Ask. , Fb , 06 , Déchaines-toi.

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Voilà, je fais un "texte de présentation", enfin, appelez ça comme vous voulez. Bref je fais un texte qui me dispensera de répondre à vos questions tel que "Quel âge as-tu ?". Tout d'abord, comme vous avez pu le constater, je me prénomme Estelle; pas trop dur à retenir jusque là, si ? Sachez ensuite que je suis âgée de dix-sept ans, du moins, jusqu'au 1er Juillet de l'année prochaine. J'ai mon caractère, certains l'aiment, d'autre pas, je m'en fous, il ne changera pas. Je suis, la plupart du temps, froide : je ne veux pas prendre le risque de m'attacher aux gens. Ce n'est pas pour autant que j'ai un cœur de pierre, mais peu de gens remarquent ceci. Je n'aime pas les compliments, non, je hais les compliments. Pour la simple et bonne raison que, vous aurez beau dire des choses positives sur moi, j'en penserai le contraire. Je suis tout le contraire de narcissique. Vous trouvez ça bizarre ? Tant mieux pour vous. Je ne changerai pas. Je n'aime pas trop non plus parler avec trois ou quatre smileys par phrase, ou même des cœurs, car je ne vois pas l'intérêt d'en faire si ce n'est pas notre ressentiment. Vous me trouvez sûrement ennuyeuse, vous avez peut-être raison. Non, je ne suis pas "spéciale". Problem ?

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T R E A S O N

Je ne compte plus de nombre de fois où l'on m'a trahie. C'est vrai quoi, il y a tellement de gens qui ont joué avec moi. En fait pour vous je ne suis qu'un objet, sans émotion, qui n'a aucuns droits, qui peut se faire marcher sur les pieds, qui peut servir de bouche-trous, qui peut être manipulé. Mais je ne suis pas ce que vous pensez. J'ai bel et bien un cœur. Je ressens moi aussi des émotions, même si je le cache au plus profond de moi. Je ne prends pas les gens pour des bouche-trous, j'ai un minimum de respect pour eux. Je ne marche sur les pieds de personne, contrairement à certains. Je ne manipule pas les gens, je ne suis pas une sal.ope de service. Je ne suis pas un objet, je ne suis pas comme vos amies qui se comportent comme des petites p.utes. J'ai comme tous, des valeurs, des atouts, des avantages, des qualités, tout comme j'ai des défauts, des inconvénient, des point faibles. Je ne suis pas une personne inférieure, je suis suis pas non plus supérieure, mais je suis au même niveau que vous. Tout le monde est au même niveau, certains se pensent juste au dessus ou en dessous. Il y a des gens qui jugent sans connaître, d'autres qui jugent en disant ce qu'ils pensent en connaissant la personne. Et puis il y en a qui les acceptent comme ils sont, et qui ne jugent pas la moindre petite différence. Peu de gens font parti de cette dernière catégorie. Vous vous faîtes sûrement partie des deux premières, car vous m'avez fait souffrir à cause de vos jugement et votre rôle de faux-culs. Moi j'ai toujours été franche et honnête envers vous. Vous étiez mes amis. Vous étiez ce que j'ai de plus cher au monde. Mais ça, c'était avant. A présent j'ai changé, grâce à vous et à la souffrance que vous m'avez procuré. Maintenant je suis différente. Je me suis endurcie et je ne ressens plus rien. Je suis aussi froide qu'un iceberg. Le bonheur m'a totalement abandonné. Ma souffrance et ma colère, je les refoule au plus profond de moi. Pour le moment, rien ne ressort. Et cela ne ressortira probablement jamais. Tant mieux pour vous; tant mieux pour moi. Tout le monde est content, n'est-ce pas ? Enfin, je suppose que cela doit se voir ainsi. Vous ? Vous continuez à faire souffrir les gens sans vous rendre compte des conséquences. Mais, sachez bien que la roue tourne. Sachez bien que ceux auxquels vous en faite baver, vous baveront dessus bien plus tôt que vous ne le pensez. Vous pensez sûrement que cela rend intelligent d'être comme vous, mais, c'est tout le contraire. De plus en plus de gens vous détestent, sans le dire, évidemment. En fait, je crois que vous êtes les seuls à vous apprécier tel que vous êtes. Heureusement que j'ai ouvert les yeux à votre sujet. A présent, je suis tout ce que vous n'êtes pas; je ne prends pas les gens pour des cons.

