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wouah, chouette histoire
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mllxmacaille
Après cette morsure, j'espère que...
13/10/2015 18:06:02
lea78lol
Il y a plus de nouveaux chapitres :(
06/04/2014 11:48:10

Read all the com'z

ces-histoires has 0 goodness points.

ces-histoires
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(2 Nouveaux messages):

 

1- Je me disais qu'a chaques fins de chapitres je pourrais faire un aperçu (ou un résumé) du chapitre à venir (donc là ça serais le résumé du chap' 9)

Bonne idée hein ? ;)

2-Coucou les filles, ça fais longtemps que je vous est pas écris hein ? Désolé ^^' Bref, là je vous annonce que le chapitre 8 est (enfin) terminé ! Et que je pars du 09/07/12 au 15/07/12 :D ... Mauvaise nouvelle :D !

Me frappez pas {#aomd_bisous} <3

 Bisous les filles, et bonne lecture !

 PS : Désolé pour la couleur, c'est pour que vous voyez bien :B

 

 

 

 


 

Ma dollz principale pour les interessés :)

 

Si vous voulez vous faire une p'tite idée d'à quoi ressemble Lastelle cliquez ici :

http://www.pixyup.com/uploads/250119274f48290f288f0.gif

http://www.pixyup.com/uploads/250121184f48297e50826.gif

 

 
 
C'est très gentil de votre part de m'envoyer tout ces comm's mais SVP, moi je fais un effort pour faire le moins de fautes possibles alors si vous pouviez faire de même ce serait cool. Merci.
 
--Merci pour vos conseils, je vais essayer de faire des chapitres plus longs--
 
Forum :
Coup de gueule /!/:
 
 
(Vous pouvez les prendrent mais attention, je les adorent ^-^)
 
Si vous aimez vraiment mon histoires et que vous lisez tout le temps, je vous invite à mettre cette banniere dans votre QSJ, et à m'en infor.mer par MP ^-^

 

Après les new's, la place aux scoitteuses de QSJ ;)

(Merci les filles)

 

Sanstitre

Tout ces-commentaires (ces-histoires lol) <--- cette blague n'est pas drôle du tout, bref. Tout ces commentaires sont vraiment touchants, beaux, parfois bizares mais gentils quand même ^^ ! Merci infiniments chères lectrices <3

Celui de trinithy-the-baby est pour l'instant le plus touchant et le plus éprouvant.

 

 
~Les chro***s de Kimberly Gara~
 
 
L'étrange rencontre.
 
Lorsque j'étais petite, ma mère me disait toujours : "Fais bien attention à toi ma chérie ! Ne commets pas d'imprudences ." Pourtant, lui ... Il a réussi à me faire faire toutes les choses les plus folles et les plus absurdes possibles. Nous rions en faisant chaques jours, un petit pas vers l'avenir. Un avenir que personne n'aurait pu prévoir, ni même imaginer.
 
 Je m'appelle Kimberly Gara. Je vis dans une petite maisonnette avec ma mère près d'un long fleuve apellé Selenite. Tous les matins, je me réveille à 8H45 pour pouvoir aller ramasser des palets de pierre au bord du fleuve. Mère me l'avait interdit mais je ne peux m'empêcher de contempler la beauté de l'eau lorsqu'elle ruisselle sur la roche.
C'était un jour comme les autres, où je me réveillais à la même heure que d'habitude avec les mêmes envies. Je prend ma parka, enfile mes bottes et ouvre doucement la porte d'entrée. Je me hâte de me glisser à l'exterieur et dès que j'y suis, je me mets à courir comme une folle vers le fleuve. En y arrivant je m'accroupis et pars à la recherche d'un beau palet. Je regarde partout et fouine dans tout les recoins. Près d'une petite chute d'eau je vois un magnifique palet blanc avec un cercle noir. On aurait pu croire que ce cercle avait été fait à base d'un compas tellement il était rond et délicatement tracé. Je décide alors de m'assoire pour pouvoir mieux examiner ce caillou. Pendant que je le regardais, un bruit retentit à quelques mètres de moi. Mais lorsque je me retourne, je vois un étrange jeune homme qui caresse les palets en me fixant. Lui aussi était assis, il était plutôt beau garçon mais sa peau était incoyablement blanche et son regard était d'un vert si vif que je baissa les yeux pour ne pas être éblouie. Je m'aida de mes mains pour reculer discrètement et prendre la fuite mais à ce moment là il prit la parole :
" Inutile de fuir , je ne te ferai aucun mal .
- Que veux-tu ?
- Tu m'enlèves les mots de la bouche .
Je tentais une nouvelle fois de m'en aller mais à peine ai-je eu le temps de me relever qu'il m'attrapa le poignet fermement et refusait de me lâcher.
- Arrête, tu me fais mal !
- Je ne peux pas ...
Il soupira et me lâcha le poignet. Immédiatement, je courrus aussi vite que possible vers la maison en espérant qu'il ne me suive pas. Ce n'était pas le cas.
Le rêve d'une vie.
Arrivée devant la maison, je m'assis sur les marches puis ferma lentement les yeux. Lorsque je les rouvris, j'étais allongée dans un lit très confortable avec une couette en soie brodée de dentelle blanche et lavande. L'odeur qui circulait dans l'air était très agréable, une odeur familière. Je tournais la tête et dans mon champ de vision se trouvait un grand vase composé de Lys, de Gardenia, et quelques Arum. Ce magnifique bouquet donnait une ambiance zen à la pièce. Je me suis immédiatement sentie à mon aise et en ai oublié que je n'avais jamais vu cet endroit. Je me frotte les yeux et bondis hors du lit. Depuis le début, une personne me regardait. Qui cela pouvait bien être ? En réalité je me rappelais très bien ce visage.
Des cheveux brins avec de petites boucles, des yeux noir sombre, on pouvait aussi apercevoir quelques tâches de rousseur. Il se passa la main dans les cheveux :
- Avez-vous bien dormi mademoiselle Gara ?
j'acquiesce soucieuse
- Où suis-je ? Qui es-tu ?
- Pardonnez-moi, je m'apelle Taylor Thorn et je suis du clan des Sparts magiciens. Nous nous trouvons dans la chambre du besoin. Une pièce qui apparaît lorsque vous êtes en danger.
- Moi, en danger ? Et puis quoi encore ! Qui devrais-je craindre ? PERSONNE A PART VOUS ! Disparaissez, je ne veux pas vous voir ! Je ne crois pas à ce genre d'histoire !
- Je ne peux pas ...
Tiens, cette phrase, je l'ai déja entendue quelque part ... A ces mots, il leva brutalement la tête. Ses yeux doublèrent de volume, son corps aussi. Ses mains étaient cachées derrière son dos. L'agréable odeur avait disparut, elle avait été remplacée par une odeur nauséabonde. Je me mis à suffoquer en respirant cet air toxique. Je sentais que des ondes démoniaques tentaient de transperser mon corps... A ce moment précis je me mis à gémir, crier, hurler, j'en avais des sueurs froides :
- Stop arrête je t'en suplie !!! AHHHH !
Je laissais s'échapper une petite larme de mes yeux, puis deux, puis trois. J'étais en sanglots, et continuais de hurler sous la douleur que me procurais cette sensation, tandis que ce monstre qui me faisait endurer de telles choses me regardais me tordre dans tout les sens. Il riait aux éclats. Il me montra son point puis leva un doigt qui me projeta contre le mur. A ce moment là je fermais les yeux mais quand je les rouvris ...
 
