle me dit:

"-Lorsque j'avais 9 ans mes parents me mirent sous la charge d'un magicien, mon maître (Oria) enseignais la magie à 2 élèves: moi et Sãnnio. Il avait le même âge que moi.

Nous ne retournions pas chez nos parents le soir donc nous avons grandis ensemble, sa chambre était à coté de la mienne, à l'étage et celle de notre professeur au rez-de-chaussé. Nous étions de très bon amis.

Un été (celui de mes 17) Oria me demanda d'aller chercher des herbes dans la forêt et Sãnnio voulut m'accompagner. Pour mon plus grand étonnement mon maître accepta.

                                                                                                                    Nous marchâmes longtemps et nous retrouvâmes seul dans la forêt. Soudain une lance vint ce planter dans ma jambe et je poussais un hurlement de douleur. Mon compagnon alerter arriva.

-Lyria qu'y a t-il? il regarda ma jambe.

Puis le soldat ennemi s'approcha une épée a la main.

-Prépares toi à payer pour ton acte! lui dit Sãnnio.

 Il lança une boule de feu sur son adversaire. Le combat dura quelque minutes et mon ami le remporta.

Il se précipita alors vers moi.

-Tu as perdu beaucoup de sang. m'appris t-il. Trop pour que je puisse te déplacer, je vais devoir te soigner ici même si l'aide de notre maître aurais pu m'être utile...

-Tu es un très bon magicien j'ai confiance en toi. 

Il enleva la lance planté dans ma jambe et commença les enchantements avec une ténacité que je ne lui connaissais pas...pendant qu'il me soignais j'admirais son visage, ses traits parfaits, ses cheveux noirs comme la nuit et ses yeux comme les feuilles d'arbre au printemps. Je l'aimais vraiment beaucoup et j'aurais fait n'importe quoi pour lui...

Je perdais beaucoup de force malgré ses pouvoirs que j'admirais tant et qui me rendais autrefois jalouse...Ma vue se brouilla et je perdit connaissance...

-Non Lyria! s'écria t-il.

Il récita les sorts de plus en plus vites et de plus en plus désespérément...

-Lyria...reviens à toi...

Au bout d'environs 3 heures je me réveilla et constata qu'il me soignais encore.

-Lyria! Enfin! J'ai eu peur que tu ne reviennes jamais à toi!

-Tu me connais mieux que ça! Tu sais très bien que je résiste à la mort! rétorquais-je.

Je me levis, fis quelque pas pour vérifier que je pouvais marcher, me dirigea vers lui mais soudain mais jambe ne pus plus me tenir et je glissa par terre. Mais juste avant que je touche le sol des mains solides me rattrapèrent et je me retrouvas contre Sãnnio.

-Merci. répondis-je gêné.

-Tu ferais mieux de ne pas t'appuyer sur ta jambe droite pendant quelque temps. Je vais te porter jusqu'à la maison de notre maître.

Il me pris dans ses bras mais je me débâtie.

-Pose moi tous de suite par terre! lui ordonnai-je.

Notre image me fessait un peu trop penser à un jeune couple à mon gout...mais ses bras de fers me retenais contre lui.Puis au bout d'une heure nous nous retrouvâmes devant la maison de mon maître. Nous entrâmes et notre maître arriva jusqu'à nous.

-Mais que t'est-il arrivé? me demanda t-elle.

Mon ami lui expliqua notre aventure et elle écouta avec intérêt. Ils m'emmenèrent dans ma chambre et Sãnnio me déposa sur mon lit. Oria regarda ma blessure et dit:

-Tu as fait tout ce qu'il fallait faire Sãnnio. Laissons Lyria dormir pour qu'elle récupère ses forces.

Elle m'embrassa sur le front et ils s'en allèrent. Se fut une longue nuit sans rêve. Quand je me réveilla une délicieuse odeur m'envahie. J'ouvris les yeux et découvrit Sãnnio et à coté de lui un plateau remplie de nourriture.

-Je me suis dit que tu avais besoin de manger pour reprendre tes forces. m'expliqua t-il avec un sourire que je lui rendis.

-Merci pour hier...si tu ne m'avais pas accompagner je ne serais certainement plus de se monde...

-Oh, ce n'est rien...mais soit plus prudente maintenant! Je ne voudrais pas que tu meurs prématurément.

Il me regarda avec douceur.

-Moi non plus! Lançais-je.

Il me sourit.

Chapitre 2- La vérité

Dans les semaines qui suivirent Sãnnio et moi furent nommé magiciens, un titre qui nous rendaient fier. L'amitié entre nous se solidifia.

Un jour le neveu de notre maître arriva chez elle, il était grand, fort, avais les cheveux blond et les yeux d'un magnifique vert, il lui ressemblait beaucoup. Je passais beaucoup de temps avec lui a l'écouter et a le regarder tirer à l'arc. Il finit par m'apprendre a ce servir d'un arc a moi aussi. Mais le premier cous n'a pas été une réussite...

- Regarde! me demanda Arrion.

Il me montra comment me placer.

-Non pas comme ça. dit-il en se rapprochant de moi.

Il se colla à moi et me tenait les bras dans la bonne position. Sãnnio qui nous regardait se leva d'un bon et partie sous mes regards étonné...

-Mais qu'est-ce qu'il a? demandais-je

Arrion haussa les épaules.

Les semaines se succédaient et un mois durant lequel je travaillai durement mon tir à l'arc passa.

Puis un jour Arrion décida de m'emmener dans une clairière qu'il avais découvert par hasard. Nous nous sommes assis sur un tronc d'arbre mort.

-Tu a fais des progrès au tir à l'arc, commença t-il, tu es vraiment très douée.

-Merci. répondis-je

Puis sans que je ne m'en rende compte il m'embrassa.

-Je t'aime. dit alors Arrion sans aucune gêne apparente

Je le regarda en posant mes doigts sur mes lèvres et en rougissant.

-Que ressens-tu pour moi? me demanda t-il

-....

-Je ne te demande pas de répondre maintenant, mais plutôt d'y réfléchir.

Il posa à nouveau ses lèvres sur les miennes mais je le repoussa d'un mouvement brusque et me levis.

-T..tu as raison il faut que j'y réfléchisse...lâchai-je

Je tourna les talons et courue sans savoir ou j'allais. Pas questions de rentrer maintenant ni de parler à quiconque de se qui venait de se passer, surtout pas Sãnnio.

Depuis quelques temps Arrion n'était plus le même...Je finie par m'assoir puis à m'endormir à force de courir. Quand je me réveilla la nuit commençais à prendre place et à laisser le jour disparaître.

J'étais rentré sans que personne ne se rendent comte de mon retard. "

                      A suivre...

Excusez-moi mais avec l'école je n'ai plus beaucoup de temps pour continuer mon histoire!