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F U C K I N G  H O P E

L'espoir. L'espoir est une pensée que tout le monde a. Mais tout le monde lui fait prendre la fo.rme qui lui convient. On peut dire que c'est une sorte de rêve. L'espoir fait rêver. L'espoir est comme une drogue. L'espoir fait plaisir. L'espoir est stupide. L'espoir est merveilleux. L'espoir fait souffrir. L'espoir est, selon moi, une perception tout le bonheur que l'on veut ressentir, de tout ce que l'on veut avoir, tout ce dont on a envie; c'est l'image que l'on se fait de la vie parfaite. Mais je pense que c'est aussi l'une des premières choses à nous faire souffrir, car on tombe de haut quand on voit que ce que l'on espérait est totalement différent de la réalité. En fait, il faudrait ne s'attendre à rien. Il ne faudrait rien attendre de personne. Les gens nous déçoivent beaucoup trop et trop souvent. Et quand on pense avoir confiance en eux, vraiment confiance, c'est à ce moment là qu'ils nous déçoivent le plus. Et l'espoir apparait. L'espoir vient quand on a mal, très mal. En fait, l'espoir est surtout la pire me.rde au monde. Vous aurez beau dire tout ce que vous voulez, cela ne changera rien de mon avis. L'espoir est sûrement la chose la plus stupide que le cerveau puisse créer. Enfin c'est vrai, tout ce que cela nous apporte c'est de la tristesse. Si maintenant nous sommes assez co.ns pour aimer souffrir, alors on voit à quel point on peut être malveillants et idiots. Ce n'est pas pour rien que cette phrase existe; "La mémoire est sélective sauf quand ça fait souffrir. A croire qu'on aime le meilleur mais qu'on préfère le pire." Personnellement, j'aime beaucoup cette phrase. Elle me montre parfaitement le courant de pensée actuel. Mais bon, mon avis est sans intérêt pour la société, alors je vais arrêter ce texte ici.

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A P P E A R A N C E 

Chaque jour tu recevras des reproches, des critiques, des remarques, des moqueries, des commentaires sur ton apparence. Ne les prend pas en compte. Ne te braque pas sur toi-même. Grandir c'est aussi accepter l'avis des autres et ne plus se ve.xer pour un rien. Accepte-toi tel que tu es et vis avec ce que tu as. Tu ne seras pas toujours accepté par les autres, mais au moins tu auras ton amour propre, et c'est ça qui compte vraiment. Il y aura toujours, où que tu sois, où que tu ailles, quelqu'un pour te juger.  Mais relève toi et affronte tes défauts. Parce que tu vivras toujours avec, tu ne changeras pas. Tu ne changeras ni pour toi, ni pour les autres. Vis avec le fait que tu ne sois pas comme tout le monde. Car tu es différent. Car tout le monde est différent. De ce fait, tout le monde juge tout le monde. C'est bête, mais c'est ainsi que cela se passe. Il y en aura même qui se mettront à plusieurs contre toi. C'est injuste, je sais. Beaucoup de choses sont d'ailleurs injustes. Mais on apprend à vivre avec. Sois on s'y habitue avec le temps, ou alors on s'adapte rapidement. Mais tout fini par s'accepter. Tout est possible. Absolument tout. Moi-même je me fais juger. Mais c'est la vie. Et comme on dit, « Life is unfair. ».

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S A D N E S S

Ne dis pas que tu ne peux pas; dis plutôt que tu ne veux pas oublier ta souffrance. Prenons un ex.emple simple. La carapace émotionnelle. Une carapace solide. Elle permet de cacher ses émotions en toute circonstance. Pleurer ? Jamais, la carapace retient les larmes. La tristesse ? La carapace la masque le plus profond possible. La carapace masque tout ce qui est tristesse et pleures. Il suffit de montrer un sourire, un faux sourire, un sourire forcé. Un sourire qui trompe tout le monde. Personne ne voit rien, et tout va bien. Mais quand la carapace se brise, elle provoque de gros dégâts. Autant sur la personne qu'elle protégeait, que sur son entourage. Sans sa carapace, la personne se sent nue, faible, vulnérable, influençable. Sa carapace était tout ce qu'elle avait. C'était la chose qui lui permettait d'être comme tout le monde, souriante, joyeuse; elle arrivait même à rire. Mais cette personne n'était pas heureuse pour autant. Au contraire. Sa carapace retenait son côté sombre pour faire ressortir le peu de lumière et le multiplier pour faire croire aux autres que tout va bien et qu'il n'y a aucun soucis . Et ça marche. La preuve; même les gens les plus proches de ceux qui ont une carapace ne remarquent rien. Jusqu'au jour où la carapace à une fissure. Une fissure qui s'agrandit, peu à peu, jour après jour. Et puis ça dégénère. Ça devient la guerre contre sois-même. On a plus aucune considération envers sois, on se déteste, on se fait du mal, on se  scarifie, on se suicide, on crève, on fait des malheureux, mais on s'en fout, parce qu'on s'est sortit de ce malheur qui nous envahissait depuis trop longtemps.