 
Deux blessures atroces.
 
Quand je rouvris les yeux, le monstre avait disparut. La chambre du besoin aussi. Je me trouvais assise sur la 2ème marche de l'escalier en face de la maison.
 
Etait-ce un rêve ? C'est une question à laquelle je ne pouvais pas répondre pour le moment. Mère, qui avait été réveillée par les hurlements ouvrit la porte et me vit.
- Mais enfin mon enfant ! Que faites-vous dehors ? Rentrez avant d'attraper froid, qu'est ce qui vous a pris je pensais vous avoir interdit de sortir !
- Je m'excuse mère ...
- Allons, ça ne va pas ma chère ? Mon dieu que vous êtes sale ! Que s'est il passé pour que vous soyez dans un tel état ?
Je décide de ne pas répondre et commence à me dévêtir. Maman soupira et prit une mèche de mes cheveux :
- Déplorable ! On dirait que vous vous êtes roulée dans le sable. Prenez un bain enfin !!
Sur ces mots je partais dans la salle d'eau pour prendre un bain. Je commencais par retirer mon gilet puis mon legging. En enlevant mon tee-shirt je sentais une douleur au dos, j'enlevais alors délicatement le reste du tee-shirt et me tournais pour regarder dans le miroir ce qu'il s'y passait. En levant les yeux j'aperçevais deux atroces griffures creusées dans ma peau. Je prenais un coton et tapotais sur les plaies mais à chaques contacts, les blessures s'agrandissaient encore plus et me fissurais la peau. Je fronçais les sourcils et partis faire couler mon bain.
Enfin sortie et propre. Des nuages de vapeur s'échappaient de mon corps. J'avais décidé de ne pas parler à maman de cette blessure et de faire comme si de rien n'était. La journée passa à une vitesse impressionante.
Quand vint la nuit mère m'ordonna d'aller me coucher, j'obéissais sans réfléchir. Une fois dans le lit je fermais les yeux et tentais de m'endormir, impossible, je revoyais des images de cette scène horrible. Elles défilaient les unes après les autres aussi vite qu'une flèche transperçant mon coeur. Je me mis à murmurer avec une voix colérique :
- Stop, s'il vous plait, qui que vous soyez. Arrêtez.
Une petite voix murmurante souffla derrière mon oreille :
- Je ne peux pas ...
Cette phrase, je l'entendais partout depuis ce matin. Je me posais tellement de questions. Qui était réellement ce Taylor Thorn ? Qu'est devenue la salle du besoin ? Qu'est ce que ce clan des Sparts ? Etait-ce un rêve ? Pourquoi suis-je hantée par cette maudite phrase qui ne veut rien dire ?! Je n'en pouvais plus, sans y prêter attention je m'étais endormie.
 
Connaissance de l'inconnu.
 
Ce matin je me réveillais grâce aux rayons de soleil qui passaient à travers mes volets. C'était un début de journée agréable, je me mis alors hors de mon lit pour descendre prendre un petit-déjeuner. Ce matin à la carte, pancakes au caramel beurre salé et milk-shake fraise. Je finis tout ça en vitesse puis fonçais enfiler mes bottes et ma parka. Je m'examinais devant le miroir, une fois toute équipée, je partit en direction du fleuve pour partir à la chasse aux palets. Arrivée là-bas, je tournais la tête de droite à gauche pour vérifier que l'étrange garçon d'hier n'était pas là. Apparemment, la voie était libre, à moi les beaux palets !! Je commencais ma recherche en me baissant pour mieux voir mais une grande ombre me gâcha la lumière. Je levais la tête aussitôt de peur que ce sois l'épouvantable garçon de la derrnière foi. En effect, c'était lui.
Bizarrement je n'est pas eut peure, était-ce grâce à l'expression qui avait sur le visage ? Il avait une drôle de tête, comme s'il venait de voir un fantôme, peut-être était-ce moi le fantôme. Il s'approcha doucement de moi et posa sa main sur mon dos. Je le dévisageais en fixant sa main blanche. Il baissa les yeux :
- Tu as mal ?
- Terriblement.
- Je ... Je suis desolé de tout le mal que je t'ai fait ! Je suis un monstre, une brute, un imbécile !
Il commença à se frapper la tête contre le tronc d'un arbre, je tentais de l'arrêter mais il était doté d'une force surnaturelle et sans le vouloir me projeta au sol. Je le dévisageais de plus belle :
- Pourquoi me suis-tu, je veux des réponses !
Il soupira puis reprit en se frottant la tête :
- Tu veux des réponses ? Très bien, assied toi
- Bien
- Je m'appelle Taylor Thorn, je suis né de l'union d'un magitien noir et d'une des gardiennes de ta forêt. Cela fais 16 ans que j'attend ce moment, le moment d'enfin pouvoir te rencontrer. Kimberly je te connais depuis que tu es dans un berceau. Je te regarde grandir un peu plus à chaque instant en rêvant du jour où je pourrais te dire ces mots en face et en pouvant te toucher ... Je sais que se que je t'es fais est impardonnable mais ...
Il fronça les sourcils.
- Peux-tu enlever ton haut s'il te plait ?
- Tu es un pervers ?
- Sans façon, je t'en prie retire-le.
J'obéis. Il se mit à caresser tendrement mon dos, d'un côté c'était extrêmement agréable mais d'un autre, il touchait la plaie, ce qui était très douloureux. Peu à peu j'avais de moins en moins mal au dos.
- J'ai fini, tu peux te rhabiller.
- Mmh, tiend, comment se fait-il que je n'ai plus mal ?
- J'ai guéris ta blessure ...
Je pris un air étonné
- Merci !
Je me mis à rire de tout mon éclat, pourquoi ? Je n'en es ai pas la moindre idée mais ça m'a fais un bien fou !
dsss 
 
Penssées occupées.
 
Taylor Thorn était un jeune homme étrange, mystérieux. Il arrivait à se rendre à la fois désirable et distant. Depuis ce matin je ne pensais qu'a ça, qu'à lui, que faire ? Je devais le revoir ...
<< C'était un jour comme les autres, où je me réveillais à la même heure que d'habitude avec les mêmes envies. >> C'est ce que je disais au début mais maintenant c'est différent ...
 
Seul quelques heures me séparaient de lui mais je me sentais déja perturbée, aguité, penssive. J'étais profondêment perdue, je ne savais pas quoi faire. Et si demain il n'était plus là ? Et si je ne le revoyait plus jamais ? J'imaginais les pires choses qui puissent arriver. Un profond désespoir s'emparait de mon corps comme si j'étais transportée par une grande bouffée d'air frais. Au fond de mon coeur c'étais un vent doux et paisible, c'étais vite devenu apaisant. je ferma puis rouvris les yeux. A ce moment là j'apercus Taylor enveloppé de longs dras blancs qui me tendait la main. J'essayais de l'attraper mais à chaques fois que j'essayais de le toucher je passais en travers de sa peau.
- Kimberly enfin ! Ne regardez pas vos pieds lorsque vous mangez, c'est très impolis !
- Veuillez m'excuser, mère.
Je repris imméditement mes esprits.
Après le soupé j'alla me coucher directement, cette journée m'avais plus qu'épuisé.
- "T" de trésor, "A" de amour "Y" yahourt ?? Ahhhh ...
Je soupirais puis m'endormis aussitôt.
Cette nuit j'ai fais un rêve étrange, la maison étais couverte de fuites d'eaux. J'entendais les petites gouttes d'eau qui faisaient "Plok, plok". Je regardais calmement le plafont et me demandais comment tout réparer.
 