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L O N E L I N E S S

Se sentir seul est un fait. Se sentir seul est une chose qui est ressentie par de nombreuses personnes. Parfois cette sensation n'est qu'une vague impression. Mais souvent, cette impression est tout simplement la vérité. Beaucoup de gens "souffrent" de solitude. Je considère la solitude comme une maladie incurable. Une maladie qui entraîne une mort lente et douloureuse. Une maladie qui faire souffrir, émotionnellement. Une maladie qui est parfois due au comportement de certaines personnes envers une autre. Comme par e.xemple, votre comportement envers elle. C'est vous qui l'avez poussé. Vous avez été dégu.elasses avec elle. Vous ne vous rendez pas compte des choses que vous avez pu lui dire. Vous pouvez être fier de vous, vraiment. Fier du fait que vous êtes une bande de petits co.ns. Non, je ne m'excuserai sûrement pas pour ma grossièreté, vous la méritez amplement. Vous mériteriez presque de vous faire arracher les ongles un par un, pour ensuite tremper vos mains dans l'alcool. Oui, je suis sadique, et alors ? Qu'est-ce que vous allez me faire, m'insulter ? M'apprendre des choses sur moi-même ? Mais vous savez quoi ? Je n'en ai rien à faire. Parce que chacun d'entre vous finira seul. Complètement seul. Totalement seul et coupé du monde. Vous ne méritez que ça. Votre comportement est déplorable. Vous me dégoutez au plus au point. Vous haïr est un euphémisme.

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D E A T H

Elle était une personne plus qu'importante pour moi. C'était une de mes meilleures amies. Et je n'ai rien vu venir. Si seulement vous saviez à quel point elle me manque, vous seriez sous le choc. Elle me manque comme ce n'est pas permis d'être en manque de la présence de quelqu'un. Je n'arrive toujours pas à réaliser qu'elle est partie pour toujours. Alors que cela fait date du mois de mai de deux mille douze. Je me dis que je suis stupide, mais, je suppose que mon espoir joue avec moi et m'empêche d'accepter sa mort. Je me souviens de cette date, du moment où je l'ai appris, de la salle de classe dans laquelle je me suis effondrée, des amis qui m'ont entourés, avec eux aussi les larmes aux yeux. Oui, je me souviens de chaque instant. Je revois la photo d'elle qui était affichée à son enterrement; une photo magnifique, tout comme elle. Comment a-t-elle pu en arriver là. Qu'est-ce qui la faisait tant souffrir. Qu'est-ce qui l'a poussé à commettre l'irréparable. Quelle souffrance ressentait-elle. Oui, je m'en pose des questions. Et je m'en poserai jusqu'à ce que je sache le pourquoi du comment. Parce que je n'arrive pas à comprendre qu'on puisse faire du mal à une personne comme celle-ci. S'il y avait bien un mot pour la décrire, ce serait adorable. Elle l'était tellement, adorable. Et maintenant c'est fini, il n'y a plus rien, elle n'existe plus. Chaque jour je verse une larme, pour elle. Elle était comme un petit ange qui illumine votre journée, si souriante, toujours le sourire jusqu'aux oreilles, avec un humour qu'elle utilisait à bon escient. Dans les moments durs, elle savait rester sérieuse et attentionnée. Dans les bons moments, elle se lâchait complètement. Je ne compte pas le nombre de fois où elle a provoqué chez moi des éclats de rire. En bref, elle me manque, c'est affreux, c'est... Indescr.iptible. Repose en paix mon ange. ♥ †

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MAINTENANT , TU PEUX CREVER EN PAIX.

ps : ais le respect de ne pas copier les texte que j'ai écrit.

#Estelle.