Le lendemain à mon rêveil la surprise fût grande. Quand j'ouvris les yeux, Taylor était assis sur le rebord de la fenetre et me regardait dormir. Je me frotta les yeux puis le regardais à nouveau.
- Bonjour toi
Il souriait d'un air simplait
- Bonjour, par où es-tu entré ?
Il fixa la fenetre
- Ne me dis pas que tu es monté par là ?!
Il mit sa main devant sa bouche pour que je ne le voit pas rire.
- Maleureusement c'est bien par là je je suis monté !
Je lui frappa la tête
- Tu es stupide
J'étais un peu gêné car j'étais en pyjama ...
- Au fait pourquoi tu m'as comparé à un yahourt ?
- Oh, ce n'est pas se que tu crois ...
- Mais je ne crois rien
Il m'embrassa sur le nez et me murmura dans l'oreil quelque chose que je n'est pas tout de suite compris mais, je crois que c'étais :
- Je t'attend au Myriade
D'une traite, il disparut. Je n'avais plus qu'une idée en tête : partir en quête de nouveaux galets !!
 
 
Le rendez-vous.
 
Je dessandis incognito des escaliers et arriva dans la cuisine.
- 8h45, rien que ça ? C'est pathétique je ne t'es jamais enseigé cela, depuis quand est ce que tu fugue comme ça !
Je reconnus immédiatement cette voix, je voulais partir mais il était trop tard.
- Mère, comment vous le dire ?
- Inutile ! Fermez-votre bouche de sale truie !
J'étais choquée, choquée par le vocabulaire de ma mère. Elle n'avait jamais prononcé de tels mots.
Je baissai les yeux en prenant un air abattu.
- Sale empotée, plus jamais je ne te laisserais sortir. C'est clair ?! Et arrête de prendre cet air de chien battu !
Je continuais de m'apitoyer.
- Arrête je te dis !
Je n'arrêtais pas. Elle s'avançat vers moi sur un pas forcé, élança son vieux bras puis me gilfla d'un coup sec. L'élant avait été si grand que la baffe me projetta sur la gauche. Lorsque j'eus relevé ma tête j'étais en sanglots et avais une énorme marque rouge qui vira aussitôt au violet.
- Pff, c'est bien se que je disais : Pathétique !!!
Elle détourna les talons et partit dans sa chambre sans aucun regret, sans aucun regard, sans aucune pitié.
- Mère, disais-je en chuchottant, Je vous hais, et vous haïrai toute ma vie, sans relache.
Je retournais dans ma chambre sans plus mots dire, m'éffondra sur mon lit et pleurais, pleurais jusqu'a désechement.
20 mintues aprés je m'étais calmée et la marque avais un peu desenflé, je n'entendais pas un seul bruit. Je dessendis à nouveau, la voie était libre. Je prenais une veste des chaussures puis partis. Rien ni personne ne pourrais m'emprêcher de le revoir. En arrivant au fleuve il n'y avais personne. Personne apars les esprits de la forêt qui m'entourais. Je me mis à l'appeller :
- Taylor ? Taylor tu es là ? C'est moi, Kimberly.
Sans réponse je me remis à pleurer, mes yeux étaient tout enflés. Le chagrin m'avait emporté et je ne savais pas quoi faire.
- Ou es-tu !!! Taylor...
Je continuais à pleurer en l'attendant, mais ou était-il ? Et si se que j'avais imaginé la veille se réaliserais ? Si je ne le revoyais plus jamais ? Que faire ! Sa ne peux pas s'arrêter comme ça, il y a forcément un moyen de l'amener jusqu'a moi ! Je décidais alors de m'allonger part-terre en attendant la venue de mon prince charmant.
 
 
 

Passion, émotions, sensations.

Plusieurs heures étaient passées sans aucun signe de vie. J'étais toujours allongé. D'un coté ce n'étais pas si desagréable. Bien au contraire, je respirais de l'air pur et frais, j'entendais juste le chant des oiseaux, tout en observant les feuilles des arbres s'agiter. Pour mieux me concentrer sur cette magnifique chorale de la nature, je fermais lentement le yeux.

- Kimberly ? Kimberly ma chérie, est ce que ça va ?

Une jeune femme se tenait devant moi et me caressait les cheveux.

- Euh ... Qui êtes vous

Elle prit un air deçu, retira sa main puis recula.

- C'est normal ...

- Hein ?

Elle partit en courant, les larmes aux yeux. Je ne comprenais pas se qu'il venait de se passer. Soudainement, j'entendis une branche d'arbre craquer.

- Tay ... Lor ?

- Taylor n'est pas là.

J'étais très surprise d'entendre une autre voix que celle de Taylor. Je regardais autour de moi sans rien voir d'autre que la forêt, vaste et élegante. La fillette à qui apartenait cette voix ne tarda pas à sortir de sa cachette. Qu'est ce qu'elle étais belle. Une vraie princesse, elle avait les cheveux longs et blancs avec des yeux bleus. Elle était vetu d'une robe noir qui trainaît par terre. Elle se jetta les cheveux en arrière puis me fixa comme si j'étais sa rivale :

- Je suis m'appelle Lastelle, enchantée.

Je me mis à bégailler

- Euh, enchantée...

- Quel manque d'élegance. Comment peut-il aimer ... Une telle chose ?

- Pardon ?

Elle soupira

- Oublie, passons aux choses serieuses veux-tu ? Je ne vais pas tournée autour du pôt. Laisse Taylor tranquille. Tu l'emprisonne, l'empresse, le compresse ! Arrête de lui parler, de le toucher. Depuis que vous vous êtes rencontrez il ne prête plus attention à moi !

- Hein ? C'est une plaisanterie ? Je te connais à pêne et tu me demande de cesser de voir le seul en qui j'ai confience ? Tu rêve !

- Je t'en prie, ne discute pas ou les choses tourneronent mal !

- Jamais ! Jamais je n'abandonnerais Taylor !

Elle se mit à bredouiller

- Mais ... Non, c'est mon Taylor. Je ... Tu n'as pas le droit de me le voler.

C'est moi ou, elle pleure ? Elle... L'aime.

- Ne pleure pas

Je lui tendis un mouchoir pour sècher ses lârmes. Elle me le prit et partit. Avant de disparaîre dans les feuillages de la forêt, elle se tourna vers moi pendant quelques secondes; puis partit. Avait-elle essayé de me remercier ? Ah, je n'en sais rien. D'ailleurs, moi, qu'est ce que je ressens pour Taylor ? De l'amour ? Ou de l'amitié ? J'avais l'impression que mon coeur pesait une tone.

- Bonjour mon petit rayon de soleil

Quelqu'un me cachait les yeux par derrière. Je n'avais pas peure. Je savais qui c'étais, je fis divertion en riant et me retournis en nous projetant au sol corps à corps. Je n'avais jamais vus son visage si près du mien, je pouvais sentir son souffle axélérer. Un petit temps de silence s'installa entre nous. Taylor fit disparaire le beau sourir qu'il portait de son visage, puis baissa les yeux. Il me poussa gentillement sur le coté et se releva.

- Taylor ?

Il se tourna face à moi sur ces mots, l'expression de son visage étais devenu terne. Sans vie.

- Oui, qu'y a-t-il ?

Je grimassais en voyans cette expression que je n'avais encore jamais vus aupars avant.

- Non, rien.

Il se força de sourir et me tendit la main.

- Alors, on y va à cette pêche aux galets ?

Je pris sa main et le suivit. Cette journée fût magnifique.

Chapitre 8

Le lendemain matin je me rêveillais les lârmes aux yeux. En les essuyant je vis un petit papier coincé dans dans le plis de ma porte. Je le pris et le déplia. A l'interieure se trouvais une toute petite fleur blanche, elle faisait à peine la taille de mon petit doigt << Bientôt tu le sauras >> c'était signé "M.MC" ... Qu'est ce que sa voulais dire ? Qu'est ce que je saurais ? Je pris le bout de papier et le mis sur mon bureau. Au passage je m'assis sur la chaise en soupirant. Je me repassais la scène d'hier. Que c'était-il passé ... Si selement il m'avait... Je me mis à soupirer de plus belle en touchant mes lêvres. Un grand dèsespoir s'empara de mon esprit. J'aperçus l'horloge indiquant 8h57 :

- Oh non je suis en retard ! Pas coiffé, pas habillé, c'est la catastrophe !

Quand j'étais arrivée devant le fleuve Taylor était là, il m'attendait. Un grand sourire se traça sur mes lèvres je courru vers lui et lui sauta au cou. Il m'attrapa et me fit tournoyer à contre-sens du vent. J'en riais, J'en riais éperdument.

La soirée du 14 juin avais commencé. nous étions allongés, tout les deux sur l'herbe fraiche. Sans un bruit. Ma main étais tendue pret de la sienne.

- Taylor.

- Oui ?

- C'est quoi, le clan des sparts magitiens ...?

- Oh, et bien ...

- Tu sais tout de moi mais moi ...

- Tu es sur de vouloir savoir ?

- Oui.

- Bien. Thorn, mon nom de famille, est en réalité une espèce d'un monde parallèle au tien. "Sparts" viend du mot Spartseus qui veux dire immortel dans la langue Thorn. Et ma classe est "Magicien".

- D'accord ... Euh, je ne suis pas sur d'avoir tout compris, tu es un magicien de l'espèce sparts et tu es immortel ?!?

- Je ne l'aurais pas dis comme ça mais, oui.

Je pris un air étonné tout en le dévisagant.

- Je sais que tu as du mal à y croire. Je le sent.

- ...

Un bruit long et grinçant retentit derrière les arbres qui nous entouraient. Je me retournis pour voir se qu'il s'y passais mais avant que je puisse voir quoi que se soit Taylor s'agrippa à moi et me retourna vers lui.

- Ne regarde pas !

Il me serait si fort que je ne cherchais même pas à me débarttre. Les yeux de Taylor étaient fixés sur cette chose que je ne pouvais pas aperçevoir.

- Taylor que se passe-t-il ?

Il tourna lentement sa tête vers la mienne. Je fus très surprise en voyant l'état de ses yeux. On pouvait croire que ses yeux étaient brulés, rouges écarlates. << Il pleurt ...>> Pensais-je. Il ferma les yeux et des larmes s'en échappèrent. Ses mains se posèrent sur mes joues, un sentiment de plaisir m'enveloppe immédiatement. Les yeux de Taylor sont noir sombre, une couleur très intense. Je le fixe patiement, c'est comme si ses yeux avaient le pouvoir de nous hypnotiser, comme si je me perdais dans son regard. Pendant un instant je sens son souffle dans mon cou. Ses yeux changent de direction et fixent à nouveau cette chose qu'il m'empèche de voir, celle qui lui brule ses si beaux yeux. Il hoche la tête et brusquement, sans prévenir, se penche vers mon visage effrayé. Ses lèvres s'approchèrent doucement des miennes, il passa l'une de ses mains dans mes cheveux et m'enlaça avec l'autre. Se fut un moment agréable mais étrange. Lorsque Taylor relève la tête je ne le reconnais plus. Il n'est plus le même. Sa peau est grisatre, ses yeux sont taupe, ses dents qui sont d'abitude si blanches et raillonnantes de santé ne sont plus que de drôles d'arretes croisées dans tout les sens. C'est lui; c'est le monstre qui m'a fais les deux horribles cicatrices qui se trouvent dans mon dos. L'odeur nauséabonde reviend. Cette impression que des ondes maléfiques m'entouraient. Tout, tout revenait, le cauchemar revenait.

- Cette âme est pure et je la veux pour moi, pour moi seul. Dit-il d'une voix d'outre tombe.

Ses mouvements étaient brusques et rapides, il s'apprêta à me frapper une fois de plus mais à ce moment là une ombre jaillit devant moi, c'étais une femme, une très belle femme. Sa chevelure brune était fouêtée par le vent. Se peut-il que je la connaisse ? Son visage me parait familier. Elle écarte les bras en se plassant entre Taylor et moi. Il en reste bouche bée et baisse le bras.

- Si tu veux de nouveau la blesser, il faudra me passer sur le corps et tu se sais ! dit la femme d'une voix tremblante.

Il soupirat

- Tu ne comprend pas que je suis plus fort que toi ?!

Il s'approche à pas feutrés vers elle et l'examine, un sourire malsain s'affiche alors sur son affreux visage.

- Tu es toujours aussi faible que la dernière fois, c'est lassant !

La femme hisse discetement sa main dans la poche arrière de son jean et en sors une superbe dague, en argent je supose. Son manche est en nacre et un texte y es gravé, je tente de le lire mais c'est écrit dans une langue inconnue. Cette scène se passe très vite, la femme élance son bras en avant et fais filer la dague dans le vent si bien qu'elle viend se plenter dans le torse de Taylor. La lame est parfaitement droite. Je lève les sourcils, étonnée.

- Qu'as tu fais !! dis-je en voyant Taylor qui tombe en avant et amortit sa chûte avec ses genous.

- Kimberly ... Comprends que je n'est pas d'autre choix, cet individu souhaite ta mort au plus profond de ses entrailles ! C'est un manipulateur !

- Et toi ? Qu'est ce qui me prouve que tu ne souhaite pas me tuer ! Je ne te connais même pas ! Je ne t'es jamais vu ! C'est faux. Cette femme, je l'es déja vu, cette femme avec de longs cheveux blonds, avec une peau blanche comme neige, des comissures légerement relevées, un menton presque inexistant. La tendresse et la fragilité sont les seuls critères pour la décrire ...

- Tu as raison, je ne peux rien te prouver. Tu es comme ...

Elle s'arrête au milieu de sa phrase et reprend avec des hurlements. Quelque chose la fige. Elle s'est arrêté de bouger et s'arrete de respirer. Je m'approche d'elle, méfiante, et la contourne. Dans son dos penetre la dague avec laquelle elle a blessé Taylor. Je porte ma main sur ma bouche. Je m'écroule à terre en même temps que le corps de la femme. Je contemple la beauté de son visage. Je tourne la tête vers une ombre qui se dresse devant moi, c'est celle de Taylor. Il me tend la main mais je secoue la tête.

- Je suis perdue. Je ne comprend rien. Qu'est ce qui m'arrive ?

A ces mots je fais la moue, mes paupières deviennent lourdes, j'ai mal au coeur, j'ai l'impression que mon estomac fait des galipettes. Je repense au doux moment ou nos lèvres se pressaient, s'enlaçaient.

Je plonge mon visage dans mes mains et continue à secouer la tête. Je reste longtemps dans cette position, peux-être même trop longtemps car quand je relève la tête Taylor n'est plus là et le corps détérioré de la femme à disparu lui aussi. Je frotte mes yeux qui sont devenu rouges et gonfflés par les larmes quand je réalise quelque chose à laquelle je n'avais encore jamais pensé. Je connais Taylor depuis deux semaines. Deux semaines ! C'est trop peu, tout ceci va beaucoup trop vite.

 

Avec toute la force qu'il me reste, je me lêve et attéris sur mes deux pieds. Je tourne sur moi même une ou deux fois pour vérifier que je suis bien seule et prend la direction pour rentrer chez moi. Si je peux appeller ça chez moi car je n'y passes plus autant de temps qu'avant. Matin : Avec Taylor, Midi : Avec Taylor, Après-midi : Avec Taylor, Soir : Chez moi. Mmh, peux mieux faire ! Arrivée devant le perron, j'ésite. J'ésite car je n'est pas envie de rentrer. J'étais si bien avec lui, il me rassurait, réconfortait, il me consacrait tout son temps. Mais pourquoi faisait-il cela ? Il n'a pas de famille ? Pas d'amis ? Et je me pose toujours cette question, qu'est ce que les sparts ? Il est si gentil qu'a chaques fois que nous sommes tout les deux j'en oublie tout le reste. Mes ennuis, mes traquas, mes faiblesses. Quelque chose interrompt mes penssées, c'est ma mère. Elle se tiend devant la porte, les mains sur les anches et me dévisage avec insistance.

- Alors ? dit-elle d'un air agassé

- Alors quoi ?

-Alors, qu'est ce que tu attends ! Pourquoi tu restes comme ça, on dirait que tu as vu un fantôme. Elle me fait signe d'entrer et je la suis sans répondre à sa question.

- Je te trouve bien calme jeune fille. Eh oh, tu m'écoutes quand je te parle ? Elle secoue sa main devant mon visage. Je plisse les yeux croyant qu'elle voulait me donner une baffe, l'habitude je suppose.

- Oui, oui, je vous écoute, désolé mère.

- Bien. J'ai remarqué que ces derniers temps tu as toujours la tête dans les nuages, tu es sur que tout va bien ? Car, tu  sais, cette tenue n'est pas très apropriée à une jeune fille de bonne famille comme toi. Tu devrais te ressaisir.

- Veuillez m'excuser. Mère. dis-je dans un souffle. Permettez-moi de me retirer dans ma chambre.

- Accordé. Elle détourne le regard et marche en direction de la salle de bal, pendant que je monte sans faire de bruit dans l'escalier qui mêne au 1er étage. Je tourne à droite puis à gauche, je vaguabonde dans les couloirs jusqu'a arriver devant une porte peinte dans des tons pastels. Je pose ma main sur la poignée, la fait pivoter, puis, la pousse violamant. La piece est lumieuse, chaude et acceuillente, mais elle est vide. pourtant, la fenêtre est grande ouverte et les rideaux blancs qui la recouvrait se ballancent portés par le vent. Je suis appaisée par tant de puretée, je viend quand-même de voir quelqu'un mourir ! je m'approche de la fenêtre et pose mes mains sur le bord. Je ferme les yeux pour pouvoir profiter au mieux de ce sentiment de bien-être. Dehors il fait déjà nuit, je n'entend que des bruits d'oiseaux et de feuilles qui s'entrechoquent. Je rouvre les yeux et ferme la fenêtre avant de m'affaler la tête la première dans mes dras blancs, ils sentent le propre, ou plutôt le lotus.

 

CHAPITRE 9

 

Petit résumé du chapitre 9 :

Notre héroïne ne sais plus ou donner de la tête, depuis hier, le beau ténébreux qu'elle penssait si bien connaitre à disparu et elle n'a plus de nouvelle. Autre chose, une petite voix ne cesse de la hanter et semble la suivre partout. Pour couronner le tout, Taylor refait apparition à un moment critique pour la jeune fille et annonce une nouvelle fracassante à Kimberly qui pourrait bien changer tout le sens de l'histoire.

(desole pour les accents mais j'ecris avec un portable et il veut pas que je mette des accents :( je corrigerais les ptits problemes quand je serais sur un ordi)

 

Kimberly Gara est une jeune fille de 14ans. Nee avec une cuillere d argent dans la bouche, elle a vu le jour dans un berceau de velour et vetu d'une large robe de satin.

 

Une nouvelle journee commence. j'ouvre lentement mes yeux bouffis et apercois un rayon de lumiere qui traverse la piece. Je m'assied et balance mes jambes sur un cote du lit, du bout de mes orteils je sens le sol, il est gele. Je prend de l'elan et saute sur mes deux pieds, sa y es je suis debout, HOURA ! Je m'approche de la pendule et leve les yeux sur elle, il est 09h27. Je chancelle mais ne tombe pas, heureusement car ma mere ouvre la porte au meme moment. Elle me regarde comme si elle venait de voir un fantome.

- Aller, debout paresseuse ! Tu as une drole de tete ce matin ...

Comment dois-je le prendre ? Elle me critique sans arret et j'en es plus qu'assez, je prefere ignorer se qu'elle viend de me dire et ouvre l'un des tiroirs de mon armoire pour en sortir l'une de mes robes fétiches. Elle est en soie vert et de la dentelle blanche est cousu sur le bord du jupon, à l'arrière de la robe, au niveau des hanches, un gros noeud, vert aussi, qui me sers aussi de ceinture. Ma mère s'approche de la fenètre et l'ouvre pour aérer la pièce. Pendent ce temps je sors de la chambre, descend les escaliers, puis m'installe à table pour prendre mon petit déjeuner. Comme toujours, je déjeune seule. Marjorie (la femme de ménage) passe l'aspirateur à la main.

- Bonjour madamoiselle Gara, comment-allez vous en cette belle journée

  ?

- Je vais bien, merci. J'adore Marjorie, elle est gentil, fiable et fait bien le ménage ! La seule chose que je lui reproche c'est de s'inquiéter trop vite. Un jour je suis partis acheter du pain. Quand je suis rentrée, elle était en pleurs sur le canapé...

Elle repart faire son travail pendent que j'engloutis mon déjeuner déjà préparé. une fois terminé, je remonte dans ma chambre, enfile ma robe, puis pars rejoindre Taylor en espérant obtenir des réponses logiques.

- Ca ne sert à rien. Murmure une petite voix derrière mon oreil.  Je me retourne à toutes vitesses mais n'aperçois rien. Je continue ma marche mais accelère le pas.

- Ca ne sert à rien je te dis ! Murmure à nouveau la voix, en un peu plus fort. Je m'arrete nette et retourne encore une fois la tête. Personne.

- Qui est là ? J'attend mais seul de souffle du vent me répond. Je coure et arrive façe au fleuve, on dirait que tout le monde c'est décidé à me laisser seule car Taylor n'est pas là. Sa m'énerve, je suis au bout des nerds. Je ne peux lui suporter ce fardeau, être seule ! Lorsque je suis chez moi je suis seule et à l'école je ne vous en parle pas. Mes camarades me fuient, disent du mal de moi, me pointent du doigt comme si j'étais un monstre. C'est d'ailleurs pour cela que je n'y vais plus, tant pis pour les etudes. Alors pour une fois que je trouve quelqu'un à qui parler et qui sache m'écouter ... Je me rend compte que c'est de cette façon que je me suis attachée à lui, et maintenant, il disparaît sans raisons. En me laissant de nouveau seule.

Tout d'un coup, la petite voix reviend. Elle trouble mes penssées en me rapellant que j'avais la bouche ouverte.

- N'as-tu pas envie de connaître la vérité sur ce monstre ? Ne t'es tu pas demandé si il te mentait, s'il ne t'avait dis que des mensonges dès le début ? Est ce qu'un magicien peut vraiment se trans er en un etre aussi abominable que celui qui t'as laissé ces marques ?  Du bout de mon doigt j'effleure les cicatrices se trouvant dans le bas de mon dos. Je me plonge dans un grand moment de nostalgie en repenssant à cette scène horrible qui me laisse encore un mauvais arrière gout dans la bouche. Mais qu'est ce qui me prend ? Pourquoi j'écoute cette voix !

Je secoue vivement la tête et continue à faire les 100 pas jusqu'a se que je leve les yeux vers un chemain de terre vide. Et j'avance, je marche sans savoir ou je vais, comme si mes jambes n'appartenaient plus à mon corps. Et je cours, je tourne à droite et encore à droite puis à gauche puis tout droit. Je ne sais pas ou j'arriverais; mais arriverais-je un jour ? Arriverais-je au bout ? Au bout de quoi, au bout du monde ? Je ne sais pas, je ne sais rien. Mais j'avance, j'avance car je suis victime de mon destin et mon destin m'ordonne de continuer à m'enfoncer dans cette foret; aussi effrayante soit-elle. Ca y es. Je me suis arreté. Je me trouve dans un endroit qui m'est inconnu mais qui est tou à fait semblable au reste de la foret, mes pieds sont situés au milieu du croisement d'un chemin de terre. Je tourne sur moi-même et examine l'endroit.

- C'est tout ?  Je me racle la gorge et fronce les sourcils. Je répète. C'est tout !?  Un petit rire amical s'échappa de derrière moi. Je fais volte-face et me retrouve face à une tête familière. De longs cheveux blonds et brillants, un visage fin et une peau incroyablement claire. C'étais cette misterieuse femme qui était apparue lors de mon rêve et qui était aussi là hier, quand elle s'est écroulée à terre devant mes yeux avec son sang noir qui coulait à fleaux. Elle était morte, j'en étais sure, et pourtant elle était là quand j'étais seule dans les bois, c'était elle qui m'avais emenée ici, c'étais elle que j'entendais dans ma tête la nuit; le jour. Et c'étais elle qui se tenait devant moi.

Nous échangons un regard et je lui décroche un sourire. Elle fait un pas vers moi sans me lacher du regard puis tend une main vers moi. Son sourire s'élargit lorsque nous ne sommes plus qu'a quelques mètres d'intervale.

- Si tu savais combien de temps j'ai rêvé de ce moment.  Je devais sans doute avoir la bouche ouverte car l'expression de son visage se modifia.

- Je ne suis pas sur de bien comprendre ... Je vous est vu hier, vous étiez morte ..! Son expression était partagée entre la peur et culpabilité.

- C'est impossible car comme tu le vois, je suis là ...

- Ecoute, tu n'est qu'une enfant mais ...  Je la coupe prise par la rage

- Ecouter ? Vous me demandez d'écouter ? Mais je ne fais que ça d'écouter ! Ecouter, exécuter, travailler, c'est toujours le même disque !

- Cela suffit !! Kimberly Gara, fille de Marguerite Gara et de Marco Blackwood tu vas te taire et m'écouter !  J'aurais bien voulu lui répondre mais aucun mot ne sort.  Je m'appelle Sif, femme de Thor et je suis d'arrivé sur terre pour reprendre se qui m'appartiens.

Et la suite quand j'aurais le temps ! :B

 

la suite quand je rentrerais de vacances, bisous les filles, bonne lecture et bonnes vacances ;)

 

BELLE FILLE

Voici comme promis à maria-kurenai4 Une photo de Kimberly Gara (je sais que ça n'est pas la même que sur la vidéo mais, en effet, les personnages choisient parraissaient trop vieux pour 14ans ...).

BEAU MEC

 
 
Taylor Thorn n'a pas 14ans, il est plus âgé.
Démon infernal
 
 
 Taylor Thorn, lorsqu'il se trans e.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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100 سنة إمرأة فرنسا
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